Utilisateur:ManUsap/USAP

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
ManUsap Discussion Brouillon USAP





Brouillon sur l'Histoire de l'USAP

Les années trente et la Seconde Guerre mondiale - La première USAP[modifier | modifier le code]

L'équipe de l'USAP en 1938. Au centre, avec le ballon, Jep Desclaux .

Le 5 mai 1933, la fusion entre les deux clubs (USP et Quins) devient effective et le nouveau club prend le nom d'Union sportive arlequins perpignanais (USAP)[1]. Il a pour président le docteur Pierre Nicolau[1] (ancien président de l'USP) et son adjoint est Joseph Bazia[1] (ancien président des Quins).

Ardent fusioniste en 1909 (lors de la fusion entre l'ASP et le Perpignan sportif)[1] et en 1919 (pour celle entre l'ASP et le SOP)[1], Marcel Laborde est cette fois écarté de la nouvelle direction. Il décide de recréer l'Association sportive perpignanaise (ASP) en juin 1934[2]. Il est alors contacté par Jean Galia qui, venant d'être radié par la FFR pour non-respect des règles de l'amateurisme[3], s'est rapproché des Anglais de la Rugby Football League[4]. Ils vont créer, le 24 août 1934, un club de rugby à XIII : le XIII catalan[2]. Ce nouveau club recrute bon nombre de joueurs de l'USAP (Camille Montade, François Noguères ...)[5] ainsi que Roger Ramis pour devenir le premier entraineur des treizistes[2].

Lors de la saison 1934-1935, l'USAP remporte son premier titre en challenge Yves du Manoir (3-3 puis 6-0 face à l'Association sportive montferrandaise) mais, fatigué, s'incline en finale du championnat face au Biarritz olympique (3 à 0) après avoir éliminé le champion de France en titre, l'Aviron bayonnais, en quart de finale (19 à 8) et le Club sportif de Vienne en demi-finales (11 à 10).

La saison suivante (1935-1936), l'USAP continue de se structurer. En septembre 1935 est créée l'équipe junior Franz Reichel[6]. Les séniors s'inclinent en demi-finale du championnat de France 3 à 0 face au Racing club de Naronne (futur champion de France) et en finale du challenge du Manoir 9 à 3 face à l'Aviron bayonnais.

En 1936-1937, l'USAP suit le même parcours avec une défaite en demi-finale du championnat (3 à 0 face à l'AS monferrandaise) et une autre en finale du challenge (23 à 10 face au Biarritz olympique). De leur côté, les juniors Franz Reichel remportent leur premier titre[Note 1].

Lors de la saison 1937-1938, après deux demi-finales perdues, l'USAP, emmené par Jep Desclaux, s'impose en finale du championnat de France 11 à 6 contre le Biarritz olympique après avoir disposé du Lyon OU en quart de finale (19 à 3) et du Stade bordelais en demi-finale (8 à 3) tandis qu'il s'incline pour la troisième fois consécutive en finale du challenge Yves du Manoir face à l'AS montferrandaise (23 à 10). L'année est faste pour le club puisque les juniors Franz Reichel conservent leur titre de champion de France[Note 2].

Mais le club perd son titre la saison suivante (1938-1939) lors de la troisième finale du championnat face aux basques en quatre ans (6 à 0).

La Seconde Guerre mondiale intervient. En septembre 1940, le club est obligé de quitter le stade Jean-Laffon et s'installe sur le stade Aimé-Giral[7]. En 1942, sous la pression de l'État français, le terme « arlequins » est remplacé par « athlétique »[8]. La guerre fait de nouvelles victimes dans les rangs perpignanais notamment Gilbert Brutus qui, devenu résistant, meurt en captivité le 7 mars 1944[9] et donnera lui aussi son nom à un stade de Perpignan[8].

La saison 1942-1943 s'achève par une défaite en demi-finale de la zone Sud contre le SU Agen pour les seniors et le titre pour les juniors Franz Reichel[Note 3].

