Biblisheim

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Biblisheim
Biblisheim
La mairie et l'église.
Blason de Biblisheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Haguenau-Wissembourg
Intercommunalité Communauté de communes Sauer-Pechelbronn
Maire
Mandat
Mireille Cabirol de Saint Georges
2020-2026
Code postal 67360
Code commune 67037
Démographie
Gentilé Biblisiens [1]
Population
municipale
357 hab. (2021 en augmentation de 4,08 % par rapport à 2015)
Densité 159 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 59″ nord, 7° 47′ 45″ est
Altitude Min. 152 m
Max. 159 m
Superficie 2,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Haguenau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Reichshoffen
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Biblisheim
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Biblisheim
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Biblisheim

Biblisheim [biblisaim] Écouter est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est à 1,7 km de Walbourg[2], 2,4 de Durrenbach, et 11,9 de Haguenau.

Communes limitrophes de Biblisheim
Gunstett Surbourg
Biblisheim
Durrenbach Walbourg Haguenau

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[4].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[5] :

  • La Sauer,
  • Ruisseau l'Altbach, le Halbmuhlbach et le Lindengraben.
  • Pliocène de Haguenau et nappe d'Alsace[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Vosges » et « Alsace »[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 795 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Preuschdorf », sur la commune de Preuschdorf à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 834,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,9 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • D 772 vers Walbourg[14].
  • A340.
  • A35, aussi appelée autoroute des cigognes ou l'Alsacienne : Échangeurs Sessenhaim, Soufflenheim, Drusenheim - Bischwiller.
  • A4, aussi appelée autoroute de l’Est : Échangeurs Hochfelden, Vendenheim.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Biblisheim est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Haguenau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Pour mémoire la proportion des types de couverture en 2012 était la suivante[20] :

  • Terres arables : 39,4 %,
  • Forêts : 30,5 %,
  • Zones agricoles hétérogènes : 13,8 %,
  • Zones urbanisées : 12,2 %,
  • Prairies : : 4 %.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,4 %), forêts (30,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), zones urbanisées (12,2 %), prairies (4 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village est cité pour la première fois dans le codex de Wissembourg sous le nom de Biberesdorf (qui en alémanique signifie village aux abords du Biberbach, le ruisseau aux castors).

Mais c'est en 1101 que le comte Thierry de Montbéliard, grand-père de Frédéric Barberousse, fonda l'abbaye de Biblisheim[22]. L'Alsace appartient alors au Saint-Empire romain germanique. Ce couvent est une abbaye de femmes, de l'ordre des bénédictines. L'histoire du village est liée à celle du couvent.

En 1310, l'empereur germanique Henri VII concéda d'importants privilèges forestiers au village dans la forêt de Haguenau. En 1445, les terres du village sont réparties entre l'abbaye de Walbourg et celle de Biblisheim. En 1464, l'abbaye, très appauvrie, a failli être concédée à Walbourg pour devenir un couvent d'hommes.

En 1493, l'église est reconstruite. Après la guerre de Trente Ans (1618-1648), l'abbaye de Biblisheim fut dévastée au point qu'il ne restait que trois religieuses. Pendant plus de soixante ans vinrent alors des religieuses de l'abbaye Saint-Lazare de Seedorf en Suisse. À la fin du XVIIe siècle, des fermiers suisses s'installent sur les terres de l'abbaye qu'ils défrichent. En 1699, le couvent perd ses privilèges forestiers.

Au XVIIIe siècle et jusqu'à la Révolution, l'abbaye connut la période la plus prospère de son existence. Sous l'impulsion des religieuses, le village prit son essor à partir de 1680, celui-ci vit en effet se développer des activités agricoles et piscicoles, notamment grâce aux trois rivières traversant le ban de la commune (le Halbmuhlbach, la Sauer et l'Altbach également nommé Antiqua Sera) et aux trois grands étangs de l'abbaye (le Setzweiher, le Mittelweiher et le Diffenwaldweiher). Aujourd'hui, on trouve encore au cadastre le lieu-dit du Weihermatten. L'abbaye possédait également quatre moulins sur la Sauer et une scierie.

En 1791, les sœurs durent quitter les lieux. Presque 700 après sa fondation, ce fut la fin de l'abbaye. Le , l'abbaye et ses terres furent vendues aux enchères comme biens nationaux.

En 1831 est construite une filature mécanique de chanvre et de lin. L'usine est construite en partie avec des matériaux provenant de l'abbaye. Dix ans après, l'usine de tissage s'arrête, elle est transformée en une usine de tissage qui a fermé définitivement ses portes en 1955 Il y eut par ailleurs une raffinerie dépendant de l'exploitation de pétrole de Pechelbronn et qui est devenue un atelier de réparation vingt deux ans après son édification.

