Trust (groupe)

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Trust
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Trust au Hellfest en 2017.
Informations générales
Pays d'origine Drapeau de la France France
Genre musical Hard rock, heavy metal
Années actives 1977-1985,
1988-1989,
1996-1997,
2006-2011,
depuis 2016
Labels Mercury Records Verycords
Composition du groupe
Membres Bernie Bonvoisin
Norbert Krief
Ismalia Diop
David Jacob
Christian Dupuy
Anciens membres Fredéric Guillemet
Nicko McBrain
Clive Burr (†)
Moho Chemlakh
Hervé Koster
Nirox John
Kevin Morris
Jean-Emile Hanela
Omar Ben El Mabrouk
Kamel B.
Christian Cheffeu
Raymond Manna
Yves Brusco
Farid Medjane
Franck Mantegari
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Logo de Trust.

Trust (prononcé : [tɹʌst]) est un groupe de hard rock français, originaire de la région parisienne, formé en 1977 et popularisé au début des années 1980.

Le groupe est notamment connu à travers son titre Antisocial (1980) et a joué avec des célèbres groupes anglo-saxons comme AC/DC, Iron Maiden ou Anthrax. Pratiquant un hard-rock bluesy proche d'AC/DC, la force et l'originalité du groupe proviennent de la façon puissante qu'a le chanteur, Bernard Bonvoisin — influencé par la scène punk anglaise —, d'exprimer des paroles largement inspirées par la politique et la critique sociale[1],[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Débuts et consécration (1977–1979)[modifier | modifier le code]

Bernie Bonvoisin chanteur et cofondateur du groupe, en 1978.

Le groupe se forme en 1977 autour du chanteur Bernard « Bernie » Bonvoisin, originaire de Nanterre, et du guitariste Norbert « Nono » Krief, originaire des Mureaux. Raymond Manna (bassiste) et Jean-Émile Hanela (batteur) complètent la formation originale.

Bernie et Manna gravitent autour de la salle de concert l'Olympia où ils travaillent tous les deux comme machinistes et y effectuent leurs répétitions. Marc Barrière (futur fondateur du Rose Bonbon 78/84) et Jacky "Bouffy" Pourpre décident donc de produire le 4 décembre 1977 le tout premier concert de Bijou à l'Olympia aussi un peu dans le but de pouvoir programmer Trust (alors complètement inconnu) en première partie afin de les faire connaître par un plus large public.

Trust donne ensuite des concerts dans des clubs parisiens et fait l'ouverture de Bang, au Golf Drouot.

Puis, c'est par l'intermédiaire de Serge Kooleen (rip), leader et parolier de "Il était une fois", qui avait fortement recommandé le groupe à Laurent-Thierry Mieg (rip) alors directeur artistique chez Pathé Marconi, qu'ils ont signé un contrat en octobre 77 avec ce label. Seuls Bernard Bonvoisin, Raymond Manna et Marc Barrière (en qualité de manager) figuraient sur le-dit contrat... Le premier 45-tours du groupe Prends pas ton flingue / Paris By Night, adaptation française de la chanson Love at First Feel d'AC/DC, sort au mois de janvier 1978. Le disque est enregistré dans le même studio où les Rolling Stones préparent leur album Some Girls, Trust fait à cette occasion la connaissance du chanteur d'AC/DC, Bon Scott, avec lequel Bernie se lie d'amitié[3]. Pathé priorise clairement Téléphone en n'assurant aucune promotion pour le disque de Trust. L'amitié entre AC/DC et le groupe permet à Trust de jouer en première partie des Australiens, devant des audiences importantes et de quitter Pathé pour signer un nouveau contrat, avec CBS.

Au mois de mai 1979, CBS commercialise le premier album de Trust (Trust, aussi appelé L'Élite). Enregistré à Londres, ses paroles lui valent d'être souvent censuré sur les radios et dans quelques villes de France. Il se vend, à la surprise même du label, à plus d'un million d'exemplaires la première année. Les ventes sont amplifiées par des performances scéniques remarquées et une tournée à travers la France, dans de nombreuses salles complètes[3]. La réputation du groupe s'étend en Europe, lorsque le titre L'Élite sort en 1980 en Angleterre sur la compilation Killer Watts et atteint la première place des classements rock anglais[3]. Manna accède à la fonction de manager, et est remplacé par Yves « Vivi » Brusco à la basse. Le 12 janvier 1980, le groupe donne un concert mémorable au Pavillon de Paris devant 8 000 personnes[4].