Lors de la saison 1943-1944, le club devient champion de France en disposant de l'Aviron bayonnais en finale sur le score de 20 à 5. Malheureusement pour les supporters de l'USAP, le train devant les conduire de Perpignan au Parc des Princes est arrêté plusieurs fois en raison d'alertes aériennes et les catalans n'arriveront au stade qu'à un quart d'heure de la fin de match[10] avec plus de 7 heures de retard[10]. Comme en 1926, l'équipe championne de France sera dépouillée de plusieurs joueurs[Note 4] mais par les clubs professionnels de rugby à XIII cette fois[11] dont le jeune arrière, Robert Puig-Aubert, parti à Carcassonne pour y devenir une légende du rugby à XIII français[12].




Suite ...

De l'après-guerre à 1955[modifier | modifier le code]

Ce nouvel exil est presque fatal au club qui, en 1949, échappe de peu à la relégation. En 1949, devant cette situation, les dirigeants font appel à une figure du club (Jep Desclaux) et à un ancien joueur et entraineur (Fernand Vaquer) pour entrainer les seniors. Le club, s'appuyant une fois de plus sur ces juniors (champions de France en 1947), repart de l'avant.

Les premiers résultats sont prometteurs : quarts de finale en 1950, demi-finale en 1951 et finale en 1952. Mais les années cinquante sont marquées par le FC Lourdes qui s'impose en finale 20 à 11.

La consécration arrive en 1955 avec le titre de champion de France (11 à 6 face au FC Lourdes). Le 22 mai 1955, à Bordeaux, la finale est arbitrée par Monsieur Laffite (du comité Périgord-Agenais) à qui, lors de la présentation des capitaines, André Sanac a dit « Monsieur l'arbitre, la dernière fois que vous nous avez arbitré, vous ne l'avez pas fait honnêtement[Note 5], et nous n'avons pas été contents de vous ... Je vous préviens que si cela se reproduit, nous quittons le terrain. Nos dirigeants sont prévenus et ils sont d'accord ! »[13]. Bien entendu, les joueurs furent satisfaits de l'arbitage. Cette année sera une réussite pour le club qui remporte aussi le challenge du Manoir (22 à 11 face au SC Mazamet), le titre de champion de France avec ses juniors Reichel et est vice-champion avec ses juniors Crabos (catégorie créée en 1950 et déjà titrés en 1953 et 1954). Le club décrochera à cette occasion son quatrième challenge du club complet (après ceux de 1938, 1952 et 1953).


De 1955 à 1995[modifier | modifier le code]

Lors de la saison 1955-1956, après avoir éliminé le SC Albi (17 à 0) en seizièmes de finales puis l'Aviron bayonnais (11 à 3) en huitième de finales, l'USAP, champion de France en titre, s'incline 11 à 0 face à l'US Dax en quart de finales du championnat de France. Par contre, le club atteint la finale du Challenge Yves du Manoir (dont il est le tenant du titre) mais s'incline à Paris face au FC Lourdes (3 à 0).

Le club commence à perdre de son lustre. Les départs de Fernand Vaquer mis en minorité par les membres du conseil d'administration en 1958[14] puis de Jep Desclaux en 1960[15] signent la fin de cette période.

Les années soixante vont voir le club s'ouvrir un peu vers l'extérieur avec l'arrivée de joueurs non catalans dont Jo Maso. L'équipe, dirigée par Jean Carrère, atteint la finale du challenge Yves du Manoir en 1965 mais s'incline en finale face à Cognac (5 à 3). Un conflit éclate ensuite au sein du club et abouti à l'éviction de Jean Carrère, les joueurs qui lui étaient fidèles quittant le club à l'intersaison suivante[16].

Les années soixante-dix s'annoncent prometteuses avec de nombreux joueurs titrés dans les équipes de jeunes. Après une demi-finale 1973 face à Tarbes, futur champion, au cours de laquelle deux essais furent refusés à l'USAP[17], le club arrive en finale en 1977 mais s'incline 12 à 4 face à l’AS Béziers.

Les années quatre-vingt confirment le déclin du club qui rentre dans l'anonymat du championnat de France. Heureusement, les catégories de jeunes continuent de briller.

