Dogneville

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Dogneville
Dogneville
L'église Saint-Étienne de Dogneville.
Blason de Dogneville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Mireille Claude Pitet
2020-2026
Code postal 88000
Code commune 88136
Démographie
Gentilé Bianlout(e)s
Population
municipale
1 503 hab. (2021 en augmentation de 3,09 % par rapport à 2015)
Densité 132 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 24″ nord, 6° 27′ 32″ est
Altitude 310 m
Min. 308 m
Max. 390 m
Superficie 11,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Épinal
(banlieue)
Aire d'attraction Épinal
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Épinal-2
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dogneville
Géolocalisation sur la carte : France
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Dogneville
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Voir sur la carte topographique des Vosges
Dogneville
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Dogneville

Dogneville Écouter est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Bianlouts.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisation dans le département.


Dogneville est située à une dizaine de kilomètres d'Épinal. Profitant à la fois de son caractère rural et de la proximité du chef-lieu, Dogneville allie la tranquillité de la campagne aux avantages économiques, sociaux et culturels d'une ville dite "moyenne". Les forêts occupent près du quart du territoire de la commune.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Dogneville
Capavenir Vosges Dignonville
Chavelot Dogneville Longchamp
Golbey Épinal Jeuxey

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune de Dogneville se situe à 318 m d'altitude.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle, le ruisseau le Saint-Oger, le ruisseau de St-Adrien, le canal de l'Est (Branche d'Epinal) et le ruisseau de Neulson[1],[Carte 1].

La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[2].

Le ruisseau le Saint-Oger, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source dans la commune de La Baffe et se jette dans la Moselle à Thaon-les-Vosges, après avoir traversé sept communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Dogneville.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 10,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Statistiques 1991-2020 et records EPINAL (88) - alt : 317m, lat : 48°12'38"N, lon : 6°27'06"E
Records établis sur la période du 01-06-1986 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,9 −0,8 1,2 3,7 7,8 11,3 13,2 12,9 9,3 6,5 2,7 0,2 5,6
Température moyenne (°C) 2 2,9 6,2 9,5 13,5 17,1 19,1 18,9 14,8 10,8 5,9 3 10,3
Température maximale moyenne (°C) 4,9 6,6 11,1 15,3 19,2 22,9 25,1 24,9 20,3 15,2 9,2 5,7 15
Record de froid (°C)
date du record
−18,9
12.01.1987
−17,1
07.02.1991
−17,8
01.03.05
−7,5
08.04.03
−1,6
01.05.1989
0,9
03.06.06
4,4
31.07.15
2,6
30.08.1998
−0,6
29.09.1987
−6,7
30.10.1997
−13,6
23.11.1998
−18,8
24.12.01
−18,9
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
17,4
05.01.1999
20,6
27.02.19
24,5
31.03.21
27,6
27.04.1993
31
25.05.09
36,8
18.06.22
39,3
25.07.19
38
09.08.03
32,8
15.09.20
27,9
08.10.23
23,1
08.11.15
17,8
16.12.1989
39,3
2019
Ensoleillement (h) 626 865 1 425 1 775 2 065 2 251 2 377 2 205 1 705 1 128 639 538 17 598
Précipitations (mm) 76,7 65 67,1 61,8 82,1 73,1 71,5 72,6 77,1 88,8 83,1 88,1 907
Source : « Fiche 88136001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,9
−0,9
76,7
 
 
 
6,6
−0,8
65
 
 
 
11,1
1,2
67,1
 
 
 
15,3
3,7
61,8
 
 
 
19,2
7,8
82,1
 
 
 
22,9
11,3
73,1
 
 
 
25,1
13,2
71,5
 
 
 
24,9
12,9
72,6
 
 
 
20,3
9,3
77,1
 
 
 
15,2
6,5
88,8
 
 
 
9,2
2,7
83,1
 
 
 
5,7
0,2
88,1
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Dogneville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Épinal, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[13] et 61 488 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (26,2 %), prairies (24,2 %), terres arables (18,2 %), zones urbanisées (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,3 %), cultures permanentes (3,8 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %), eaux continentales[Note 4] (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Dogneville est traversée par deux routes importantes : la D12 du sud au nord, et la N57 du sud-est au nord-ouest. La gare la plus proche se situe à Épinal. Il existe également l'Aérodrome d'Épinal - Dogneville au sud de la commune.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte postale ancienne de Dogneville

Arnould, parent de Clotaire II, et sa femme Dode, fille du comte de Boulogne, avaient autorité sur une partie de l'Austrasie. Arnould devint évêque de Metz ; ne pouvant le suivre, Dode administra seule la région et donna son nom à la commune. Le nom de Dogneville vient de la villa "Dodiniacavilla" d'Arnould[19]. Cette histoire tient cependant beaucoup de la légende, car c'est Pépin de Landen qui a été maire du palais et donc chargé de l'administration de l'Austrasie. Dode n'est pas la fille d'un comte de Boulogne et, quand son mari est devenu évêque, s'est retirée dans un monastère de Trèves. Peut-être que Doda possédait simplement une villa en ce lieu.

À ce sujet, voir Légende de Saint-Arnould.

