Aller au contenu

Discussion utilisatrice:Ambre Troizat/Archive 3

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lien interne[modifier le code]

Lien externe[modifier le code]

--Ambre Troizat 7 mai 2009 à 00:33 (CEST)


Joseph Bologne de Saint-George 10 mai 2009 à 02:01[modifier le code]

--Ambre Troizat 10 mai 2009 à 02:08 (CEST)

Joseph Bologne, chevalier de Saint-George, (1745 – 1799)[modifier le code]

Joseph Bologne Saint-George, plus connu sous le nom de chevalier de Saint-George, né à Baillif en Guadeloupe le [1],[2], sur le site de "La Sucrerie de Clairefontaine", et mort le à Paris, est un violoniste, compositeur, cavalier et escrimeur français. Sa mère, Anne, dite Nanon, née vers 1723 au Lamentin[3], en Guadeloupe est une esclave d’origine africaine. Son père, Georges de Bologne de Saint-George (1711-1774), colon protestant d’origine néerlandaise, est propriétaire de plantation[4].

Deux années après sa naissance, en décembre 1747[5], Georges de Bologne Saint-George doit quitter Basse-Terre précipitamment. En consultant les minutes d'un jugement[6] qui a été conservé, nous apprenons qu'au cours d’une visite à son oncle Samuel de Bologne, Georges de Bologne et Pierre-Julien Le Vanier de Saint-Robert qui ont fait ample consommation de "ponche", en viennent à se battre en duel.

Le Vanier de Saint-Robert qui semblait avoir été blessé sans gravité, meurt trois jours plus tard. La blessure provoquée par un coup d'épée a probablement entraîné le "tintanos" comme le rapport le mentionne.

Georges de Bologne sait qu’il va être accusé d’homicide et qu’il risque la confiscation de ses biens. Craignant que sa chère Nanon et son fils ne soient vendus avec tous les esclaves de la plantation, Georges de Bologne décide de quitter l’île et de prendre un navire en partance pour le port de Bordeaux.

Il a été bien avisé de quitter la Guadeloupe car il est condamné à mort par contumace, à la confiscation de tous ses biens et pendu en effigie sur la place de Basse-Terre en mai 1748[7].

Deux années plus tard, Pierre de Bologne[8], Conseiller du Roi, plaide la cause de son frère auprès du Souverain et obtient des lettres de rémission[9]. Georges de Bologne peut alors retourner à la Guadeloupe et recouvrer ses biens après un séjour de deux années chez Pierre à Angoulême.

L'éducation d'un chevalier français dans la seconde moitié du XVIIIème[modifier le code]

En 1753, alors que l’enfant n’a que huit ans, Georges de Bologne décide de faire donner à son fils une éducation de jeune aristocrate et part avec lui pour la France. Deux ans plus tard, Nanon rejoint son fils et vit sous le toit de Georges. Quand Joseph a 13 ans, avant de repartir pour La Guadeloupe, Georges place son fils en pension chez Nicolas Texier de la Boëssière, homme de lettres et excellent maître d’armes, qui va coordonner les études du jeune Joseph et devenir son père spirituel.

La Boëssière fait de son élève un fleurettiste d’exception et dès l'âge de quinze ans, le jeune Joseph domine les plus forts tireurs. C'est incontestablement la plus fine lame de son temps, peut-être "l’homme le plus prodigieux qu'on ait vu dans les armes" , dira de lui Antoine La Boëssière, le fils de Texier, qui sera l’ami indéfectible de Joseph. Il ne faut pas oublier que les aristocrates forment alors le corps social appelé "la noblesse d'épée". Seuls les nobles sont alors dignes de porter l'épée et d'apprendre à s'en servir. "Figurer parmi cette aristocratie, et à la première place encore, n’est donc pas rien"[10], cette litote de Claude Ribbe ayant valeur de superlatif absolu.

Carrière militaire[modifier le code]

Contrôleur ordinaire des guerres[modifier le code]

Pierre Bardin nous apprend que le Georges de Bologne achète pour son fils une charge de "Conseiller du Roy", contrôleur ordinaire des guerres[11]" qui lui donne droit au titre d’écuyer et le 8 juin en la Grande Chancellerie de France, les magistrats donnent officiellement leur agrément à cette vente.

Une dispense lui a été octroyée. Pierre Bardin présume que Georges de Bologne a fait jouer à plein l’article 59 du Code Noir selon lequel "les affranchis ont les mêmes droits, privilèges et immunités dont jouissent les personnes nées libres". Joseph de Saint-George conservera cette charge pendant onze années et pourra prendre le titre de chevalier comme tel est son droit.

Légion du Midi ou des Américains[modifier le code]

Cet office permet de comprendre pourquoi, la Révolution venue, on lui confiera le commandement d’un régiment de cavalerie légère[12], moins pour ses qualités d’escrimeur que parce qu’il a acquis des compétences de gestionnaire. Pierre Bardin nous apprend aussi que Joseph de Saint-George, écuyer, demeurant rue Saint-André des Arts, est inscrit sur les registres des gendarmes de la garde du Roi le et non en 1761 comme d’autres biographes l’ont mentionné[13].

La carrière du musicien et directeur de théâtre[modifier le code]

Mais avant toute chose, Saint-Georges est un musicien, violoniste virtuose, compositeur de sonates, de symphonies concertantes pour quatuor d'archets, de concertos et de comédies mêlées d'ariettes. Chef d’orchestre respecté, il va diriger les formations les plus prestigieuses de France et probablement d’Europe. Il commence par diriger Le Concert des Amateurs, l’un des orchestres les plus prestigieux de l’époque avant qu’on lui confie d’autres formations telles que Le Concert Spirituel et plus tard Le Concert de La « Société Olympique »[14], l’une des fondations du Grand Orient de France dont le Grand Maître est le futur Philippe-Egalité.

Saint-George évincé de la direction de l'Académie Royale de Musique[modifier le code]

Candidat pour diriger L’Académie Royale de Musique, il en est évincé lorsque deux chanteuses, Sophie Arnould et Rosalie Levasseur, ainsi qu’une danseuse, Marie-Madeleine Guimard, adressent un placet à la reine pour "représenter à Sa Majesté que leur honneur et la délicatesse de leur conscience ne leur permettraient jamais d’être soumises aux ordres d’un mulâtre". Ce fut là assurément un acte de racisme caractérisé. Toutefois, Gabriel Banat, dans sa biographie intitulée "The Chevalier de Saint-Georges, Virtuoso of the Sword and the Bow"[15], s’est demandé si les préjugés de ces dames furent la cause majeure du rejet de Saint-Georges à la direction de cette institution. Les divas auraient agi de la sorte pour sauvegarder leurs intérêts et leur désir de contrôler cette prestigieuse maison. Saint-Georges se proposait de réorganiser l’Opéra et les réformes qu’il n’aurait probablement pas manqué d’apporter auraient fait craindre à ces dames d’être supplantées par de nouvelles recrues.

Puisque l’on récusait Saint-George - à ses yeux le candidat le plus valeureux - Louis XVI, mis au fait de cette cabale, lui rend hommage en ne nommant personne. Il prend la décision de faire administrer L’Académie Royale de Musique par Papillon de la Ferté, l’un des intendants et trésoriers de ses menus plaisirs. Or, il se trouvait que le dit Papillon de la Ferté n’était rien d’autre que «l’amant de cœur» de Madeleine Guimard.

En vérité, explique Gabriel Banat, chaque membre de cette cabale allait tirer profit de cette intrigue. Les cantatrices furent assurées que « le statut quo » serait maintenu. De plus, « La Guimard », par l’intermédiaire de son amant, aurait virtuellement les pleins pouvoirs à l’Opéra[16]

Heureuse compensation, Madame de Montesson, l’épouse du duc d’Orléans, lui confie la direction de son théâtre privé et lui demande d’être le maître de cérémonie de son salon. En outre, Saint-George devient l’un des familiers de Marie-Antoinette. A ce propos, il convient de dire sans nulle ambiguïté qu’il n’y eut aucune relation intime entre Saint-Georges et la Reine comme on a pu parfois l’écrire. Pierre Bardin est formel sur ce point. Il estime tout simplement la chose impensable.

