Chissey-lès-Mâcon

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Chissey-lès-Mâcon
Chissey-lès-Mâcon
Le clocher de l'église.
Blason de Chissey-lès-Mâcon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes du Clunisois
Maire
Mandat
Sylvain Chopin
2020-2026
Code postal 71460
Code commune 71130
Démographie
Gentilé Chissayons
Population
municipale
227 hab. (2021 en diminution de 5,02 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 31′ 34″ nord, 4° 44′ 33″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 551 m
Superficie 15,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cluny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chissey-lès-Mâcon
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Chissey-lès-Mâcon
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Chissey-lès-Mâcon

Chissey-lès-Mâcon est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Sur le territoire de la commune, qui appartient au Tournugeois, à la lisière du Haut-Mâconnais et du Clunisois, est partiellement implantée une forêt domaniale : la forêt des Grisons (contenance totale : 557,23 ha), mêlant feuillus et conifères[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Villages, hameaux, lieux-dits, écarts[modifier | modifier le code]

Parmi les hameaux et lieux-dits dépendant de Chissey-lès-Mâcon figurent :

  • Lys ;
  • Culey ;
  • Chazeux ;
  • Prayes ;
  • Nazilly ;
  • Cours-des-Bois (autrefois la Cour-Desbois, hameau dépendant dans sa quasi-totalité de la commune voisine de Bray, l'appellation venant à la base de deux familles qui habitaient ce lieu : les Lacour d'un côté de la rue, les Desbois de l'autre côté) ;
  • Moulin-aux-Grues ou Moulin Augrue (selon les diverses sources de cartographies).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 932 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,6 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chissey-lès-Mâcon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,3 %), prairies (37,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), cultures permanentes (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Chissey-lès-Mâcon est citée dans les archives de Cluny dès 926 sous différents noms : Ciciacum, Chissiaco, Chisiaco ou encore Chesiacensi.

Prayes : Pradilis, Culey : Cuuliacensis, Lys : Li, Chazeux : Casoto

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

« Dans le Clunisois, Chissey-lès-Mâcon est presque entièrement bâti sur des fondations gallo-romaines »[15].

En 1933, la commune fait exécuter des travaux qui ont amené la découverte d'importants vestiges gallo-romains. Il s'agit des fondations d'une villa romaine possédant un chauffage central à air chaud, des colonnades, des pavages et des revêtements de marbre de Carare. Plusieurs pièces semblaient avoir été revêtues de stucs supportant des peintures à fresques dont l'une de couleur rouge[16].

  • « Les travaux ont également permis la découverte d'un grand nombre de canalisations paraissant appartenir à l'installation d'hypocauste (chauffage central), ainsi que de poteries rouges et grises, de tuiles (tegula et imbrices), de débris d'amphores à vin, de cornes de cerf, etc. Une colonne de vingt-huit centimètres de diamètre, élevée sur une vaste base en pierre de taille blanche, a également été découverte. Tous ces objets seront déposés à la mairie de Chissey-lès-Mâcon »[16].
  • « Ces découvertes rappellent celles qu'a faites, dans les mêmes parages vers 1843, M. Teillard, alors maire de Chissey, et vers 1865, lors de la construction du chemin d'intérêt commun de Prayes à Cormatin. Elles consistent dans les fondations d'une importante villa romaine des premiers siècles de notre ère qui possédait le chauffage central à air chaud (système à tubulus), des colonnades, des pavages et des revêtements de marbre blanc »[17].

En 1937, c'est une voie romaine qui est découverte à Chissey-lès-Mâcon : « Elle a été repérée sur un kilomètre et demi. Elle est composée de pierres, posées en hérisson, ayant 20 à 25 centimètres de profondeur. Encadrée par deux bordures de pierres plus volumineuses, 30 à 35 centimètres, la chaussée de pierre mesure 4 mètres de largeur. Elle est en parfait état de conservation »[18].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Chissey-lès-Mâcon, hameau de Lys.

Le finage de Lys était autrefois une seigneurie dont la maison forte fut possédée par le chancelier Nicolas Rolin.

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Au lieu-dit Acier dit aussi « l'Hôpital d'Acier » entre Chazelle et Lys, une ancienne annexe de la commanderie hospitalière de Mâcon au sein du grand prieuré d'Auvergne[19],[20]. Les hospitaliers s'en séparèrent en 1725 au profit de la seigneurie du Lys[21].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

1793 : Lys, hameau de Chissey-lès-Mâcon, à l'instar de plusieurs autres hameaux de Saône-et-Loire, change de nom et devient Trois-Fontaines[22].

En 1825, la commune a absorbé les communes voisines de Lys et de Praye[23] ; la première a porté provisoirement, sous la Révolution française, le nom de Trois-Fontaines[24].

En 1925[25], afin de dégager un carrefour, a été démolie l'église du hameau de Prayes (jadis paroisse Notre-Dame de Prayes), dans laquelle subsistaient quantité d'éléments de l'époque carolingienne. L'édifice, datant du IXe siècle (maçonnerie montée en opus spicatum), était à chevet plat et sa nef n'était pas voûtée. On y accédait par une porte qui datait du XVIe siècle[26].

