Macouria

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Macouria
Macouria
Vue de l'église du bourg de Tonate, le long de la RN 1.
Blason de Macouria
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Guyane
Département Guyane
Arrondissement Cayenne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Centre Littoral
Maire
Mandat
Gilles Adelson
2020-2026
Code postal 97355
Code commune 97305
Démographie
Gentilé Macouriens
Population
municipale
18 847 hab. (2021 en augmentation de 60,82 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 5° 00′ 50″ nord, 52° 28′ 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 103 m
Superficie 377,5 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Macouria
(ville isolée)
Aire d'attraction Cayenne
(commune de la couronne)
Élections
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Macouria
Géolocalisation sur la carte : Guyane
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Macouria
Liens
Site web macouria.fr

Macouria est une commune française, située dans le département de la Guyane.

Géographie[modifier | modifier le code]

En rouge le territoire communal de Macouria.

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe en Guyane française sur le continent de l'Amérique du sud. Les communes limitrophes avec Macouria sont au sud Matoury et Montsinéry-Tonnegrande, puis à l'ouest Kourou.

Géographie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 37 750 hectares ; son altitude varie de 0 à 103 mètres.

Macouria est une commune agricole. Elle est située dans les zones marécageuses de mangroves, de pripris[Note 1] et de savanes, qui en font une zone inondable en grande saison des pluies.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat y est équatorial humide, type Af selon la Classification de Köppen.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Macouria est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Macouria, une agglomération intra-départementale regroupant 1 commune[4] et 18 847 habitants en 2021, dont elle est une ville isolée[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cayenne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

La commune, bordée par l'océan Atlantique au nord-est, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[9]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[10],[11].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Macouria est une commune dynamique, les habitants de l'agglomération de Cayenne s'y installent, attirés par les loyers modérés, et l'importance des terrains. La commune est en passe de devenir le nouvel axe de développement de la Communauté d'agglomération du Centre Littoral.

  • La source la plus immédiate, c'est le plan local d'urbanisme (PLU) de la commune, et plus précisément sa partie appelée rapport de présentation, en général réalisée par un cabinet d'urbanisme conseil. Il est en général chargé d'effectuer le diagnostic urbain de la ville puis établir des préconisations pour le PLU.

Logement[modifier | modifier le code]

La proportion de logements à Macouria en 2016 est composée de 77,8 % de résidences principales, 1,8 % de résidences secondaires et 20,4 % de logements vacants. Ces logements sont pour 83,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,7 % des appartements.

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 58,2 % en 2016, en baisse par rapport à 2011 (59,9 %). La part de logements HLM loués vides était de 16,6 % contre 14,4 %[12].

Petite case en bois à Macouria.

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

On peut souvent trouver des informations dans les schémas de cohérence territoriale (SCOT) ou les sites des intercommunalités ou des communes (projets de ZAC…), et parfois des études d'impact ou des avis de l’État (DREAL…).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est reliée à la RN 1 par les bus collectifs numérotés A1 et les taxis.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité de Tonate tient son nom de Jean-Baptiste Tonat (1775-1837), exploitant cotonnier sur le site du bourg.

Histoire[modifier | modifier le code]

Temps modernes[modifier | modifier le code]

L’histoire connue de Macouria commence à la première expédition de Daniel de La Touche de La Ravardière en 1604. Avant cette époque, c’est un territoire essentiellement peuplé d’Amérindiens Palikurs. Ils laissent peu de traces sinon des champs surélevés à Maillard[13] et quelques sites de plein air[14].

En 1643, le gouverneur Charles Poncet de Brétigny arrive avec la compagnie du cap Nord. En 1644, lui et ses hommes rejoignent la « pointe Macouria » en chaloupe. Il décède au cours d’une escarmouche avec les Amérindiens, fauché par une flèche tirée entre les deux yeux, devenant de fait le premier gouverneur en exercice mort en Guyane.

Aux alentours de 1709, les premiers jésuites arrivent en Guyane, notamment avec le père Lombard et le père Ramette. Tous deux évangélisent les Amérindiens et les baptisent. Vers 1710, ils construisent la paroisse de Saint-Joseph à la pointe Liberté pour y continuer leur travail d’évangélisation.

Mais Macouria prendra un essor important grâce à Rémy Guillouet d’Orvilliers qui fait une propagande dans toute la colonie pour installer des ménageries.