Dans ses Chroniques de l’œil-de-bœuf[17], Touchard-Lafosse rapporte des rumeurs selon lesquelles, le Roi et la cour n’auraient pu supporter que Marie-Antoinette "fasse de la musique" avec ce séduisant Américain des îles.

Lorsque le 22 avril 1779, vers minuit, Saint-Georges est agressé dans les rues de Paris alors qu’il rentre chez lui en compagnie de l’un de ses amis, des esprits malveillants avancent que cette expédition punitive a été décidée par les services secrets du Monarque.

Il est intéressant de savoir que cette agression est rapportée différemment par plusieurs mémorialistes de l’époque et ultérieurement par les biographes du Chevalier, exemples parmi bien d’autres de la fragilité des témoignages, fussent-ils écrits par des contemporains.

Dans l'un des trente-six volumes de ses Mémoires Secrets, Louis Petit de Bachaumont mentionne que l’agression a eu lieu dans la nuit du 1er mai 1779. Cette date est erronée et de plus, il rapporte que Saint-George a été assailli par six hommes. Lui et son ami se seraient vaillamment défendus et ont été providentiellement sauvés par le gué et ses hommes en armes.

Pierre Lefébure de Beauvray, un échotier de l’époque, auteur d’un ouvrage intitulé Journal d’un bourgeois de Popincourt, attribue à Saint-Georges une liaison amoureuse avec la marquise Marie-Joséphine de Montalembert, jeune épouse d’un vieux général. Le commanditaire de l’agression serait donc le Baron de Montalembert[18], désireux de venger son honneur et de punir le séducteur en montant une opération nocturne.

Pierre Bardin a exhumé des archives du Commissaire au Châtelet une version inédite qui devrait seule faire autorité. Il a démontré qu’il y eut ce jour-là « erreur sur la personne ». C’est son ami qui était visé par un mari bafoué et non Saint-Georges.

En 1777, Saint-George fait jouer Ernestine, une comédie à ariettes en trois actes dont le livret a été rédigé par Choderlos de Laclos.

Protégé par la maison d’Orléans et ami du futur Philippe-Égalité, Saint-George se lie, lors de l’un de ses séjours à Londres, avec un autre escrimeur talentueux, le chevalier d'Éon avec qui il croisera le fer en présence du Prince de Galles.

Saint-George & la Révolution[modifier le code]

À la Révolution, Saint-George s’installe à Lille et s’engage dans la Garde nationale avec le grade de capitaine. Le 7 septembre 1792, il devient colonel de La Légion Franche des Américains et du Midi, en partie composée d’Afro-Antillais. L’un des officiers sous ses ordres s’appelle Alexandre Dumas, futur général d’empire et père de l’auteur des Trois Mousquetaires. La Légion est formée à Laon avant de rejoindre Lille et l’armée du Nord sous la nouvelle désignation de 13e régiment de chasseurs à cheval. Elle est envoyée au feu contre les Autrichiens.

Suspecté de sympathies royalistes – notamment au moment de la trahison de Dumouriez[19] – le chevalier est destitué de son commandement par Bouchotte[20], ministre de la Guerre. Le 4 novembre 1793, il est arrêté à Château-Thierry, malgré le soutien de la municipalité. Incarcéré d’abord à Chantilly, puis au château d’Hondainville (Oise), il est enfin libéré, après presque une année de détention, par ordre du Comité de sûreté générale. Tombant sous le coup d’une loi visant à épurer l’armée de ses officiers royalistes après l’insurrection de Vendémiaire (octobre 1795), il est définitivement révoqué.

Les biographes du Chevalier affirment que Saint-George a séjourné de 1795 à 1797 à Saint-Domingue. Il est un fait que Louise Fusil, partenaire artistique de Saint-Georges, écrit dans ses Souvenirs d’une actrice, ouvrage publié en 1841, que "Saint-Georges et son ami Lamothe étaient partis pour Saint-Domingue qui était en pleine révolution ; on répandit même le bruit qu’ils avaient été pendus dans une émeute". Et elle ajoute : "Depuis assez longtemps je les croyais morts et je leur avais donné tous mes regrets…" Aussi laisse-t-elle éclater sa joie en les retrouvant dans les jardins du Palais Royal.

Pierre Bardin tout en prenant acte de ce témoignage, émet un doute sur ce séjour car on n’a trouvé nulle trace de Saint-Georges dans la presse de l’époque ou dans les archives des manifestes de navires en partance des ports français pour Saint-Domingue ou effectuant des traversées de retour en France. Il en vient même à penser qu’il ne s’est peut-être pas rendu à Saint-Domingue en définitive et, qu’après son éviction des armées de la Révolution il n’a pas quitté la France.

En tout cas, il semble peu probable qu’il ait fait partie de la délégation officielle des commissaires civils envoyés à Saint-Domingue avec, à leur tête, Léger-Félicité Sonthonax, l’ami de Brissot fondateur de la Société des Amis des Noirs.

L'oubli et la mémoire[modifier le code]

Plusieurs articles biographiques avancent que Saint-George connaît une deuxième mort quand le général Bonaparte, premier consul de la première République Française, après avoir rétabli l’esclavage aux Antilles le 20 mai 1802, fait brûler une partie de ses œuvres[réf. nécessaire]. Saint-George est alors jeté aux oubliettes de l’histoire et sa musique cesse d’être jouée[21]..

Ce sont là des affirmations contestables, voire gratuites puisque nul document ne corrobore ces dires. Laure Tressens et Vincent Podevin-Bauduin, auteurs d’une monographie, intitulée Le Fleuret et l'Archet, publiée lors d’une exposition à La Guadeloupe pour célébrer le 200e anniversaire de la mort de Saint-Georges, sont plutôt d’avis que « Saint-Georges fut avant tout un musicien de son époque... La musique des années 1770-1790 se caractérisait par sa légèreté et son charme et le romantisme qui devait triompher par la suite préférait, aux concerts galants, les grands développements des symphonies…»

Pierre Bardin lui aussi pense que «sa musique subit le même relatif oubli que celles écrites par Vivaldi, Bach, Mozart, Rameau ou Jean-Marie Leclair, supplantées dans le goût du public, et c’était normal, par Beethoven, Schubert, Liszt, Chopin ou Berlioz

Saint-George dans la littérature du XIXème[modifier le code]

De plus, il est faux de clamer que Saint-Georges a été oublié au XIXe siècle car son souvenir perdure bien après sa mort. Son nom et ses exploits paraissent dans plusieurs romans de Balzac[22].

Alexandre Dumas met Saint-Georges en scène dans La pièce d’eau des Suisses , chapitre IX, du Collier de la Reine, publié en 1849 :

«Parfois un cri d'admiration part du milieu de l'assemblée. C'est que Saint-Georges, le hardi patineur, vient d'exécuter un cercle, si parfait, qu'un géomètre en le mesurant n'y trouverait pas un défaut sensible.»

Roger de Bully, dit Roger de Beauvoir, publie fin 1840 un roman de fiction historique à succès, intitulé Le Chevalier de Saint-Georges, lequel – n’en déplaise à ceux qui le dénigrent - est un roman dans la veine des œuvres d’Alexandre Dumas. Ce roman fera d’ailleurs l’objet de plusieurs réimpressions au cours du siècle.

Au cours de l’année 1840, ce même Roger de Beauvoir fait jouer au Théâtre des Variétés une adaptation théâtrale de son roman en signant ce texte avec Anne-Honoré-Joseph Duveyrier dit Mélesville, auteur de théâtre et metteur en scène reconnu.

En 1841, Louise Fusil publie ses Souvenirs d’une Actrice et parle avec admiration du charisme de Saint-Georges qui fut son partenaire.

En 1922 Lionel de La Laurencie, dans son École Française du de violon de Lully à Viotti, consacre un long développement à la vie et à l’œuvre musicale de Saint-Georges.

Chose intéressante, de même que nous devons à Antoine La Boëssière et à Henry Angelo[23], deux professionnels de l’escrime, quelques pages sur la personnalité de Saint-Georges et surtout son habileté exceptionnelle comme fleurettiste, Joseph Bologne est cité par presque tous les maîtres d’armes des XIXe et XXe siècles, auteurs de traités ou de livres sur l’histoire de l’escrime.