Aux XIXe et XXe siècles, le village voit son histoire se confondre avec celle de l'Alsace, il devient allemand par la suite du traité de Francfort du . Il fait à ce moment partie de l'Alsace-Lorraine jusqu'en 1918. Par le traité de Versailles, l'Alsace revient à la France à la suite de la Grande Guerre où Biblisheim voit dix de ses enfants perdre la vie (Emile Gatty le 14/2/1915, Frédéric Halke le 29/2/1915, Charles Pfeiffer le 15/7/1915, Jacques Weigel en , Georges Muller le 28/2/1916, Camille Karli le 13/7/1916, Emile Wenger le 5/7/1916, Philippe Hildenbrand le 9/1/1917, Joseph Fehr en et Joseph Muller le 11/11/1918).

Lors de la Seconde Guerre mondiale, si le village n'est pas frappé par les mesures d'évacuation qu'ont connues les zones situées à la proximité de la frontière allemande, il est aussi touché par les autres malheurs qui affectent l'Alsace à ce moment : annexion à l'Allemagne au cours de l'été 1940, les noms de rues, de personnes, de lieux, les enseignes devant être germanisés. L'allemand devient la langue administrative, l'usage du français est interdit en public. Dès débute l'embrigadement des jeunes dans les organisations de jeunesse (Jeunesses hitlériennes et Bund Deutscher Mädel). Le , par ordonnance du Gauleiter Wagner, les jeunes doivent partir travailler six mois en Allemagne au titre du RAD (Reichsarbeitsdienst). Le entre en vigueur le décret d'incorporation de force, les jeunes doivent partir combattre pour un pays qui n'est pas le leur, l'Allemagne. Neuf Biblisheimois perdent la vie[23]. Il y eut aussi un mort civil lors des bombardements qui ont précédé la libération du village à la mi- (Nicolas Ratzel). Les noms de tous ces défunts sont inscrits sur le monument aux morts édifié au sein de l'église du village.

Par la suite, l'histoire du village se confond avec celle de la France, entrée dans l'Union Européenne en 1957, passage à la monnaie unique, l'euro (€) en 2002.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Biblisheim

Les armes de Biblisheim se blasonnent ainsi :
« Coupé : au premier d'argent à la crosse de gueules mouvant de la partition, au second de gueules au tête-et-col de cygne d'argent. »[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 En cours
(au 31 mai 2020)
Mireille Cabirol De Saint Georges[25],[26]
Réélue pour le mandat 2020-2026
   

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

Mairie.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :

  • total des produits de fonctionnement : 303 000 , soit 818  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 276 000 , soit 746  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 234 000 , soit 631  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 240 000 , soit 648  par habitant ;
  • endettement : 198 000 , soit 534  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 14,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,06 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 77,82 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 26 850 [28].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[29].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Restaurants à Woerth, Haguenau.
  • Hébergements à Morsbronn-les-Bains, Haguenau, Gunstett[30].
  • Gîte de France[31].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces de proximité à Woerth.
  • Ancienne filature de lin et de chanvre, actuellement maison[32],[33].
  • Ancien moulin[34].
  • L'ancienne raffinerie de Biblisheim.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 357 habitants[Note 4], en augmentation de 4,08 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
153206226268315464430418375
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
267250240255249255221221235
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
250248243241235259240275246
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
254242252244339372363337349
2021 - - - - - - - -
357--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Etablissements d'enseignements[39] :

  • Ecole maternelle et primaire.
Ancienne mairie, école[40].
  • Collèges à Walbourg, Wœrth, Soultz-sous-Forêts, Mertzwiller, Schweighouse-sur-Moder,
  • Lycées à Walbourg, Haguenau.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[41] :

  • Médecins à Walbourg, Durrenbach, Surbourg, Merkwiller-Pechelbronn,
  • Pharmacies à Merkwiller-Pechelbronn, Morsbronn-les-Bains, Woerth, Soultz-sous-Forêts,
  • Hôpitaux à Goersdorf, Lobsann, Haguenau.

Cultes[modifier | modifier le code]

