Aubres

Aubres
Aubres
Ancien lavoir d'Aubres.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Éric Richard
2020-2026
Code postal 26110
Code commune 26016
Démographie
Gentilé Aubrois, Aubroises
Population
municipale
421 hab. (2021 en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 39″ nord, 5° 10′ 07″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 1 217 m
Superficie 20,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nyons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Aubres
Liens
Site web https://www.ladrometourisme.com/fiches/aubres/

Aubres est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

L'Aubres est aussi le nom d'un ruisseau qui passe sur la commune d'Aubres. C'est un affluent de l'Eygues.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Ancien panneau de distance.

Aubres est situé à quatre kilomètres de Nyons et à vingt-deux kilomètres de Vaison-la-Romaine.

Relief et géologie[edit | edit source]

Sites particuliers[1] :

  • Belly (373 m)
  • Bordette (406 m)
  • Col d'Aubenas
  • Col d'Aubres
  • Col de Chicogne
  • Col des Vaux
  • Col de Venterol
  • Col Flachet
  • Côte Eysséache
  • Cougoir (1214 m)
  • Galfe (558 m)
  • Montagne d'Essaillon
  • Montagne la Croix
  • Pas la Baisse (724 m)
  • Pendaye (448 m)
  • Serre Nestier

Géologie[edit | edit source]

Hydrographie[edit | edit source]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Bordette (source dans la commune de Châteauneuf-de-Bordette) passe sur la commune et se jette dans l'Eygues. Un quartier de la commune porte le nom de « Bordette »[2].
le ruisseau de Bordette (fiche SANDRE V5330600), long de 7 km[3] ;
  • l'Eygues ;
  • ravin de Cougoir ;
  • ravin de Courigne ;
  • ravin de Jarrige (fiche SANDRE n°V5331380)[4] ;
  • ravin de la Combe du Ranc ;
  • ravin de la Serrie ;
  • ravin de Suffie ;
  • ravin des Vaux ;
  • ruisseau Aubres, affluent de l'Eygues, passe sur la commune : cours de 3,3 km. En 1891, il avait une largeur moyenne de 15 m, une pente de 56 m, un débit ordinaire de 0.70 m3, extraordinaire de 8 m3[5] ;
ruisseau de l'Essaillon.

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 922 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nyons P182 »sur la commune de Nyons à 3 km à vol d'oiseau[8], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 756,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Aubres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Nyons dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[edit | edit source]

Le village actuel se situe au sud de la commune, sur les bords de l'Eygues, mais il est surplombé par l'ancien village, sur les hauteurs de la vallée du ravin de Jarrige.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[edit | edit source]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Chabaret
  • Chambrichard
  • Charbonnière
  • Courigne
  • Ferme de la Lauze
  • Fontmiale
  • Jarrige
  • la Begude
  • la Combe
  • la Combe du Sourd
  • la Font d'Andaon
  • la Grande Lauzière
  • la Grande Veyronne
  • l'Ancoucou
  • la Petite Lauzière
  • la Petite Veyronne
  • la Rochette
  • la Souchave
  • l'Auche
  • la Veyronne
  • le Béal
  • le Devès
  • le Flachet
  • le Planas
  • les Blaches
  • les Coins
  • les Faviers
  • les Pennes
  • l'Espinasse
  • les Prés
  • les Testes
  • le Vialard
  • l'Extiallon
  • Mauperrier
  • Pan Perdu
  • Vaux
  • Vieux Village
  • Vorge

Logement[edit | edit source]

Projets d'aménagement[edit | edit source]

Voies de communication et transports[edit | edit source]

La commune est desservie par les routes départementales D 94 et D 757[1].

Risques naturels et technologiques[edit | edit source]

Risques sismiques[edit | edit source]

Autres risques[edit | edit source]

Toponymie[edit | edit source]

Attestations[edit | edit source]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[5] :

  • 1218 : de Arbris (cartulaire des Templiers, 127) / (étudié par Ernest Nègre[18]).
  • 1235 : castrum de Arboribus (inventaire des Dauphins, 233).
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prior de Arboribus (Pouillé de Die).
  • 1509 : mention du prieuré : ecclesia Beati Andree de Arboribus (visites épiscopales).
  • 1516 : mention de la paroisse : cura de Arboribus (visites épiscopales).
  • 1576 : Ambres (rôle de décimes).
  • 1891 : Aubres, commune du canton de Nyons.

Étymologie[edit | edit source]

Aubres « est un vocable romano-provençal avec la phonie aoubré (arbres) »[19], issu du nord-occitan aubres (arbres), du latin arbores[20].

Histoire[edit | edit source]

Du Moyen Âge à la Révolution[edit | edit source]

Le vieux village d'Aubres, sur les hauteurs du ravin de Jarrige, date de l'époque médiévale. Son abandon progressif est récent dans l'Histoire de la commune, au début du XXe siècle[21].

La seigneurie[5] :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) est un fief des barons de Montauban.
  • 1304 : il appartient aux Caderousse.
  • Il est confisqué par les dauphins.
  • 1328 : il est donné aux Constant de Alba.
  • 1349 : il passe (par alliance) aux Rémuzat.
  • 1370 : il est cédé aux Morges.
  • 1483 : les Thollon de Sainte-Jalle.
  • 1570 : les Girard (par achat).
  • 1613 : les Brancas (par héritage).
  • Les Grillet de Brissac.
  • 1736 : les Tonduti de Blauvac (par héritage), derniers seigneurs.