Âge d'or (1979-1982)[modifier | modifier le code]

Au mois de février 1980, Trust est de nouveau à Londres pour travailler à son futur deuxième album : Répression. Bon Scott, qui à Londres, partage beaucoup de temps avec le groupe et est chargé de l'adaptation en anglais des paroles de Bernie, mais il meurt tragiquement à l'issue d'une nuit d'ivresse[5]. Ses textes ne seront jamais retrouvés, confisqués d'après Bernie Bonvoisin par Peter Mensch, manager d'AC/DC[6]. C'est finalement Jimmy Pursey (Sham 69), qui dans l'urgence s’attelle à la version anglaise des paroles de l'album Répression[7]. Jeannot, le batteur, quitte le groupe et est remplacé par Nicko McBrain, sur les conseils de Denis Weinrich, l'ingénieur du son londonien de l'album[4].

Le disque sort en mai en France et se vend à plusieurs millions d'exemplaires, porté par la chanson Antisocial, qui restera le titre emblème du groupe. Cet album contient également la chanson Le Mitard, très controversée, car reprenant un texte de Jacques Mesrine. Il sera beaucoup reproché à Trust d'avoir fait une ode à celui qui était alors dépeint comme l'ennemi public n°1 en France. En février 1981, Trust donne une vingtaine de concerts en Angleterre en première partie d'Iron Maiden, ouvre pour Motörhead à Leeds, puis enchaîne au mois de mai avec une tournée en tête d'affiche, fait rare à l'époque pour un groupe français[8],[9]. Le 29 août 1980, Trust fait partie des têtes d'affiches du Festival de Reading. Le groupe, programmé avant le concert de Gillan, est acclamé par plus de 45 000 personnes. Un incident se produit avec le management de Ian Gillan à qui il est reproché d'avoir fait couper la sonorisation du groupe à la fin de leur concert afin de les empêcher d'effectuer un rappel demandé par le public[10]. En 1981, il participe à la BO du film Métal hurlant avec la chanson "Prefabricated", version anglaise de "Préfabriqués".

Le troisième album Marche ou crève sort à la fin de l'année 1981. Il comprend entre autres les titres Marche ou crève, Certitude... solitude..., Les Templiers et Ton dernier acte. Ce dernier est une chanson rendant hommage à Bon Scott, et qui témoigne des inspirations blues du groupe. Une version anglaise de l'album sort, intitulée Savage. Le titre Misère, qui critique l'Angleterre de l'époque (Margaret Thatcher est Premier Ministre), n'est pas traduit en anglais... Malgré de grosses propositions financières pour développer le marché américain et y tourner notamment en première partie de Judas Priest, Def Leppard ou Iron Maiden, Trust préfère rester focalisé sur la France et effectuer la coûteuse tournée Marche ou crève[3]. Au printemps 1982, Trust tourne en Allemagne de l'Ouest et en Belgique en première partie d'Iron Maiden lors de leur tournée The Beast on the road[11]. Les ventes de l'album Marche ou crève sont décevantes au regard des deux premiers albums[12], malgré une popularité en croissance en Angleterre ou en Allemagne[3].

Déclin et première séparation (1983–1985)[modifier | modifier le code]

Au mois de septembre 1983, après six mois de studio, sort un nouvel album homonyme du groupe (étiqueté Idéal ou Trust IV), produit par Andy Johns (Led Zeppelin, Rod Stewart, Joe Cocker...) et qui intègre le batteur Clive Burr en échange de Nicko McBrain qui va rejoindre Iron Maiden. Les deux groupes se sont ainsi échangés leur batteur en l'espace de quelques mois. Une version anglaise de l'album sort, intitulée Man's Trap.

Au mois d'août 1984, le cinquième album, intitulé Rock'n'Roll, accueille un nouveau batteur, Farid Medjane. Les ventes de ces deux disques sont très décevantes et le groupe attire moins de monde en concert que lors de ses années fastes. De plus, des dissensions apparaissent entre les musiciens qui ne se croisent plus que sur scène. Le 31 juillet 1985, Trust annonce sa séparation ; Norbert Krief devient l'un des guitaristes de Johnny Hallyday, tandis que Bernie produit des albums en solo.

Première reformation et nouvel album annulé (1988–1989)[modifier | modifier le code]

Le groupe se reforme en 1988 et donne deux concerts au Palais Omnisport de Paris Bercy, à l'occasion des Monsters of Rock, entourés de Iron Maiden, Anthrax et Helloween. La sortie de l'album State of Euphoria du groupe américain Anthrax, dont le deuxième single est une reprise de la version anglaise d'Antisocial, donne soudainement au groupe français une notoriété outre-Atlantique. Issu de l'enregistrement des Monsters of Rock, l'album live Paris by Night sort en France en 1988 mais aussi aux États-Unis l'année suivante, distribué par le label Megaforce records (Metallica, Anthrax...)[13],[10]. Un mini album studio, En attendant, est réalisé en 1989.