Les jésuites profitent alors de l’occasion pour s’étendre dans toute la colonie. C’est ainsi qu’à travers leurs cultures prospères et abondantes de café, de cacao et de roucou ils sont les premiers à développer le quartier de Macouria.

Un essor qui continuera à s’accroître des années 1800 jusqu’à aujourd’hui avec l’influence des colons et autres personnages importants de la Guyane.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Sur un plan institutionnel, la Guyane est divisée en autant de quartiers qu’il y a de paroisses. Macouria possédant la sienne prend le nom de quartier de Macouria. De ce fait avec l’organisation municipale réglée par le décret colonial du modifié par un arrêté local du , Macouria est dirigée par un commissaire-commandant, qui remplit le rôle d'un maire, et son lieutenant-commandant, qui est son adjoint.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

L’église de Macouria était située sur le morne Macouria à 17 Km de la pointe Liberté. Elle a été transférée sur l’habitation de M. Tonate par le Père Bonis, au moment où les travaux de construction de la route transféraient le Bourg sur l’habitation de M. Tonate à partir de 1939.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Aux élections municipales de 2020, le nombre de conseillers municipaux à élire est de 33[15].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1959 1971 Raphaël Galant    
1971 1977 Yves Paul Robo   Conseiller général
Antoine Sylvère Felix    
[16],[17]
(décès)
Serge Adelson PSG[18] puis DVG Cadre Électricité de France retraité
Conseiller général du canton de Macouria (1982 → 2012)
Ancien maire de Saint-Élie (1971 → 1983)
[19] En cours
(au 1er septembre 2020)
Gilles Adelson DVG Chef de service, 2e vice-président (2014 → 2020),
puis 1er vice-président (2020 →) de la CA du Centre Littoral
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

  • Gestion de l'eau (assainissement individuel ou collectif?
  • Capacité et type de la station d'épuration?
  • Récupération des eaux pluviales?
  • Quelle gestion de l'arrosage des espaces verts?
  • Gestion différenciée…, de l'énergie (Quelle centrale nucléaire la plus proche? Quelles énergies renouvelables? Réseaux de chaleur?
  • Bâtiments basse consommation ou passifs?),
  • des déchets (recyclage, incinération, compostage, stockage, valorisation énergétique…),
  • des espaces verts,
  • agenda 21 communal…

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Centre Littoral.

En 2010, la commune de Macouria a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[20].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1961, premier recensement postérieur à la départementalisation de 1946. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[21],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 18 847 habitants[Note 5], en augmentation de 60,82 % par rapport à 2015 (Guyane : +10,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1961 1967 1974 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5863844904462 0695 0507 7999 99512 804
2021 - - - - - - - -
18 847--------
De 1961 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Insee de 1968 à 2006[22] puis à partir de 2006[23])
Histogramme de l'évolution démographique

Données officielles publiées par l'Insee[modifier | modifier le code]

Le , l'Insee a mis en ligne les données 2015 relatives à la population.

Un peu de vocabulaire[modifier | modifier le code]

De 1962 à 1999, la population à prendre en compte est la « population sans doubles comptes » (voir recensement de la population en France). Depuis 2006, c'est la « population municipale » (voir article recensement de la population en France#Décomposition de la population légale depuis 2009) par opposition à la « population totale ».

Lorsque l'Insee écrit « populations légales », cela veut dire que ces données peuvent être utilisées quand les textes de loi font référence au nombre d'habitants, par exemple le nombre de conseillers municipaux qui est fonction du nombre d'habitants. Il faut donc qu'à partir d'un instant donné, ces chiffres aient une valeur « légale ».

Cas des données antérieures à 1793[modifier | modifier le code]

Pour les données antérieures à 1793, les populations étaient généralement exprimées en feux ; ces données peuvent être ajoutées en s’inspirant de ce qui a été fait pour la commune de Pouancé, considéré en 2012 comme un bon exemple.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les listes d'établissements scolaires du 1er et du 2d degrés sont disponibles sur les sites des inspections académiques des départements. On pourra également se référer à l'annuaire national tenu à jour par le ministère de l'éducation nationale.

