Chamboulive
Chamboulive | |||||
L'église Saint-Côme-et-Saint-Damien et la place du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Tulle | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Tulle Agglo | ||||
Maire Mandat |
Betty Dessine 2020-2026 |
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Code postal | 19450 | ||||
Code commune | 19037 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chamboulivois[1]. | ||||
Population municipale |
1 164 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 25′ 58″ nord, 1° 42′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 312 m Max. 530 m |
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Superficie | 46,80 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Tulle (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Seilhac-Monédières | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Chamboulive (Chamboliva en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze dans le Limousin, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Chamboulivois.
Géographie
Localisation
Eyburie | Le Lonzac | |||
Pierrefitte | N | Beaumont | ||
O Chamboulive E | ||||
S | ||||
Saint-Jal | Seilhac | Saint-Salvadour |
Chamboulive occupe un plateau bordé au nord-ouest par la Vézère et entaillé par plusieurs ruisseaux, dont la Madrange et le Rujoux, affluents de la Vézère. La commune couvre 4 679 ha avec une altitude maximale de 529 m au Puy-Grand tandis que, sur la place de l’église, le niveau est à 430 m.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Uzerche », sur la commune d'Uzerche, mise en service en 1996[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 126,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 33 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Chamboulive est une commune rurale[Note 5],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,2 %), prairies (36,5 %), forêts (11,8 %), zones urbanisées (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Chamboulive est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 20,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 770 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 31 sont en en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chamboulive est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Histoire
L’origine du nom est incertaine. On peut, certes, citer le petit peuple des Camboleutheri, mentionné par Jules César, mais, seule la première partie du mot parait lisible avec le terme camb-, c’est-à-dire la courbe. Cela pourrait conduire à évoquer un pays vallonné ayant de multiples sources et une terre fertile... À l’exception de l’oppidum bien délabré du Puy-Chalard, peu de découvertes archéologiques (quelques objets en pierre polie, quelques sites occupés au début de notre ère), mais ils attestent une occupation ancienne du sol. C’est ce que confirme la toponymie avec, notamment, les noms en —ac de l’époque gallo-romaine.
Au haut Moyen Âge, Chamboulive est le siège d’un pagus minor, un petit pays du Limousin, une très ancienne division territoriale de la Cité des Lémovices, d’une vicairie, circonscription administrative et judiciaire et d’une paroisse sous le vocable des saints Côme et Damien, médecins syriaques.
On connaît, dès le XIe siècle, l’existence de seigneurs particuliers, les comtors. La seigneurie appartient ensuite aux Comborn, à leurs successeurs et, avant 1789, aux Lastic-Saint-Jal. C’est de Chamboulive que serait originaire, au XIVe siècle, dom Jean Birelle, général de l’Ordre des Chartreux, proposé à la mort du pape Clément VI pour le trône pontifical. On lui préfère celui qui devient Innocent VI.
À la fin de l’Ancien Régime, la paroisse relève de la sénéchaussée d’Uzerche (en appel du parlement de Bordeaux), de l’élection de Brive-la-Gaillarde et de la généralité de Limoges.
En 1790, Chamboulive, qui compte autour de 2 500 habitants, devient commune et chef-lieu d’un canton qui est supprimé en 1801. Depuis, elle est rattachée au canton de Seilhac, département de la Corrèze.
La nouvelle municipalité se dote d’armoiries (un châtaignier surmonté du chef de France)... Des troubles éclatent (ouverture d’étangs en 1791, pillage de châteaux en 1792).
En 1792, un club des Amis de la Constitution est créé : il reste très actif et vigilant... Cette période est dominée par la figure de Pierre Rivière (1749-1806) qui remplace Bigourie du Chambon à la Convention.
Au XIXe siècle, la commune reste très populeuse avec un maximum de 3 103 habitants en 1846. Elle en a 2 833 en 1896, 2 057 en 1946 et 1133 en 1999...
En 1831, la chapelle du cimetière est transformée en mairie et école.
En 1848, la Révolution est marquée par des troubles qui nécessitent l’intervention des soldats du 10e Léger, de Tulle ; sous la IIIe République, un grand effort est entrepris pour développer l’enseignement ; un imposant groupe scolaire et une mairie moderne sont bâtis ; des écoles de hameaux voient le jour à Chalaux, Vernéjoux et Le Puy-Grand.
En juillet 1904, le train à voie étroite relie Chamboulive à Treignac, Seilhac, Tulle et Uzerche, surnommé "le Tacot".
Mais Chamboulive paie un lourd tribut au champ d'honneur en perdant plus de 150 soldats durant la Première Guerre mondiale.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, on compte une vingtaine de morts, des disparus, des déportés, un fusillé...
Deux Chamboulivois sont tués au cours de la guerre d’Algérie.
Héraldique
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31]. En 2021, la commune comptait 1 164 habitants[Note 8], en évolution de −2,68 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Vie locale
Enseignement
Équipements
Économie
Lieux et monuments
- Église Saint-Côme-et-Saint-Damien de Chamboulive. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1921[34].
- Le site de la Chapelle du Puy Saint Damien, point culminant de Chamboulive. La table d'orientation présente sur le lieu propose une cartographie de l'horizon.
On trouve à l'entrée du site la sculpture de Marc Duquesnoy, réalisée en 2010 à l'occasion de Chamboul'art.
Personnalités liées à la commune
- Louis de Lajarrige, artiste peintre né à Chamboulive le 5 juin 1873, mort en 1933.
- André Lagrafeuille et Henri Bourg, résistants fusillés à Tulle le 2 avril 1944, nés à Chamboulive.
Jumelages
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Ville de Chamboulive », sur http://www.conseil-general.com/ (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Uzerche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chamboulive et Uzerche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Uzerche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chamboulive et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Chamboulive », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chamboulive », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise Saint-Côme et Saint-Damien », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Corrèze
- Anciennes communes de la Corrèze
- Communauté d'agglomération Tulle Agglo
- Liste des monuments historiques de la Corrèze
- District d'Uzerche
- Tour du Limousin 2013
Liens externes
- Site officiel
- Chamboulive sur le site de l'Institut géographique national
- Ressources relatives à la géographie :