Gellenoncourt

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Gellenoncourt
Gellenoncourt
Mairie.
Blason de Gellenoncourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes de Seille et Grand Couronné
Maire
Mandat
Patrick Poirel
2020-2026
Code postal 54110
Code commune 54219
Démographie
Population
municipale
82 hab. (2021 en augmentation de 7,89 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 43″ nord, 6° 23′ 13″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 269 m
Superficie 3,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand Couronné
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Gellenoncourt
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Gellenoncourt
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Gellenoncourt

Gellenoncourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le territoire est limitrophe de 5 autres communes. Sa superficie est de 361 hectares. Gellenoncourt est à 21 km du centre de Nancy, à 17 km de Lunéville et à 10 km de Champenoux, siège de la communauté de communes Seille et Grand Couronné. La commune a la charge de deux sections de routes communales distinctes avec la particularité qu'aucune ne rejoint la zone urbaine. Le village est desservi par la route départementale D 80A. Le territoire ne comprend pas de massif boisé et par conséquent, la commune n'a pas de ressource forestière.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de Gellenoncourt est séparé au nord-est de celui de Réméréville par une rivière, la Roanne. Il est également séparé, au sud-ouest, de celui de Haraucourt par le ruisseau des Goulottes. Un autre petit ruisseau, que les habitants appellent la Pissotte, prend sa source à l'extrémité sud-est, passe tout près du village au nord-est et va se jeter dans la Roanne à l'ouest, à proximité du pont sur la D80. Il ne quitte jamais le territoire communal et sa longueur est de 2,94 km. La totalité des eaux territoriales aboutissent à la Roanne, affluent de la Meurthe, elle-même affluent de la Moselle.

Communes limitrophes de Gellenoncourt
Réméréville Courbesseaux
Buissoncourt Gellenoncourt
Haraucourt Drouville

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gellenoncourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,1 %), terres arables (49,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Évolution du toponyme : Le nom du village se serait formé à partir de Gelnonis-Curia[14]. Il est ensuite passé par les formes suivantes : Hadewidis de Geveroncort en 1178, Gillerancourt en 1284, Geleraucourt en 1333, Gelelancourt en 1319, Gelnancourt en 1502, Genellaincourt en 1562[15]. A la fin du Moyen Âge, Gellenoncourt est parfois appelé Beaufort, du nom du seigneur détenant le fief[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Destructions de la Grande Guerre.

Période pré-romaine[modifier | modifier le code]

Selon plusieurs historiens locaux, il aurait existé une voie pré-romaine reliant Saint-Nicolas-de-Port à Marsal. Ce chemin passerait sous l'actuelle route communale en direction de Courbesseaux, parfois appelée chemin des Allemands.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

1317 : Collin d'Aumécourt écuyer, déclare être homme de lige pour ce qu'il est possède à Athienville, Hoéville et Gellenoncourt[16].

XIVe siècle : Réméréville est le chef-lieu d'une mairie comprenant aussi Buissoncourt, Cercueil (Cerville) et Beaufort. Beaufort est en réalité Gellenoncourt qui prend ici le nom du seigneur détenant le fief[14].

1333 : Aymars, évêque de Metz engage en garantie d'un prêt, la moitié de plusieurs bans et mairies dont le ban de Geleraucourt (Gellenoncourt)[14].

Ancien régime[modifier | modifier le code]

1571, le  : pour éviter les conflits de juridiction entre le duché de Lorraine et l'évêché de Metz, un traité décide que la Lorraine aura le ban de Réméréville comprenant Beaufort (Gellenoncourt), Cercueil (Cerville), Buissoncourt, Erbéviller et Réméréville[17]. Cette décision ne fut que partielle dans les faits. Seuls Gellenoncourt et Cercueil (Cerville) restèrent attachés à la Lorraine. Les autres faisaient partie de l'évêché de Metz à la veille de la Révolution.

1582 : le duc de Lorraine est seul haut, moyen et bas justicier à Gellenoncourt, et lui appartenant tous commandements, création de maire et justice, confiscations, épaves, attrahières[18], hautes amendes, basses, moyennes et tous autres droits seigneuriaux de quelle condition qu'ils soient. Les prisons sont au château d'Einville puisque le village est de cette prévôté ainsi que la châtellenie et la recette[16].

1587, le  : le duc Charles III de Lorraine cède à François de Beaufort De Pulligny la terre et seigneurie de Gellenoncourt[16].

1588, le  : François de Beaufort de Pulligny obtient des lettres qui lui permettent de prendre la qualité d'écuyer, de quitter le nom et les armes de Beaufort pour prendre ceux de Gellenoncourt dont il est le seigneur. La même année, il acquiert à Nancy, au 4 rue des Loups, un lot de terrain qui lui permettra de construire l'hôtel de Gellenoncourt[19]. François de Gellenoncourt est honoré du titre de chambellan par Charles III de Lorraine. Il s'installe au château de Gellenoncourt et y fait des réparations[20]. Il profite de ses relations pour transformer la chapelle du village en église paroissiale.

