Liste des familles nobles (Pays-Bas méridionaux)

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La liste des familles nobles (Pays-Bas méridionaux) reprend l'ensemble des familles anoblies sous les Pays-Bas espagnols (1556–1713) et les Pays-Bas autrichiens (1713-1795) ; appelés plus simplement les Pays-Bas méridionaux.

Liste des souverains[modifier | modifier le code]

Liste des familles[modifier | modifier le code]

Sommaire :

A[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Écuyer Prague, 17 mai 1575, Maximilien II du Saint-Empire: Confirmation dans la noblesse du Saint Empire, avec nomination à la Cour du Palatin, changement et augmentation des armes, pour Peter van der Aa, président du Conseil provincial de la justice du Luxembourg. Seule la minute du diplôme a été récupérée[1]. – Madrid, 31 octobre 1583, Philippe II d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à Peter van der Aa (précité). Seules la minute du diplôme et l'ordre de le sceller ont été récupérés[1]. – La Haye, 13 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Jean-Baptiste van der Aa de Randerode nommé Chevalier. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[1].
Vicomte
Baron
Vienne, 24 janvier 1787, Joseph II du Saint-Empire: Attribution des titres vicomte et baron, respectivement associés aux seigneuries flamandes de Watervliet et de Lichtervelde, à écuyer Jacques-Jean van den Abeele, seigneur de Zwevezeele, etc., fils d'Adolphe, registraire de l'audience militaire du comté de Flandre, etc. nièce Françoise-Jeanne, veuve de Jean-François Pecsteen[2].
Écuyer Madrid, 2 décembre 1648, Philippe IV d'Espagne: Réhabilitation de la noblesse, si nécessaire avec exaltation de la noblesse, par Théodore Absoloens[3]. – Madrid, 5 août 1678, Charles II d'Espagne: Réhabilitation de noblesse, avec élévation de noblesse si nécessaire, de Balthazar Absolons[3].
Écuyer Vienne, 28 septembre 1724, Charles VI du Saint-Empire: Confirmation de noblesse, si nécessaire avec noblesse, pour Jacques-Gilles Acart, ainsi que pour son cousin germain Charles[4].
Écuyer Bruxelles, 18 août 1598, Albert d'Autriche: Nomination de Igram van Achelen, président du Conseil provincial de la justice de Frise, en tant que président du Grand Conseil de Malines. Si nécessaire, cette fonction était élevée au rang de noblesse héréditaire[5]. – Bruxelles, 20 février 1601, Albert d'Autriche: Remise du titre (personnel) de chevalier à Igram van Achelen[5].
Écuyer Bruxelles, 28 mai 1603, Albert d'Autriche: Attribution du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Anselme-Opitius Adornes, seigneur de Nieuwenhove, etc., premier échevin de la ville de Bruges, etc. Seules la minute du diplôme et l'ordre de le sceller ont été récupérés[6]. – Madrid, 17 février 1627, Philippe IV d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Georges-Lambert Adornes, seigneur de Nieuvliet, etc., officier de cavalerie[6].
Écuyer Bruxelles, 28 septembre 1600, Albert d'Autriche: Confirmation par les Archiducs de Pierre Adriani dans sa charge de conseiller et procureur général au Grand Conseil de Malines (1590). Si nécessaire, cette fonction était élevée au rang de noblesse héréditaire[7].
Écuyer Vienne, 24 décembre 1725, Charles VI du Saint-Empire: Confirmation de noblesse et réhabilitation, si besoin avec une élévation de noblesse, pour Anne-Constance de Bane, veuve de Daniel-Albert Adriansen, ainsi que pour leurs quatre enfants François-Joseph, prêtre, etc., Daniel-Joseph, noble échevin, Jean-Baptiste et Isabelle[8]. – Vienne, 30 janvier 1726, Charles VI du Saint-Empire: Remise du titre (personnel) de chevalier à Daniel-Joseph Adriansen (l'un des précédents)[8]. – Vienne, 30 janvier 1726, Charles VI: Remise du titre (personnel) de chevalier à Jean-Baptiste Adriansen[8].
Écuyer Vienne, 29 septembre 1771, Marie-Thérèse d'Autriche: Concession de noblesse pour Jean Aerts, seigneur d'Opdorp, etc., trésorier de la ville de Bruxelles, etc[9].
Prince
Comte
Écuyer
Innsbruck, 23 mai 1563, Ferdinand Ier du Saint-Empire: Élévation en Principauté du Saint Empire Romain de la Gloire flamande de Hilst et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à Johannes-Franciscus d'Affaytadi, baron van Gistel. Cette subvention, dont seule une copie administrative a été trouvée, n'avait aucune force juridique aux Pays-Bas. – Vienne, 8 janvier 1564, Ferdinand Ier du Saint-Empire: Motu proprio conférant le titre de comte de Gistel et du Saint Empire (transférable à la première naissance) à Johannes-Franciscus d'Affaytadi (précité) et du titre de comte de Soresino (transférable à la première naissance) à son frères Cosimo et César. Seule la minute du diplôme a été récupérée. Cette subvention n'avait aucune force juridique aux Pays-Bas. – Madrid, 21 janvier 1676, Charles II d'Espagne: Élevé comme comté de l'ancienne baronnie flamande Ghistelles (Gistel) et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à Jean-François d'Affaytadi, seigneur de Hilst, etc. (petit-fils de Cosimo, précité). – Bruxelles, le 5 mai 1827, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre décompte, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Auguste-Augustin d'Affaytadi de Ghistelles[10].