  • Culte catholique, Communauté de paroisses Entre Eberbach et Sauer (Biblisheim, Durrenbach, Gunstett, Hégeney, Hinterfeld et Walbourg)[42], Diocèse de Strasbourg.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Orgue de Wetzel Martin (facteur d'orgues)[46],[47],[48],
Dalles funéraires[49],[50],[51],[52],
Statue vierge à l'Enfant provenant de l'abbaye de Biblisheim, déposée au musée de Haguenau[53],[54],[55],
Chaire à prêcher 1736.
  • Le monument aux morts.
Il s'agit d'une plaque située à l'intérieur de l'église[56],[57], à la droite de l'autel lorsque l'on y rentre. La plaque du monument aux morts surplombe les dalles funéraires érigées en grès des Vosges sur le mur et à même le sol en mémoire des abbesses du couvent de Biblisheim. Il existait aussi, près de l'église, six tombes allemandes de la Seconde Guerre mondiale, déplacées vers 1965 vers un cimetière militaire.
Le premier monument est construit en grès des Vosges, le nom des défunts ainsi que la date de leur mort sont inscrits sur une plaquette rectangulaire surmontée d'une inscription en allemand Zum Andenken an die im Weltkriege 1914-1918 Gefallenen von Biblisheim qui, traduite en français signifie « en souvenir des morts de Biblisheim durant la guerre mondiale 1914-1918 ». Cette inscription est elle-même surmontée d'une pietà, c'est-à-dire une image religieuse montrant la Vierge Marie priant pour le salut de l'âme du Christ agonisant. Sur le fronton de cette pietà est inscrit de manière arrondie et en latin Mater dolorosa Ora pro nobis, ce qui signifie « mère douloureuse, prie pour nous ».
Après la Seconde Guerre mondiale, de part et d'autre de la pietà furent apposées deux plaques de forme rectangulaire, il s'agit d'inscriptions donnant le nom des morts de 1939-1945. Ce deuxième monument est construit en granit lisse et porte simplement l'inscription 1939-1945. Toutes les inscriptions sont gravées et recouvertes de dorures. On constate dans l'ordre du relevé des morts une différence puisque les victimes de 1914-1918 sont inscrites dans l'ordre chronologique de leur mort, avec la date de leur mort ; alors que les victimes de 1939-1945 sont quant à elles inscrites par ordre alphabétique. Le monument est d'une hauteur d'environ un mètre et d'une largeur d'environ trois mètres.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jusqu'en 1844, les Saglio[63] y possédaient un domaine familial.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Itinéraires
  3. Sites Natura 2000
  4. Didacticiel de la règlementation parasismique
  5. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
  6. Masses d'eau souterraine
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Biblisheim et Preuschdorf », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Preuschdorf », sur la commune de Preuschdorf - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Preuschdorf », sur la commune de Preuschdorf - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. Itinéraires
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Haguenau », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Proportion des types de couverture, sources sigesrm.brgm.fr/
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. L’Abbaye et son église
  23. Joseph Beyer le 10/1/1944, René Buchert le 6/8/1944, Camille Dutscher le 15/7/1944, Lucien Dutscher le 14/12/1944, Albert Freysz le 26/4/1945, Joseph Heim le 23/12/1943, Charles Helmer le 20/2/1946 (en captivité), René Ratzel le 14/7/1944, Xavier Weltzer le 2/9/1943
  24. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  25. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. Les comptes de la commune
  28. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  29. Annuaire
  30. Hébergements
  31. Annuaire mairie
  32. « Filature de lin et de chanvre, actuellement maison », notice no IVR42_199867B2173ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  33. « Ancienne filature de lin et de chanvre, actuellement maison », notice no IA67007765, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. « Ancien moulin », notice no IVR42_199867B2377ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Etablissements d'enseignements
  40. « Ancienne mairie, école », notice no IVR42_199867B1691ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  41. Professionnels et établissements de santé
  42. Communauté de paroisses Entre Eberbach et Sauer
  43. « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA67007763, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  44. « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no IVR42_199867B2166ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  45. « Église Saint-Jean-Baptiste, élévation antérieure », notice no IA67007763, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. « Orgue », notice no IVR42_199867B2050ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  47. « Église Saint-Jean-Baptiste. Tribune d'orgue », notice no IVR42_199867B2042ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  48. Construction d'un orgue neuf par Martin Wetzel (instrument actuel)
  49. « Dalle funéraire (n° 2) », notice no IM67011862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  50. « Dalles funéraires No 4 et No 5 », notice no IVR42_19836702931Z, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  51. « Dalles funéraires Nos 6, 7 et 8 », notice no IVR42_19836702930Z, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  52. « Dalle funéraire No 11 », notice no IVR42_19836702936Z, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  53. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no IVR42_199967B0720ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  54. « Vue de trois-quarts de la statue de la Vierge à l'Enfant déposée au musée de Haguenau », notice no IVR42_199967B0719ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  55. « Vue de face de la statue de la Vierge à l'Enfant », notice no IVR42_199967B0717ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  56. « Monument aux morts », notice no IVR42_199867B2051ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  57. « Monument aux morts », notice no IVR42_199867B2052ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  58. « Croix de chemin », notice no IVR42_199867B2168ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  59. « Croix de chemin (détail) », notice no IVR42_199867B1689ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  60. « Croix de chemin (B) », notice no IVR42_199867B1692ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  61. « Croix de chemin (B) », notice no IVR42_199867B1694ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  62. « Croix de cimetière », notice no IVR42_199867B1686ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  63. « Walbourg : Tombeau de François Joseph Saglio et de Susanne Saglio, née van Récum », notice no IM67012558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.