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Rebets

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Rebets
Rebets
L'église Saint-Denis.
Blason de Rebets
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CC inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Bernard Corbillon
2020-2026
Code postal 76750
Code commune 76521
Démographie
Gentilé Robatiens
Population
municipale
148 hab. (2021 en augmentation de 2,07 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 42″ nord, 1° 23′ 26″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 176 m
Superficie 3,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mesnil-Esnard
Législatives 2e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Rebets

Rebets est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

Description

Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 793 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 19 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Rebets est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (65 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), terres arables (13,2 %), forêts (7,9 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

Lieux dits, hameaux et écarts

Au lieudit l'Enfer, qui s'appelait jadis Germe, il y aurait eu à l'époque gauloise une fonderie ou une forge.[réf. nécessaire]

Le hameau les Hez est le plus important chef lieu à l'époque.[réf. nécessaire]

Les autres hameaux sont la Hétrée, les Huées, les Vallées et la Bucaille.

Le hameau Tous Vents est aujourd'hui disparu. Au XXe siècle, ce hameau comportait encore deux maisons et une douzaine d'habitants.[réf. nécessaire]

Logements

Évolution du nombre de logements entre 1968 et 2009[I 1].
1968 1975 1982 1990 1999 2009
35 47 52 56 60 73

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 73. Parmi ces logements, 73,7 % étaient des résidences principales, 24,9 % des résidences secondaires et 1,4 % des logements vacants[I 2].

La proportion de ménages propriétaires de leur logement était de 81,5 % et celle des locataires était de 18,5 %[I 3].

Toponymie

Le nom de la commune est attesté assez tôt sous les formes latinisées Rosbatium en 735 - 743 et Rosbacium en 854[21].

Rebets représente le type hydronymique Rosbacium « ruisseau aux roseaux »[21], dont il existe un grand nombre d’exemples au nord de la France et en Belgique et dont la forme initiale, le germanique *Rauzbaki, a donné : Rebais, le château de Rebais aux Bottereaux, Rebetz à Chaumont-en-Vexin, Rebaix, Rebecques, Rebecq (Belgique, Rosbacem 877), Robecq (Pas-de-Calais, Rosbeccam 1104), etc. et dans les régions de langue germanique Rohrbach, Rorbach-lès-Dieuze, etc.[22],[21]. Le passage de [s] à [r] (ros > allemand (Schilf)rohr) s'explique par le rhotacisme de /s/, processus phonétique qui a particulièrement concerné le vieux haut allemand au sein de la famille germanique.

Il s'agit d'un composé germanique occidental de raus- « roseau » devenu ros en ancien français, diminutif rosel > roseau[23] et *baki « ruisseau, rivière » (cf. allemand Bach)[24],[21]. Il a été emprunté par le gallo-roman sous la forme *BĀCIS qui a donné l'ancien français bais « ruisseau »[24]. Comme second élément d'un composé *-baki a aussi régulièrement abouti à la finale -bais (autrement -baix)[24].

Dans le cas de Rebets, le nom se réfère à la rivière l'Héronchelle.

Remarque : -bets est apparenté à -bec (parfois prononcé -bé comme dans Bolbec) élément répandu dans la toponymie normande, sauf que ce dernier est issu du vieux norrois bekkr « ruisseau » qui remonte également au germanique commun *bakiz.

Histoire

Des outils en silex de l'époque du Néolithique comme des haches taillées et polies ainsi que des grattoirs et perçoirs ont été retrouvés sur les terres du village[réf. nécessaire]. À cette époque le lieudit "les Vallées" étaient fréquemment inondées l'hiver.

