Pommerol

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Pommerol
Pommerol
La Vallée de Pommerol en janvier 2013. On peut y voir le village et le Chastelas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Gilbert Morin
2020-2026
Code postal 26470
Code commune 26245
Démographie
Gentilé Pommerolais, Pommerolaises
Population
municipale
hab. (2021 en diminution de 75 % par rapport à 2015)
Densité 0,51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 49″ nord, 5° 27′ 10″ est
Altitude Min. 717 m
Max. 1 563 ou 1 571 m
Superficie 9,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Pommerol
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Pommerol
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Pommerol
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Pommerol

Pommerol est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Localisation

Pommerol est situé à 21 km à l'est de Rémuzat.

C'est une commune composée de fermes et hameaux éparpillés dans un environnement montagneux[1] (Pré-Alpes).

Rose des vents La Charce
Cornillac
La Charce
Valdoule (Hautes-Alpes)
Valdoule (Hautes-Alpes) Rose des vents
Cornillac N Valdoule (Hautes-Alpes)
Moydans (Hautes-Alpes)
O    Pommerol    E
S
Rosans (Hautes-Alpes) Rosans (Hautes-Alpes) Rosans (Hautes-Alpes)

Relief et géologie

  • Environnement montagneux, sites tourmentés[1].

Sites particuliers[2] :

  • Col de Pommerol (ou de la Fromagère) (1070 m)
  • Col du Faux
  • Col du Prieur
  • Combe de la Galone
  • Combe de l'Homme
  • Combe du Loup
  • Dent du Passet (1182 m)
  • le Fourchat (1571 m)
  • Montagne de l'Archier
  • Montagne de Raton (1473 m)
  • Roche Rousse
  • Rochers de la Serrière (1242 m)
  • Rochers des Aiguilles (870 m)
  • Serre Merville (1124 m)
  • Serre Rochasson (1212 m)

Géologie

Hydrographie

Torrent La Pommerole qui prend sa source dans la commune.

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[2] :

  • Ravin du Bousquet ;
  • Ruisseau de Pommerol ;
  • Ruisseau des Moulières (source).

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[3] :

  • (Non daté) : Le Torrent des Pommeroles (État-major).
  • 1891 : La Pommerole, ruisseau qui a sa source au Pertus, traverse la commune de Pommerol et se jette dans l'Oulle (commune de la Charce) après 5,75 kilomètres de cours. En 1891, sa largeur moyenne est de 5,50 m, sa pente de 92 m, son débit ordinaire de 0,70 m3, extraordinaire de 10 m3.

Climat

Voies de communication et transports

La commune est traversée par la route départementale 338 reliant la Charce au col de Pommerol (ou de la Fromagère). Elle permet de passer de la Drôme aux Hautes-Alpes, en direction de Rosans.

Le chef-lieu du village est desservi par la RD 438 et le lieu-dit La Fromagère par la RD 603.

Urbanisme

Typologie

Pommerol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

La commune est hors attraction des villes[7],[8].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

Morphologie urbaine

La commune est composée de fermes et hameaux éparpillés. Le petit chef-lieu est perché[1].

Quartiers, hameaux et lieux-dits

Site Géoportail (carte IGN)[2] :

  • Forêt Domaniale de l'Eygues
  • la Fromagère
  • la Gineste
  • la Sapie
  • Laumas
  • le Moulin
  • le Pertus
  • les Marsols
  • les Molières
  • les Plaines
  • Passière de la Sapie
  • Trescoussous

Logement

Projets d'aménagement

Risques naturels et technologiques

Toponymie

Attestations

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :

  • 1183 : mention de la paroisse : ecclesia de Pomariolo (Masures de l'Isle-Barbe, 117).
  • 1251 : Pomayrol, Pomerriolum et Pomeroz (cartulaire de l'Île-Barbe, 74, 78 et 84).
  • 1272 : castrum de Pomeralio (inventaire des dauphins, 222).
  • 1275 : Pomereuil (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1300 : mention du prieuré : prioratus Sancti Romani Pomayrolio (archives du Rhône, fonds de l'Île-Barbe).
  • 1305 : Pomairollo (archives des Bouches-du-Rhône, B 12).
  • 1516 : Pomeralium (pouillé de Gap).
  • 1523 : Pomeyrous (archives de la Drôme, E 4666).
  • 1606 : Pomeyral (rôle de décimes).
  • XVIIIe siècle : Pomereul (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1891 : Pommerol, commune du canton de Rémuzat.

