Amailloux

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Amailloux
Amailloux
Le château de Tennessus.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Parthenay
Intercommunalité Communauté de communes de Parthenay-Gâtine
Maire
Mandat
Nathalie Brescia
2020-2026
Code postal 79350
Code commune 79008
Démographie
Gentilé Amaliens ou Amalliens
Population
municipale
823 hab. (2021 en diminution de 2,26 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 50″ nord, 0° 18′ 55″ ouest
Altitude Min. 139 m
Max. 221 m
Superficie 37,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Parthenay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Parthenay
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Amailloux

Amailloux (anciennement Amaillou) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune d'Amailloux est traversée du sud ouest au nord-est par la Raconnière, un ruisseau affluent du Cébron et sous-affluent du Thouet. La Raconnière prend sa source sur le territoire communal, deux kilomètres au sud-ouest du bourg, en limite de la commune de Saint-Germain-de-Longue-Chaume. Des bois couvrent une partie de la commune principalement au nord-ouest[1].

Le bourg est situé en distances orthodromiques, 12 kilomètres au nord-ouest de Parthenay et 17 kilomètres au sud-est de Bressuire, sur la route départementale 46, à un kilomètre de la route nationale 149 qui relie ces deux villes.

La commune est également desservie à l'ouest par la route départementale 143.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 853 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clesse », sur la commune de Clessé, mise en service en 1978[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 799,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 48 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Amailloux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Parthenay, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,1 %), terres arables (37,8 %), prairies (12,2 %), forêts (6 %), zones urbanisées (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Amailloux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cébron, la Raconnière et la Taconnière. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1999 et 2010[23],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Amailloux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 46,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune était exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut : Titanobel (activités soumises à autorisation pour la fabrication et le stockage d’explosifs)[27].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Amailloux est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'origine du toponyme est incertaine. Son nom au XIe siècle, Amallo, suggère qu'il s'agissait d'une ancienne villa ou « domaine d'Amalius ». Amalius est un nom d'origine germanique. Il peut être l'un de ces barbares que les gouverneurs de province romains encourageaient à émigrer à l'époque du Bas Empire (IIIe – IVe siècle) pour y défricher et exploiter de nouvelles terres. À moins qu'il ne s'agisse d'un guerrier franc arrivé dans la région au Ve ou VIe siècle, au moment des grandes invasions, et qui s'y serait taillé un vaste territoire. Le problème est d'autant plus difficile à résoudre que, pendant tout le haut Moyen Âge, du VIIe au Xe siècle, les Gallo-romains ont pris des noms germaniques comme le voulait la mode de l'époque.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts d'Amailloux.

La châtellenie d'Amailloux relevait de la baronnie d'Airvault. La cure était à la nomination de l'abbé d'Airvault. Amailloux faisait partie du doyenné de Bressuire, de la sénéchaussée et de l'élection de Poitiers, après avoir fait partie de celle de Parthenay au XVIe siècle. Il y avait 185 feux en 1750.

Canton d'Amaillou[modifier | modifier le code]

Le canton d'Amailloux, créé en 1790, dépendait du district de Parthenay et comprenait, outre Amailloux, les communes d'Adilly, la Boissière-Thouarsaise (aujourd'hui Lageon), Fénery et Saint-Germain-de-Longue-Chaume. Il fut supprimé en l'an VIII et réuni à celui de Parthenay[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires d'Amailloux
Période Identité Étiquette Qualité
  1792 Louis Fradin (1749-1793)   Marchand

Guillotiné à Niort en 1793 au début des guerres de Vendée

1792 1793 Pierre Reveillault (ca1752-1794)   Suppléant au maire Louis Fradin entre décembre 1792 et avril 1793

Maréchal-ferrant et serrurier

Mort en 1794 en la maison de justice de Niort durant les guerres de Vendée.

  1802 Étienne Robin (1743-1821)   Marchand
1802 1815 René Brilloux    
1816 1830 Pierre Thaudière (1770-1845)   Fermier du Bas-Château
1830 1835 Louis-Étienne Robin (1775-1833)    
1835 1843 Pierre Thaudière (1770-1845)   Fermier du Bas-Château
1843 1878 François-Étienne Robin (1810-1898)    
1878 1892 Léon Gaudry (1836-1905)    
1892 1896 Marcellin Jarassé (1839-1901)   Auxiliaire de justice (avoué-licencié) à Parthenay
1896 1929 Aristide Moreau (1851-1931)   Épicier face à la porte principale de l'église.

Chevalier de la Légion d'Honneur pour 33 années au service de ses concitoyens.

1929 1942 Xiste Poirault (1882-1960) [30]   Fermier
1942 1956 Marcel Coulais (1902-1956)   Agriculteur
Nommé maire délégué par le régime de Vichy
Décès accidentel le 22 novembre 1956
1956 1959 Ferdinand Robin   Aide chez son beau-frère négociant en œufs
1959 1971 Joseph Braud   Cultivateur
1971 1980 Marcel Berdeguer   Colonel à la retraite,
mort en fonction de maladie le 26 mars 1980
1980 1983 Joseph Braud   Cultivateur
1983 mars 2014 Jean-Pierre Abrand DVG Agriculteur
mars 2014 En cours Nathalie Brescia SE Professeur du secondaire & technique

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 823 habitants[Note 9], en diminution de 2,26 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
663659615804882896900911950
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9359289519411 0741 1301 2051 3211 326
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3331 3461 3571 1491 1091 0621 0161 0221 000
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
989940820831753720801865829
2021 - - - - - - - -
823--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chevet de l'église.
  • Centre d'enfouissement technique (CET) des déchets ultimes

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Louis Fradin, maire, ancien moine, condamné à mort le 27 brumaire an II () par le tribunal criminel du département des Deux-Sèvres comme « chef des brigands de la Vendée », guillotiné le lendemain sur la place de la Brèche à Niort.
  • Georges Germond (1920-2019), instituteur à Amailloux de 1945 à 1975, préhistorien et archéologue, il publie plusieurs ouvrages[37].
  • Eugène Aristide Moreau (1851-1931), maire d'Amailloux de 1896 à 1929.
  • Dominique Piéchaud, artiste sculpteur, médailleur, restaurateur du château de Tennessus dans les années 1980[38].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Dupin Claude, Mémoire statistique du département des Deux-Sèvres, adressé au ministre de l'Intérieur, d'après ses instructions, Paris, Imprimerie de la République, An XII, 306 p
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Station Météo-France Clesse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Amailloux et Clessé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Clesse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Amailloux et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  14. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Parthenay », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Amailloux », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  29. Ledain Bélisaire & Dupond Alfred, Dictionnaire topographique du département des Deux-Sèvres comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Poitiers, Société française d'imprimerie et de librairie, 1902, in-4°, XLII-360 p
  30. Démis de ses fonctions pour une raison inconnue
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Inscription du château de Tennessus aux monuments historiques », notice no PA00101172, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 juillet 2009
  36. Site du château de Tennessus
  37. http://www.wiki-niort.fr/Ecole_Normale_en_Deux-S%C3%A8vres
  38. [1]