Malgré cela, le groupe se désagrège à nouveau. Un nouvel album live, simplement intitulé Live, enregistré lors de la tournée Répression dans l'hexagone, sort en 1992. Deux mini-compilations de chansons inédites Prends pas ton flingue (regroupant les chansons de l'année 1977) et The Backsides (faces B des singles de 1978 à 1984) sortent en 1992 et 1993.

Deuxième reformation (1996–1997; 2000)[modifier | modifier le code]

En 1996, Trust se reforme en signant un très gros contrat avec Warner Music France pour trois albums studio et un album live. Un nouvel album studio Europe et haines réalisé par Nono sort en 1996, suivi d'une tournée en France. Deux compilations best of intitulées Anti best of et Gold sortent en 1997 chez Sony Music. Simplement intitulé A Live, un nouvel album live sort également la même année chez Warner Music.

Bernie ne souhaitant plus continuer avec Trust pour privilégier sa carrière cinématographique, le contrat du groupe avec Warner Music est résilié. Nono, qui a travaillé près d'un an sur le deuxième album Ni Dieu ni maître prévu au contrat Warner, sort le disque quatre ans plus tard en 2000 chez XIII Bis Records[14]. Un conflit éclate entre Nono et Bernie qui, peu satisfait du résultat, souhaite faire retirer le disque des ventes. Bernie lui intente un procès et tous les exemplaires non encore vendus de l'album sont retirés des magasins et détruits. Still A-live, la version double de l'album live enregistré en 1997 sort cette même année 2000 chez XIII Bis Record.

Troisième reformation (2006–2011)[modifier | modifier le code]

Le groupe se reforme à nouveau en 2006 lors d'un concert donné le 8 juillet à Bobital (Côtes d'Armor) au festival des Terre-Neuvas. Un CD/DVD Soulagez-vous dans les urnes est publié pour immortaliser l'événement. Le , Trust se produit sur la scène de l'Olympia pour fêter leurs trente ans de scènes (la première du groupe eut, en effet, lieu le 4 décembre 1977 sur cette même scène).

Un nouvel album, 13 à table, sort le . Il est suivi d'une tournée d'octobre à novembre 2008 qui reprend de mars à août 2009.

Un nouvel album live (enregistré en 1982) intitulé Live au Rockpalast sort en 2011.

Alors que Trust devait être l'une des têtes d'affiche de l'édition 2011 du festival Hellfest[15], le groupe annonce subitement courant avril 2011 qu'il cesse sur-le-champ de donner des concerts pour une durée indéfinie.

Retours scénique et discographique (depuis 2016)[modifier | modifier le code]

Pas moins de cinq ans plus tard, en juillet 2016, le groupe annonce son retour[16] à l'occasion de son quarantième anniversaire. Outre Bernie et Nono, Trust se compose de David Jacob (basse) et Izo Diop (guitare), tous deux ayant déjà joué avec le groupe par le passé, ainsi que de Christian Dupuy (batterie). Une tournée française intitulée Au Nom de la Rage Tour est programmée en décembre 2016 et durant toute l'année 2017. Au cours de celle-ci, Trust donne le 21 avril 2017 un concert de soutien aux ouvriers en lutte de l'usine de GM&S Industry à La Souterraine (Creuse)[17] et participe le 17 juin à l'édition 2017 du Festival Hellfest à Clisson, partageant l’affiche avec Aerosmith, Deep Purple, Linkin Park et Slayer. Enregistrement de ce concert, l'album en public Live Hellfest 2017 sort la même année.

Le , le groupe sort Dans le même sang, son premier album constitué de matériau original en dix ans, enregistré en studio dans les conditions de la scène et mixé par Mike Fraser (AC/DC, Aerosmith, Metallica). Le disque se classe à la quatrième place des ventes d'albums à sa sortie et une nouvelle tournée dans des petites salles suit la sortie de l'album[18].

Trust en concert à Landerneau en décembre 2016.

Fils de lutte, un nouvel album original, enregistré (comme son prédécesseur) en studio dans les conditions de la scène (et en trois jours) et mixé par Mike Fraser, sort le 27 septembre 2019 chez Verycords[19]. Le groupe aura donc publié deux nouveaux albums originaux en seulement 18 mois.

Le , Trust publie Recidiv, un coffret comprenant les trois premiers albums du groupe réenregistrés "live en studio", dans les conditions d'un concert. Les orchestrations sont revues, les paroles par moments légèrement modifiées et des choristes sont présentes sur quelques morceaux[20].