Étymologie

  • Hypothèse 1 : Pommerol représenterait l'occitan pomairòl « pommeraie », du bas latin pomarium « verger », du latin pomum « fruit »[12].
  • Hypothèse 2 : le nom de la commune voudrait dire « Château du Verger »[1].

Histoire

Préhistoire

Dans un abri à 1350 m d'altitude : gravures pariétales d'oiseaux (art schématique)[1].

Protohistoire

Pommerol était situé sur le territoire de la tribu gauloise des Voconces[réf. nécessaire].

Antiquité : les Gallo-romains

Du Moyen Âge à la Révolution

La seigneurie :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était du fief des barons de Mévouillon et arrière-fief des abbés de l'Île-Barbe[11].
  • 1261 : elle est inféodée aux Isoard. Ces derniers la possède encore en 1305[11].
  • Vers 1320 : elle passe aux Flotte[11].
  • Vers 1320 : elle est vendue aux Rivière[11].
  • Vers 1329 : elle appartient aux comtes de Provence qui l'intègrent dans leur claverie de la Val-d'Oule (voir plus bas)[11].
Jourdain Salle la tiendra jusqu'en 1332[réf. nécessaire] (ou Jordans Sarlle, de 1329 à 1332)[réf. nécessaire])
  • Début XVe siècle : elle passe aux Beauvoir[11].
  • Passe aux Baratier[11].
  • 1586 : passe (par mariage) aux Raymond-Modène[11].
  • Passe aux Grandis[11].

La commune fait partie de la Claverie du Val d'Oule de 1261[16] à 1641[réf. nécessaire].

Avant 1790, Pommerol était une communauté du ressort du parlement et de l'intendance d'Aix, viguerie et recette de Sisteron.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap dont l'église, dédiée à saint Pierre, dépendait d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoit (filiation de l'Île-Barbe) qui fut uni à la cure au début du XVIIe siècle (voir Saint-Roman)[11].

Saint-Roman

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :

  • 1183 : ecclesia Sancti Romani de Pomariolo (Masures de l'Isle-Barbe, 117).
  • XIIIe siècle : prioratus de Pomerriolo, Prioratus de Pomeroz et Prioratus Sancti Romani de Pomayrol (cartulaire de l'Île-Barbe, 74, 78 et 84).
  • 1516 : prioratus de Pomeriolo (pouillé de Gap).
  • 1606 : le prieuré de Pomeyrol (pouillé de Gap).
  • 1891 : Saint-Roman, ruine de chapelle de la commune de Pommerol. Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît et de la dépendance de l'abbaye de l'Île-Barbe, qui fut uni à la cure au début du XVIIe siècle et dont le titulaire avait la collation et les dîmes de la paroisse de Pommerol.

La Val-d'Oule

Ce paragraphe concerne la commune de Pommerol mais aussi celles de Cornillon, la Charce, Cornillac, Lemps, Rémuzat et Saint-May.

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1262 : Vallis Olle vel Bodonesii (cartulaire de l'Île-Barbe, 62).
  • 1272 : Vallis Olle (cartulaire des dauphins).
  • 1331 : mention de la claverie : clararia Vallis Olle (archives des Bouches-du-Rhône, B 2067).
  • 1891 : La Val-d'Oule, partie de la vallée de l'Oule et du canton de Rémuzat, appelée aussi vallée de Cornillon, et comprenant, avec la commune de ce dernier nom, celles de la Charce, Cornillac, Lemps, Pommerol, Rémuzat et Saint-May.