Au début des années 1990, le club renoue avec les sommets de l'élite du rugby français, atteignant régulièrement les phases finales sans parvenir à passer le cap des matchs éliminatoires, trop crispé par la peur de perdre. Toutefois, l'USAP remporte en 1994 son premier grand trophée national depuis 1955 : le challenge Yves du Manoir face à l'AS Montferrand (18-3). Ce troisième titre dans la compétition met fin à 39 ans de disette de l'équipe fanion.


L'ère professionnelle dans l'élite (1995-2014)[modifier | modifier le code]

En 1995, l'IRB accepte le professionnalisme et le club doit se structurer pour suivre la mutation opérée par son sport. Ainsi, le 20 juin 1998, le club est transformé en une société anonyme à objet sportif (SOAS) présidée par Jacques Rodor. Marcel Dagrenat est désigné président du conseil d'administration le 25 octobre 2000. Les assemblées générales extraordinaires de la SAOS des 14 mars et 10 juin 2002 ont décidé la transformation du club en société anonyme sportive professionnelle (SASP).

L'USAP en finale du championnat face au Stade français (saison 2003-2004).

Sur le plan sportif, le club managé par Alain Hyardet et Alain Teixidor dispute en 1998 la première finale de championnat jouée au Stade de France (paré pour l’occasion de sang et or), finale perdue contre le Stade français (34-7). Puis, sous la houlette d’Olivier Saïsset, ancien entraîneur et joueur de l’AS Béziers, le grand rival régional des années 70, arrivé en 2000, le club catalan atteint systématiquement les playoffs du championnat, et dispute une nouvelle finale, perdue en 2004 une nouvelle fois face au Stade français (38-20). Depuis 1999 l'USAP devient un club bicéphale avec d'une part une association gérant le secteur amateur de l'école de rugby aux espoirs et d'un autre côté un groupe professionnel rattaché à la LNR. En , changement de statut pour le club, la SASP (Société anonyme à objet sportif) disparaît au profit d'une SASP (Société anonyme sportive professionnelle) gérée par la holding USAP per sempre.

L'USAP face aux Wasps en Coupe d'Europe (saison 2006-2007).

Perpignan dispute aussi régulièrement la Coupe d’Europe. Après une expérience sans lendemain en Coupe d'Europe de rugby à XV 1998-1999, le club y prend part systématiquement depuis 2001, soient huit participations consécutives, pour une finale, perdue en 2003 contre le Stade toulousain (22-17). Olivier Saïsset quitte le club à la suite de la défaite en finale du championnat 2004. Il est remplacé par Philippe Boher et Philippe Ducousso, qui mènent l’USAP jusqu’en demi-finale du championnat contre Biarritz en 2005-06 (9-12). En , Ducousso cède sa place à Franck Azéma, entraineur des espoirs du club.

Lors de la saison 2006-2007, le club loupe de peu sa qualification pour les demi-finales du Championnat. Après une défaite à domicile face à Biarritz lors de la 23e journée, l'USAP semble en passe de réaliser l'exploit de l'emporter au Stade de France face au Stade français lors de la 25e journée et de coiffer ainsi le club basque dans la course à la quatrième place mais le manque de réussite du buteur Nicolas Laharrague à la 74e minute du match[18] laisse le club catalan à un point des parisiens (12 à 11) et envoie Biarritz en demi-finale. En Coupe d'Europe, l'USAP fini deuxième de la poule 1[Note 6] et, avec deux défaites, n'accède pas aux quarts de finales.

Pour la saison 2007-2008, le co-entraîneur de l'Équipe de France, Jacques Brunel, prend le rôle d'entraîneur, assisté de Franck Azéma pour les lignes arrières et de Bernard Goutta (tout juste joueur retraité) pour les avants. Le début de saison est difficile et après le deuxième match nul à Aimé-Giral de la saison, une crise sportive éclate et les joueurs partent en stage à Matemale[19]. Le retour de Christophe Porcu (retraité depuis deux saisons) comme joueur va fédérer le groupe qui s'impose la journée suivante au Stade français[20]. Finalement, le club échouera en demi-finale face à Clermont (21 à 7).