La mort d'un Homme de couleur libre dans le siècle des Lumières[modifier le code]

Saint-George meurt à Paris le 10 juin 1799 d’une infection de la vessie. Contrairement à ce qui a pu être écrit, sa mort est honorée dignement et tous les journaux de l’époque lui rendent hommage.

En janvier 2009, après la publication de sa biographie, P. Bardin a fait une communication inédite[24] : après avoir découvert un rapport qui atteste de l’admiration que les professionnels des armes vouaient au Chevalier de Saint-Georges. Ce document confirme que cet éclatant Chevalier n’est pas mort abandonné de tous et oublié. Cette découverte permet aussi d’apprendre que Saint George fut inhumé au « Temple de la Liberté et de l’Egalité » appelée auparavant l’église Sainte Marguerite, débaptisée comme nombre d’églises sous la Révolution.

Nous savons donc désormais que le [25] à huit heures du soir, le commissaire de police de la Section de Montreuil voit entrer quatre personnages à la mise soignée : deux professeurs en fait d’armes, Jean-Pierre Gomard et Philibert Menissier fils, le chef d’escadron Charles François Talmet, et le citoyen Pierre Nicolas Beaugrand, ancien chef de bureau à l’Assemblée Nationale. Ils viennent tous quatre déposer une requête après le décès du citoyen Joseph Bologne dit Saint George, chef de brigade du treizième régiment de chasseurs à cheval[26], dont le corps a été porté en ce jour dans une bière au Temple de la Liberté et de l’Egalité du huitième arrondissement.

"Comme les déclarants ont connu parfaitement le défunt, qu’ils étaient étroitement liés d’amitié avec lui, désirent exhumer le corps du dit défunt pour le mettre dans un cercueil de plomb. Ils se sont donc présentés devant nous à l’effet de pouvoir parvenir à remplir l’exécution de leurs sentiments, si toutefois rien n’est contraire au principe des lois, affirmant le tout pour être sincère et véritable et ont signé avec nous après lecture faite."

Postérité[modifier le code]

En décembre 2001, la rue Richepanse (du nom du général ayant rétabli l’esclavage à la Guadeloupe sur ordre de Bonaparte) partagée entre le 1er arrondissement de Paris (numéros pairs) et le 8e arrondissement de Paris (numéros impairs), a été débaptisée pour devenir la rue du Chevalier-de-Saint-George, la plaque mentionne toutefois une date de naissance erronée (1739, au lieu de 1745).

À l’automne 2004, un spectacle écrit par Claude Ribbe, mis en scène par Bartabas et consacré à Saint-George, est joué à Versailles devant 50 000 spectateurs.

En 2005, Alain Guédé a écrit un livret d’opéra sur la vie et l’œuvre de Saint-George, intitulé Le Nègre des Lumières, créé sur la scène de l’Opéra-Théâtre d’Avignon

En 2006, la Compagnie Prodanza, a créé à La Havane un ballet, intitulé "El Mozart Negro", sur des extraits d’oeuvres du chevalier de Saint-Georges. L’agression subi par Saint-Georges dans les rues de Paris que nous avons évoquée, a inspiré une superbe chorégraphie duelliste entre Saint-Georges et les gardes du Roi.

Les 10 et 11 mai 2007 à l'occasion de la journée de Commémoration Nationale des Abolitions de l'Esclavage et des Traites[27], instituée par la loi Taubira, le Collège Victor Hugo de Saint-Yorre a donné un spectacle retraçant la vie et l'œuvre du Chevalier de Saint-Georges : spectacle total avec des scènes de théâtre, musique, ballet, assauts de fleuret, danse, chœurs et orchestre. Ce remarquable spectacle a valu au Collège Victor Hugo «Le Prix des Droits de l’Homme René Cassin 2007[28]».

Le titre annexe de ce spectacle était "La Table de Marbre", nom d’une ancienne juridiction de l’Ancien Régime. Les vassaux étaient jadis tenus d’apporter leurs redevances à chaque Seigneur, chacun d’eux se tenant derrière une table de marbre.

Le 10 mai 1762, Guillaume Poncet de la Grave, Procureur du Roi à l’Amirauté de Paris, recommande au Roi de faire un recensement de tous les hommes et les femmes de couleur vivant sur le sol français. Gabriel Banat a retrouvé le document de l’inscription de Nanon qui se présente devant cette juridiction. Sur cette déclaration, nous pouvons lire que Nanon est âgée de 34 ans. Elle serait donc née en 1728.

Quant à Joseph, il est représenté par Texier de la Boëssière, son maître d’armes et père spirituel.

L'œuvre de Saint-George dans les collections de la BNF[modifier le code]

Les œuvres de Saint-George répertoriées par la Bnf et leurs enregistrements, sont de plus en plus nombreux.

Appareil critique d'après le tapuscrit de Daniel Marciano[modifier le code]

Livres biographiques[modifier le code]

Treize (13) documents présentés dans l'ordre et le format du tapuscrit.

  1. Odet Denys, Qui était le chevalier de Saint-Georges?, Paris Editions du Pavillon, 1972
  2. Alain Le Bihan, 'Francs-maçons et ateliers parisiens de la Grande Loge de France au XVIIIe siècle : 1760-1795, Bibliothèque Nationale, Paris, 1973.
  3. Emil F. Smidak, Joseph Boulogne, nommé Chevalier de Saint-Georges, Avenira Foundation, Lucerne, 1996 (ISBN 3905112086). Notice Bnf n° : FRBNF3587185.
  4. Alain Guédé, Monsieur de Saint-George, le Nègre des Lumières, Actes sud, Paris, 2001 (ISBN 274273449X).
  5. Vincent Podevin-Bauduin et Laure Tressens, Le Fleuret et l’Archet : le Chevalier de Saint-George (1739?-1799), créole dans le siècle des Lumières, Archives Départementales de la Guadeloupe, Gourbeyre, 2001. (ISBN : 2 – 86097 – 006 – 1) BN 40973268 notice au format Unimarc ISO-2709 07-28093.
  6. Claude Ribbe, Le Chevalier de Saint-George, Perrin, Paris, 2004 (ISBN 2262020027).
  7. Marcel Buffon, Jean-Claude Glandor, Luigi Gréco : Le Chevalier de Saint-Georges [Texte imprimé] Archives de La Guadeloupe, 2005
  8. Le Chevalier de Saint-Georges, texte collectif [et al.]; illustrations d’Anne Tressens : Scéren-CRDP Guadeloupe, DL 2005 (Paris : Impr. Jouve). - 1 vol. (73 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; Unité 24 cm. DLE-20051223-60611. - 944.034 092 (21) . - (ISBN 2-35190-001-4) (br.) - EAN 9782351900017. Bologne, Joseph (1745-1799) - Biographies BN 40087967 06-06624
  9. 2005 : Luc Nemeth, Un état-civil chargé d’enjeux : Saint-George, 1745-1799, in Annales historiques de la Révolution française, Numéro 339, Mis en ligne le : 15 mars 2008. Consulté le 13 mars 2009.
  10. Gabriel Banat, The Chevalier de Saint-Georges: Virtuoso of the Sword and the Bow, Pendragon Press, 2006 (ISBN 1576471098).
  11. 2006 : Bardin, Pierre (1933-....).- Joseph de Saint George : le Chevalier Noir, Guenegaud,Paris, DL 2006.-1 vol. (243 p.- 24 p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Autre forme de titre : Joseph Sieur de Saint George, le Chevalier Noir.- Notice réd. d'après la couv.- Bibliogr. p. 220-226. Index.- (ISBN 978-2-85023-126-1) (br.) ; EAN 9782850231261.
  12. Hugh Brewster, The Other Mozart, The Life of the Famous Chevalier de Saint-Georges, livre illustré par Eric Velasquez, éditeur Abram Books for Young readers, New York, 2007
  13. 2008 : Scéren CRDP Auvergne : Le Chevalier de Saint-Georges - la Table de Marbre : livret du spectacle présenté à Vichy par le Collège Victor Hugo de Saint-Yorre dans le cadre de la Commémoration Officielle de l'Abolition de l'Esclavage. Le livret est accompagné d'un DVD. (ISBN 978-2-9531-4060-6)

