Urtaca

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Urtaca
Urtaca
Vue du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Calvi
Intercommunalité Communauté de communes de l'Île-Rousse - Balagne
Maire
Mandat
Paul-Vincent Ferrandi
2020-2026
Code postal 20218
Code commune 2B332
Démographie
Gentilé Urtacais
Population
municipale
249 hab. (2021 en augmentation de 11,66 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 35′ 43″ nord, 9° 09′ 59″ est
Altitude 360 m
Min. 37 m
Max. 1 367 m
Superficie 31,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction L'Île-Rousse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales L'Île-Rousse
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Urtaca
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Urtaca
Géolocalisation sur la carte : Corse
Voir sur la carte topographique de Corse
Urtaca
Géolocalisation sur la carte : Corse
Voir sur la carte administrative de Corse
Urtaca

Urtaca est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse. Elle appartient à l'ancienne piève de Canale.

Géographie[modifier | modifier le code]

Panorama sur Monte a l'Alturiai et le nord-est du village.

Situation[modifier | modifier le code]

Urtaca est avec Lama et Pietralba l'une des trois communes issues de la piève de Canale, occupant la rive droite de la vallée de l'Ostriconi.

Relief[modifier | modifier le code]

Urtaca est une commune sans façade maritime quoique ayant vue sur mer. Son territoire est une bande de terre orientée SE-NO, s'étalant en direction de la mer depuis les crêtes de la Serra di Tenda, et occupant ses flancs nord-occidentaux jusqu'au lit de la rivière Ostriconi.

La commune est limitée :

  • à l'est, par une ligne de crête démarrant à 300 m d'altitude à la Serra di Lubertaccia, s'élevant au fur et à mesure en passant par Cima d'Olmelli (312 m), Cima Ghinepero (493 m), Teghie a Partica (672 m), Monte a la Rua (841 m), Monte Vicinasco (1 018 m), Monte ambrica (1 063 m), Cima a Muzzelli (1 299 m), Monte a l'Alturaia (1 371 m) sommet « à cheval » sur San-Gavino-di-Tenda et Urtaca, jusqu'à la limite SE de la commune à 1 349 m d'altitude ;
  • au sud, par une ligne droite tirée vers Monte di u Gattu (696 m) à l'ouest, se prolongeant ensuite jusqu'au gué sur l'Ostriconi, à hauteur de la jonction RN1197 - D8 ;
  • à l'ouest la limite suit la rive gauche de l'Ostriconi, du niveau 153 m à celui de 57 m, en amont de l'ancienne mine de Chiaraginca, puis remontant la crête de Bona Fede, Cima di u Pallu (239 m) et redescendant sur l'Ostriconi au pont de Teghiele au lieu-dit Petra Moneta ;
  • au nord, c'est une nouvelle ligne de crête qui rejoint la Serra di Lubertaccia surplombant une portion de la route D 81. C'est déjà le désert des Agriates.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par la rivière Ostriconi qui longe près des deux tiers de ses limites territoriales occidentales. Le réseau hydrographique y est dense. Plusieurs ruisseaux prennent naissance sur la commune, sous la ligne de crête de la Serra di Tenda, et sont tributaires de l'Ostriconi. Les principaux sont fiume di Gargalagne, long de 7 km[1] qui arrose le village d'Urtaca, fiume di Cuvertoio, long de 3,9 km[2], ruisseau de l'Orneto, long de 2,6 km[3], ruisseau di l'Appiatelli, long de 3,8 km[4], et fiume di u Chierchiu, long de 7,3 km[5].

Climat et végétation[modifier | modifier le code]

Baies de myrte.

Urtaca n'a pas de véritable forêt. Seules quelques zones épargnées par les incendies, sont boisées de chênes verts et d'oliviers. La couverture végétale est un maquis traditionnel, bas, où en période hivernale, les baies de myrte et d'arbousier abondent et font le régal de passereaux migrateurs. Elles sont aussi la base de remarquables liqueurs et gelées. Le maquis a recouvert les nombreuses terrasses de culture depuis longtemps abandonnées.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Vue sur le littoral.

Accès routier[modifier | modifier le code]

Le village était jusqu'aux années 1980 desservi par une seule route, longue, étroite et sinueuse, qui desservait également Lama et Pietralba. Depuis l'ouverture de la voie rapide dite Balanina qui longe l'Ostriconi et « double » en fait l'ancienne route renommée D8, le village se trouve éloigné de 3,5 km de la RN 1197, principale voie qui relie la Balagne à Ponte-Leccia (Morosaglia) et désenclave la touristique microrégion de Balagne.

Toutefois, Urtaca est relié à la RN 1197 dite Balanina par une portion nouvelle de la D 8, rectiligne sur 3 km.

