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Sempesserre

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Sempesserre
Sempesserre
Église de Sempesserre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne gersoise
Maire
Mandat
Philippe Blancquart
2020-2026
Code postal 32700
Code commune 32429
Démographie
Population
municipale
304 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 00″ nord, 0° 39′ 00″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 210 m
Superficie 20,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lectoure-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sempesserre
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Sempesserre
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Sempesserre
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Sempesserre

Sempesserre (Sempessèrra en gascon) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens et par divers autres petits cours d'eau.

Sempesserre est une commune rurale qui compte 304 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 960 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Agen. Ses habitants sont appelés les Sempesserrois ou Sempesserroises.

Géographie

Localisation

La commune est limitrophe du département de Lot-et-Garonne.

Communes limitrophes

Géologie et relief

Sempesserre se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens, le ruisseau arrioucau, le ruisseau de Baylé, le ruisseau de Clarac, le ruisseau de Frayminet, le ruisseau de Guillamot, le ruisseau de la Bourdasse, le ruisseau de Laudé, le ruisseau de Leyreté, le ruisseau de Mulé, le ruisseau de Pourquay et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé 47 communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Sempesserre.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

  • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 751 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lectoure », sur la commune de Lectoure, mise en service en 1984[11] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 726,2 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le département de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et à 17 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[15], à 13,4 °C pour 1981-2010[16], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[17].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].

Urbanisme

Typologie

Sempesserre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[I 1],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93 %), zones agricoles hétérogènes (7 %)[23].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Sempesserre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie [26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999 et 2009[27],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sempesserre.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 169 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 169 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 2002, 2003, 2005, 2011, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Toponymie

Sempesserre est une graphie phonétique de « Saint-Pesserre », dont l’origine est Saint-Pé, de Sent-Pèr en occitan (gascon) « Saint-Pierre » (donnant la forme Sempé), et « serre », chaîne de montagne ou colline allongée, caractéristique topographique. La forme occitane en graphie classique est Sent-Per-Serra[réf. nécessaire].

Histoire

Politique et administration

Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1795 Jean Tarne    
1792 1795 Pierre Lagrange-lagraulhet    
1795 1798 Guillaume Philip    
1795 1797 Jean Belliard    
1797 1800 Etienne Faget    
1798 1800 Sylvestre Courrent    
1800 1819 Guillaume Sarrau    
1800 1815 Jean Belliard    
1815 1822 Gratien Sarrau    
1819 1822 Guillaume Philip    
1822 1823 Jean Gairaud    
1823 1824 Guillaume Philip    
1824 1830 Guillaume Sarrau    
1830 1837 Jean Faget    
1837 1848 Pierre Tarne    
1848 1850 Augustin Belliard    
1850 1851 François Monthus    
1851 1856 Jean-baptiste Coulom    
1856 1870 Guillaume Garas    
1870 1871 Pierre Vidaillan    
1871 1881 Guillaume Garas    
1881 1887 Antoine Roussel    
1887 1900 Jacques Lafore    
1900 1905 Joseph Laffont    
1905 1929 Octave Vidallon    
1929 1931 Marius Saint-avit    
1931 1935 Gabriel Dupin    
1935 1939 Armand Bounet    
1939 1945 Léopold Saint-avit    
1945 1945 Gabriel Dupin    
1945 1971 Emile Duffourcq    
1971 1983 Roger Denux    
1983 2005 Jean Alias    
mars 2008 2014 Robert Baldassare[31]    
2014 En cours Philippe Blancquart    

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 304 habitants[Note 6], en stagnation par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
808700775694935933960887903
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
842878763756703684639649622
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
567550515526500493555488411
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
355303296303311298296314294
2021 - - - - - - - -
304--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 127 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 285 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 990 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 5,9 % 8,6 % 7 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 174 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2 % d'actifs (68,2 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs) et 24,8 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Agen, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 56 emplois en 2018, contre 73 en 2013 et 62 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 121, soit un indicateur de concentration d'emploi de 46,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,4 %[I 10].

Sur ces 121 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 37 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

25 établissements[Note 9] sont implantés à Sempesserre au [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 25 entreprises implantées à Sempesserre), contre 14,4 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture

La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole occupant le nord-est du département du Gers[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 54 38 34 24
SAU[Note 11] (ha) 1 674 1 716 1 954 1 831

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 54 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 38 en 2000 puis à 34 en 2010[38] et enfin à 24 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 56 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[39],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 674 ha en 1988 à 1 831 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 31 à 76 ha[38].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Menhir de la Claverie, probablement détruit. Haute d’environ 1,25 m, cette pierre appelée la Peyro Sacrado (la pierre sacrée) par les anciens Sempesserrois s’élevait encore au début des années cinquante devant la ferme de Claverie. Elle aurait été détruite car elle gênait le passage des charrettes (témoignage oral).
  • Tumulus au lieu-dit La Motte; à l'ouest du bourg.
  • Église Saints-Pierre-et-Paul de Sempesserre.
  • Chapelle Saint-Jean-Baptiste des Martres.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Sempesserre Blason
Parti d'azur et de gueules; à deux clés d'or passées en sautoir et brochant sur le tout[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Sempesserre » sur Géoportail (consulté le 12 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Sempesserre » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sempesserre » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sempesserre » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Sempesserre » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  4. « Fiche communale de Sempesserre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  5. Sandre, « le Gers »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  11. « Station Météo-France Lectoure - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre Sempesserre et Lectoure », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France Lectoure - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Sempesserre et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sempesserre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sempesserre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des espaces protégés sur la commune de Sempesserre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sempesserre », sur Géorisques (consulté le )
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