Écuyer Augsbourg, 7 février 1551, Charles V du Saint-Empire: Motu proprio noblesse de Petrus Agnelot, résident de Dole en Franche-Comté. Seule la minute du diplôme a été récupérée[11].
Écuyer Vienne, 4 février 1756, Marie-Thérèse d'Autriche: Élévation de la noblesse de Joseph-Hyacinthe-Jacques van Aken, seigneur de Heysbroeck, avocat au Grand Conseil de Malines[12].
Prince
Comte
Vienne, 18 mai 1729, Charles VI du Saint-Empire: Confirmation de l'élévation à la principauté du domaine de Grimbergen et attribution du titre de « Prince de Berghes » (transférable par première naissance) au comte Louis-Joseph d'Albert, époux de la princesse Honorine de Berghes[13].
  • Alegambe (d')[14]
    Alegambe d'Auweghem (d')
Comte
Baron
Tournai, 9 février 1600, Albert d'Autriche: Remise de la chevalerie par l'archiduc à Louis d'Alegambe, seigneur de Basenghien, à l'occasion de la joyeuse entrée des archiducs à Tournai. Seule une mention non officielle de ce prix a été trouvée[14]. – Madrid, 14 mai 1641, Philippe IV d'Espagne: Attribution du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Charles d'Alegambe, seigneur de Basenghien, échevin de la ville de Gand, etc. (fils de ce qui précède)[14]. – Vienne, 26 juillet 1755, Marie-Thérèse d'Autriche: Confirmation de l'élévation à la baronnie de la seigneurie d'Auweghem (Zingem) et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à l'Esquire Charles d'Alegambe, (petit-fils du précédent)[14]. – Vienne, 19 décembre 1764, Marie-Thérèse d'Autriche: Attribution du titre de comte (transférable à la première naissance) et propagation des armes à Charles-Guillaume d'Alegambe, baron van Auweghem (fils du précédent)[14]. – La Haye, le 14 avril 1816, Guillaume Ier: Nomination de Charles-Marie d'Alegambe à la chevalerie de Flandre orientale, avec les titres de «comte d'Alegambe» et de «baron van Auweghem». Dans le premier officiel, la liste de noblesse stipule que les titres sont transférables à la première naissance, tandis que les autres descendants portent le titre de baron[14]. – Prague, 12 avril 1628, Ferdinand II Saint-Empire: Motu proprio confirmation dans la noblesse du Saint Empire Romain, avec changement d'armes et attribution de quatre quartiers nobles, pour Ferdinandus d'Alegambe, capitaine dans l'infanterie (neveu de l'ancêtre de la première branche). Seule la minute du diplôme a été récupérée[14].
Écuyer Bruxelles, 14 janvier 1550, Charles V du Saint-Empire: Motu proprio noblesse, attribution du titre (personnel) de chevalier et de quatre quartiers nobles à Dieudonné Aleman[15].
Écuyer L'Escurial, 22 mai 1592, Philippe II d'Espagne: Concession de noblesse de Guillaume Alépy, ancien commis-payeur de la grande saline de Salins en Franche-Comté. Ces lettres ouvertes ont été dûment enregistrées auprès de la Cour des comptes de Dole[16].
Écuyer Bruxelles, 10 décembre 1543, Charles V du Saint-Empire: Motu proprio anoblissement de Livinus Algoet, dit Panagathus, Omnibonus ou Algotius, secrétaire (amanuensis) d'Érasme[18],[19], greffier de la chancellerie impériale, héraut de l'empereur, etc. Seule la minute du diplôme a été récupérée[17].
Comte Madrid, 27 mai 1642, Philippe IV d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à Théodore d'Allamont, seigneur de Brandeville, prévôt de Bastogne, élu président du Leenhof du duché de Luxembourg[20]. – Madrid, 11 décembre 1652, Philippe IV d'Espagne: Élévation au comté de la seigneurie luxembourgeois de Brandeville et attribution de ce titre (transférable par première naissance) au chevalier Théodore d'Allamont (précité)[20].
Écuyer Madrid, 28 mars 1591, Philippe II d'Espagne: Concession de noblesse de Jean d'Alscheid, ancien soldat de la garnison de Thionville[21].
Écuyer Vienne, 17 janvier 1771, Marie-Thérèse d'Autriche: Concession de noblesse de Pierre-Louis van Alstein, haut pointeur de la châtellenie d'Audenarde[22].
Écuyer Madrid, 20 mai 1690, Charles II d'Espagne: Concession de noblesse de Jean van Altere, fils de Pierre, ancien conseiller municipal de la ville de Bruges[23].
  • Alvarado y Bracamonte (d')[24]
Vicomte
Écuyer