L'USAP face à Castres (saison 2008-2009).

La saison 2008-2009 est d'abord marquée par le recrutement de Dan Carter qui, blessé à la dernière minute du match disputé au Stade de France face au Stade français[21], ne disputera que cinq matchs sous les couleurs du club[Note 7]. Pourtant, malgré ce coup du sort et les nombreuses blessures de ses demis d'ouverture, l'USAP réalise une très bonne phase régulière (avec seulement 5 défaites concédées) et termine 1er au classement du Top 14. En demi-finale, l'USAP élimine le Stade français (25-21 au Stade de Gerland). Le Modèle:Date sport la finale l'oppose à l'ASM Clermont Auvergne. À un essai de Napolioni Nalaga inscrit dès la 10e minute, l'USAP répond par un drop de Gavin Hume (16e). À la mi-temps, l'USAP est mené 10 à 6 (Jérôme Porical - 40e - ayant répondu sur pénalité à Brock James - 19e). Mais les catalans sont confiants à l'image de David Marty répondant à une interview télévisée qu'il va y avoir "10 grosses minutes en 2e mi-temps, et après c'est à nous"[22] et qui, 5 minutes après la reprise et à la suite d'une combinaison de passes avec Porical, va à l'essai (45e). L'USAP passe devant au score et le restera jusqu'au bout, Porical passant trois pénalités (dont deux successives aux 60e et 63e minutes de plus de 50 mètres) contre une seule de James (55e). L'USAP l'emporte 22 à 13 et, cinquante-quatre ans après son dernier titre, devient champion de France pour la septième fois de son histoire.

L'USAP face à Clermont (saison 2009-2010).

Pour la saison 2009-2010, l'USAP réédite sa performance de terminer 1er de la phase régulière du Top 14 et, après avoir éliminé le Stade toulousain (21-13) en demi-finale, s'incline en finale face à l'ASM Clermont Auvergne (19-6). Le parcours en H-Cup est handicapé par une défaite à Trévise (9 à 8) et le club est éliminé dès les phases de poule. A la fin de cette saison, Franck Azéma part entraîner l'ASM Clermont Auvergne[23] et est remplacé par Christophe Manas comme entraîneur des lignes arrières[24].

L'USAP après le quart de finale de H-Cup à Barcelone (saison 2010-2011).

La saison 2010-2011 est faite de désillusions. Le club perd 4 fois à domicile[Note 8] et termine à la 9e place du TOP 14. Pour la première fois depuis 2001, le club ne disputera pas la H-Cup. Cette même saison, l'USAP joue un match de phases finales européennes à Barcelone[Note 9] et s'incline en demi-finales face aux Northampton Saints (23-7). A l'issue de la saison, Jacques Brunel quitte le club pour entraîner l'équipe d'Italie[25] et est remplacé par Jacques Delmas[26].

Essai de l'USAP face à Toulouse (saison 2011-2012).

Lors de la saison 2011-2012, le club, qui ne dispute pas la H-Cup pour la première fois depuis 2001, flirte dangereusement avec la zone de relégation, concédant 7 défaites consécutives[Note 10] en championnat durant l'automne, du jamais à l'USAP[27]. L'Amlin Challenge Cup, objectif annoncé par le président, commence mal avec une défaite lors de la deuxième journée (23 à 13 chez les Newport Gwent Dragons) et se termine par une grosse défaite en Angleterre face aux Exeter Chiefs (31 à 14). Ces mauvais résultats et les mauvaises relations entretenues avec les joueurs[27] conduisent à l'éviction de Jacques Delmas[28], le nouveau manager du club et à l'arrivée de Sylvain Deroeux au poste de directeur général[27]. Lors de la seconde partie du championnat, le club retrouve son jeu mais n'assure son maintien dans l'élite qu'à l'avant-dernière journée (victoire 34 à 22 face à Lyon) à la faveur de la victoire de l'Union Bordeaux-Bègles à Brive[29].