Ouvrages de fiction historique[modifier le code]

Six (6) documents présentés dans l'ordre et le format du tapuscrit

  1. Roland Brival, Le Chevalier de Saint-Georges, Éditions Lattès, 1991.
  2. Roger de Beauvoir, Le Chevalier de Saint-Georges, publié en 1840 et réédité par Michel Lévy Frères, Editeirs, Paris 1869
  3. Mélesville et Roger de Beauvoir, Le Chevalier de Saint-Georges, comédie mêlée de chant en trois actes, 1840, adapté du roman - Texte réédité par LHarmattan en 2001 avec une présentation et étude de l’œuvre par Sylvie Chalaye
  4. 2004 : Daniel Picouly, La treizième mort du chevalier, éditions Grasset
  5. 2006 : Daniel Marciano, Le chevalier de Saint-Georges, le fils de Noémie, Thespis. (ISBN 2952189412).- Notice Bnf n° : FRBNF40125065
  6. 2006 : Le Divin Saint-Georges, texte de théâtre, Thespis. (ISBN 2-9521894-3-9) BN 40241759

Six notes présentées dans l'ordre et le format du tapuscrit.

  1. Archives d’Outre-mer, Aix-en-Provence, E 37 : Bologne
  2. Biographie de Claude Ribbe, page 91.
  3. Ordinaire a le sens de permanent, qui officie toute l’année.
  4. Contrôleur ordinaire des guerres: Officier du ministère public chargé de porter les ordres du Roi auprès du tribunal de guerre.
  5. Voir ouvrage de Pierre Bardin, pages 58 – 59 – 60
  6. Voir Gabriel Banat, chapitre XIX, page 177 et suivantes
  7. (BnF ms. 10364)7/ Voir livre de Gabriel Banat, Chapitre x, intitulé Too Many Blacks (Trop de Noirs) – pages 67 à 75 - Fac-similés des documents de recensement, pages 493 et 494.

Bibliographie[modifier le code]

  • Alain Le Bihan, 'Francs-maçons et ateliers parisiens de la Grande Loge de France au XVIIIe siècle : 1760-1795, Paris, Bibliothèque nationale, .
  • Roland Brival, Le Chevalier de Saint-Georges, Éditions Lattès, .
  • Emil F. Smidak, Joseph Boulogne, nommé Chevalier de Saint-Georges, Lucerne, Avenira Foundation, (ISBN 3905112086). Notice Bnf n° : FRBNF3587185.
  • Vincent Podevin-Bauduin et Laure Tressens, 'Le fleuret et l’archet : le chevalier de Saint-George (1739?-1799), créole dans le siècle des Lumières, Gourbeyre, Archives départementales de la Guadeloupe, .
  • Alain Guédé, Monsieur de Saint-George, le nègre des lumières, Paris, Actes sud, (ISBN 274273449X).
  • Claude Ribbe, Le Chevalier de Saint-George, Paris, Perrin, (ISBN 2262020027).
  • 2005 : Marcel Buffon, Jean-Claude Glandor, Luigi Gréco : Le chevalier de Saint-Georges [Texte imprimé] / texte collectif [et al.] ; illustrations de Anne Tressens : Scéren-CRDP Guadeloupe, DL 2005 (Paris : Impr. Jouve). - 1 vol. (73 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; Unité 24 cm. DLE-20051223-60611. - 944.034 092 (21) . - (ISBN 2-35190-001-4) (br.) : 15 EUR. - EAN 9782351900017. Bologne, Joseph (1745-1799) - Biographies BN 40087967 06-06624
  • 2005 : ScérEn-CRDP de la Guadeloupe et Association pour l’Étude de la vie et de l’œuvre du Chevalier de Saint-George, Le Chevalier de Saint-George, 2005, ouvrage collectif
  • 2005 : Luc Nemeth, Un état-civil chargé d’enjeux : Saint-George, 1745-1799, in Annales historiques de la Révolution française, Numéro 339, Mis en ligne le : 15 mars 2008. Consulté le 13 mars 2009..
  • (en) Gabriel Banat, The Chevalier de Saint-Georges: Virtuoso of the Sword and the Bow, Pendragon Press, (ISBN 1576471098).
  • 2006 : Daniel Marciano, chevalier de Saint-Georges, le fils de Noémie, Thespis. (ISBN 2952189412).- Notice Bnf n° : FRBNF40125065
  • 2006 : Bardin, Pierre (1933-....).- Joseph de Saint George : le chevalier noir.- Guenegaud,Paris, DL 2006.-1 vol. (243 p.- 24 p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Autre forme de titre : Joseph sieur de Saint George, le chevalier noir.- Notice réd. d'après la couv.- Bibliogr. p. 220-226. Index.- (ISBN 978-2-85023-126-1) (br.) ; EAN 9782850231261.- Saint-Georges, Joseph Boulogne (1739?-1799 ; chevalier de) -- Biographies.- BN 40973268 notice au format Unimarc ISO-2709 07-28093.
  • 2008 : ScérEn CRDP Auvergne : Le Chevalier de Saint-Georges - la Table de Marbre : livret du spectacle présenté à Vichy par le Collège Victor Hugo de Saint-Yorre dans le cadre de la Commémoration officielle de l'abolition de l'esclavage. Le livret est accompagné d'un DVD. (ISBN 978-2-9531-4060-6)

Lien interne[modifier le code]

Lien externe[modifier le code]

Notes & Références[modifier le code]