Munich, 13 juin 1695, Maximilien-Emmanuel de Bavière: Nomination de Jean d'Alvarado y Bracamonte comme conseiller et receveur général au Conseil des finances à Bruxelles. Si nécessaire, cette fonction était élevée au rang de noblesse héréditaire[24]. – Madrid, 9 mars 1701, Philippe V d'Espagne: Remise du titre de vicomte (transférable à la première naissance) à Jean-Guillaume d'Alvarado y Bracamonte (précité). Cette concession fut annulée par le décret du 16 mai 1716, mais rétablie par l'édit du 10 février 1726 sous condition d'enregistrement aux Pays-Bas. La condition d'enregistrement a été dûment remplie[24].
Vicomte
Écuyer
Saragosse, 23 septembre 1642, Philippe IV d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Gilles-François d'Amman, seigneur de Warnoyse, ancien soldat[25]. – Versailles, 6 mars 1686, Louis XIV de France: Attribution du titre de vicomte (transférable à la première naissance) à Louis-Joseph d'Amman, seigneur d'Hérine, etc., grand bailli de Tournai (fils du précédent). Ce diplôme a été enregistré par le Parlement de Flandre à Tournai[25]. – Madrid, 17 janvier 1645, Philippe IV d'Espagne: Élévation en vicomté de la seigneurie flamand d'Oomberghe (Zottegem) et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à l'écuyer Gaspard d'Amman, sommé d'invoquer l'interdiction du comté de Flandre (oncle du précédent)[25].
Écuyer Bruxelles, 22 juin 1611, Albert d'Autriche: Concession de noblesse de Claude d'Amondans, naissance de Fertans en Franche-Comté, capitaine du château d'Ornans, etc. Seules la demande favorablement apostillée et la minute du diplôme ont été retrouvées[26].
Comte
Écuyer
Vienne, 10 novembre 1728, Charles VI du Saint-Empire: Remise du titre de baron (transférable par droit d'aînesse, avec autorisation de transférer le titre, en l'absence de descendance mâle, à l'un de ses cousins) et changement d'armes à Juan Amor de Soria, premier fonctionnaire à la Secrétairerie d'État pour la Royaumes et Provinces d'Italie et des Pays-Bas à Vienne. – Vienne, 16 février 1732, Charles VI du Saint-Empire: Remise du titre de comte (transférable par droit d'aînesse, avec autorisation de transférer le titre, en l'absence de descendance masculine, à l'un de ses cousins) au baron Johannes Amor de Soria (précité), secrétaire des royaumes de Naples et de Sicile à le Haut Conseil d'Espagne à Vienne, etc. Seuls le dessin et une copie administrative du diplôme ont été retrouvés. Cette subvention n'avait aucune force juridique aux Pays-Bas autrichiens. – Vienne, 1 août 1753, Marie-Thérèse d'Autriche: Admission sous le sceau secret du comte Jean Amor de Soria (précité), ancien secrétaire au Conseil suprême d'Italie à Vienne, etc., pour passer son titre de baronne à son neveu Hilaire-Narcisse[27].
Écuyer Madrid, 1 juillet 1652, Philippe IV d'Espagne: Concession de noblesse de Pierre Amounet, seigneur de Hailly, grand bailli du comté de Henin[28].
  • Ancion (d')[29]
    Anncion de Ville (d')
Chevalier
Écuyer
Vienne, 3 avril 1727, Charles VI du Saint-Empire: Concession de noblesse, avec autorisation de faire précéder son nom d'une particule noble et de conférer quatre quartiers nobles, à Damianus d'Ancion, chanoine du chapitre collégial Saint-Jean à Liège, ainsi qu'à son frère Petrus-Damianus, ancien député de la États de la Principauté de Liège[29]. – Laken, 13 septembre 1817, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jean-François d'Ancion de Ville à la Chevalerie de Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[29]. – Bruxelles, 31 mai 1819, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de chevalier, transférable par droit d'aînesse, pour Jean-François d'Ancion de Ville (précité), membre de la Chevalerie de Liège. Bien que le diplôme ait été levé, aucun exemplaire n'a été retrouvé[29].
Écuyer Bruxelles, 12 mars 1611, Albert d'Autriche: Concession de noblesse de Jérôme Andrea. Diplôme dûment enregistré aux Pays-Bas, dont seule une copie administrative a été trouvée[30].
  • Andrea d'Ennershausen[31]
Écuyer Vienne, 5 août 1739, Charles VI du Saint-Empire: Concession de noblesse, avec l'ajout du nom « d'Ennershausen », pour Pierre Andrea, seigneur de Nedersjegen dans le duché de Luxembourg[31].
Écuyer Madrid, 8 janvier 1656, Philippe IV d'Espagne: Concession de noblesse de Claude Andressot, originaire de Franche-Comté, capitaine d'une compagnie d'infanterie, etc. Ces lettres ouvertes ont été dûment enregistrées à la Cour des comptes de Dole[32].
Écuyer Vienne, 18 septembre 1733, Charles VI du Saint-Empire: Concession de noblesse, avec l'autorisation de précéder son nom d'une particule noble et l'attribution de quatre quartiers nobles, pour Carolus-Servatius Andriesens. Le diplôme a été enregistré auprès du Conseil Secret de la Principauté de Liège[33].
