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La Chapelle-Saint-Laurent

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La Chapelle-Saint-Laurent
La Chapelle-Saint-Laurent
La basilique Notre-Dame-de-Pitié.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
Maire
Mandat
Jean-Yves Bilheu
2020-2026
Code postal 79430
Code commune 79076
Démographie
Population
municipale
2 071 hab. (2021 en évolution de +4,49 % par rapport à 2015)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 47″ nord, 0° 28′ 32″ ouest
Altitude Min. 149 m
Max. 235 m
Superficie 28,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bressuire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cerizay
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chapelle-Saint-Laurent
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La Chapelle-Saint-Laurent

La Chapelle-Saint-Laurent est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

La commune est située sur l'axe routier D 748 reliant Bressuire à Niort et sur le tracé de l'ancienne voie ferrée devenue voie verte qui relie Bressuire à Parthenay à une dizaine de kilomètres au sud de Bressuire. Il s'agit encore d'un joli pays de bocage, mais la destruction des haies par arrachage et taille non contrôlée conduit progressivement au triste paysage observable entre Parthenay et Châtellerault. Cette zone de bocage aux nombreux plans d'eau, parsemée de rochers émergents, mériterait une attention toute particulière car elle est une richesse pour sa population et les générations futures.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Voies de communication et transports

La Chapelle-Saint-Laurent est desservie en autocars par le réseau Tréma (lignes 110 et 117) et par la ligne 13 du réseau régional.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 918 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clesse », sur la commune de Clessé, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 799,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

La Chapelle-Saint-Laurent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bressuire, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,2 %), zones agricoles hétérogènes (36,5 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (5,3 %), forêts (4,3 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Économie

Histoire

Préhistoire

Des hommes ont vécu à La Chapelle-Saint-Laurent dès les temps préhistoriques comme l'atteste la découverte de nombreux outils, la plupart dans la moitié est de la commune. Datant de 30 000 à 35 000 ans av. J.-C. deux racloirs bi-face moustériens ont été trouvés l'un près proche de la Barbère, l’autre près du moulin des Mothes. Trois haches de l'âge de la pierre polie dans les champs proches du tumulus près du château des Mottes-Coupoux et une quatrième trouvée près du Gazon. Enfin, près du Bocage une hache de bronze à douille de l’âge du bronze final.

Moyen Âge

Les Chapelais, dès le XIIIe siècle, accueillirent parfois quelques pèlerins isolés.

Temps modernes

Contrairement à certaines paroisses des alentours, la Chapelle-Saint-Laurent où les huguenots, en 1561, brûlèrent le curé Barrion dans son église, ne compta jamais beaucoup de protestants.

En 1639, ayant abjuré en présence d'un moine de l'ordre de Saint-Augustin, un sieur Marchand, après avoir reçu l'extrême-onction fut inhumé dans l'église Saint-Laurent. La même faveur, un peu plus tard, fut octroyée après sa conversion à la dame Gabrielle Caffard, veuve de Jean Roy. En 1642, l'archiprêtre Gabriel Voisine bénit les fiançailles de Jeanne Mercier avec Abraham Roy, qui s'était converti en vue de son mariage prochain. Au cours des années qui suivirent, un certain nombre d'habitants de Pugny, La Chapelle-Saint-Étienne, Moncoutant, Largeasse et Coulonges-Les-Royaux, préférant ne pas abjurer dans leurs communes respectives, vinrent renier leur foi huguenote en l'église de La Chapelle. Après la révocation de l’édit de Nantes par Louis XIV, le 15 octobre 1685, les dragonnades reprirent de plus belle. La venue d'indésirables « missionnaires bottés » terrorisa les protestants.

Révolution française

Des paysans étaient allés combattre avec l’armée catholique et royale, les terres étaient restées à l'abandon et des maisons et des fermes avaient été incendiées en janvier 1794, par les soldats de Prévignaud et sous le Consulat, les Chapelais reconstruisent. Des réparations furent effectuées au moulin à vent de La Bardonnière et à la chaussée de l'étang de La Chenulière qui s'était rompue, rendant la route inutilisable.

Après les années noires de la guerre de Vendée, les Chapelais, leur liberté retrouvée, et débarrassés des visites des décimateurs venant, une fois la moisson faite, réclamer la part du seigneur et du curé, accueillirent avec satisfaction l'avènement de Napoléon.

XIXe siècle

En 1802, le maire de La Chapelle-Saint-Laurent, Jacques Grimaud, sollicita du sous-préfet Charbonneaux l'autorisation d'organiser quatre foires nouvelles, deux dans le bourg, deux à Pitié. N'ayant rien obtenu, il renouvela sa demande l'année suivante et cette fois, de sa belle plume d'instituteur, il ajoutait ce singulier post-scriptum : « Je vous ai trouvé du beurre. Vous m'avez parlé du préfet. S'il lui en faut il ferait bien de s'y prendre dès maintenant. Je vous assure, en tout cas que celui que je vous enverrai sera aussi bon que celui de l'an dernier ». Et le premier magistrat municipal, le beurre aidant, obtint ce qu'il demandait.