1594 : prévôté et châtellenie d'Einville. Gellenoncourt est mentionné comme fief dans le dénombrement de cette année[14].

1601, le ou le 14 août : des lettres de Charles, cardinal de Lorraine, autorisent l'érection en cure de l'église de Gellenoncourt, auparavant annexe de Drouville[16]. On lit dans le registre général d'un pouillé du diocèse de Toul : « Ecclesia separa ab ecclesia parochiali de Drouville et erecta in ecclesiam parochialem.... Institutio 14 augusti 1601 »[21].

La guerre de Trente Ans dépeupla le village, qui se releva vers le milieu du XVIIe siècle.

1663, le  : le sieur Hennequin fait ses reprises pour la seigneurie de Gellenoncourt[16].

À la fin du XVIIe siècle, Ferdinand de Hennequin, comte de Curel et de Fresnel, chevalier et baron du Saint-Empire, est seigneur de Gellenoncourt[22].

Dans la déclaration portant réglement pour les cinq hauts-conduits de Lorraine & Barrois d'août 1704, Gellenoncourt est mentionné comme membre de la prévôté d'Einville-au-Jard[23].

1710 : prévôté et châtellenie d'Einville, bailliage de Nancy[14].

1712 : la communauté n'est constituée que de l'admodiateur (orthographe de l'époque), de 4 laboureurs et d'un manouvrier[16].

1751 : bailliage de Lunéville, généralité de Nancy, coutumes de Lorraine[14].

1768 : il y a 25 feux (foyers) et 106 communiants[16]. Il faut probablement comprendre 106 personnes communiant à la messe dominicale ?

1771, le  : Charles-François d'Hennequin, comte de Curel, gentilhomme de la chambre du feu roi de Pologne , déclare tenir du roi (de France) à titre patrimonial et sans part d'autrui, la terre et seigneurie de Gellenoncourt en haute, moyenne et basse justice ; consistant en château, grange, colombier, maisons, etc.[16].

1772 : les habitants jouissent d'un droit de pâturage d'environ 20 à 25 jours (4 à 5 ha) entre Gellenoncourt et Haraucourt[16].

1770-1791 : procès entre les communautés de Gellenoncourt et d'Haraucourt à propos des grands paquis[24].

1779 : Gellenoncourt est curieusement mentionné dans le diocèse de Metz[14].

Le 16 août 1787 parait une annonce à propos de la vente de la seigneurie de Gellenoncourt. Elle est alors composée des droits de haute, moyenne et basse justice ; des droits de collation de la cure ; des droits de chasse, bergerie, marcairerie, colombier, cens et rentes ; de 275 jours (~55 ha) de terre et de 40 fauchées de prés ; de portions de dîme à Courbesseaux et à Hoëville et d'un revenu annuel de 2400 livres[25]. La même terre est de nouveau en vente en janvier 1789[26].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

1790 : Gellenoncourt fait partie du canton de Buissoncourt[14].

Selon les statistiques du département de la Meurthe, Hyacinthe JACQUEMOT curé de Gellenoncourt prête serment à la constitution et lit le jour même en public la lettre de l'évêque constitutionnel 10 juillet 1791[27]. Cependant, Jacquemot contesta l'interprétation de son serment faite par la municipalité. Il rappela que sa déclaration contenait une restriction non rapportée dans le compte rendu officiel[28]. Aux élections des cures vacantes des 24-, Jacquemot est remplacé mais on n'a aucune trace de son successeur. Il fait une rapide apparition à Gellenoncourt en 1797 mais n'y demeure pas. En 1802, il est nommé curé de Faulx[29],[30]. Tout porte à croire qu'il est le dernier curé résidant de Gellenoncourt.

Peu de temps avant la mise en place du Concordat, le préfet de la Meurthe avait ordonné une réunion des conseils municipaux de Haraucourt et de Gellenoncourt pour étudier la fusion des deux paroisses. Le Conseil de Gellenoncourt disait que ce n'était pas possible, son église convenait très bien pour ses habitants alors que celle d'Haraucourt était trop petite pour accueillir les deux populations, les chemins entre Haraucourt et Gellenoncourt étaient souvent impraticables. En conséquence de ce refus, Gellenoncourt devient une annexe de Haraucourt en 1802. Le village compte 100 habitants à cette date[14],[31].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

1822 : 95 habitants, 21 feux[14].

1852, le  : érection d'une chapelle[16]. Henri Lepage ne précise pas à quel endroit. Il s'agit probablement du décret n° 7086 du prince-président, contresigné par le ministre de l'éducation et des cultes. Ce décret érige l'église de Gellenoncourt en chapelle de secours[32].

1853 : la cure est redevenue annexe de Drouville[16], probablement depuis 1802.

1838 : le duc et la duchesse d'Orléans versent 100 francs au profit de l'église de Gellenoncourt[33].

1889, le 16 novembre : la société Marchéville-Daguin ayant son siège à Saint-Nicolas-de-Port dépose une demande d'extension de concession minière de sel gemme incluant le territoire de Gellenoncourt[34].

En 1891, l'annuaire français de l'épicerie recense 1 cabaret à Gellenoncourt[35].