Au nord de la commune, se situe la jonction de la RN 1197 avec la route D 81 qui traverse le désert des Agriates et permet de se rendre à Bastia via Saint-Florent en raccourcissant le trajet de 20 kilomètres.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune n'est pas traversée par la ligne des Chemins de fer de Corse. La gare la plus proche est celle de la commune voisine de Novella.

Le port le plus proche est celui de L'Île-Rousse, distant de 26 km. L'aéroport le plus proche est celui de Calvi-Sainte-Catherine, distant de 48 km ; celui de Bastia se trouve à 51 km.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Urtaca est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de L'Île-Rousse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Le village d'Urtaca est un « village en balcon » de la vallée de l'Ostriconi, le plus septentrional des trois villages surplombant le cours d'eau. C'est un village médiéval, construit sur les hauteurs, à flanc de montagne, afin de voir l'arrivée des envahisseurs barbaresques.

Dans l'ensemble, ses habitants vivent regroupés au village et au lieu-dit Poggiola. Il y a très peu d'habitations en plaine même qui est traversée pourtant par la route nationale. Le village est ancien ; au centre du vieux quartier dit U Tricellu, se trouve l'église paroissiale de l'Annonciation ainsi que la mairie abritée dans une vieille habitation restaurée.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (76,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (13,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), forêts (1,8 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom corse de la commune est Urtaca /ˈurtaga/.

Histoire[modifier | modifier le code]

Vue du village.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

À un kilomètre au nord du village, se trouve la punta di Castiglione (559 m). Castiglione se traduisant par village fortifié, ce nom significatif semble prouver, comme dans d'autres communes de l'île, l'existence autrefois en ce lieu d'un village fortifié.

Au XIe siècle, la pieve d'Ostricone était un bien des marquis de Massa di Corsica. Leur part s'étendait sur tout l'« En-Deçà-des-Monts ». Les marquis de Massa sont les descendants du marquis Alberto qui, au XIe siècle, aurait chassé les Sarrasins de Rome et contribué à la défense de la Corse.
Bien que leur château de San Colombano ait été incendié par le peuple, les révolutions populaires du XIVe siècle ne ruinèrent pas leurs privilèges féodaux. Ils firent des donations aux églises, ne conservant que le château de San Colombano réparé ou reconstruit[12].

Au XVIe siècle Urtaca s'écrivait Artacha. Vers 1520, Artacha, Lama, Novella, Cruscani, Pochina, Palasia, Spelonche étaient les lieux habités de la pieve religieuse d'Ostricone[13].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au XVIIIe siècle les pievi civiles d'Ostricone et de Petralba fusionnent, devenant la pieve de Canale qui prendra le nom de canton de Lama avec la Révolution française, en 1790.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1954 les communes de Lama, Pietralba et Urtaca constituaient le canton de Lama.

1971-1973 : Urtaca intègre le nouveau canton du Haut-Nebbio, créé avec la fusion imposée des anciens cantons de Lama, Murato et Santo-Pietro-di-Tenda.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
vers 1897 ? Ange-Mathieu Bonavita    
? novembre 1941
(révoqué)
Pasquin Bonavita ? Révoqué par le Gouvernement de Vichy[14]
avant 1981 ? Jean-Charles Bonavita    
mars 2001 2014 Françoise Xavière Montecattini DVG  
mars 2014 En cours Paul Vincent Ferrandi DVG Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].

En 2021, la commune comptait 249 habitants[Note 3], en augmentation de 11,66 % par rapport à 2015 (Haute-Corse : +5,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
222246354297326317328337323
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
347335360375387411393517511
1906 1911 1921 1926 2006 2011 2016 2021 -
507502292247185182233249-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Urtaca est dotée d'une école primaire.

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Manifestations et festivités[modifier | modifier le code]

  • Saint-Nicolas (San Nicolaiu), le saint patron du village, est fêté deux fois l'an : le mais aussi le premier dimanche d'août afin de réunir un public plus large en été.

Sports[modifier | modifier le code]

Urtaca dispose d'un stade de football.

Économie[modifier | modifier le code]

L'agriculture et l'élevage de bovins demeurent la principale source de revenus. Après les essais infructueux de plantations d'amandiers, des plantations nouvelles d'oliviers sont apparues dans le paysage.
Les bovins sont visibles partout dans le paysage, dans le maquis, quelquefois en bordure de route. Malgré les arrêtés interdisant la divagation du bétail et les clôtures mises en place, des bovins sont encore visibles en bordure de la voie rapide. De tragiques accidents, nombreux dans un récent passé, causés par des animaux en divagation, se produisent encore.