  1. La bataille de Fontenoy, célèbre victoire française dans la guerre de succession d'Autriche se déroule le
  2. Anne-Marie Meininger et Pierre Citron, Index des personnes réelles de La Comédie humaine, Bibliothèque de La Pléiade, 1991, t.XII, p.1820, (ISBN 2070108775).
    Dans ses mémoires, Alexandre Dumas dit qu'en 1780 son père, né en 1762, est âgé de 18 ans tandis que Saint-George est âgé de 48 ans. Alexandre Dumas, Mes mémoires : XIXe siècle, Paris, Calmann Lévy, . Notice Bnf n° FRBNF36414499. Selon Alexandre Dumas Saint-George serait donc né en 1732. A noter que dans ce texte, Saint-Georges est écrit avec un "s".
    Plus près de nous, Lucien-René Abénon, dans un ouvrage publié en 1992, retient 1745 pour date de naissance de Joseph Bologne. Lucien-René Abénon, Petite histoire de la Guadeloupe : XVIIe siècle : 1635-1992, Paris, Editions L'Harmattan, . Notice Bnf n° FRBNF35555540. Lucien-René Abénon écrit "Saint-Georges", avec "s".
  3. La Pléiade, 1981, p.1773
  4. Gérard Lafleur évoque le milieu dont est issu Le chevalier de Saint-George, 19 février 2008, Guadeloupe, in Guadeloupe Attitude. Gérard Lafleur cite un récit de Jean-Baptiste Labat à propos de Hugues Boulogne. Cf. Jean-Baptiste Labat et Albert T'Serstevens, Voyages aux isles de l'Amérique (Antilles)  :XVIIe siècle : 1693-1715, Paris, Éditions Duchartre, . Bnf, Editions de 1956, notice n° FRBNF32331821. L'état des nobles dont les titres sont enregistrés au Conseil souverain de la Martinique, avec la date de leur enregistrement, 1675-1786, (Archives de la Marine.- Annales du Conseil de la Martinique) indique pour Pierre de Bologne, de Metz, la date du 6 mars 1755. Il est précisé en note :
    "Le 6 novembre 1748, le conseil enregistra une lettre du Roi en date du 9 décembre 1746, qui lui faisait défense d'enregistrer aucun titre de noblesse sans permission expresse du Roi. "Cette permission, ajoutent les lettres-patentes, ne sera accordée que sur le compte qui en sera rendu desdits titres par mon secrétaire d'Etat ayant le département de la marine et des colonies, auquel ils seront remis à cet effet par les particuliers qui voudront les faire enregistrer dans mon conseil souverain séant au Fort-Royal, pour jouir des privilèges de la noblesse dans ma colonie de la Martinique.»
    Le conseil a toujours veillé scrupuleusement à ce que personne dans la colonie ne prit la qualité d'écuyer, si ses titres n'étaient enregistrés en son greffe. Il ordonna en outre que tous curés, notaires ou greffiers de l'ile seraient tenus d'envoyer tous les trois mois, au procureur général, la liste des particuliers qui auraient pris, dans les actes de leur ministére, la qualité d'écuyer, de chevalier et autres dénominations de noblesse. Les délinquants encouraient une amende de l.0OO livres. {Annalea du Conseil souverain)".
    Publié par Louis de la Roque & Édouard de Barthélemy in Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes en 1789 et des familles anoblies ou titrées depuis le premier empire jusque à nos jours 1806-1866, tome deuxième:XVIIIe siècle : Période 1789-1866, Paris, E. Dentu, . Notice Bnf n° FRBNF36492239. Voir également dans le tome premier :
  5. Gabriel d'Erchigny de Clieu étant gouverneur.
  6. Archives d’Outre-mer, Aix-en-Provence, E 37 : Bologne
  7. Année du [[traité d'Aix-la-Chapelle (1748)|traité d'Aix-la-Chapelle qui met fin à la guerre de Succession d'Autriche (1740–1748]]. Les rivalités coloniales entre la Grande-Bretagne et la France aboutiront à la guerre de Sept Ans (1756-1763)
  8. "Il faudrait signaler l'extraordianire carrière du Chevalier de Saint-Georges", nous dit, Henri Bangou, dès 1987. "Celui-ci était le fils naturel de Jean Nicolas de Boulogne, conseiller du roi" (…). Le Chevalier de Saint-Georges naquit à Basse-Terre en 1739 (et non pas en 1749, comme lui-même le faisait croire, ou 1745) ; il était fils naturel de M. de Boulogne conseiller au parlement de Metz, puis contrôleur général et grand trésorier de l'ordre de Saint-Esprit, dont l'hôtel existe au 46 de la rue du Bac. M. De Boulogne (le Mercure de France orthographie son nom : de boullongne) possédait à Basse-Terre une propriété appelée "les palmiers" et à Saint-Domingue, alors colonie française, un autre domaine appelé "la Rose", dans le canton de l'Artibonite. Saint-georges serait né dans la première, des relations de M. de Boulogne avec une négresse nommée simplement Nanon, devenue Noémie dans le roman de Roger de Beauvoir, qui ajoute que l'enfant fut apporté à Saint-Domingue par sa mère et que celle-ci le fit baptiser par le Curé de Saint-Marc, lui donnant le nom de Saint-Georges, qui était celui du plus beau navire en rade de Basse-Terre lors de la naissance du jeune mulâtre.Henri Bangou, La Guadeloupe : XVe siècle : 1492-1848, Paris, Editions L'Harmattan, . Notice Bnf n° FRBNF35003475
  9. "les lettres de rémission, ces actes de la chancellerie royale qui, à la demande des amis et parents des coupables, et après un récit des faits, proclamaient la grâce des coupables, sans pour autant les proclamer innocents"• Claude GAUVARD, "De grâce especial", Crime, état et société en France à la fin du Moyen Age : XIVe siècle : 1300-1500, Paris, Publications de la Sorbonne, 2 vol., 1026 p., index, . Notice Bnf n° FRBNF37664018. Voir dans le même ouvrage : "La rémission source et méthode"
  10. / Biographie de Claude Ribbe, page 91
  11. Ordinaire a le sens de permanent, qui officie toute l’année. Contrôleur ordinaire des guerres: Officier du ministère public chargé de porter les ordres du Roi auprès du tribunal de guerre.
  12. Légion du Midi ou des Américains. Le titre exact de cette légion est Pierre-Henri-Marie Lebrun-Tondu, Dominique-Joseph Garat, Convention nationale et Légion franche des Américains :, Décret de la Convention nationale, du 6 décembre 1792, l'an premier de la République françoise.: Organisation de la legion franche des Américains. "Signé Lebrun. Contresigné Garat." : XVIIIe siècle : 1792, France, Imprimerie nationale du Louvre, Publié par l'Imprimerie nationale exécutive du Louvre, . En avril 1793, la légion des Américains reçut l'ordre de se dissoudre.
  13. / Voir ouvrage de Pierre Bardin, pages 58 – 59 – 60
  14. Le Concert de la Loge Olympique. Consulté le 6 mai 2009.
  15. Le Chevalier de Saint-Georges, Virtuose de l’Epée et de l’Archet
  16. Voir Gabriel Banat, chapitre XIX, page 177 et suivantes
  17. Paris. G. Barba, 1864
  18. Généalogie Montalembert
  19. "Saint-Georges était un officier-général, mulâtre : il rendit de grands services à la République dans cette circonstance". Cf. : Léonard-Charles-André-Gustave Gallois, notes explicatives et édition scientifique et Alexandre Ray,tables et édition scientifique, Réimpression de l'ancien Moniteur : seule histoire authentique et inaltérée de la révolution française depuis la réunion des Etats-généraux jusqu'au consulat (mai 1789-novembre 1799). Tome ? du Lundi 1er avril 1793 au 30 juin 1793 (An 2 de la République Française) : XVIIIe siècle : 1793, Paris, Publié par H. Plon, .
  20. Jean-Baptiste Bouchotte, nommé ministre de la Guerre par la Convention nationale en remplacement de Pierre Riel de Beurnonville du 4 avril 1793 au 20 avril 1794
  21. Le paradoxe des Lumières, 06 février 2008. Dans cette vidéo, on voit et on entend Monsieur Géraud de Galard avec le sous-titre "Descendant de Saint-George". Consulté le 6 mai 2009.
  22. Saint-George est présent notamment dans : s:La Maison du chat-qui-pelote. Honoré de Balzac, La Maison du chat-qui-pelote, Scènes de la vie privée, p. 54 :XIXe siècle, Bruxelles, L. Hauman et compagnie, . Notice Bnf n° FRBNF31757484.- s:Le Cabinet des Antiques où il est désigné sous le diminutif Saint-Georges. "Adroit, leste à tous les exercices du corps ; il tirait admirablement le pistolet, faisait des armes comme un Saint-George, montait à cheval comme un paladin. Il flattait enfin toutes les vanités qu'apportent les parents à l'extérieur de leurs enfants, fondées d'ailleurs sur une idée juste, sur l'influence excessive de la beauté". Honoré de Balzac, Le cabinet des antiques : scène de la vie de province suivie de Gambara, p. 81 :XIXe siècle, Paris, Hippolyte Souverain, . Notice Bnf n° FRBNF31756628. Voir également La Pléiade, 1971, t.I, p.67 & 1976, t.IV, p. 986.
  23. Angelo's Pic-nic : Life of the chevalier de St. George
    Reminiscences of Henry Angelo : Résultats de la recherche pour "Saint-George"
    Page 100 : I first secured the portrait of Monsieur Saint George (the famous fencer), which hung over the chimney-piece, and removed it to St. Alban's-street, ...
    Page 263 : Though he was only in the ranks, his presence in every fencing-room was acceptable, and when Saint George was his antagonist, the match never failed to ...
  24. Une trouvaille de Monsieur Pierre BARDIN sur la mort du Chevalier de Saint-Georges sur Guadeloupe Attitude, blog personnel de Jean-Claude Halley, président de l’Association des Amis de Joseph Bologne, Chevalier de Saint-Georges. Voir l'œuvre de cette association : Sous le regard du Chevalier de Saint-Georges. Consultés le 5 mai 2009.
  25. Au lieu de : 10 juin 1700. Voir l'article de Pierre Bardin : 22 Prairial de l’an 7 (10 juin 1799)"
  26. Pierre Bardin
  27. [10 mai 2007 à l'Assemblée nationale]. Consulté le 6 mai 2009.
  28. "La cérémonie de remise du Prix des droits de l’Homme-René Cassin s’est déroulée le mercredi 19 décembre 2007 au ministère de l’Éducation nationale. Les prix ont été décernés aux lauréats par le Ministre de l’Éducation nationale, M. Xavier Darcos, en présence du préfet, M. Joël Thoraval, Président de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme. M. Thoraval, a salué dans son discours la qualité des travaux primés et l’étroite collaboration entre la CNCDH et le ministère de l’Éducation nationale dans le domaine de l’éducation et de la formation aux droits de l’homme.
    Catégorie prix spécial. Prix : Académie de Clermont-Ferrand - Collège Victor Hugo de Saint-Yorre (03)
    Projet : Représentation théâtrale sur la vie du chevalier de Saint-Georges qui a permis de traiter le sujet de l’esclavage
    ."
    Extraits du spectacle [1], [2], [3]

{




Dans la page Saint-Georges, la rubrique "France" apparaît deux fois. Est-ce normal ? Ce serait bien de classer aussi par ordre chronologique pour faire apparaître le phénomène géohistorique de production des territoires.

