Juillac (Gironde)

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Juillac
Juillac (Gironde)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes Castillon-Pujols
Maire
Mandat
Bernard Lamouroux
2020-2026
Code postal 33890
Code commune 33210
Démographie
Gentilé Juillacais
Population
municipale
220 hab. (2021 en diminution de 15,06 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 43″ nord, 0° 02′ 27″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 108 m
Superficie 5,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Juillac
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Juillac
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Juillac

Juillac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Petite commune très vallonnée sur la rive gauche de la Dordogne, presque à l'extrême est du département de la Gironde.

Juillac produit aujourd’hui du vin d'appellation d'origine contrôlée entre-deux-mers et bordeaux-supérieur, avec une cave coopérative commune avec Flaujagues et des producteurs indépendants.

Communes limitrophes

Les villes et villages proches de Juillac sont : Sainte-Radegonde à 1,9 km, Flaujagues à 1,9 km, Gensac à 2,9 km, Coubeyrac à 3,2 km et Pessac-sur-Dordogne à 3,6 km[1]. Les communes limitrophes de Lamothe-Montravel et Saint-Seurin-de-Prats sont situées sur la rive droite (nord) de la Dordogne et nécessitent, pour les rejoindre, le franchissement du pont de Pessac.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 823 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Lèves-et-Thoumeyragues », sur la commune des Lèves-et-Thoumeyragues, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 827,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

Milieux naturels et biodiversité

La Dordogne entre Saint-Seurin-de-Prats au premier plan et Juillac en rive opposée.

Natura 2000

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Juillac[16],[17]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].

ZNIEFF

Juillac fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19],[20], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[21].

Urbanisme

Typologie

Juillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (65,4 %), forêts (15,1 %), prairies (11,1 %), eaux continentales[Note 6] (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), terres arables (2,1 %)[27].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Le nom de la commune laisse penser que le village a été créé à l'époque gallo-romaine ; il est formé à partir de « Julius », peut-être en référence à Jules César[28], et le suffixe celtique « -acum ».

En gascon, le nom de la commune est Julhac.

Histoire

Une trace de voie romaine est encore visible sur le flanc ouest du coteau où se trouve le village, en direction de la villa gallo-romaine de Montcaret par le gué de Flaujagues. D'autres vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur le site de Juillac, mais l'histoire du village n'est connue qu'à partir du XVe siècle, lorsque la paroisse est érigée en doyenné dépendant de la juridiction de Gensac.

Sa population, aux trois quarts protestante, est impliquée dans les guerres de religion. En 1685, à la révocation de l’édit de Nantes, un temple est rasé sur le plateau de l’Audigay, ainsi que le cimetière attenant. Les fidèles se réunissent alors clandestinement au Désert de La Tourbeille et de La Petite Roque, peut-être dans un ancien amphithéâtre druidique où deux cents protestants auraient été massacrés en 1620. L'église est également en partie détruite au XVIe puis au XVIIIe siècle.

Au XVIIIe siècle, Juillac est qualifiée de « petite paroisse riche ». Cette prospérité s’explique probablement par le commerce fluvial, favorisée par l'accès de la commune à la rive de la Dordogne. Juillac est une commune très active où se trouvent notamment, au début du XXe siècle, un four à chaux, un moulin à vent, trois moulins à eau, une tuilerie ainsi que deux scieries.

Le bureau de poste et de tabac du village, son dernier commerce, a fermé au début des années 1970.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1802 1815 Jean-Pierre Taupier Létage    
         
1870 ? Bernard Roudier Républicain Conseiller général (1871-1877)
Député (1874-1885)
         
1995 mai 2020 Alphonse Zecchini UMP-LR Retraité
mai 2020 En cours Bernard Lamouroux    

Démographie

Les habitants sont appelés les Juillacais[29]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 220 habitants[Note 7], en diminution de 15,06 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
547188483445356451417420414
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
426407413413380339322334352
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
392393378340322362319323305
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
276262201218200205249262257
2018 2021 - - - - - - -
231220-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église Saint-Jean

L'église paroissiale Saint-Jean, construite en style roman au XIVe siècle, est dévastée durant les guerres de religion et reste sans nef. Elle est rebâtie en 1733, et détruite à nouveau en 1759. L'église est remise en état au XXe siècle puis restaurée en 2008[34].

La porte aujourd'hui murée de sa chapelle latérale a servi d'entrée, lorsque la nef était détruite. Un cimetière la jouxte. Un ancien cimetière protestant se trouve au sud de la commune.

Modèle:Message galerie

Abri Vidon

L'abri préhistorique sous roche « Vidon » se trouve dans la falaise au sud du village. On y a trouvé des restes de rennes, chevaux et bisons, des outils en pierre et en os et une sépulture néolithique[35]. Il est classé monument historique depuis 1940[36].

Mairie et école

Cet ensemble architectural a été construit en une fois en 1904. Il abrite une plaque rendant hommage aux morts de la commune durant les guerres du XXe siècle.

Maisons et demeures

  • Le Soulat, château privé construit au XVIIe siècle sur le site d'un ancien monastère dont il ne reste qu'une chapelle du XIVe siècle, conserve des traces de fortifications datant des guerres de religion.
  • La demeure de la Tourbeille, construite au début du XVIIe siècle, est entourée d'une importante enceinte percée d'une large porte.
  • Une villa dans le village, construite au début du XXe siècle, exprime une recherche architecturale marquée par l'Art nouveau[37].

Chemins touristiques

  • Sur la commune passe le chemin piétonnier dit de Pierre Loti, qui relie des lieux qui auraient été fréquentés par l'écrivain, dont la belle-famille avait une propriété à Juillac.
  • Route touristique menant par Pessac-sur-Dordogne à la table d’orientation du belvédère, site unique en Gironde qui surplombe de 67 mètres la vallée de la Dordogne avec un angle de vue à 180°.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Distances orthodromiques fournies par Lion1906.com, consulté le 2 juillet 2015.
  2. Juillac sur Géoportail, consulté le 2 juillet 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  9. « Station Météo-France Les Lèves-et-Thoumeyragues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Juillac et Les Lèves-et-Thoumeyragues », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Les Lèves-et-Thoumeyragues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Juillac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  17. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  18. Espèces, INPN, consulté le .
  19. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  20. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  21. Espèces, INPN, consulté le .
  22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  28. a et b Site « Visites en Aquitaine », page « Juillac », consulté le 31 mars 2014.
  29. Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 2 juillet 2015.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Site « Visite en Aquitaine », page « Église Saint-Jean ».
  35. Site « Visite Aquitaine », page « Abri Vidon ».
  36. « Notice MH de l'abri du Vidon », notice no PA00083576, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Sur le site « Visites Aquitaine », la page de la villa, celle d'une décoration et de ses conduits de cheminée.