Établissements d'enseignement et de formation[modifier | modifier le code]

Maternelle ; élémentaire[modifier | modifier le code]
  • École maternelle Michelle-Ponet ;
  • École élémentaire Michelle-Ponet ;
  • École élémentaire et maternelle Maud-Nadiré ;
  • École élémentaire et maternelle Edmé-Courat ;
  • École élémentaire et maternelle Sainte-Agathe ;
  • École élémentaire et maternelle Serge ADELSON ;
  • École élémentaire et maternelle Yolaine CHARLOTTE BOLORE.
Second degré[modifier | modifier le code]
  • Collège Just-Hyasine ;
  • Collège Antoine-Sylvère-Félix.
Autres[modifier | modifier le code]
  • Lycée agricole de Matiti (E.P.L.E.F.P.A. / CFPPA) (établissement public local d'enseignement et de formation professionnelle agricole).
  • GRETA OUEST (Formation aux savoirs de base).

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

L'hôpital public le plus proche est à Cayenne et c'est l'hôpital Andrée Rosemond.

Il existe dans la commune,

Sports[modifier | modifier le code]

Équipement sportif :

Clubs sportifs :

  • Union Sportive de Macouria, football ;
  • Sprint Club du Littoral, cyclisme ;
  • UNSS, hand-ball.

Médias[modifier | modifier le code]

Depuis 2008, la commune a un bulletin municipal bimestriel surnommé " Le Lien "[24].

Cultes[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Macouria possède une petite activité industrielle et agricole / touristique :

  • Élevages bovins allaitants ;
  • Productions avicoles ;
  • Polycultures ;

Secteur secondaire ou Industrie ou Artisanat et industrie[modifier | modifier le code]

  • Usine laitière à la Carapa ;
  • Miellerie de Macouria.

Secteur tertiaire ou activités de service[modifier | modifier le code]

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La ville de Macouria est surtout connue pour la présence du zoo de Guyane en zone limitrophe avec la commune de Montsinéry sur le CD 5 ;
  • Église Saint-Jean-Baptiste de Macouria. L'église est dédiée à saint Jean le Baptiste.
  • Théâtre de Macouria ;
  • Jardin botanique de Macouria ;
  • La mangrove (baignade) ;
  • ULM équateur (son circuit de karting) ;
  • Artisanat amérindien (village Kamuyuneh et village Palikur) ;
  • Bâtiment du savoir traditionnel amérindien (KAYANO) ;
  • Marché nocturne du jeudi ;
  • Kays'ly Garden ;
  • Le Kikinon et les écuries de la Pointe Liberté.

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Le plat emblématique de la commune est le Daube de melon d’eau.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le terme local de « pripri » désigne une zone de savane naturellement sèche, mais susceptible d'être inondée.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Macouria », sur insee.fr (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cayenne », sur insee.fr (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  10. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « INSEE » (consulté le ).
  13. Stéphen Rostain et Doyle McKey, « Les paysages de champs surélevés de Guyane française : un patrimoine bioculturel menacé », Revue d'ethnoécologie,‎ (lire en ligne)
  14. dir. Jacques BARRET, Atlas illustré de la Guyane, ARUAG, , 219 p. (ISBN 978-2-9518647-0-2 et 2-9518647-0-1), pages 20 à 25
  15. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  16. « Serge Adelson, maire de Macouria, est mort », sur Guyane La Première,
    « Serge Adelson luttait depuis de longs mois contre la maladie. Il s'est éteint à la mi-journée à l'hôpital Andrée Rosemon de Cayenne. Il avait passé presque trente ans à la tête de la municipalité de Macouria. »
  17. Avis de décès du Maire de Macouria Monsieur Serge Adelson, sur macouria.fr, 26 décembre 2012.
  18. « Macouria a perdu son maire : Serge Adelson n'est plus », sur blada.com,
    « Marie-José Lalsie, secrétaire générale du Parti Socialiste Guyanais : Nous honorons la mémoire de cet homme qui fut membre du Parti Socialiste Guyanais et contribua à son épanouissement entre 1982 et 1997. »
  19. « Gilles Adelson nouveau maire de Macouria », France-Guyane,‎ (lire en ligne)
    « Sans grande surprise, l'ancien premier adjoint a été élu hier matin pour succéder au défunt maire. Ses premiers mots sont allés aux membres de l'opposition avec lesquels il souhaite désormais travailler de concert. »
  20. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  23. pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  24. « Bulletin municipal / Mairie de Macouria », sur Mairie de Macouria (consulté le ).
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