A bientôt.

--Ambre Troizat 4 mars 2009 à 03:08 (CET) Pourquoi pas un classement chronologique, je te laisse soin de le faire.

Merci. Je ferai cela au fur et à mesure. Il est très difficile de trouver des dates fiables. J'ai modifier la page Dumas. Et aussi la page Pierre-Benoît Dumas. J'attire l'attention des historiens réunionnais sur cette page qui peut être améliorée. Idem pour Alexandre Dumas (journaliste)

Pour ta première question, oui c'est normal : les deux noms sont différents ; la première section concerne Saint-Georges en France, l'autre Saint-Georges-etc. en France. Mais peut-être qu'on peut faire un classement plus simple et regrouper les sections ? Dodoïste [ dring-dring ] 4 mars 2009 à 15:11 (CET)

C'est à faire. Il faudrait aussi créer une page Saint George dans l'art (Saint George avec et sans "s").

--Ambre Troizat 5 mars 2009 à 00:30 (CET)

Aide:Monobook[modifier le code]

Ah j'oubliais, je t'ai parlé de monobook plus haut : Aide:Monobook, pour apprendre à personnaliser ton monobook. Dodoïste [ dring-dring ] 5 mars 2009 à 21:54 (CET)
Merci. J'ai fait une première visite.--Ambre Troizat 5 mars 2009 à 23:48 (CET)
Il suffit de taper MediaWiki:Monobook.css dans le moteur de recherche de votre Wiki. Modifier ensuite la page en ajoutant le code suivant : Code: .ns-12 #content, .ns-12 #p-cactions li a {background-color: #EAFBEF;} . ici
  1. « Les visiteurs peuvent-ils tomber dessus en utilisant la fontion Random (Une page au hasard) ? (ce qui serait assez malheureux et peu convivial). »
Non, la fonction une page au hasard est ici limitée aux seuls articles. Mais il doit être possible de l'utiliser pour trouver une page d'aide au hasard, par exemple. C'est une question qui me dépasse un peu, et je te suggère de la poser sur la page des Wikipédia:Questions techniques, qu'on peut trouver en suivant Aide:Poser une question.
Pour le Monobook, l'indication était à moitié juste. Chacun peut personnaliser son javascript et son css dans son monobook. Cela ne modifie pas les scripts des autres. Le tien est ici : Special:Mypage/monobook.css et Special:Mypage/monobook.js. Mon .css est vide, mais voici mon .js :Utilisateur:Dodoïste/monobook.js
Si on veut que chacun ait un Javascript par défaut, c'est à mettre dans le Mediawiki:Common.js. Pareil pour Mediawiki:Common.css. Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 15 mars 2009 à 18:13 (CET)



Saint-George. Texte de Daniel Marciano[modifier le code]

Bonsoir Dodoïste.

La demande de Wikipédia en ce qui concerne l'article Joseph Bologne de Saint-George a été entendue par les meilleurs amis et biographes de Saint-George. Monsieur Daniel Marciano vient de m'adresser un texte qu'il a rédigé pour Wikipédia, avec l'autorisation de le placer sur Wikipédia et de le modifier selon les besoins.

Je pense procéder de la manière suivante :

  1. Remplacer entièrement le texte existant par le texte de Monsieur Daniel Marciano.
  2. procéder à la mise en page.
  3. Inclure les informations pertinentes qui étaient contenues dans le texte actuellement en ligne.
  4. Faire apparaître les informations contenues dans la page de discussion.
  5. Insérer des images.
  6. Demander au meilleur musicologue et interprète de Saint-George d'intervenir sur la page.

Dans tout ce processus, mon souci constant sera de conserver les droits de chacun. Quel est ton avis sur ma démarche ? Merci.

Il me semble que tout y est. Je viens de rentrer d'un voyage à Berlin, je reprendrai donc le suivi de tes contributions prochainement. Si tu veux de l'aide de la part de Vol de Nuit, je te suggère de lui poser tes questions, demandes de relectures et difficultés de rédaction sur sa propre page de discussion, soit Discussion utilisateur:Vol de nuit. Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 30 mars 2009 à 00:10 (CEST)

Saint-George[modifier le code]

Sur un clic la page a été générée. J'ai commencé une liste. J'ai ajouté une vidéographie (Je ne sais pas si ça se dit dans ce contexte). Ce qui me conduit à voir l'immense travail réalisé ailleurs qu'en France ! Cela me fait mal au cœur ! Enfin, la Guadeloupe aura bientôt son festival ! A bientôt. --Ambre Troizat 18 mars 2009 à 02:13 (CET)

Cadeau --Ambre Troizat 18 mars 2009 à 23:57 (CET)

Merci de ne pas chercher à réinsérer dans cet article un texte dont la provenance n'est pas identifiée avec certitude (vous le dites de Daniel Maricano, mais on retrouve ce texte à divers endroits sur le web, dont http://www.atout-guadeloupe.com/Chevalier-Saint-Georges_a514.html, sans qu'il soit attribué à Daniel Marciano).

En tout état de cause, sauf autorisation explicite (et vérifiable) de l'auteur de ce texte pour la réutilisation de ce texte, y compris à titre commercial, selon les modalités de la licence GFDL, il ne nous est pas possible de l'accepter sur Wikipédia. Je suis donc dans l'obligation de purger l'historique de cet article. Hégésippe | ±Θ± 30 mars 2009 à 08:46 (CEST)

Si Daniel Maricano est bien l'auteur du texte, il faut suivre la procédure indiquée sur Aide:Republication. En gros, Daniel Maricano doit envoyer une autorisation de republication sous GFDL par mail. Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 30 mars 2009 à 18:47 (CEST)
D'une manière générale, un individu n'a qu'une seule vie. Chaque fois qu'on parle de lui, on ne peut que répéter les mêmes choses. Les bons biographes de Saint-George ne sont pas nombreux. 3 ouvrages de très bonne qualité sont parus à ce jour : Emil Smidak, Gabriel Banat, Pierre Bardin. Une thèse en musicologie soutenue aux USA par Bernard ZINCK, un français (!), n'est pas disponible dans le commerce. Monsieur Daniel Marciano est le seul spécialiste mondial de Saint-George escrimeur. Voici pourquoi on retrouve le même texte partout sur le net. Vous croyez qu'il est facile de faire la biographie d'un individu comme Saint-George ?!
Je voudrais vraiment savoir qui est ce Hégésippe Cormier qui peut se permettre sans même prendre le temps de lire les nombreux échanges présents sur cette page de détruire le long et patient travail réalisé. Est-il historien ? Est-il spécialiste de Saint-George ? Si oui, est-il de ceux qui nous abreuvent d'histoires imaginaires de Saint-George. On n'est jamais "dans l'obligation de". On peut penser avant.
Cela ne m'amuse vraiment pas de voir mes ébauches détruits. C'est du temps de travail. Vous devriez revoir la question et surtout éviter que ce soit les contributeurs qui réparent les erreurs. C'est très pénible. Mais puisqu'il faut le faire, je le ferai. A quelle adresse très précisemment Daniel Marciano doit-il expédier ce mail. Que doit-il mettre dans ce mail ? Il le fera volontiers mais encore faut-il lui faciliter la tâche.--Ambre Troizat 30 mars 2009 à 20:45 (CEST)
Je te recopie ci-dessous la procédure exacte. Une fois l'autorisation donnée, ton travail te sera restauré par un administrateur, ne t'en fais pas.
C'est un peu de ma faute, cette histoire. Tu m'a dit plus haut que « Monsieur Daniel Marciano vient de m'adresser un texte qu'il a rédigé pour Wikipédia, avec l'autorisation de le placer sur Wikipédia et de le modifier selon les besoins ». Ainsi, j'ai pensé que le texte avait été rédigé pour l'occasion et n'avait pas été publié auparavant. Dans ces conditions, une permission par OTRS ne me semblait pas nécessaire (apparemment je me suis trompé ?). Une fois l'autorisation ci-dessous remplie, tout sera réglé. :-) Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 30 mars 2009 à 21:45 (CEST)

Procédure pour les droits d'auteur[modifier le code]

L'auteur ou l'ayant droit (lui-même) doit envoyer un courriel à l'adresse suivante : permissions-fr@wikimedia.org

Ce courriel doit comprendre :

  • La civilité et les coordonnées de l'auteur et le cas échéant de l'ayant droit ;
  • Une déclaration autorisant le texte à être diffusé sous la GFDL. (La GFDL permet à l'œuvre d'être librement copiée, modifiée et réutilisée, y compris à des fins commerciales.)