Baron Ratisbonne, 27 août 1630, Ferdinand II du Saint-Empire: Concession de noblesse, aux armements accrus, exemption des charges municipales, nomination à la cour des comtes de Palatin et attribution de quatre quartiers nobles, à Johannes d'Anethan, licencié en droit, conseiller de l'électeur de Trèves, etc. le diplôme a été retrouvé[34]. – Vienne, 1 décembre 1787, Joseph II du Saint-Empire: Remise du titre de baron (transférable à la première naissance) à l'écuyer François d'Anethan, seigneur de Densborn, grand maître forestier du duché de Luxembourg[34]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de François-Henri d'Anethan (précité) avec le titre de Baron à la Chevalerie de Luxembourg. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle de noblesse stipule que le titre est transférable à la première naissance, tandis que les autres descendants mâles portent le titre de chevalier[34]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jacques-Joseph d'Anethan (fils aîné des précédents) avec le titre de baron à la chevalerie de Luxembourg. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle de noblesse ne confirme pas ce titre[34]. – Bruxelles, 15 février 1840, Léopold Ier, roi des Belges: Reconnaissance du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, pour l'écuyer Jules-Joseph d'Anethan, avocat général à la cour d'appel de Bruxelles (fils cadet de Jacques, précité)[34]. – Bruxelles, 15 février 1840, Léopold Ier, roi des Belges: Reconnaissance du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Esquire Henri-Armand d'Anethan, deuxième secrétaire du cabinet du roi (frère du précédent)[34]. – Bruxelles, 15 février 1840, Léopold Ier, roi des Belges: Reconnaissance du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, pour l'écuyer Henri-Auguste d'Anethan, (frère du précédent)[34]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Pierre-Félix d'Anethan (oncle de ce qui précède) avec le titre (personnel) de Baron dans la Chevalerie de Luxembourg. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle de noblesse ne confirme pas ce titre[34]. – La Haye, 10 mai 1828, Guillaume Ier des Pays-Bas: Confirmation du titre personnel de baron de Pierre-Félix d'Anethan (précité), membre de la Chevalerie de Luxembourg. Bien que le diplôme ait été levé, aucun exemplaire n'a été retrouvé[34].
Écuyer Louvain, 25 novembre 1599, Albert d'Autriche: Remise de la chevalerie par l'archiduc à Guillaume de Angelis, échevin de la ville de Louvain, à l'occasion de la joyeuse entrée des Archiducs à Louvain. Seul un dossier administratif de cette subvention a été trouvé[35].
  • Anne[36]
    Anne de Molina
Écuyer Vienne, 25 juillet 1750, Marie-Thérèse d'Autriche: Concession de noblesse de Joseph-Adrien Anne, ancien échevin de la ville de Termonde, ainsi que de son frère Charles-Lambert, registraire de la même ville[36]. – Bruxelles, 26 juin 1871, Léopold II, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse pour Victor-Xavier Anne, grande propriétaire foncière. – Bruxelles, 15 mai 1885, Léopold II, roi des Belges: Ajout du nom «de Molina» attribué à l'écuyer Victor-Xavier Anne (précité)[36].
Marquis
Écuyer
Madrid, 26 janvier 1651, Philippe IV d'Espagne: Élévation en tant que marquisat de la seigneurie hainautais de Grand-Wargnies (Wargnies-le-Grand) et attribution de ce titre (transférable de droit d'aînesse) à Philippe d'Anneux, baron de Crèvecœur, etc[37].
  • Annez[38]
    Annez de Taboada
Chevalier
Écuyer
Vienne, 16 mars 1714, Charles VI du Saint-Empire: Motu proprio confirmation dans la noblesse du Saint Empire romain germanique, avec autorisation de précéder son nom d'une particule noble et attribution de quatre quartiers nobles, pour Petrus-Franciscus Annez, seigneur de Zillebeke, etc., licencié en droit. Bien que ce diplôme ait été dûment enregistré, il a été révoqué aux Pays-Bas autrichiens par le décret du 24 juillet 1734[38]. – Vienne, 29 février 1736, Charles VI du Saint-Empire: Confirmation de noblesse, avec effet rétroactif au 16 mars 1714 et si nécessaire élévation de la noblesse, pour Pierre-François Annez (précité), seigneur van Rassegem, etc., bailli van Zillecke, etc[38]. – Laeken, 14 août 1899, Léopold II, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse pour Alphonse-Marie Annez de Taboada[38]. – Bruxelles, 5 novembre 1897, Léopold II, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse pour Céline-Anne-Marie Grégoire, veuve de Georges-Félix Annez de Taboada, ainsi que pour leurs enfants Gabrielle-Marie et Albert-Marie[38]. – Bruxelles, 27 mars 1959, Baudouin, roi des Belges: Remise du titre de chevalier, transférable par droit d'aînesse, à Esquire Albert-Marie Annez de Taboada (l'un des précédents), avocat, ancien commissaire d'État aux dommages de guerre 1914-1918, etc[38].

