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Gelée stellaire

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La gelée stellaire (également appelée astromyxine, gelée des étoiles ou gelée astrale) est une substance gélatineuse présente dans les folklores occidentaux. Elle est censée se trouver sur de l'herbe ou même sur les branches des arbres[1] à la suite de pluies de météores.

La gelée stellaire est décrite comme une gelée translucide ou blanc-grisâtre qui a tendance à s'évaporer peu de temps après être "tombée". Des explications variées de ce que pourrait être cette matière ont été données : restes de grenouilles, crapauds, ou vers, sous-produits de cyanobactéries, et même diverses explications paranormales[2],[3],[4],[5]. Les témoignages de l'existence de cette substance datent du XIVe siècle pour les plus anciens et ont continué d'être rapportés jusqu'à nos jours[5],[6].

Il y a eu des témoignages de "gelée stellaire" pendant des siècles[7]. Jean de Gaddesden (1280-1361)[8], par exemple, mentionne la stella terrae (latin pour "étoiles de la terre" ou "terre-étoile") dans ses écrits médicaux, la décrivant comme "une certaine substance mucilagineuse étendue sur la terre" et suggère qu'elle pourrait être utilisée pour traiter les abcès[6]. Un glossaire médical du XIVe siècle (en latin) a une entrée pour uligo, avec pour description "une certaine substance graisseuse sortant de terre, qui est communément appelé "étoile tombée du ciel"[9]. De façon similaire, l'Oxford English Dictionary, un dictionnaire anglais-latin datant de 1440 environ, a une entrée pour "sterre slyme" avec pour équivalent latin donné assub (un terme issu de l'arabe ash-shuhub utilisé dans le latin médiéval pour désigner l'aspect "tombant" ou "filant" d'une étoile)[10]. Il liste un grand nombre d'autres noms pour cette substance : résidu d'étoile, gelée d'étoile, jet d'étoile, limon d'étoile, vase d'étoile[11]...

Le myxomycète Enteridium lycoperdon est appelé "caca de luna" (excrément lunaire) par les locaux dans l'état de Veracruz au Mexique[12].

Un long article dans le magazine paranormal Fate (magazine) a déclaré la gelée stellaire être d'origine extraterrestre, la qualifiant de "matière organique cellulaire" qui existerait en tant que "nuages moléculaires préstellaires" flottant dans l'espace.[citation nécessaire]

Dans le livre The Book of British Amphibians and Reptiles (page 138), l'auteur M. Smith affirme que la gelée stellaire est probablement formée à partir des glandes dans les oviductes de grenouilles et de crapauds. Les oiseaux et les mammifères mangent en effet l'animal mais pas ses oviductes qui, en entrant en contact avec de l'humidité de l'environnement après avoir été régurgités, enflent et se désagrègent, se changeant en des amas de substance gélatineuse parfois aussi désignée sous le nom de gelée de loutre.

En 1910, T. Mckenny Hughes publia dans Nature ses interrogations sur la raison pour laquelle les météores ont été associés à la gelée stellaire par les poètes et les écrivains anciens, et a observé que la gelée semble "pousser hors du sol parmi les racines de l'herbe"[2].