Pour la saison 2013-2014, le club ne se montre pas à son avantage en championnat, avec pourtant un départ convenable, et flirte avec la relégation dès la seconde moitié de saison. Le match à Barcelone, face au Rugby_club_toulonnais, perdu 31-46, sonne presque le glas de cette équipe qui n'a jamais connu la deuxième division, se trouvant alors à la treizième position lors de la 25e et avant-dernière journée de Top 14. À la 26e journée, une ultime défaite face à l'ASM Clermont Auvergne (25-22) combinée au bonus défensif arraché par Oyonnax face à Brive condamne à moins de 8 minutes de la fin du match l'USAP à une relégation historique en seconde division, 100 ans jour pour jour après son premier titre de champions de France, le 3 mai 1914, et après 103 ans de présence dans l'élite[30].


Le deuxième échelon du rugby (Depuis 2014)[modifier | modifier le code]

Des joueurs de rugby engagent une mêlée, sous le regard de l'arbitre et des demis de mêlée.
L'USAP évolue en Pro D2 à partir de la saison 2014-2015, ici à domicile contre l'US Dax.

La saison 2014-2015 de Pro D2 marque un renouvellement du club avec un grand nombre de départs[Note 11], de nombreuses arrivées et un nouveau staff avec le retour d'Alain Hyardet[31] comme manager et les arrivées de Grégory Patat comme entraîneurs des avants[32],[Note 12] et de François Gelez pour les lignes arrières[33]. Au terme d'une saison ou le club a toujours été dans les 6 premiers du classement, l'USAP arrache la troisième place à l'issue de la saison régulière ce qui lui donne le droit de recevoir le quatrième en demi-finales des barrages d'accession en Top 14. Mais au terme du match et après les prolongation, l'USAP et le SU Agen sont à égalité (32 à 32) mais les agenais se qualifient pour la finale au bénéfice des essais (4 à 2).

La saison suivante, le club repart en Pro D2 sans manager, Alain Hyardet ayant décidé de ne pas continuer[34]. Au coeur de l'automne, le club enchaîne 5 matchs sans victoire (1 match nul et 4 défaites) et, au mois de décembre, Philippe Benetton remplace Grégory Patat[35] comme entraîneur des avants, François Gélez étant maintenu comme entraîneur des arrières. Mais le parcours en dents de scie du club l'emmène à la septième place de la saison régulière. Contrairement à la saison précédente, le club ne se qualifie pas pour le barrage d'accession au Top 14.