La seigneurie[16] :

  • Au point de vue féodal, la Val-d'Oule est une terre (ou seigneurie) des barons de Mévouillon, feudataires des abbés de l'Île-Barbe.
  • 1261 : elle est acquise par les comtes de Provence qui en font une de leurs claveries.
  • La terre est inféodée aux (d')Agoult.
  • Elle est recouvrée par les comtes de Provence.
  • 1465 : elle est cédée aux dauphins en échange de la ville de Gap.
  • Après avoir donné lieu à de grands démêlés, ce traité d'échange resta sans effet, et la Val-d'Oule, comprise alors parmi les Terres adjacentes de Provence, fut réunie à la viguerie de Sisteron, dans les premières années du XVIIe siècle.

1524 (démographie) : il y a trente feux dans la Val-d'Oule[16].

Avant 1790, les sept communes formaient une enclave de la Provence en Dauphiné[16].

De la Révolution à nos jours

Cette commune fait partie du canton de Rémuzat depuis 1790[11].

Autour de 1910, le village est déserté et tombe en ruine[réf. nécessaire].

Lors de la Seconde Guerre mondiale, des maquisards s'y établissent et des gens venus de villages voisins s'y cachent[réf. nécessaire].

Entre 1973 et 2000, le terrain sur lequel se trouvaient les ruines du vieux village a été acheté par le docteur Paul Vuillard et reconstruit sous sa direction avec ses amis. La propriété a été revendue en 2000 à une société civile coopérative[18][source insuffisante]. Les maisons, qui étaient des gîtes, sont redevenues des maisons d'habitation. Une partie du village est privatisée et interdite à la circulation[réf. nécessaire].

Politique et administration

Tendance politique et résultats

Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 ?    
2008 2014 ?    
2014 2020 Gilbert Morin   médecin
2020 En cours
(au 4 sept. 2021)
Gilbert Morin[19][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux

Politique environnementale

Finances locales

Jumelages

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 5 habitants[Note 2], en diminution de 75 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
194125172170142158140151138
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1471351191131151071188793
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
696745273729231818
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
161713131421181719
2018 2021 - - - - - - -
65-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

Enseignement

Santé

Manifestations culturelles et festivités

Loisirs

  • Randonnées[1].

Sports

Médias

Cultes

Le dernier prêtre de Pommerol décéda en 1898. Pommerol fut ensuite desservie par les prêtres de Cornillac, la commune voisine, jusqu'en 1928. Dans les années 1970-1980, ce fut le chanoine Vandamme de Rémuzat qui venait dire la messe[réf. nécessaire].

Économie

Agriculture

En 1992 : bois, pâturages (ovins, caprins), lavande[1].

Tourisme

Revenus de la population et fiscalité

Emploi

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine culturel

Patrimoine naturel

  • Cavernes[1] : la Baume Écrite[2].

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Armes de Pommerol

Les armes peuvent se blasonner : De gueules, à une croix d'argent, chargée de cinq coquilles de sables.

Annexes

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a b c d e f g h i et j Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Pommerol.
  2. a b c et d https://www.geoportail.gouv.fr/
  3. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 280 (Pommerole, ruisseau).
  4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Commune rurale - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
  6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  11. a b c d e f g h i j k et l J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 279 (Pommerol).
  12. Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, Éd. du Beffroi, 2002, page 618.
  13. Glory, André, « La grotte des Sarrasins ou grotte écrite à Pommerol (Drôme) », Bulletin de la Société préhistorique française, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 65, no 3,‎ , p. 88–91 (DOI 10.3406/bspf.1968.8996, lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  14. http://www.etudesdromoises.com/pages/pages_revue/resumes_d_articles/baume_ecrite.htm
  15. http://www.lauragais-patrimoine.fr/BIBLIOTHEQUE/SURVIVANCE-L.GRATTE/032-DROME.pdf.
  16. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 401 (Saint-Roman).
  17. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 360 (Saint-Roman).
  18. Source : les actuels associés
  19. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Jean-Yves Royer, « Troubadours et Chevaliers des Baronnies », Les Baronnies au Moyen Âge, Les Alpes de Lumière, n° 123,‎ , p. 36-41.