Témoignages

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  • D'après le Scientific American, le , un objet lumineux d'une taille estimée d'1,2 mètre de diamètre est tombé à Lowville dans l'État de New York, laissant derrière lui un amas de gelée luminescente nauséabonde qui a disparu rapidement[13]
  • En 1950, quatre policiers de Philadelphie en Pennsylvanie ont rapporté la découverte d'un "disque arrondi de gelée frémissante, de 6 pieds de diamètre, au centre d'un pied d'épaisseur et vers les bords d'un ou deux pouces." Lorsqu'ils ont tenté de s'en saisir, l'amas s'est d'après eux dissout en une "mousse collante et sans odeur"[14],[15],[16]. Cet incident a inspiré le film de 1958 Danger planétaire, dont le titre original est The Blob[17].
  • Le , 1979, une habitante de Frisco (Texas) du nom de Sybil Christian a rapporté la découverte de plusieurs amas de gelée violette sur ses plates-bandes après la pluie de météores des Perséides. Une investigation par des journalistes et un assistant directeur du Fort Worth Museum of Science and History a découvert une station de recyclage des batteries en dehors de la ville où de l'hydroxyde de sodium était utilisé pour nettoyer les impuretés du plomb dans les batteries, produisant dans le procédé un résidu violet. Ce rapport a cependant été accueilli avec scepticisme, car les résidus en question produits par la station de recyclage étaient solides, tandis que les amas dans le jardin de Sybil Christian étaient gélatineux. Il a toutefois aussi été noté que Sybil Christian avait tenté de les retirer de son jardin en le nettoyant avec un tuyau d'arrosage[18].
  • En , une gélatine huileuse grisâtre serait tombée sur North Reading (Massachusetts). Thomas Grinley a rapporté l'avoir trouvée dans son jardin, sur le bord de la rue, et coulant des pompes d'une station-service[4].
  • À plusieurs occasions en 1994, une "pluie gélatineuse" serait tombée sur Oakville (Washington). L'histoire a été le sujet principal d'un épisode de 1995 de la série Unsolved Mysteries[19]. Une vidéo de National Geographic intitulée "Mystery Goo Rain" avance une théorie du complot en utilisant une interview avec le microbiologiste Mike McDowell, qui affirme avoir effectué des tests sur la substance et suppose qu'il pourrait s'agir d'une "matrice" contenant des échantillons de Pseudomonas fluorescens et Enterobacter cloacae qui pourraient causer des maladies à ceux qui la touchent. Dans la vidéo, McDowell affirme que "les échantillons ont disparu" et que, lorsqu'il a demandé à ses supérieurs ce qui leur était arrivé, on lui a donné la réponse "ne pose pas de questions", le menant à croire que "cette substance a été fabriquée par quelqu'un dans un but précis" et que sa ville "avait été choisie comme un site de test"[20].
  • De la gelée stellaire aurait été trouvée sur diverses collines écossaises durant l'automne de 2009[5].
  • De la gelée stellaire aurait été trouvée sur les falaises des environs d'Ullswater dans le Lake District en [21].
  • Des scientifiques financés par la National Geographic Society en 2009 ont effectué des tests sur des échantillons trouvés aux États-unis, mais n'ont trouvé en lui aucune trace d'ADN[5].

Analyse scientifique et théories

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Thomas Pennant au XVIIIe siècle pensait que la gelée stellaire devait être "une chose vomie par les oiseaux ou les animaux"[4].

Cyanobactéries

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Nostoc, un type d'algue bleu-vert (cyanobactéries) vivante dans les eaux fraiches, forme des colonies sphériques faites de filaments de cellules dans une gaine gélatineuse. Quand sur le sol, il est d'habitude trop discret pour être vu ; mais après la pluie, il se gonfle et prend l'apparence bien visible d'une masse gélatineuse qui est parfois assimilée à la gelée stellaire[22].

Oeufs d'amphibiens

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Oviductes d'amphibiens régurgités par leurs prédateurs (l'objet noir dans le coin inférieur gauche est une grappe d'œufs).
Œufs d'amphibiens entourés de gélatine.

Dans certains cas il peut s'agir d'amas d’œufs gélatineux d'amphibien qui auraient été régurgités par leurs prédateurs. Les termes allemands Sternenrotz (morve stellaire) et Meteorgallerte (gelée de météore) sont connus pour désigner des amas d’œufs d'amphibien plus ou moins digérés puis régurgités par leurs prédateurs (Schlüpmann, 2007). Ces résidus sont assez faciles à identifier par leur odeur et se trouvent en hiver et au début du printemps près des sites de ponte des grenouilles. Dans l'épisode 3 de la saison 4 de la série Nature's Weirdest Events sur BBC (le ) Chris Packman a montré un spécimen de "gelée stellaire" et l'a envoyé au Museum d'histoire naturelle de Londres en vue d'une analyse ADN par le docteur David Bass qui a confirmé qu'il s'agissait de matière organique provenant d'une grenouille. Il a aussi trouvé dans la gelée des traces de pie qui pourraient indiquer le sort de la grenouille[23].

Plusieurs dépôts ont été découverts dans la réserve naturelle de Ham Wall en Angleterre en [24]. Il a été proposé qu'il s'agissait de grappes d’œufs non fertilisés de grenouille, mais - contrairement à quelques témoignages - la substance n'a pas encore été formellement identifiée[25].

Champignons

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Plasmode de Fuligo septica, un myxomycète.
Le myxomycète Reticularia lycoperdon dans sa phase d'aethalium

Les myxomycètes sont des causes possibles, car leur apparition est assez soudaine, présentant une apparence très gélatineuse au premier abord pour plus tard prendre une forme poussiéreuse qui est dispersée par la pluie et le vent. Leur gamme de couleurs va du blanc le plus pur comme chez Enteridium lycoperdon au rose comme chez Lycogala epidendrum, ainsi qu'au violet, au jaune, au orange et au marron chez d'autres espèces.

Substance artificielle

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Des boules bleues de gelée seraient tombées en pluie dans le jardin d'un homme de Dorset en [26],[27]. Après des analyses, il a été démontré qu'il s'agissait de granules de polyacrylate de sodium, une sorte de polymère superabsorbant ayant divers usages, dont des usages agricoles. Ils étaient probablement déjà présents sur le sol du jardin dans leur état déshydraté, et étaient restés inaperçus jusqu'à avoir absorbé l'eau de la pluie et avoir ainsi gagné en taille[28].