L'époque Franque a également laissé des traces : En 1860, lors de la reconstruction quasi-totale de l'église, deux cercueils de cette époque sont retrouvés. L'un contenant un couteau et une boucle de ceinturon, le second deux enfants âgés de 13 et 14 ans ainsi que des perles et des vases noirs. Quatre ans plus tard, une nouvelle découverte a lieu dans un champ appartenant à Monsieur D'arboval alors que celui-ci était en plein labour. Cette découverte comprend quatre sacophages, l'un en pierre de Saint Leu, les autres en pierre du pays. Sur les quatre cercueils découverts, seul deux renfermaient des ossements, des restes humains gisaient autour des autres[réf. nécessaire].

A une époque très incertaine, Rebets posséda un château fort. On peut encore en observer l'enceinte grâce aux fondations encore présentes. Un souterrain est de nos jours encore visible bien que celui-ci soit muré à cause des gaz carboniques qui s'en échappent. Il y a encore quelques années, un colombier était visible mais ce dernier fut détruit car jugé trop dangereux.[réf. nécessaire]

Politique et administration

Administration municipale

Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[25].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 10 août 2020)
Bernard Corbillon   Chauffeur
Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 148 habitants[Note 8], en augmentation de 2,07 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
356360339286293281280265257
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
270253231208184207202215192
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
150161132106120126114126113
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
959189101108110133140142
2018 2021 - - - - - - -
148148-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église Saint-Denis, reconstruite en 1860, elle a néanmoins conservé son ancien portail daté de 1547.
    Cet ancien portail qui est un cintre roman orné, est protégé par un porche datant de la même époque. Ce porche en pierre calcaire[31] soutient le clocher dont les poutres sont sculptées. À savoir que ce porche est classé monument historique.
    C'est au moment de la Révolution que l'église se verra perdre ses deux cloches pour être fondues en canons[style à revoir]. Le poids des deux cloches était de 630 livres[réf. nécessaire].
    L'église conserve son baptistère en pierre daté de 1545 et son bénitier en grès sur lequel est gravé "RE BE S".
  • Le moulin à eau, qui date de 1845.
    Il a fourni pendant de nombreuses années de la farine et de la mouture pour toute la région et était exploité, de père en fils, par la famille Duval.[réf. nécessaire]
  • Le calvaire du Hez.

Personnalités liées à la commune

C'est aux alentours de 1660, que l'on retrouve la trace de personnages importants venus en visite ou habitants à Rebets. Les d'Anfray et les Couldray sont les seigneurs de Rebets à l'époque. Puis en 1646 Jean Antoine Stoppa Stoppa, par son mariage avec charlotte Le Vaillant,[32] succède aux précédents seigneurs de Rebets et devient à son tour sieur de Rebets et du hameau les Hez.

Claude François Godin époux de dame Agnès Marguerite Stoppa[33] vécu à Rebets puisque nous en retrouvons la trace en 1766, habitant le manoir de la Bucaille.

Louis XIV a aussi tenu un rôle important pour la commune de Rebets. Ce dernier en plus de léguer un patrimoine seigneurial à la localité, a aussi légué des bâtiments agricoles toujours utilisés[réf. nécessaire].

Héraldique

Blason de Rebets Blason
D'or à la fasce ondée d'azur sommée d'une divise ondée du même, à deux roues de moulin de sable mouvant de la fasce et brochant sur la divise, le tout accompagné d'une rosiére au naturel mouvant de la pointe[34].
Détails
Créé en Décembre 2013 par Thomas Olivieri
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Rebets et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Rebets et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  21. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 127.
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 559a.
  23. Site du CNRTL : étymologie de roseau [1]
  24. a b et c Louis Guinet, Les emprunts gallo-romans au germanique, éditions Klincksieck, 1982, p. 30-31-32-33
  25. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  26. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Le porche de Rebets ».
  32. AN Y 185, folio 306 notice numéro 1722
  33. AN, cote MC/ET/LXXII/355
  34. « Conseil Francais Heraldique : ARMORIAL, les armoiries de : REBETS », sur conseil-francais-d-heraldique.com (consulté le ) Attention la source donne un blasonnement en conflit avec le dessin.