B[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Comte Munich, 10 septembre 1745, Maximilien III Joseph de Bavière: Attribution du titre de comte du Saint Empire romain germanique, transférable à tous les descendants portant le nom, avec autorisation d'utiliser le prédicat Hoch- und Wohlisjes pour seigneur libre (baron) Johannes-Baptista de Borchgrave, des comtes d'Altena, seigneur de Bovelinghe, etc., ainsi que ses frères Nicolas-Bernardus, commandant de Ramersdorf, et Michael-Walerandus, chanoine du chapitre de la cathédrale de Liège. Ces lettres ouvertes, dont seule la minute a été récupérée, ont été enregistrées au Conseil secret de la Principauté de Liège[39]. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jean-Guillaume-Michel de Borchgrave d'Altena (fils de Johannes-Baptista, précité) avec le titre de comte de la chevalerie de Limbourg. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[39]. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Guillaume-Georges de Borchgrave d'Altena (fils de ce qui précède), avec le titre de chef de la chevalerie de Limbourg[39]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jean-Louis-Antoine de Borchgrave (frère de Guillaume, mentionné sous 1), avec le titre (personnel) de comte de la chevalerie de Limbourg[39].

Bonnot Jean

Bonnot Jehan

Chevalier

Ecuyer tranchant

Jean Bonnot[43] est le fils de jean II bonnot ,écuyer et capitaine d'Arc-en-Barrois et de Marie de Vivonne. Il est le petit-fils de Jean Bonnot, Maitre des chambres des comptes de Dijon, Besancon et Lille.

Jean est seigneur de Cormaillon, bailli de Hal en Hainaut. Il épouse Walburg Van Der Aa[40] . Il sert comme Ecuyer tranchant [44]de l'archiduchesse

Maguerite d'Autriche, régente et gouvernante des Pays-Bas , à la mort de cette dernière , il devient Maréchal des Logis de la Reine Douairière Marie d'Autriche de Hongrie et de Bohème.

Le 3 septembre 1528, il fut envoyer[45] par l'empereur Charles Quint apporté la ratification de la trêve de Hampton-Cour à la France[46].

Sommaire :