Siège d’une ancienne mairie de la principauté épiscopale de Metz, Dogneville appartenait au bailliage d’Épinal. Son église faisait partie du diocèse de Saint-Dié, doyenné d’Épinal. La cure était à la collation du chapitre d’Épinal et au concours.

De 1790 à l’an IX, Dogneville était située dans le canton de Longchamp.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Dogneville fait partie de la communauté d'agglomération d'Épinal.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1997 mars 2001 Jean-Luc Cuny    
mars 2001 mai 2020 Régis Voiry    
mai 2020 En cours
(au 28/05/2022)
Mireille Claude-Pitet    

Jumelage[modifier | modifier le code]

La commune de Dogneville n'est jumelée avec aucune autre commune.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 1 503 habitants[Note 5], en augmentation de 3,09 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
505537533544638671690746779
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
7818101 048844909923908835845
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
986782785826846758813818889
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
1 0091 1011 3131 4641 5361 5301 4501 4531 484
2021 - - - - - - - -
1 503--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Gentilé[modifier | modifier le code]

Les habitants de Dogneville se nomment les Bianlouts ou Bianloups. Si cette appellation peut surprendre, l'origine de nom reste plutôt incertaine : il existe deux histoires différentes. La première est donnée par la Revue Populaire de Lorraine en avril 1978 : « À une époque déjà ancienne, les garçons des villages voisins venaient fréquemment voir les filles de Dogneville. Naturellement cela ne plaisait pas trop aux jeunes de cette dernière commune. Aussi décidèrent-ils d’agir pour y mettre un holà. Avertis de l’arrivée imminente d’une bande de garçons d’un autre village, ils allèrent à leur rencontre et se cachèrent dans la forêt à proximité du chemin que leurs concurrents devaient emprunter. Les chemises blanches promptement enlevées et mises sur leur têtes devaient suffire à les effrayer. C’est ce qui se produisit effectivement. En apercevant “les montres” les autres se mirent à crier en chœur : “Sauvons-nous, sauvons-nous ! Voici des bians loups”. Et le surnom serait resté[24]. » La seconde tradition est donnée dans le bulletin municipale de la commune en 1980[25] ; on y apprend qu'une jeune enfant aurait aperçu un "bian loup" dans une nuit d'hiver de 1860 et serait pressée pour le raconter à tout le village.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Il existe une école maternelle et une école élémentaire à Dogneville[26],[27].

Santé[modifier | modifier le code]

L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier Émile-Durkheim situé dans la ville voisine d'Épinal.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vue historique de l'entrée du champ d'aviation.
  • Église Saint-Étienne datant du XIXe siècle réhabilitée au XXe siècle et inscrite en totalité au titre des monuments historiques par arrêté du [28].
  • Petit terrain d'aviation doté d'une piste de 700 mètres en herbe (voir Aéro-club Vosgien).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • M. Gouvenot, curé de Dogneville, échevin, suppléant de l'évêque comte de Toul, M. Champorçain, au collège royal d'Épinal[29].
  • Antonio Garcia, l’ermite de Dogneville, aura vécu pendant 9 ans dans une maison du Fort de Dogneville avant de s’éteindre sans avoir livré son mystère…[30]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Dogneville Blason
Parti: au 1er coupé au I d'azur à la mitre avec ses fanons déployés d'or chargée d'une croix d'argent ornée de sept pierres de gueules accompagnée des inscriptions « ARNOU » en chef et « DODA » en pointe en lettres capitales d'or, au II de sinople à l'avion montant d'argent; au 2e mi-parti de gueules à la tour d'argent ajourée et maçonnée de sable, accostée de deux fleurs de lis d'or.
Détails
Arnould, qui devint évêque, et Dode sont les administrateurs du lieu à la fondation de la ville. L’avion rappelle l'aérodrome. La tour et la fleur de lys proviennent des armoiries d'Épinal.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Dogneville » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche communale de Dogneville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Sandre, « la Moselle »
  3. Sandre, « le ruisseau le Saint-Oger »
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Épinal » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Épinal » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Épinal », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Épinal », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. textuellement villa Dodiniamaca qua contigua Vosago est, in Vita S. Arnulfi. Éd. des Mon. Germ. Script. rer.merov. II. p.438, cité par Georges Poull, Les Dames Chanoinesses d'Épinal, p.9. Gérard Louis éditeur. F.54740 Haroué. (ISBN 2-914 554-59-1).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Revue Lorraine populaire, n°21, avril 1978
  25. Bulletin municipal de Dogneville, « Les Bianlouts » [PDF], sur dogneville.fr (consulté le ).
  26. « École primaire de Dogneville »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur L'Annuaire de l'éducation (consulté le ).
  27. « Ecole Primaire Publique de Dogneville Vie de l'établissement », sur bianlout.toutemonecole.fr (consulté le ).
  28. « Église Saint-Etienne », notice no PA88000051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Annales de la Société d'émulation du département des Vosges.
  30. « Les incroyables histoires des Vosges. L’ermite de Dogneville qui intriguait jusqu’en Espagne est mort avec son mystère », sur vosgesmatin.fr (consulté le ).