Le 30 septembre 2022, Trust sort un nouvel album intitulé, Propaganda, une nouvelle fois mixé par Mike Fraser[21]. Il s'agit du troisième album studio du groupe à sortir en quatre ans et demi[22].

Trust au MeM à Rennes le samedi 26 novembre 2022

Carrières parallèles[modifier | modifier le code]

Bernie Bonvoisin qui se lance à la fin des années 1990 dans une carrière cinématographique. Il a trois films à son actif : Les Démons de Jésus (1997), qui est un succès à la fois critique et commercial, Les Grandes Bouches (1999) et Blanche (2002). Il a aussi fait une apparition dans La Haine, film de Mathieu Kassovitz de 1995, dans lequel il joue un rôle de policier et dans le film Hiver 54.

Norbert, de son côté, entre les dissolutions et les reformations de Trust, devient de 1986 à 1994 le guitariste attitré de Johnny Hallyday. Nono quitte Johnny pour sortir en 1995 un album Pop-Rock : TOUCH « Marche avec moi », produit par Rupert Hine pour EMI ; il a également participé à de très nombreux albums, pour différents artistes, notamment Jean Jacques Goldman, Florent Pagny, etc.

Style musical et thèmes[modifier | modifier le code]

Les paroles écrites par Bernie Bonvoisin pour Trust sont marquées par une certaine force, voire une relative agressivité, un rejet des mentalités bourgeoises et de la répression. Les textes de certaines chansons rejoignent les critiques anarcho-libertaires, en dénonçant les dérives de la démocratie (La grande illusion), les travers du système capitaliste qui écrase les travailleurs (Le sauvage), l'extrême droite (La junte), les violences du communisme soviétique (Les brutes), les sectes (Les sectes) et d'une manière générale tous les travers liberticides de notre société. Elles sont parfois marquées par une certaine provocation sexuelle (Le matteur).

En , le titre Darquier s'attaque à l'ancien Commissaire aux questions juives du régime de Vichy Louis Darquier de Pellepoix (qui décéda quatorze mois après la sortie du disque), ouvertement antisémite et collaborateur des occupants nazis pendant la Seconde Guerre mondiale et, à travers lui, à ceux qui ont fait le même choix sans être inquiétés jusqu'à leur mort. Malgré l'importance du sujet, Darquier ne sort que comme face B du 45 tours Le matteur (parfois en « version expurgée »). Cette chanson ne reverra le jour qu'en 1992 sur l'album Live.

Un autre titre franchement politique, Monsieur Comédie, est une chanson qui dénonce l'aide et l'asile politique fournis par les autorités françaises à Rouhollah Khomeini, hébergé avec son entourage à Neauphle-le-Château entre 1978 et février 1979 (asile que l'ayatollah n'avait apparemment pas demandé : il ne disposait que d'un visa de tourisme), alors qu'il préparait sa propre conception de la Révolution iranienne, commencée par d'autres, avec d'autres idées. Son retour en Iran fera bientôt de lui un grand « tortionnaire » et le Guide suprême de la République islamique, après avoir confisqué la Révolution iranienne et institué un régime de terreur.

Misère dénonce la politique réactionnaire et anti-sociale de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne et en Irlande du Nord à partir de 1979. Ce titre ne sera pas traduit pour la version anglaise de l'album Marche ou crève.

Les paroles de Bernie sont clairement marquées à gauche et donnent un air de révolte à toute une génération écrasée par le pouvoir politique de l'époque (Antisocial). Par exemple, Trust a évoqué plusieurs fois le cas de Jacques Mesrine, le décrivant comme un homme rejeté dans la criminalité par la société répressive, tout en dénonçant les conditions de détention dans les prisons françaises et l'esprit d'un système dans lequel tout est fait pour écarter « celui qui ne marche pas dans le rang », en mettant en chanson un texte écrit par Mesrine lui-même (Le mitard).

Membres[modifier | modifier le code]

Membres actuels[modifier | modifier le code]

Anciens membres[modifier | modifier le code]

  • Raymond « Ray » Manna - basse (1977-1980)
  • Christian Cheffeu - batterie (1977)
  • Omar Ben El Mabrouk - batterie (1977)
  • Kamel B. - batterie (1977)
  • Jean-Émile « Jeannot » Hanela - batterie (1977-1980)
  • Sherwin Rosman - batterie (1978)
  • Yves Brusco - basse (1980-1985) - guitare (2006-2011)
  • Kévin Morris - batterie (1980)
  • Nicko McBrain - batterie (1981-1982)
  • Mohamed « Moho » Chemlakh - guitare (1981-1983)
  • Clive Burr - batterie (1983)
  • Farid Medjane - batterie (1983-1985, 1988-1989, 2006-2011)
  • Thierry Dutru - batterie (1984)
  • Fred Guillemet - basse (1988)
  • Hervé Koster - batterie (1988, 1997-2000)
  • Nirox John - batterie (1996)
  • Bruno « Deck » Le Goff - DJing (2008-2011)
  • Franck Mantegari - batterie (2016)