Modèle de courriel à envoyer à permissions-fr@wikimedia.org


Je confirme par la présente être l'auteur et le titulaire unique et exclusif du texte <PLACER UN LIEN VERS L'ŒUVRE ORIGINALE> (reproduite à l'adresse http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Bologne_de_Saint-George).

Je donne mon autorisation pour publier cette œuvre sous la licence libre GFDL <http://fr.wikipedia.org/wiki/GFDL>.

Je comprends qu'en faisant cela je permets à quiconque d'utiliser mon œuvre dans un but commercial, et de la modifier dans la mesure des exigences imposées par la licence.

Je suis conscient de toujours jouir des droits expatrimoniaux sur mon œuvre, et garder le droit d'être cité pour celle-ci selon les termes de la licence retenue. Les modifications que d'autres pourront faire ne me seront pas attribuées.

Je suis conscient qu'une licence libre concerne seulement les droits patrimoniaux de l'auteur, et je garde la capacité d'agir envers quiconque n'emploierait pas ce travail d'une manière autorisée, ou dans la violation des droits de la personne, des restrictions de marque déposée, etc.

Je comprends que je ne peux pas retirer cette licence, et que le texte est susceptible d'être conservé de manière permanente par n'importe quel projet de la fondation Wikimedia.

[DATE, NOM CIVIL DE L'AYANT-DROIT ET COORDONNÉES]

Ce courriel sera traité par l'équipe d'OTRS, qui se chargera d'indiquer en page de discussion que l'autorisation a bien été donnée à la fondation Wikimedia. Les volontaires étant bénévoles, cette régularisation peut prendre quelques jours. En donnant un lien direct vers l'article de Wikipédia sur lequel le texte a été recopié, vous faciliterez le traitement de cette autorisation.

Merci Dodoïste. C'est moi qui aurai dû lire correctement et comprendre ce qui est à faire. Mais, on ne sait jamais que ce qu'on a déjà fait. C'est comme les gammes de pianos. Et le professeur doit répéter encore et encore. Maintenant, je connais la leçon. Pour ma thèse, c'était une belle expérience. Nous produirons un bel article. Il faut juste le temps du travail collaboratif.
J'ai un petit souci : avec tout ça toi, Mitchev, Vol de nuit, et les autres êtes entrés dans la maison de Saint-George. Le sais-tu ? Bienvenue à vous si vous désirez y demeurer. L'amour du travail bien fait nous fait agir. Nous n'hésitons pas à nous exercer toujours comme l'enseignait Laboëssière, le maître d'armes de Saint-George. Je crois que c'est aussi le principe de Wikipédia. Bonne journée.--Ambre Troizat 31 mars 2009 à 12:49 (CEST)
Bonsoir Dodoïste. Daniel Marciano a donné son autorisation par mail. Maintenant, nous pourons écrire le plus bel article de wikipédia Émoticône sourire. --Ambre Troizat 31 mars 2009 à 22:09 (CEST)

Mes menus déroulants[modifier le code]

C'est une horreur à laquelle je ne suis pas capable de faire face à cette heure. Je dois avoir mis des centaines de boîtes déroulantes. Le système doit certainement manifester son mécontentement !!! En fait, je voudrais garder les modèles de tableaux, tout ce qui a trait à Saint-George et à Gratien Candace. Je peux peut-être faire une synthèse. Je voudrais aussi voir de plus près la question du monobook. Le reste peut être archivé. A demain.--Ambre Troizat 28 avril 2009 à 01:16 (CEST)

Comme cela ? Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 3 mai 2009 à 19:59 (CEST)

L'autorisation OTRS a été délivrée depuis le 8 avril par Kropotkine 113 (merci à lui). Il te faut maintenant compléter l'article existant avec cette version de Daniel Marciano. Bien à toi, — Dodoïste [ dring-dring ] 25 avril 2009 à 00:29 (CEST)

Merci Dodoïste. Super ! Je me mets au travail. Ce serait bien que l'article soit satisfaisant pour le 10 mai.--Ambre Troizat 26 avril 2009 à 02:38 (CEST)
Bonsoir Dodoïste. Je m'emmêle les crayons à loisir. J'ai compris que je dois inclure un article a dans un article b. Mais, tout devient confus quand je passe en mode modification. Le B qui devait m'aider à distinguer les deux documents se retrouve sur les deux pages. Peux-tu m'aider à y voir plus clair ? Merci --Ambre Troizat 27 avril 2009 à 01:09 (CEST)
Bonsoir Dodoïste. J'ai dû adresser le message suivant à Ludovic89.

A propos de vos interventions sur la page Saint-George[modifier le code]

J'apprécie beaucoup votre désir d'aider à la publication d'une biographie de Saint-George sur Wikipédia. Je fais un travail très précis en mettant en ligne un texte de référence à partir duquel il sera possible de discuter. Je souhaite qu'il n'y ait pas d'intervention sur cette page jusqu'à ce que j'ai terminé mon travail. Ensuite, il sera toujours possible de discuter en page de discussion avant toute intervention. Je vous remercie de votre compréhension.--Ambre Troizat 3 mai 2009 à 00:37 (CEST)

Je souhaite que Ludovic89 n'intervienne plus sur cette page sans discussion avec moi. Il ne travaille pas en historien et me complique la vie. Il ne s'agit pas ici de faire preuve d'encyclopédisme ni de rigueur mais de respecter la pensée d'une personne et d'un groupe de personne à propos d'un acteur de l'histoire.

Justification de vos annulations[modifier le code]

Bonjour,

J'ai bien reçu votre message concernant Joseph_Bologne_de_Saint-George, mais je ne comprends pas pourquoi vous avez révoqué mes modifications. Ces dernières permettaient de rendre la bibliographie plus lisible, et surtout de respecter la syntaxe wiki (on parle de wikification). Il s'agissait d'une modification de forme, et non de fond (quoique, car j'avais bien pris le soin de faire ressortir la structuration de la bibliographie que vous avez vous même créée, sans être parvenue à la faire ressortir).

Qui plus est les arguments de votre message ne sont pas pertinents : vous semblez croire que cet article vous appartient, ce qui n'est pas le cas (il faut relire les principes de wikipedia). Vous parlez de, je cite, « mon travail ». Il faudrait parler en fait de « contribution » car vous apportez une pierre à l'édifice, tout comme moi j'essaie de le faire. Je ne nie pas votre contribution, et encore moins sa pertinence ; j'en attends de même de votre part. Permettez-moi de me montrer piquant : puis-je donc savoir en quoi votre travail est-il plus important que le mien ? Quelles sont vos justifications à la révocation ?

Bien à vous, --Ludovic89 (d) 3 mai 2009 à 18:21 (CEST)

ps : vous devriez mettre en place votre biblio en respectant les standards. Les modèles {{ouvrage}} et {{article}} peuvent vous aider !