1644 (démographie) : 55 familles catholiques et 25 protestantes[5].

Avant 1790, Aubres était une communauté qui, moitié en Dauphiné et moitié dans le Comtal-Venaissin, dépendait pour sa partie dauphinoise de l'élection de Montélimar, subdélégation et bailliage du Buis, et formait une paroisse du diocèse de Die. L'église, qui était premièrement sous le vocable de Sain-Pierre, ayant été ruinée, sera remplacée fin XVe siècle par l'église Saint-André qui était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Ruf, réunie à la cure en 1644[5].

Bordette[edit | edit source]

Quartier de la commune[22] :

  • 1414 : ad Bordetam (archives de la Drôme, E 3030).
  • 1718 : Bourdette (archives de la Drôme, E 3030).
  • 1891 : Bordette, quartier de la commune d'Aubres (cf. supra : hydrographie).

De la Révolution à nos jours[edit | edit source]

En 1790, la commune d'Aubres fut comprise dans le canton de Mirabel et, en 1793, dans le canton de Condorcet. La réorganisation de l'an VIII la fait entrer dans le canton de Nyons[5].

En 1836, une petite météorite est tombée sur Aubres. Elle qui a pris le nom, comme le veut l'usage, de « météorite d'Aubres », ou simplement « Aubres ». Premier élément d'une nouvelle classe de météorites, elle lui a donné son nom : les aubrites[réf. nécessaire].

Politique et administration[edit | edit source]

Tendance politique et résultats[edit | edit source]

Administration municipale[edit | edit source]

Mairie d'Aubres.

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 Camille Barrière    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Lionel Steenhaut DVG vice-président de la communauté de communes du Val d'Eygues
2008 2014 Éric Richard DVG  
2014 2020 Éric Richard   maire sortant
2020 En cours Éric Richard[23][source insuffisante] DVG maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[edit | edit source]

Avant mars 2015, la commune faisait partie du Canton de Nyons.

Politique environnementale[edit | edit source]

Finances locales[edit | edit source]

Jumelages[edit | edit source]

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 421 habitants[Note 3], en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
320329374337347342325348355
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
366396334296289277260259261
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
250241249202199154155140142
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
153162207249283349406423415
2021 - - - - - - - -
421--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[edit | edit source]

Enseignement[edit | edit source]

Aubres dépend de l'académie de Grenoble. Les élèves commencent leurs études dans la commune, avec 20 enfants en classes de maternelle et 37 enfants en classes de primaire[28]. Les collèges et lycées les plus proches se situent à Nyons.

Santé[edit | edit source]

Il n'y a aucun professionnel de santé sur la commune. Les médecins et hôpitaux les plus proches se trouve à Nyons.

Manifestations culturelles et festivités[edit | edit source]

  • Fête : le deuxième dimanche de juin[29].

Loisirs[edit | edit source]

Sports[edit | edit source]

Médias[edit | edit source]

Cultes[edit | edit source]

Église d'Aubres.

La paroisse catholique d'Aubres dépend du diocèse de Valence, doyenné de Nyons[30].

Économie[edit | edit source]

Oliveraie à Aubres.

Agriculture[edit | edit source]

L'économie de la commune a longtemps été liée à l'agriculture : élevages ovin et caprin, cultures de céréales, oliveraies et élevage de vers à soie.

Malgré le gel de 1956, qui a détruit une grande partie des oliviers du sud de la France, l'activité s'est développée à Aubres, qui fait partie de la zone d'appellation de l'huile d'olive de Nyons[31]. La commune fait également partie de la zone de production de vin des coteaux-des-baronnies.

En 1992 : carrière, pâturages (ovins, caprins), lavande, vergers, oliviers (moulin à huile), vignes[29].

La commune possède une carrière[29].

Tourisme[edit | edit source]

  • Site du vieux bourg sur la vallée de l'Eygues[29].

Revenus de la population et fiscalité[edit | edit source]

Emploi[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

  • Vieux village perché[29].
  • Château ruiné (restauration partielle)[29].
  • Église Saint-André d'Aubres du XIVe siècle[29].
  • Chapelle de Pénitents[29].
  • Chapelle du Calvaire[29].

Patrimoine culturel[edit | edit source]

Patrimoine naturel[edit | edit source]

  • Grotte de l'Enfarnet[29].

Une partie de la commune fait partie du Parc naturel régional des Baronnies provençales[1].

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique, logotype et devise[edit | edit source]

Aubres possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes et cartes[edit | edit source]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. a b c d et e https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 43 (ruisseau).
  3. Le ruisseau de Bordette sur le site du SANDRE.
  4. le ravin de Jarrige sur le site du SANDRE.
  5. a b c d e et f J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 12.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Aubres et Nyons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nyons P182 », sur la commune de Nyons - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nyons P182 », sur la commune de Nyons - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, page 1203, (ISBN 2600001336).
  19. Toponymie de la Drôme in Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Revue drômoise, janvier 1910, page 203, (id). Lire sur Gallica.
  20. Pierre Palengat, La Drôme insolite: d'Aix-en-Diois à Volvent : les 370 communes du département, pages 30-31.
  21. Histoire du village médiéval.
  22. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 43 (quartier d'Aubres).
  23. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. école à Aubres.
  29. a b c d e f g h i j k l et m Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 978-2-7399-5026-9), Aubres.
  30. paroisse d'Aubres.
  31. Histoire de l'économie de la commune.