C[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Duc
Prince
Gênes, 17 avril 1533, Charles V du Saint-Empire: Élévation au duché du marquisat d'Aarschot en Brabant et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à Philippe de Croÿ, duc de Soria, etc[47]. – Gênes, 17 avril 1533, Charles V du Saint-Empire: Élévation en tant que marquisat de la seigneurie artésienne de Renty (Saint-Omer) et attribution de ce titre (transférable par droit d'aînesse) à Philippe de Croÿ, duc d'Aarschot, prince de Chimay, etc., chevalier de l'Ordre de l'Or Fleece, chef du conseil des finances à Bruxelles, gouverneur et capitaine général du comté de Hainaut, etc. Diplôme dûment enregistré, dont seule une copie administrative a été trouvée[47]. – Paris, 24 juillet 1598, Henri IV de France: Élévation au duché du manoir de Picardie de Crouy et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à Charles de Croÿ. Seule une mention non officielle de ce diplôme a été trouvée[47]. – Madrid, 6 août 1574, Philippe II d'Espagne: Élévation comme marquisat du manoir hainautais de Havré (Mons) et attribution de ce titre (transférable de droit d'aînesse) à Charles-Philippe de Croÿ (oncle du précédent). Seule une mention non officielle de ce diplôme a été trouvée[47]. – Ratisbonne, 6 août 1594, Rodolphe II du Saint-Empire: Motu proprio affirmation du titre de Prince du Saint Empire Romain, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Carolus-Philippus de Croÿ (précité), marquis de Havré. Cette subvention n'avait aucune force juridique aux Pays-Bas[47]. – Paris, 4 juin 1561, Charles IX de France: Élévation en Principauté du manoir de Château-Porcien en Champagne et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à Antoine de Croÿ (neveu de Philippe, mentionné sous 1.1). Seule une mention non officielle de ce diplôme a été trouvée[47]. – Saragosse, 18 novembre 1518, Charles V du Saint-Empire: Élévation du manoir brabançon de Heverlee (Louvain) en baronnie et du manoir aussi brabançon d'Aarschot, etc. en marquisat et attribution de ces titres (transférables à la première naissance) à Guillaume de Croÿ, chevalier de l'ordre de la Toison d'or , Seigneur de Chièvres, etc., grand et premier chambellan de l'empereur[47]. – Saragosse, 31 janvier 1519, Charles V du Saint-Empire: Élévation au comté du manoir hainautais de Beaumont et attribution de ce titre (transférable de naissance) à Guillaume de Croÿ (précité), marquis d'Aarschot, etc. Diplôme dûment enregistré, dont seule une copie administrative a été trouvée[47]. – Bologne, 24 février 1531, Charles V du Saint-Empire: Élévation au comté de la seigneurie du Hainaut du Roeulx et attribution de ce titre (transférable par droit d'aînesse) à Adrien de Croÿ, chevalier de l'ordre de la Toison d'or, premier intendant de l'empereur, etc. Seul un acte non officiel retrouvé[47]. – Ratisbonne, 31 mars 1664, Léopold Ier du Saint-Empire: Motu proprio affirmation du titre de Prince du Saint Empire Romain, transférable à tous les descendants portant le nom, avec changement d'armes et autorisation d'utiliser le prédicat «Lieber Oheim» pour Philippe de Croÿ, comte de Le Roeulx, etc. la sentence n’avait aucune force juridique aux Pays-Bas[47]. – Bruges, 14 janvier 1473, Charles le Téméraire: Élevé comme comté du manoir hainautais de Chimay et attribution de ce titre (transférable par première naissance) au chevalier Jean de Croÿ, chambellan (frère de l'ancêtre de première ligne). Diplôme dûment enregistré, dont seule une copie administrative a été trouvée[47]. – Aix-la-Chapelle, 9 avril 1486, Maximilien Ier du Saint-Empire: Élévation en Principauté du Saint-Empire romain germanique du comté de Chimay dans le Hainaut, attribution motu proprio de ce titre (transférable sur le droit d'aînesse) et autorisation d'utiliser le prédicat illustris, pour Carolus de Croÿ, comte de Chimay (petit-fils du précédent un). Seule une copie administrative de ce diplôme a été retrouvée[47]. – Escurial, 19 octobre 1590, Philippe II d'Espagne: Élévation au comté du manoir hainautais de Solre-le-Château (Avesnes) et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à Philippe de Croÿ. Seule une mention non officielle de ce diplôme a été trouvée[47]. – Madrid, 19 octobre 1677, Charles II d'Espagne: Élévation en Principauté du comté de Solre-le-Château (Avesnes) et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à Philippe-Emmanuel de Croÿ, comte de Solre[48]. – Ratisbonne, 3 mars 1833, Frédéric-Guillaume III de Prusse: Reconnaissance de l'appellation «Altesse Sereine» pour tous les princes et princesses de Croÿ. Cette reconnaissance a été faite en application du décret de la Confédération allemande du 18 août 1825[47]. – Bruxelles, 2 janvier 1933, Albert Ier, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de prince, transférable à tous les descendants portant le nom, et autorisation d'utiliser le prédicat «Altesse Sérénissime», pour Léopold-Marie de Croÿ, grande première classe espagnole[47]. – Bruxelles, 8 novembre 1919, Albert Ier, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse pour Marie de Croÿ (sœur de la précédente), avec autorisation de continuer à utiliser le titre personnel de princesse. La décision était sans conséquence, car les lettres ouvertes n'ont pas été levées[47]. – Bruxelles, 8 janvier 1934, Albert Ier, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de prince, transférable à tous les descendants portant le nom, et autorisation d'utiliser le titre d'Altesse Sérénissime pour l'Esquire Réginald-Charles de Croÿ, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire (frère des précédents)[47]. – Bruxelles, 17 février 1927, Albert Ier, roi des Belges: Enrôlement dans la pairie du Royaume avec le titre de prince, transférable à tous les descendants portant le nom, et l'autorisation d'utiliser le titre d'Altesse Sérénissime pour Auguste-Marie de Croÿ, Chevalier de l'Ordre de l'Or Polaire (cousin germain des précédents)[47]. – Bruxelles, 27 octobre 1947, Charles de Belgique: Ajout du nom 'du Roeulx' attribué à H.D.H. le prince Étienne-Gustave de Croÿ (fils du précédent), ainsi que son frère H.D.H. prince Gustave-Ferdinand[47]. – Ostende, 14 juillet 1884, Léopold II, roi des Belges: Enrôlement dans le royaume de la pairie avec le titre de prince, transférable à tous les descendants portant le nom, et l'autorisation d'utiliser le titre d'Altesse Sérénissime pour Henri-François de Croÿ, sous-lieutenant dans le premier régiment de guides[47]. – Laeken, 26 janvier 1892, Léopold II, roi des Belges: Enrôlement dans la pairie du Royaume avec le titre de prince, transférable à tous les descendants portant le nom, et l'autorisation d'utiliser le titre d'Altesse Sérénissime pour Ferdinand-Charles de Croÿ (frère du précédent)[47]. – Laeken, 26 janvier 1892, Léopold II, roi des Belges: Enrôlement dans la pairie du Royaume avec le titre de prince, transférable à tous les descendants portant le nom, et l'autorisation d'utiliser le titre d'Altesse Sérénissime pour Charles-Joseph de Croÿ (frère des précédents)[47]. – Madrid, 12 août 1627,Philippe IV d'Espagne: Élévation au duché du marquisat de Havré en Hainaut et attribution des titres respectifs de duc (transférable à la première naissance) et de duchesse (titre personnel) à Charles-Philippe de Croÿ, marquis de Renty, etc., capitaine du garde du corps allemand de Philippe (fils cadet) de Philippe, mentionné sous 2.2), et à son épouse Marie-Claire de Croÿ, marquise de Havré. Diplôme dûment enregistré, dont seule une copie administrative a été trouvée[47].
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D[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
  • Dietterich de Schönhoffen (de)[49]
Baron Vienne, 2 novembre 1773, Joseph II du Saint-Empire: Remise du titre de chevalier du Saint-Empire romain germanique (transférable à tous les descendants masculins), ajout du nom von Schönhoffen et attribution de quatre quartiers nobles à Franciscus-Josephus von Dietterich, chef de la poste à Ratisbonne, etc. , ainsi que pour ses trois frères Carolus-Josephus-Ignatius, chanoine du chapitre collégial de Saint Gandolph à Bamberg, Fredericus-Maria, directeur de la poste de Tournai, et Georgius-Franciscus, fonctionnaire à la chancellerie du prince de Thurn et Taxis[49]. – Laxenburg, 10 juin 1786, Joseph II du Saint-Empire: Attribution du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, à François-Joseph de Dietterich de Schönhoffen (précité), directeur général de la Poste de Ratisbonne, ainsi qu'à ses frères Charles-Joseph-Ignace, chanoine de la cathédrale de Gand, Frédéric-Marie, directeur de la poste de Tournai, et Georges-François, donateur à la cour du prince de Thurn et Taxis, tous les quatre chevaliers du Saint Empire romain[49].
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E[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Marquis
Comte
Baron
Chevalier
Valladolid, 20 janvier 1524, Charles V du Saint-Empire: Motu proprio élévation à la noblesse du Saint Empire romain germanique pour Jérôme d'Ennetières, chevalier du Saint-Sépulcre, ancien prévôt de Tournai. Pas un seul exemplaire de ce diplôme n'a été retrouvé, mais les lettres ouvertes de 1588 énumérées ci-dessous en citent des extraits[50]. – Madrid, 1 avril 1588, Philippe II d'Espagne: Homologation aux Pays-Bas de la noblesse impériale précitée en faveur de l'écuyer Arnould d'Ennetières, seigneur de Laplaigne, etc., secrétaire d'État à Bruxelles (petit-fils du précédent)[50]. – Versailles, 17 août 1676, Louis XIV de France: Remise du titre (personnel) de chevalier à Esquire Arnould-Jean d'Ennetières, seigneur des Watines, etc., Grand prévôt de Tournai. Ces lettres ouvertes ont été enregistrées auprès du Conseil souverain de Tournai[50]. – Madrid, 19 décembre 1663, Philippe IV d'Espagne: Prolifération pour Robert d'Ennetières (frère du précédent). Cet octroi était sans conséquence, car les lettres ouvertes n'ont pas été levées[50]. – Bruxelles, 10 mars 1620, Albert d'Autriche: Attribution du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Jean d'Ennetières, seigneur d'Harlebois, conseiller au Conseil des Finances à