Chronologie[modifier | modifier le code]

Discographie[modifier | modifier le code]

Albums studio[n 1][modifier | modifier le code]

Live[modifier | modifier le code]

Compilation[modifier | modifier le code]

Tribute[modifier | modifier le code]

Singles[modifier | modifier le code]

  • 1977 : Prends pas ton flingue / Paris by Night (single)
  • 1979 : L'Élite / Toujours pas une tune (single)
  • 1979 : Le Matteur / Darquier (single)
  • 1980 : Fatalité / Passe (single)
  • 1980 : Antisocial / Sects (promo single)
  • 1981 : Certitude... solitude... / Les templiers (single)
  • 1983 : Idéal / Toutes barricades (single)
  • 1984 : Serre les poings
  • 1988 : Petit Papa Noël / Paint It, Black (single)
  • 1992 : Antisocial 1980 (version originale) / Antisocial 1992 / Antisocial 1980 (live)
  • 1996 : On lèche, on lâche, on lynche / Ça vient, ça meurt (single)
  • 2000 : Trust (avec Bon Scott) (mini CD)

Vidéographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Versions françaises.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le metal français », sur Rolling Stone France, (consulté le ).
  2. Pierre Avril, Camion Blanc : PUNK & METAL Des liaisons dangereuses, éd. Camion Blanc, , 496 p. (ISBN 978-2-35779-869-4, lire en ligne).
  3. a b c d et e (en) Gérôme Guibert et Catherine Rudent, Made in France : Studies in Popular Music, Routledge, , 300 p. (ISBN 978-1-317-64570-2, lire en ligne).
  4. a et b Vivi, Mes années Trust, La vallée heureuse, , 149 p. (ISBN 978-2-36696-104-1), p. 39.
  5. « AC/DC : Ça fait 40 ans que Bon Scott est décédé, HEAVY1 TV publie une interview hommage avec Yves "Vivi" Brusco (ex-Trust) », sur MetalZone, (consulté le ).
  6. « Bernie Bonvoisin - "Le jour où mon ami Bon Scott est mort" », Paris Match,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. (en-GB) Michael Hann, « Old music: Trust – Le Mitard », The Guardian,‎ (ISSN 0261-3077, lire en ligne, consulté le ).
  8. « Trust », New Music,‎ (lire en ligne).
  9. Garry Sharpe Young, ANTHOLOGIE DU MÉTAL Tome 2, CAMION BLANC (ISBN 978-2-35779-636-2, lire en ligne).
  10. a et b « histoire d'une légende ».
  11. « On Tour 1982 », sur trust.connection.free.fr (consulté le ).
  12. « France Metal Museum », sur france.metal.museum.free.fr (consulté le ).
  13. « Trust (2) - Live - Paris By Night », sur Discogs (consulté le ).
  14. « Trust face à la ""justice pleine de vice"". », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. (en) « Resurrected TRUST To Perform Songs From First Three Albums At France's HELLFEST », sur Blabbermouth.net, (consulté le ).
  16. « Trust : le groupe se reforme pour son 40e anniversaire », sur Le Figaro, (consulté le ).
  17. Centre France, « Concert - En soutien à GM&S, Trust était sur la scène de La Souterraine vendredi soir », www.lamontagne.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Bernie Bonvoisin : "Il y a des sujets toujours d'actualité sur certains titres de Trust" », sur Franceinfo, (consulté le )
  19. « "Fils de lutte" : le rock contestataire de Trust n'a rien perdu de son énergie brute (Trust sort un nouvel album, "Fils de lutte", ce 27 septembre. Fidèle à son style, il continue de se faire la voix de la contestation sociale.) », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  20. Julien Dodon, « Un Jour / Un Son avec Trust se fait coffret pour "Recidiv" ! », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Page Facebook (officielle) de Trust > post du 5 juillet 2021
  22. Page Facebook (officielle) de Trust > post "Nouvel album de TRUST "Propaganda" Sortie prévue fin septembre 2022" du 29/06/2022
  23. rockmeeting.com > TRUST - RECIDIV / Re.ci.div - Les 3 premiers albums revisités en Live en Studio ! Chronique (par Marin Mantaux – 17 décembre 2020.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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