Dans la fiction

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  • Sir John Suckling, en 1641, a écrit un poème faisant référence à la gelée stellaire[2].
  • Henry More y fit également référence en 1656[2],[4].
  • John Dryden également, en 1679[29].
  • William Somervile également, en 1740 dans The Talisman[2].
  • Sir Walter Scott également dans son roman The Talisman[2].
  • Une substance non identifiable qui tombe à terre lors d'un événement de type météoritique est à la base de la nouvelle La Couleur Tombée du Ciel écrite en 1927 par l'auteur américain d'horreur et de science-fiction H. P. Lovecraft.
  • Dans le film de 1978 L'Invasion des profanateurs, les spores alien qui tombent sur Terre en pluie a formé des amas de gelée qui ont germé jusqu'à former des fleurs qui avaient pour fonction de répandre des germes.
  • Dans le livre The Isle of Blood par Rick Yancey, la gelée stellaire (dénommée "Pwdre Ser" dans le livre) est la salive d'un monstre appelé "Magnificum" et tombe sur Terre avec du sang et des restes humains, parfois tissés en une sorte de nid ou de bol appelé un "nidus". Quiconque entre contact avec la Pwdre Ser devient "infecté" et sa santé déclinera lentement jusqu'à ne plus être littéralement qu'un cadavre vivant.

Références

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  1. Samuel Griswold Goodrich, Tales about the sun, moon, and stars, (lire en ligne), p. 259

    « A gelatinous substance is occasionally found on the grass, and even sometimes on the branches of trees, the origin of which the modern learned do not ascribe either to stars or to meteors; but which they are divided as to regarding either as an animal or vegetable production. The botanists name it tremella nostoch and say that it is a fungous plant, quick of growth, and of short duration, but of which even the seed has been discovered ; but the animalists, though differing from each other in subordinate respects, agree in affirming it to be the altered remains of dead frogs. "The quantity of jelly," says one of these, "produced from one single frog, is almost beyond belief; even to five or six times its bulk when in a natural state;" that is, when the frog is in a living state... »

  2. a b c d e et f Thomas McKenny Hughes, « Pwdre Ser », Nature, vol. 83,‎ , p. 105–106 (DOI 10.1038/083492a0, lire en ligne, consulté le )
  3. « Natural History of the Toad », Philosophical magazine, vol. 64,‎ , p. 90 (DOI 10.1080/14786442408644561, lire en ligne, consulté le ) :

    « The substance known by the name of star-jelly or star-shot (Tremella Nostoc), found on marshy ground, is the decomposed bodies of toads or frogs, but more particularly the latter, the writer having frequently found the exuviae of the reptile connected with it, and he has also seen the lacerated body of a frog lying on the margin of a lake one day, and the next seen it converted into this substance, the atmosphere at the time being very humid and the weather wet, which appear to be necessary adjuncts to the formation of star-jelly. It may be objected that this substance is sometimes found in places inaccessible to frogs and toads, as the tops of thatched barns, hay-ricks. This is easily accounted for; these reptiles are the food of various birds of prey, and by them carried to those situations to be devoured at their leisure; and if scared in the act, the lacerated 'toad or frog is left behind, and if the state of the weather and air is favourable to this mode of decomposition, star-jelly is formed. If the weather is hot and dry, they are converted into a hard leathery substance. Frogs in particular are rarely decomposed by the usual process of animal putrefaction. »

  4. a b c et d (en) Mark Pilkington, « The blobs », The Guardian, London,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Since at least the early 18th century, the most common earthbound explanation for the mystery goo has been that it is something vomited up by birds or animals; the Welsh naturalist Thomas Pennant, writing later that century, considered this the answer. Currently popular is the idea that the grey gloop is frog spawn barfed up by amphibian-eating creatures, though no frogs' eggs have ever actually been identified within it, and most finds are a good deal larger than your average frog. A recent refinement of the concept is that if a frog is swallowed prior to ovulation, its regurgitated egg duct - which swells dramatically when wet... »

  5. a b c et d (en) Melanie Reid, « Nature 1, Science 0 as finest minds fail to explain star jelly », Times Online, London,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Alternative theories for the origins of “star jelly”, a strange mucous substance found on the Scottish hills in the autumn abound. Could it be the remnants of a meteor shower, regurgitated frogspawn, fungus - or, less romantically, the gel from disposable nappies? Is it evidence of extraterrestrial life, or perhaps the fallout from top-secret attempts by scientists to manipulate the weather?... »

