Bussy-lès-Daours

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Bussy-lès-Daours
Bussy-lès-Daours
L'église Saint-Léger.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC du Val de Somme
Maire
Mandat
Sylvie Brandicourt
2020-2026
Code postal 80800
Code commune 80156
Démographie
Gentilé Bussydaoursiens
Population
municipale
395 hab. (2021 en augmentation de 8,82 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 39″ nord, 2° 25′ 59″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 86 m
Superficie 8,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Amiens-3
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Bussy-lès-Daours
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Bussy-lès-Daours
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Bussy-lès-Daours

Bussy-lès-Daours est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Description[modifier | modifier le code]

Bussy-lès-Daours est un village périurbain picard de l'Amienois situé à environ huit kilomètres au nord-est d’Amiens et à sept kilomètres à l'ouest de Corbie, dans le département de la Somme (80). Elle s'étend au sein d'une petite vallée comprenant l'Hallue, cours d'eau qui se jette dans la Somme, plus au sud, au niveau de Daours.

La route départementale 1 reliant Amiens à Péronne traverse et limite la commune au sud. Bussy-lès-Daours est relié par la route à Querrieu et à la route départementale 929 reliant Amiens à Bapaume.

En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 37)[1].

Le relief de la commune se résume à celui d'un plateau descendant en pente douce vers l'ouest jusqu'à Amiens et de la vallée de l'Hallue avec ses étangs, en limite de territoire.

Le sol de la commune est composé de terres franches et argileuses dans une petite partie du territoire dominant l'Hallue, proche de Daours. Dans la vallée de l'Hallue, le sol est formé d'alluvions. Partout ailleus, le sol est composé de terres siliceuses[2].

Localisation[modifier | modifier le code]

Rose des vents Querrieu Pont-Noyelles Rose des vents
Camon N Daours
O    Bussy-lès-Daours    E
S
Lamotte-Brebière Daours Daours

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commue est limité à l'est par l'Hallue, affluent de la rive droite du fleuve côtier picard la Somme. Des étangs présents dans la vallée ont été aménagés par l'homme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records AMIENS-GLISY (80) - alt : 60m, lat : 49°52'19"N, lon : 2°22'56"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,6 3,4 5,1 8,4 11,4 13,4 13,3 10,7 8 4,7 2,2 7
Température moyenne (°C) 4,2 4,7 7,5 10,1 13,5 16,5 18,7 18,7 15,6 11,8 7,6 4,7 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,8 11,5 15,2 18,5 21,6 23,9 24 20,5 15,6 10,5 7,1 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−14,6
10.01.09
−12,7
07.02.1991
−10
04.03.05
−3,9
08.04.03
−1,2
07.05.1997
0,1
05.06.1991
4,5
04.07.1990
5,2
08.08.1990
1,1
27.09.1990
−5,4
30.10.1997
−9,5
24.11.1998
−13,5
29.12.1996
−14,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
09.01.15
19,4
24.02.1990
24,1
31.03.21
26,7
19.04.18
31,5
27.05.05
36
27.06.11
41,7
25.07.19
38,1
10.08.03
34,2
15.09.20
28
10.10.23
20,7
07.11.15
17,1
07.12.00
41,7
2019
Ensoleillement (h) 637 865 1 469 2 063 2 027 2 203 224 1 881 168 1 169 711 665 17 609
Précipitations (mm) 48,8 45 45,3 39,4 55,9 54,6 58,9 59,9 48,4 57,7 60,4 72,3 646,6
Source : « Fiche 80379002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bussy-lès-Daours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

La commune présente un habitat groupé.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %), zones humides intérieures (1,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Au cours des âges, Bussy-lès-Daours fut désigné par les formes suivantes : Busci en 1153 ; Buxeria en 1164 ; Buscicum en 1170 ; Buxis en 1301 ; Buyssi au XVIIe siècle[15].
Du latin buxus « buis » et du suffixe latin -utum ; « (lieu) pourvu de buis »[16].

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. Par exemple, la commune de Bussy indique qu'elle se situe près de Daours.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

L'archéologie aérienne a permis de révéler plusieurs cercles et enclos protohistoriques sur le territoire communal[17].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des traces d'une villa gallo-romaine, proches d'une ancienne voie romaine reliant Bavay à Amiens sont présentes sur le territoire de Bussy-lès-Daours[17].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Vallée de l'Hallue de Bussy-lès-Daours à Daours en 1757.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Révolution française et Consulat[modifier | modifier le code]

De 1790 à 1801, la commune relève de l'administration et de la justice de paix du canton de Querrieux.