Je vous remercie de vos conseils. Ils sont judicieux et me permettent de gagner du temps : je les utiliserai quand le temps sera venu. Mais, comme vous avez pu le voir je suis parrainée par Dodoïste qui fait très bien son travail. Enfin, "son travail" si vous acceptez que lorsqu'un cerveau et dix doigts se mettent en œuvre pour produire un travail, ce travail appartient à la personne qui a la propriété du cerveau et des dix doigts, même quand il s'agit de travail collaboratif, d'OpenSource, de gratuité, etc. C'est le B-a-ba à savoir lorsque l'on intervient sur un sujet qui traite de l'esclavage, si vous me permettez d'être piquante. Je souligne toutefois que je n'aime pas du tout ce mode de relation entre wikipédiens.
Bien cordialement.

D'abord mettre en ligne le texte de Daniel Marciano[modifier le code]

Je n'ai pas compris non plus pourquoi tu as jugé nécessaire d'annuler les modifications de Ludovic89. J'ai cru comprendre que cela te gênait dnas une certaine mesure, bon. Mais la pièce de 20 centimes n'est pas encore tombé. :D
Donc tu as mis en place le texte de Daniel Marciano. Que te reste-il à faire ? Y aurait-il des informations importantes qui étaient présentes dans le texte d'avant et qui ne le sont plus maintenant ? Si c'est le cas, il faut simplement les réécrire dans cette nouvelle version. Sinon, il restera à mettre en forme le texte, ce que Ludovic89 a tenté de commencer à faire. Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 3 mai 2009 à 23:00 (CEST)
Bonsoir Dodoïste. Je ne peux pas composer un texte propre si d'autres introduisent de modifications non prévus. Même si cela prend la forme de modifications techniques. Cela me perturbe à la fois dans le fond et dans la forme. J'ai mis le modèle "en chantier" sur la page. Cela devrait suffir.Quand j'aurai livré un texte propre, les wikipédiens pourront intervenir. Le but du jeu étant de produire un article encyclopédique sur un sujet d'histoire et non une page de blog perso.
Que signifie, en langage wikipédien "Mais la pièce de 20 centimes n'est pas encore tombé." ? Bonne semaine.--Ambre Troizat 3 mai 2009 à 23:20 (CEST)
Euh, bon bon, si tu y tiens. On reviendra plus tard sur la mise en forme propre à Wikipédia de toute façon.
Pour le reste, il me semble qu'il existe une expression similaire pour dire qu'on n'a pas compris, que cela n'a pas encore fait tilt. On dit que la pièce n'est pas tombée. Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 3 mai 2009 à 23:47 (CEST)
Tu vois, il y a de nouvelles modifications. Mais la Pléïade n'est pas une preuve en histoire ! Si, tout simplement, cette personne m'avait envoyé un message sur la page de discussion de l'article, nous aurions pu discuter justement. Je lui aurai dit que nous avions pour le moins besoin de la copie du texte qu'il indique en référence. Le lecteur doit pouvoir aller aux sources, dans tous les cas. Là, il n'apporte rien et perturbe le travail, Outre le fait que sa référence n'est pas dans le texte de Marciano. Analyse bien la structure de la référence :
  • [1]. Tu peux cliquer où tu veux tu n'accèdes à aucun document qui puisse constituer le début d'une preuve. Je suis obligée de défaire ça. Mais ce n'est pas du travail d'historien.
  • [2]. Non, mais je rêve ! La Biographie de Claude Ribbe fait partie du corpus à analyser. Elle n'est pas une preuve. Nous sommes en histoire. Je n'écris pas un roman !!!
Bon, je m'arrête là. Sinon je ne pourrai rien faire ce soir. De plus j'arrête la télé où ils passent un documentaire sur la Françafrique qui nous explique comment la France cherche à retourner le gant de la colonisation que l'Afrique avait déjà retourné, &c., &c... Je jette le gant :)--Ambre Troizat 4 mai 2009 à 00:28 (CEST)
On reviendra plus tard sur la mise en forme propre à Wikipédia de toute façon. Bien sûr. C'est l'objectif. Mais nous ne pouvons pas sauter l'étape qui consiste à fixer un texte : celui de Daniel Marciano. Sinon toute pensée est impossible.--Ambre Troizat 4 mai 2009 à 00:33 (CEST)
Voilà ! en deux heures, j'ai tout juste écrit 6 lignes de notes de bas de page ! En respectant le texte de Daniel Marciano. J'espère que plus personne n'aura la possibilité d'intervenir sur cette page avant que j'ai terminé. Je préfère les 7 travaux d'Hercule au châtiment de Sisyphe.--Ambre Troizat 4 mai 2009 à 02:11 (CEST)

Etat d'avancement[modifier le code]

Bonjour Dodoïste. La mise en ligne du texte de Marciano avance, ma foi. Pour résoudre la question de la transcription de l'appareil du tapuscrit, j'ai créé un chapitre "Joseph Bologne de Saint-George#Appareil critique d'après le tapuscrit de Daniel Marciano". Je devrais utiliser des liens ancré. Mon lien ancré dans ce paragraphe fait son office mais le rendu n'est pas très beau Émoticône sourire. Que penses-tu de tout cela ?. A bientôt. --Ambre Troizat 5 mai 2009 à 16:35 (CEST)

Bonsoir Dodoïste. Que signifie : « Société Olympique ». Je ne peux pas écrire des choses que je ne sais pas lire !!!! @+ --Ambre Troizat 6 mai 2009 à 01:06 (CEST)

---Mea culpa. C'est le modèle "Guillemets.--Ambre Troizat 6 mai 2009 à 01:09 (CEST)

Bonjour Dodoïste. J'ai toujours des problèmes avec les liens ancrés. J'ai relevé trois modèles. Les résultats sont négatifs la plupart du temps. Je n'arrive pas à trouver l'erreur quand ça ne marche pas.

Mes modèles "liens ancrés"[modifier le code]

  1. Dans la même page : nom de la page#nom de l'ancre*
  2. Vers une autre page : lien
  3. Lien ancré de Wikisource vers Wikipédia : 1791

Cordialement, --Ambre Troizat 23 mai 2009 à 16:50 (CEST)

Hello. Euh, j'ai ouvent des soucis avec ça aussi, mais je crois comprendre. Ce n'est pas nom de la page#nom de l'ancre mais nom de la page#nom_de_l'ancre (attention aux « _ »). Est-ce que cela résoud ton problème ? Sinon, je déconseille d'utiliser les ancres des titres : elles peuvent être modifiées à tout instant, et ne sont pas très stables. Amicalement, Dodoïste [ dring-dring ] 23 mai 2009 à 19:16 (CEST)
{{ancre}} me semble être plus stable. Dodoïste [ dring-dring ] 23 mai 2009 à 19:19 (CEST)
merci Dodoïste.

Joseph Bologne de Saint-George 04.05.09[modifier le code]

Discuter avec --Ambre Troizat 4 mai 2009 à 02:18 (CEST)

Have a look at that : Saint-George sur le WWW. Dear me !!!--Ambre Troizat 7 mai 2009 à 03:00 (CEST)

Lousy Mathieu[modifier le code]

Modification de Louisy Mathieu (?)

12 février 2008 à 19:04 Galoric (discuter | contributions) a supprimé «Louisy Mathieu» (Bac à sable: Contenait avant blanchiment : Louisy Matieu Homme travaillant pour Victor Schoelcher.Louisy Mathieu était le colistier de Victor Schoecher . Louisy Mathieu etait guadeloupéen.Il a lutter contr l'esclavage. Le 1er décembre 1848, pendant l')

Bonjour Galoric. Je suis en train de recréer la page "Louisy Mathieu" qui a été précédemment supprimée. Je la recrée à partir de la notice "Louisy Mathieu" Assemblée Nationale et du paragraphe Wikipédia Louisy Mathieu. Après, je suivra cette page. La nouvelle page est ici. Très cordialement.

--Ambre Troizat 23 mai 2009 à 15:42 (CEST)

Notes et références[modifier le code]

  1. Anne-Marie Meininger et Pierre Citron, Index des personnes réelles de La Comédie humaine, bibliothèque de La Pléiade, 1991, t.XII, p.1820, (ISBN 2070108775)
  2. / Biographie de Claude Ribbe, page 91