Le 29 juillet 1941, le conseil municipal - comme des centaines d'autres en France - est dissous par le ministre de l'Intérieur, Pierre Pucheu. Le motif est toujours le même : «hostilité à l'œuvre de rénovation nationale». Une «délégation spéciale» est mise en place, composée de : Raymond Boisseau (président), Michel Vermos, Michel Vallet et Élie Larret[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Maires de la commune[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
env. 1794   Antoine Nicolet    
  1840 Eugène Teilliard    
1840 1843 Jean Bernard    
1843 1846 Vincent Bourgeon    
1846 1876 Eugène Teillard    
1876 1881 Jean Longin    
1881 1925 Vincent Meunier    
1926 1927 François Pierre Diot    
1928 1941 Etienne Boisseau    
1941 1944 Pierre Raymond Boisseau   Président de la Délégation Spéciale
1944 1944 Ernest Auberget    
1945 1965 Victor Legros    
1965 1972 Antoine Meunier    
1972 1980 Jacques Chanay    
1980 1993 Jean Voituret    
1993 mars 2008 Gérard Mayeux    
mars 2008 en cours Sylvain Chopin    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 227 habitants[Note 4], en diminution de 5,02 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3053163783541 0821 1411 0561 1161 032
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 007911871837774764695626580
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
555528480444403360351321316
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
288284246250222226232236251
2014 2019 2021 - - - - - -
239229227------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Vignoble[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Chissey.
  • La commune présente une particularité remarquable : celle de disposer de deux églises (trois à l'origine dont celle de Prayes, détruite au XIXe siècle) :
  • La maison forte à Lys.
  • Le château de la Bruyère à Prayes (propriété privée)
  • Le château du Bon Vouloir au bourg (propriété privée)
  • Le château de Culey (propriété privée)
  • Les lavoirs de Culey, Nécole au Moulin-aux-Grues, Prayes, le bourg, Lys et Chazeux (faisant partie de la route des lavoirs du clunisois)

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Henri Guillemin en 1980.
  • Henri Guillemin (1903-1992), critique littéraire et historien né à Mâcon, qui a résidé chaque été jusqu'à sa mort dans une maison (dénommée Le Terrier) du hameau de la Cour-des-Bois (hameau majoritairement implanté sur le territoire de la commune de Bray mais dont quelques maisons – dont Le Terrier – dépendent de Chissey-lès-Mâcon)[33] ;
  • Claude Lebois.

Tournages[modifier | modifier le code]

La commune a fait l'objet du tournage du film Le Parisien du village sorti en 2000, permettant pour l'occasion de recréer temporairement le café épicerie du bourg du village.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Chissey-lès-Mâcon Blason
De gueules au cerf de sable bondissant à dextre au cor d'or enguiché du même à senestre du chef, le pavillon vers la pointe ; au chevron d'or brochant sur le cerf ; le tout enfermé dans une bordure réduite du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Source : « Les forêts domaniales », article rédigé en collaboration avec la direction départementale de l'Office national des forêts et paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 31 (novembre 1976), pp. 7-10.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Chissey-lès-Mâcon et Jalogny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Raymond Lantier, «Recherches archéologiques en Gaule en 1952 (suite)», Gallia, tome 12, fascicule 2, 1954, p. 543.
  16. a et b Le Temps, 15 août 1933.
  17. Le Populaire, 21 août 1933.
  18. Le Journal, 31 décembre 1937.
  19. Jeanton 1924-1925, p. 358-360.
  20. Léon Laroche, « La commanderie de Mâcon au temps des chevaliers de Malte », Annales de l'académie de Mâcon, 3e série, t. XLVI,‎ 1962-1963, p. 18, lire en ligne sur Gallica.
  21. Jeanton 1924-1925, p. 359.
  22. E. Lauxeur, Les changements de noms des communes de Saône-et-Loire pendant la Révolution, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 4 d'avril 1970, pages 9 à 13.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chissey-lès-Mâcon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lys », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  25. Décision du conseil municipal du 30 juillet 1920, Société des Amis des Arts et des Sciences de Tournus, 1982, Centre international d'Etudes Romanes, SAAST, , 116 p., p. 8
  26. Démolition intervenue alors que la protection de cette église au titre des Monuments historiques était en cours d'instruction. « De quelques églises disparues » par Michel Bouillot, revue Images de Saône-et-Loire n° 89 (printemps 1992), p. 9 à 19.
  27. Journal officiel de la République française. Lois et décrets, 31 juillet 1941, p. 3204.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Les chapiteaux de Chissey-lès-Mâcon », article de Colette Chanay paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 51 (automne 1982), page 3 à 6.
  33. Frédéric Lafarge, Dans le petit cimetière de Bray repose un grand de l'Histoire de France, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 198 de juin 2019, pages 2 à 4.