Une boulangerie existe au cœur du village peu peuplé. Fonctionnant sur un mode artisanal[réf. nécessaire], son réseau de vente est alimenté par des tournées automobiles dans les villages voisins de Lama, Pietralba, Novella et l'ensemble des habitations dispersées de la vallée de l'Ostriconi. La production s'écoule aussi depuis plus de deux ans dans les villages de la Haute-Balagne situés dans la continuité de Belgodère en utilisant ce principe de tournée amenant le produit chez les clients, souvent vieillissants et peu aptes à se déplacer.

Une charcuterie (Charcuterie Costa) a réussi à se développer à Campo Piano, dans un paysage qui ressemble déjà à celui du Désert des Agriates tout proche. Sa production qu'on trouve dans les toutes les grandes surfaces de l'île, est maintenant écoulée jusque dans les commerces du continent.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Monument aux morts érigé à côté de l'église de l'Annonciation
  • Moulin de Capprettacio, moulin à huile situé en bordure du fiume di Gargalagna, en amont du village.
  • Four communal
  • Fontaines, nombreuses en montagne.

Église Notre-Dame de l'Annonciation[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l'Annonciation (L'Annunziata) est située au centre du village, dans le vieux quartier dit U Tricellu. Elle renferme :

  • un tableau d'autel sainte Dévote ;
  • un harmonium de marque Alexandre & Fils, no de série : 22 235, daté de la seconde moitié du XIXe siècle. L'œuvre a été restaurée en 2006 par le facteur corse Jean-Louis Loriaut. Elle est classée Monument historique par arrêté du . Il s'agit probablement de l'unique harmonium monumental de Corse[19].

Chapelle Saint-Nicolas[modifier | modifier le code]

La chapelle Saint-Nicolas (San Nicolau) est située à l'entrée du village. Elle est dédiée à saint Nicolas, le saint patron des marins et des pêcheurs, mais surtout patron des enfants. S'y trouve une statue de saint Nicolas achetée en à Bari (Italie)[20].

San Nicolau est très vénéré en Corse. L'abbé Casta y a recensé 33 sanctuaires dédiés à San Nicolau au Moyen Âge[21]

Autres patrimoines religieux[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Sant'Andria ruinée
  • Baptistère à Bocca di San Pancrazio

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Site du Conservatoire du littoral[modifier | modifier le code]

Une partie du territoire de la commune d'Urtaca, celle située dans le désert des Agriates, a été acquise par le Conservatoire de l'Espace Littoral[22]. Elle est en site naturel classé[23].

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

Urtaca est concernée par une ZNIEFF (2e génération) :

Crêtes Mont Asto Mont St Angelo

Cette zone est reprise à l'INPN sous la fiche ZNIEFF940013187 - Crêtes Mont Asto Mont St Angelo[24]. Cette zone qui couvre les crêtes des Monte Astu et Mont Sant Angelo du massif du Tenda, sur une superficie de (1 097 ha), concerne les communes de Lento, Piève, Sorio, San-Gavino-di-Tenda, Lama, Urtaca et Pietralba. Le paysage végétal des crêtes du Tenda apparaît très dénudé. La végétation arborescente y fait pratiquement défaut. La zone est composée de landes épineuses, de bosquets de châtaigniers, de frênes et de houx, et de forêts de chênes verts, abritant 4 espèces déterminantes : insectes, batraciens et monocotylédones.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Joseph-Marie Bonavita (Urtaca 1908 - Neuilly, Hauts-de-Seine 1971). Il a fait carrière dans la diplomatie. Écrivain, il est l'auteur de U pane azimu, un recueil de contes et nouvelles écrit en langue corse[13].
  • Paul Orsoni, médecin, auteur de Mémoires.
  • Jean Simi (1908-1960), instituteur, directeur du Cours Complémentaire de L'Île-Rousse et résistant.
  • Catherine Colonna , ministre

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

wikilien alternatif2

Les coordonnées de cet article :

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fiume di Gargalagne (Y7600540) » (consulté le ).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Cuvertoio (Y7601340) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de l'Orneto (Y7601360) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de l'Appiatelli (Y7601420) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Chierchiu (Y7600580) » (consulté le ).
  6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. Histoire de Corse Colonna de Cesari Rocca Louis Villat - Ancienne librairie Furne Boivin & Cie éditeurs. 1916
  13. a et b Éléments pour un dictionnaire des noms propres Corse A-D. Monti ADECEC
  14. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. Notice no PM2B000844, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  20. De Pieves en Pieves - U Nuvellaghju 2009
  21. Tempi fà (Fêtes religieuses, rites et croyances populaires de Corse) - Pierre-Jean Luccioni et Ghjasippina Giannesini - Albiana Ajaccio 2010
  22. Les Agriates sur l'INPN
  23. AGRIATE (FR1100014) sur l'INPN
  24. ZNIEFF 940013187 - Crêtes Mont Asto Mont St Angelo sur le site de l’INPN..