La saison 2016-2017 voit l'arrivée d'un nouveau manager général, Christian Lanta[36]. Mais le premier bloc se termine avec 1 seule victoire contre 4 défaites (dont 1 à domicile). Ces résultats entraînent le remplacement du duo d'entraîneurs Benetton/Gélez par deux anciens joueurs : Perry Freshwater (pour les avants) et Patrick Arlettaz (pour les lignes arrières)[37]. Malgré la mise en place d'un jeu plus offensif, le club échoue à la sixième place du classement et, pour la deuxième année consécutive, ne dispute pas les barrages d'accession en Top 14.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le 2 mai 1937, en finale Franz Reichel, l'USAP bat le Club athlétique béglais 24-4.
  2. Le 8 mai 1938, en finale Franz Reichel, l'USAP bat le Racing club chalonnais 9-0.
  3. En 1943, en finale Franz Reichel, l'USAP bat Saint-Jean-de-Luz 19 à 5
  4. Frédéric Trescazes, Louis Carrière, Robert Casse, Jo Barende, Marcel Blanc, Lucien Barris et Robert Puig-Aubert quittent le club en 1944 pour les clubs de rugby à XIII
  5. André Sanac reprochait à Monsieur Laffite son arbitrage lors de la demi-finale de 1952 face à Agen.
  6. Lors de la saison 2006-2007, l'USAP évolue en poule 1 avec les London Wasps, le Castres olympique et le Benetton Trévise.
  7. Sous le maillot de l'USAP, Dan Carter a joué contre les Leicester Tigers, le Castres olympique, Brive, Bourgoin et le Stade français
  8. Lors de la saison 2010-2011, l'USAP a perdu à domicile contre Montpellier (16-6), Toulon (29-20), Toulouse (25-24) et Castres (29-10).
  9. Le 9 avril 2011, en quart de finale de la H-Cup, l'USAP élimine le RC Toulon 29-25 au Stade Lluís-Companys de Barcelone.
  10. Entre la 6e et la 12e journée, l'USAP s'incline face au SU Agen (19-12 à domicile), à Toulon (38-0), à Clermont (39-3 à domicile), à Bayonne (18-16), à Toulouse (21-17), au Stade français (35-16 à domicile) et à Lyon (19-12).
  11. 17 joueurs ont quitté le club à l'inter-saison : Giorgi Jgenti, Kisi Pulu, Sébastien Taofifenua, Guilhem Guirado, Maxime Delonca, Luke Charteris, Justin Purll, Romain Taofifenua, Sébastien Vahaamahina, Bertrand Guiry, Daniel Leo, Luke Narraway, James Hook, Camille Lopez, Julien Fritz, Sofiane Guitoune et Richard Haughton.
  12. Grégory Patat a été recruté la saison précédente en remplacement de Giampero De Carli qui prend en charge les avants de l'équipe d'Italie.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Si l'USAP m'était conté..., p. 99
  2. a b et c USAP: 100 ans de passion, p. 30
  3. Jean Galia: le fondateur a sa tribune - ladepeche.fr
  4. Histoire du rugby à XIII
  5. USAP: 100 ans d'histoire et de culture, p. 47
  6. Si l'USAP m'était conté..., p. 109
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Si l'USAP page 127
  8. a et b USAP: 100 ans de passion, p. 40
  9. Si l'USAP m'était conté..., p. 133
  10. a et b USAP: 100 ans de passion, p. 42
  11. USAP: 100 ans d'histoire et de culture, p. 75
  12. Puig Aubert: le monument historique - ladepeche.fr
  13. USAP Champions - La saison 2008-2009, p. 3
  14. USAP: 100 ans d'histoire et de culture, p. 90
  15. USAP: 100 ans de passion, p. 64
  16. USAP: 100 ans d'histoire et de culture, p. 100
  17. USAP: 100 ans d'histoire et de culture, p. 114
  18. Regrets éternels pour l'USAP sur Orange Sports
  19. Perpignan va de l'avant sur le site de Rugbyrama
  20. Porcu, l'invité surprise sur sports.fr
  21. « Rugby: saison terminée pour Dan Carter, qui ne rejouera pas avec Perpignan », sur www.lepoint.fr, Le Point, (consulté le )
  22. 10 grosses minutes en 2eme mi-temps et après c'est à nous sur le blog de La Clau
  23. Azéma lâche l'USAP pour Clermont sur le site du Figaro
  24. Perpignan : Manas futur adjoint sur le site Rugby365
  25. Rugby : Jacques Brunel prend le chemin de l'équipe d'Italie sur le site du Monde
  26. Delmas à l’USAP, c’est officiel sur le site de RMC Sports/BFMTV
  27. a b et c USAP, une saison stressante et sans strass sur lindependant.fr
  28. Jacques Delmas démis de ses fonctions sur le site officiel du club
  29. Top 14 : c'est Brive qui a un pied et demi en Pro D2 sur sudouest.fr
  30. Rugby : Perpignan relégué en Pro D2 après 103 ans dans l'élite sur le site de France Info]
  31. Usap: Hyardet au chevet du club sur le site Sports.fr
  32. L'aiscitain Grégory Patat va rejoindre l'USAP sur le site de la Dépêche
  33. François Gelez entraîneur des trois-quarts de l'USAP sur le site de l'Indépendant
  34. USAP : Hyardet s'en va, c'est officiel sur le site de l'Indépendant
  35. USAP - Benetton pour remplacer Patat sur le site Midi olympique
  36. Perpignan choisi Christian Lanta sur le site Rugby365
  37. Réorganisation du secteur sportif sur le site officiel du club