Cette page est un brouillon appartenant à Les jardins de Mireille
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Le raccourci de la Peyrière (Le poirier), ancienne carraire, est un sentier étroit et pentu qui serpente au milieu des Jardin de Mireille et Tony. Il part du quartier de l’Hôpital, du bout de la rue homonyme de la Perrière (tas de pierre) pour aboutir au chemin qui mène au vieux cimetière[1].
Les Jardins de Mireille et Tony sont d'abord des jardins de mémoire: mémoire des plantes anciennes qui ont failli disparaître, mais surtout, mémoire des habitants d' Esparron de Verdon d'hier et d'aujourd'hui qu'ils ont connus, aimés, respectés et qu'ils honorent maintenant à travers ce lieu.
Elle les a plantés avec persévérance sur des pentes caillouteuses, par dizaines pour retenir la terre et l'eau. Ses plantes grasses poussent toujours sur les rochers, ses jacinthes et ses rosiers continuent à fleurir malgré le temps qui passe.
Les iris jaunes, dorés et roses de Juliette Burle.
Ils sont disposés tout le long du raccourci. Ses iris nains colonisent la pente à coté de son poulailler.
Les iris bleu clair à très grandes fleurs de Lucie Amiel.
Elle les avait choisis à la foire de printemps de Riez.
Les plantes basses, vivaces ou annuelles, les arbustes, les plantes grimpantes et les arbres nous attendent.
Nous remarquons d'abord les plantes aromatiques qui tiennent une place de choix dans tout le jardin. Emblème de la Provence, elles ne craignent ni le gel, ni la sécheresse et nous offre leurs parfums.
Le romarin à fleurs d'un bleu très clair ou plus foncé, fleurit presque toute l'année.
Le thym pique partout ses bouquets rases au printemps.
La sarriette ou pebre d'ai (poivre d’âne). étale ses fleurs blanches de juin à novembre;
Les sauges herbacées ou buissonnantes, bleues, violettes, rouges, blanches, plusieurs variétés se plaisent ici. Nous citerons la sauge prés, particulièrement robuste, la sauge officinale à feuilles cendrées et surtout la suage sclarée qui dresse ses grandes hampes au parfum puissant et nous rappelle les récits des anciens, qui la cultivaient depuis très longtemps.
Les fenouils qui accueillent la chenille du machoon grand papillon aux ailes jaunes tachetées de noir, de rouge et de bleu. Ses fleurs jaune citron s'épanouissent en ombrelles à la la fin de l'été et sont butinées par de petites guêpes.
Les népètes ou calament népéta à fleurs bleues ont une odeur forte qui attire les chats.
Les campanules gantelées à feuilles rugueuses et fleurs bleues
Les petites campanules mauves.
Le bugle rampant, à fleurs bleu vif, préféré les sols frais mais s'adapte ici sous les arbustes.
Les gaillardes.
Les oxalis roses (ou faux trèfle) ponctuent toute la montée.
Les ibérés offrent un tapis de fleurs blanches, serrées.
↑La Séuve occupe une vaste zone à l’est du village. Le mot désigne la forêt au Moyen Age. Il provient du latin “silva” qui a donné Sylvie, Sylvain, Sylvestre et sylviculture. Cette forêt qui s’étend entre Quinson et Esparron a donc un millénaire au moins. Ce patrimoine forestier à été en partie dévasté en 2005 suite à un incendie. 20 ans après, la nature à repris ses droits et une abondante chevelure forestière a reverdit ce magnifique paysage.