En 1905, la maison forte de Gellenoncourt appartient à monsieur d'Arbois de Jubainville[36].

1914 : la Grande guerre fit de nombreuses destructions dans la ville. Le site "mémoire des hommes" recense 133 fiches de soldats français tués sur le territoire communal en août et . Il y eut une victime civile lors des bombardements du village. Le nombre de soldats allemands tués sur la commune est important mais les archives ne sont pas disponibles.

1921, le 20 janvier a lieu l'adjudication des travaux de déblaiement des rues, pour évacuer les gravats résultant des bombardements du village. Le montant des travaux est estimé à 20 000 francs[37].

1960 : l'école communale ferme définitivement cette année là. Jean-Claude Michel est le dernier instituteur à Gellenoncourt.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1768[38] 1790 Joseph François Geoffroy    
1790 1792 Joseph Christophe Poirel   Admodiateur [39]
1792 an 4 Dominique Burtin   Officier public [40]
an 4 an 5 Joseph Christophe Poirel   Agent de la commune [41]
an 5 an 6 Jean Joseph Poirel   Agent de la commune [42]
an 6 an 7 Antoine Burtin   Agent de la commune [43]
an 7 8 Joseph Christophe Poirel   Agent de la commune [44]
an 8 an 8 Pierre Pierot   agent de la commune [45]
an 8 1820 Nicola François Xavier Gellenoncourt   Maire [46]
1820[47] 1836 Pierre Pierot    
1836[48] 1838 Alexis Victor Voinier    
1838[49] 1848 Dominique Burtin    
1848[50] 1849 Jean Joseph Geoffroy    
1849[51] 1857 Isidore Geoffroy    
1857 [52] 1872 François Burtin    
1872[53] après 1872 Charles Geoffroy    
avant 1876 après 1901 Dominique Burtin    
avant 1906 1929 François Burtin    
1929 1930 Edmond Xardel[54]    
1930 1977 Charles Poirel royaliste  
1977 mars 2008 Paule Durand PS fille du précédent
mars 2008 2014 Marie-Luce Lejeune    
mars 2014 En cours Patrick Poirel
Réélu pour le mandat 2020-2026
   

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

En 2021, la commune comptait 82 habitants[Note 4], en augmentation de 7,89 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7510010682911051138087
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
939488857977767064
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
576533373939475335
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
413034363534355873
2019 2021 - - - - - - -
7982-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le village est essentiellement agricole. Il compte 2 exploitations en 2019. Le territoire fait l'objet d'une exploitation minière du sel gemme par sondages hydrauliques souterrains. Cette industrie provoque des désordres géologiques irréversibles. La compagnie des salins du midi et des salines de l'Est est l'unique concessionnaire de cette ressource. Cette activité ne génère aucun emploi dans la Commune et son produit fiscal, sous forme de péréquation de la redevance des mines, est insignifiant.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Maison forte des XVIe et XVIIe siècles, gravement endommagée lors des combats d' : les deux tours carrées disparaissent à cette période.
  • Saint-Claude : à l'extrémité Sud du territoire, à une centaine de mètres de l'actuelle route Haraucourt-Drouville et à l'extrémité du chemin rural de Crévic, on peut apercevoir à l'époque des labours, des restes de construction. La carte de Mercator nomme cet endroit Saint-Claude[59]. Dans l'accord de 1601 autorisant l'érection d'une paroisse à Gellenoncourt, il est mentionné un ermitage présentement ruiné[60]. Il s'agit très probablement de Saint-Claude.

Édifice religieux[modifier | modifier le code]

  • Église de l'Assomption construite en 1772[61], en grande partie détruite en et rebâtie après le premier conflit mondial ; tour romane remaniée, nef XIXe siècle.
  • Pompe.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gellenoncourt Blason
D'or au léopard de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Blason populaire[modifier | modifier le code]

Les habitants avaient pour sobriquet «les gros sabots»[62].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Gellenoncourt et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  14. a b c d e f g h i j et k « Le département de la Meurthe, 2e partie par Henri Lepage », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  15. « Dictionnaire topographique de la Meurthe par Henri Lepage », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  16. a b c d e f g h i j et k « Les communes de la Meurthe par Henri Lepage », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  17. « mémoire de la société d'archéologie lorraine », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  18. « ATTRAHIÈRE : Définition de ATTRAHIÈRE », sur cnrtl.fr (consulté le ).
  19. « Le pays Lorrain », sur gallica.bnf.fr, bimensuel, (consulté le ).
  20. Archives de Meurthe-et-Moselle, Nancy, série B n° 6856.
  21. « Recueil de documents sur l'histoire de Lorraine », sur Gallica, (consulté le ).
  22. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Bulletin mensuel de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ).
  23. Lorraine (Duché) Auteur du texte, Recueil des édits ordonnances, déclarations, tarifs, traités, règlemens et arrêts sur le fait des droits de haut-conduit, entrée et issue... foraine, traverse, impôt sur les toiles et acquits à caution de Lorraine et Barrois, avec une instruction pour les receveurs des droits de la marque des fers, (lire en ligne)
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