En l'an VII et jusqu'au 10 germinal de l'an VIII (30 mars 1800), tous les mariages civils du canton sont prononcés au chef-lieu, conformément à l'article IV de la Loy du 13 fructidor de l'an VI (30 août 1798).

Guerre de 1870[modifier | modifier le code]

Pendant la Guerre franco-allemande de 1870, au cours de la bataille de l'Hallue, Bussy-lès-Daours fut touchée par des tirs d'obus. Des tombes militaires sont présentes dans le cimetière communal.

Soldats australiens à Bussy (1914-1918).

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Pendant la Grande Guerre, Bussy-lès-Daours était un village de l'arrière. En 1918, les troupes australiennes et une partie de l'état-major australien étaient installés à Bussy. Le 7 juillet 1918, Georges Clemenceau, alors Président du Conseil et ministre de la Guerre vint à Bussy rencontrer le général Monash et féliciter les troupes australiennes qui avaient remporté la Bataille du Hamel, le 4 juillet, à quelques kilomètres à l'est de Bussy[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune de Bussy-lès-Daours précédemment rattachée au canton de Corbie est rattachée au Canton d'Amiens-3 depuis 2014.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bussy-lès-Daours est membre de la communauté de communes du Val de Somme, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988   Pierre Mériaux    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2020 Jean-Francis Devaux   Réélu pour le mandat 2014-2020[19],[20]
2020[21] En cours
(au 8 octobre 2020)
Sylvie Brandicourt    Vice-présidente de la Communauté de communes du Val de Somme (2023-->)

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 395 habitants[Note 3], en augmentation de 8,82 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
375409454465486492496498499
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
498479443408401354372358345
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
339290271296254248231203207
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
189189218278334325330331345
2017 2021 - - - - - - -
381395-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les élèves du village sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui associe les communes de Bussy-lès-Daours, Vecquemont et Aubigny[27]. À la rentrée 2019, deux classes sont situées à Vecquemont et deux autres à Aubigny.

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Saint-Léger a été construite en 1837-1839, sur les plans de l'architecte amiénois Jean Herbault[28].
  • Château du XIXe siècle[17] et son parc. Deux platanes majestueux marquent le début de l'allée menant au château, juste après la grille d'entrée (6,7 m de circonférence et 37 m de hauteur)[29].
  • Vallée et étangs communaux sur l'Hallue.
  • Chapelle Notre-Dame de la Route, construite après une mission en 1959 à la sortie du village, côté Daours[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • La seigneurie de Bussy, qui relevait de la châtellenie de Daours, appartint aux XVIe et XVIIe siècles aux Sacqespée. Puis, au début du XVIIIe siècle à Adrien Pingré, bourgeois et échevin d'Amiens de 1686 à 1687, conseiller secrétaire du roi.
  • Frédéric Petit, une personnalité politique de la Somme du XIXe siècle (maire d'Amiens et sénateur), y est né[31].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Ansart, Histoire des églises de la vallée de l'Hallue, Bibliothèque municipale d'Amiens Louis Aragon, cote 18568 Pic 6318.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. Notice géographique et historique sur la commune de Bussy-lès-Daours, rédigée par A.Debary, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Bussy-lès-Daours et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, Amiens, 1867-1878, tome 1 Lire sur le site des Archives départementales de la Somme.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 335.
  17. a b et c Bertrand Le Boudec, Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Sommes, t. II : Six structures paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement de Picardie, , 320 p. (lire en ligne [PDF]), p. 102.
  18. « -Guerre 14-18, Australiens à Bussy et visite de Clemenceau- », sur blogspot.com (consulté le ).
  19. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  21. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Le site de la commune de Vecquemont ».
  28. Archives départementales de la Somme : 99 O 967
  29. http://jardinier-nord-metropole-lilloise.e-monsite.com/medias/files/abres-sacres-de-picardie.pdf
  30. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 194 (ASIN B000WR15W8).
  31. Épitaphe de la sépulture de Frédéric Petit, au cimetière de La Madeleine à Amiens.