La gare de La Chapelle-Saint-Laurent est mise en service le [20].

XXe siècle

Fermeture de la gare de La Chapelle-Saint-Laurent et de la section de la Ligne de Neuville-de-Poitou à Bressuire en 1987[21].

Sortie de la grand-messe à l'église Saint-Laurent en 1905.

Politique et administration

La mairie.

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1803 Jacques Louis Grimaud    
1803 1808 Pierre Marchereau    
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1919 mai 1925 Raoul Lourdel-Hénaut    
mai 1925 mai 1929 Gustave Billaud    
mai 1929 mai 1935 Raoul Lourdel-Hénaut    
mai 1935 octobre 1944 Gustave Billaud    
octobre 1944 novembre 1944 Raoul Lourdel-Hénaut    
mai 1945 mars 1971 Maurice Marsteau DVD Enseignant retraité
Conseiller général de Moncoutant (1961 → 1977)
mars 1971 mars 1977 Louis Billaud[22]   Quincaillier
mars 1977 mars 1983 Dominique Cottanceau    
mars 1983 mars 2014 Jean-Louis Potiron DVD Instituteur
Conseiller général de Moncoutant (1998 → 2015)
Vice-président de la CC Terre de Sèvre
mars 2014 En cours Jean-Yves Bilheu DVD Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[23].

Démographie

À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour La Chapelle-Saint-Laurent, cela correspond à 2004, 2009, 2014[24], etc. Les autres dates de « recensements » (comme 2006, etc.) sont des estimations légales.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3001 1561 1921 2921 3531 3981 4101 5211 614
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6941 6591 7501 7441 8282 1912 0782 1972 247
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1852 1632 1321 8281 7581 6731 6541 6351 643
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 6291 5611 6051 6821 7491 6971 7691 8811 848
2014 2019 2021 - - - - - -
1 9552 0342 071------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

Église Saint-Laurent.
  • Basilique Notre-Dame-de-Pitié : construite à partir de 1891, c'est un lieu de pèlerinage réputé. Du temps des Gaulois, il y avait un lieu de culte (les trois sources), christianisé à l'époque de l'Église primitive. La fontaine du Calvaire est à proximité.
Une statue près de la basilique Notre-Dame-de-Pitié.
  • Église Saint-Laurent.
  • Étang des Mothes : magnifiques plans d'eau.
  • Étang Olivette dont les eaux blanchissent chaque année.
  • Étangs de Courberive, des Rataudières, Briant.
  • Rocher dit Chiron de la Vierge, lieu de dévotion : les Griffes du Diable et le Pas de la Vierge y sont visibles.
  • Timbre au Chat, où les chats se réunissaient selon la légende le soir du Carnaval, au cours d'un festin donné par le diable. Il s'agit d'un ancien site cultuel celte qui fut diabolisé, contrairement au site dit du « pas de la Vierge », ou « chiron de la Vierge » christianisé, pour faire cesser son utilisation à la période des fêtes de samain (à la période de la Toussaint). Une croix a été récemment dressée en face du « timbre au chat ». Traditionnellement, des offrandes étaient placées dans l'auge de pierre.

Selon une légende de La Chapelle-Saint-Laurent, c'est au lieu-dit « l'Humeau-Robinet » au croisement de la route de Pitié à Moncoutant, de la vieille route de Pugny et d'un petit chemin de terre que l'on peut voir le « Timbre aux Chats ». Là, dans la nuit du Mardi-Gras s'assemblaient tous les matous du voisinage. Après avoir déposé dans l'auge de pierre, les reliefs dérobés à leurs maîtres, ils festoyaient et organisaient une ronde effrénée autour d'un grand diable. Malheur à l'indiscret qui, intrigué par leur bruyant concert de miaulements se serait risqué à venir troubler leurs sataniques agapes. En moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, il aurait péri, attaqué par des centaines de griffes aiguës avant d'être dévoré jusqu'aux os par des milliers de dents acérées. Des fermiers du voisinage s'étant, autrefois, emparés de l'auge de pierre furent, dès la nuit suivante, gratifiés, par des centaines de chats d'un tel concert de miaulements qu'ils ne purent fermer l'œil. Ils allèrent aussitôt la remettre en place et retrouvèrent la tranquillité. Plus récemment, et à deux reprises, « le Timbre aux Chats » disparut. Il retrouva chaque fois sa place non sans qu'il en ait résulté, pour l'un au moins de ses emprunteurs quelques inexplicables ennuis, des ennuis d'ordre maléfique, s'empressèrent d'assurer ceux qui croient encore au pouvoir mystérieux de certaines pierres.

  • La Chenulière.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Clesse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Laurent et Clessé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Clesse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Laurent et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bressuire », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. « La Chapelle-Saint-Laurent. Une centaine de personnes à la rando patrimoine », Le Courrier de l'Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Conseil d'État, « Numéro d'arrêt : 384002 », sur juricaf.org, (consulté le ).
  22. [1]
  23. Site des villes et villages fleuris, consulté le 6 février 2021.
  24. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.