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Saint-Étienne-sur-Chalaronne

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Saint-Étienne-sur-Chalaronne
Saint-Étienne-sur-Chalaronne
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes Val de Saône Centre
Maire
Mandat
Gaëtan Fauvain
2022-2026
Code postal 01140
Code commune 01351
Démographie
Population
municipale
1 613 hab. (2021 en évolution de +4,88 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 09′ nord, 4° 52′ est
Altitude Min. 183 m
Max. 261 m
Superficie 20,99 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châtillon-sur-Chalaronne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Étienne-sur-Chalaronne
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Étienne-sur-Chalaronne
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Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Saint-Étienne-sur-Chalaronne
Liens
Site web saintetiennesurchalaronne.fr

Saint-Étienne-sur-Chalaronne est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes, plus exactement dans la Dombes.

Géographie

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Le village est situé dans le canton de Châtillon-sur-Chalaronne, à la limite avec celui de Villars-les-Dombes.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 853 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Baneins à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 880,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Saint-Étienne-sur-Chalaronne est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), prairies (35,4 %), forêts (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), zones urbanisées (5,2 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameau ancien (De Barbareschis, de Barbareschas, de Barbaresches) situé au nord-est de Saint-Étienne-sur-Chalaronne.

Barrotières (les)

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Ancien étang à Saint-Étienne-sur-Chalaronne. Le , Jean Rolet obtint l'autorisation de comprendre dans cet étang le chemin du moulin de Nonnet à Ville Solier[12].

Hameau au nord du bourg, nommé anciennement Beseneins (Villa Basinen, Basenenc, Basenens, Baysenens, Bezeneins).

Durant la Révolution française, la commune prend temporairement le nom de Chalaronne[13].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Saint-Étienne-sur-Chalaronne est membre de la communauté de communes Val de Saône Centre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Montceaux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[8]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Châtillon-sur-Chalaronne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la quatrième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[15].

Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2022 En cours Gaëtan Fauvain    
mars 2008 mars 2022 Serge Varvier DVD Retraité Fonction publique
mars 2001 mars 2008 Guy Renaud    
juin 1995 mars 2001 Charles Bailly    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

En 2021, la commune comptait 1 613 habitants[Note 1], en évolution de +4,88 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1961 2941 2941 4391 4841 6061 6151 6011 639
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6271 5571 5451 4601 4681 4111 3431 3601 346
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2441 2131 2061 1081 034990967938917
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8638788288081 0371 1791 3711 4021 490
2017 2021 - - - - - - -
1 5551 613-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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  • Jean-Marie Arriveur [21], né le 25 mai 1728 à Saint-etienne-sur-chalaronne, décédé le 23 avril 1800 à Genouilleux-en-dombes, député de 1789 à 1791.
  • Marcel Rozier (Saint-Étienne-sur-Chalaronne 1936 -), champion olympique en équitation .

Espaces verts et fleurissement

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En 2014, la commune de Saint-Étienne-sur-Chalaronne bénéficie du label « ville fleurie » avec « trois fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[22].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Étienne-sur-Chalaronne et Baneins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Arch. nationales, P, 1558, c. 591.
  13. « Noms révolutionnaires des communes du département de l'Ain », sur ain-genealogie.fr (consulté le ).
  14. « communauté de communes Val de Saône Centre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. a et b Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 26 (cf. Saint-Étienne-sur-Chalaronne).
  21. « Jean-Marie Arriveur - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  22. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).

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Article connexe

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