  6. a et b "stella terre, que est quedam mucillago jacens super terram, prohibet apostemata calida in principio", from John of Gaddesden, "Rosa Medicinae" or "Rosa Anglica", Venice edition of 1502, folio 28.
  7. Fort, C. "The Book of the Damned" p. 41-50, 1919
  8. Gordon, p. 467
  9. "Uligo, i. grassities quedam que scatet a terra que vulgariter dicitur stella que cecidit", from Mowat, J. L. G. "Sinonoma Bartholomei", Oxford, 1882, p. 43
  10. The Promptorium Parvulorum: The First English-Latin Dictionary, Londres, Kegan Paul, Trench, Trübner & Company, coll. « Early English Text Society » (OCLC 2642049), p. 435
  11. See the Oxford English Dictionary, under the words nostoc, star, and star-shot.
  12. Ángel M. Nieves-Rivera, « About the So-Called ‘UFO Rings’ and Fungi », Sociedad de Escépticos de P.R. (consulté le )
  13. Scientific American 2:79, November 28, 1846, see (en) « Star Jelly », Subversiveelement,
  14. (en) « Star Jelly », Subversiveelement,
  15. Frank Edwards, Strange World, , 408 p. (ISBN 0-8065-0978-3, lire en ligne), p. 344
  16. The site was located (near 26th Street and Vare Avenue) within a half mile (800 m) of the Philadelphia Gas Works, leading to the possibility that it was some type of industrial discharge.
  17. (en) « UFO Round Up », The San Francisco Chronicle, (consulté le ) : « Gelatinous meteors, also known as the Pwdre Ser phenomenon, are rare but not unknown. On September 26, 1950, Patrolmen John Collins and Joseph Keenan saw one of these things land at the corner of Vare Boulevard and 26th Street in Philadelphia, Pennsylvania. The light-emitting blob was also observed by Sgt. Joseph Cook and Patrolman James Cooper and was seen oozing its way up a telephone pole. This incident became the basis for Steve McQueen's 1958 horror movie, "The Blob." »
  18. « Did Mrs. Sybil Christian of Frisco, Texas, find blobs from space on her lawn? », The Straight Dope (consulté le )
  19. « Troubled Times : Goo Globs », sur zetatalk.com (consulté le ).
  20. "Mystery Goo Rain".
  21. (en) Lucy Buckland, « The real-life Blob: Is mysterious translucent jelly found in Cumbrian Fells from outer space? », Daily Mail, London,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. Richard Marshall, Mysteries of the unexplained, , 320 p. (ISBN 978-0-89577-146-9, lire en ligne)

    « The two main contenders for the leading role in the star jelly mystery are Nostoc and plasmodium. Nostoc is one of the blue-green algae and grows in... »

  23. Épisode Nature's Weirdest Events, troisième épisode de la série iPlayer. Diffusé pour la première fois le 14 January 2015 sur le réseau BBC 1. Visionner l'épisode en ligne
  24. (en) « RSPB Ham Wall 'slime' baffles experts », BBC News,‎ (lire en ligne)
  25. (en) « BBC News - RSPB Ham Wall slime may be frog spawn, vet suggests », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. (en) Sara C Nelson, « Mystery Blue Balls Of Jelly Rain From Dorset Skies Into Steve Hornsby's Garden », The Huffington Post,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. (en) « Blue balls theories rage after Dorset storm mystery », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. (en) Steven Morris, « Blue balls mystery solved by scientists | Science », The Guardian, London,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. « § 5. His Historic Tragedies; "Bussy DAmbois; The Revenge". II. Chapman, Marston, Dekker. Vol. 6. The Drama to 1642, Part Two. The Cambridge History of English and American Literature: An Encyclopedia in Eighteen Volumes. 1907–21 », Bartleby.com (consulté le )

Bibliographie

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  • Belcher, Hilary et Erica Swale. "Catch a Falling Star". Folklore, Vol. 95, N ° 2 (1984): 210-220.
  • Charles Fort, The Book of the Damned (1919), 41-50.
  • Gordon, Benjamin Lee, Medieval and Renaissance medicine, Philosophical Library, 1959
  • Nieves-Rivera, Ange M. 2003. The Fellowship of the Rings - UFO rings versus fairy rings. Skeptical Inquirer. Vol. 27, n ° 6, 50-54.
  • Schlüpmann, Martin (2007): Laichballen auf Baumstümpfen, Baumstubben etc. Arbeitskreis Amphibien und Reptilien Nordrhein-Westfalen. Version de 2007-MAR-07. Extrait 2007-JUIL-13. Article en allemand ; contient une photo d'un spécimen un peu digéré.

Liens externes

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