Bruxelles (frère d'Arnould, mentionné sous 1)[50]. – Madrid, 29 décembre 1625, Philippe IV d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer de Jacques d'Ennetières, seigneur d'Harlebois, conseiller et comptable à la Cour des comptes de Lille (fils de ce qui précède). Diplôme dûment enregistré, dont seule une copie administrative a été trouvée[50]. – Madrid, 4 juillet 1659, Philippe IV d'Espagne: Prolifération des armes pour le chevalier Jacques d'Ennetières (précité), trésorier général du Conseil des finances à Bruxelles. – Madrid, 23 mai 1664, Philippe IV d'Espagne: Élévation à la baronnie du manoir hainautais de La Berlière (Ath) et attribution de ce titre (transférable par première naissance) au chevalier Jacques d'Ennetières (précité)[50]. – Madrid, 16 novembre 1644, Philippe IV d'Espagne: Attribution du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Philippe-François d'Ennetières, seigneur des Mottes, fils du chevalier Jacques (précité), alors président de la Cour des comptes de Lille[50]. – Madrid, 16 septembre 1680, Charles II d'Espagne: Élévation en tant que Marquisat des Mottes d'un manoir à déterminer et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à Philippe-François d'Ennetières (précité), Baron de La Berlière, etc., Trésorier Général du Conseil de Finance et conseiller au Conseil d'Etat à Bruxelles, etc[50]. – Vienne, 3 novembre 1786, Joseph II du Saint-Empire: Prolifération des armes pour le marquis Joseph-Marie d'Ennetières et des Mottes, comte de Mouscron, Hust et du Saint Empire romain, etc., membre du Second État du comté de Hainaut[50]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Frédéric-Joseph d'Ennetières, comte de Mouscron, avec le titre de marquis de la chevalerie du Hainaut (neveu du précédent). Dans la première liste officielle de noblesse, il est déterminé que le titre est transférable à tous les descendants[50]. – La Haye, 1 octobre 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance du titre 'Marquis d'Ennetières en des Mottes', transférable à tous les descendants portant le nom, et des titres personnels 'Comte de Mouscron, Hust et du Saint Empire Romain' et 'Baron van Heule et de La Berlière' , pour Frédéric-Joseph d'Ennetières (précité). Il était dispensé de collecter des lettres ouvertes[50]. – La Haye, 1 octobre 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre décompte, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Camille-Frédéric d'Ennetières d'Hust (cousin germain du précédent). Il était dispensé de collecter des lettres ouvertes[50]. – Madrid, 15 mai 1641, Philippe IV d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier pour écuyer Charles-Philippe d'Ennetières, seigneur de Croisaumont, bailli des villes de Vloesberg et Lessen[50]. – Madrid, 7 décembre 1627, Philippe IV d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'Esquire Pierre d'Ennetières, seigneur de La Grusonnerie (cousin germain du précédent), fils de Charles, qui était capitaine de la ville de Lille[50]. – Lisbonne, 5 novembre 1582, Philippe II d'Espagne: Confirmation d'un jugement, concernant le port de vêtements de velours et de soie, rendu par le bailliage de Tournai et Tournai le 6 août 1546, pour écuyer François d'Ennetières, seigneur de Beaumez (fils de Hieronymus, anobli en 1524). Cet acte est cité dans les lettres ouvertes de 1588[50]. – Madrid, 20 mai 1626, Philippe IV d'Espagne: Attribution du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Jean d'Ennetières, seigneur du Maisnil (petit-fils de François, précité)[50].
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F[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Comte
Vicomte
Baron
Chevalier
Écuyer
Prague, 18 août 1562, Ferdinand Ier du Saint-Empire: Octroi d'armes au Motu proprio et autorisation de contracter des emprunts dans le Saint Empire Romain pour Johannes della Faille, résident d'Anvers. – Cuenca, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse de Jean della Faille, échevin de la ville d'Anvers (petit-fils du précédent). – Cuenca, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse d'Alexandre della Faille, premier secrétaire et gardien des privilèges de la ville d'Anvers (frère du précédent). – Madrid, 3 février 1675. Reine régente Maria-Anna: Prolifération des armes pour l'écuyer Jean-Baptiste della Faille, seigneur de Reeth, ancien guerrier en service volontaire (fils du précédent). – Madrid, 9 février 1679. Roi Charles II: Remise du titre (personnel) de chevalier à Jean-Baptiste della Faille (précité). Armoiries: ni description ni dessin. – Madrid, 4 décembre 1679, Roi Charles II: Remise du titre (personnel) de chevalier pour écuyer Alexandre della Faille, seigneur de Reeth, margrave de la ville d'Anvers et du Land van Reyen (fils du précédent). – La Haye, 13 mars 1816. Le roi Willem I: François-Jean-Baptiste-Alexandre-Joseph della Faille de Waerloos nommé Chevalier d'Anvers. Il a prêté serment et s'est assis, bien que la décision de nomination ait été retirée. Cependant, il a refusé de régulariser son statut en émettant un acte de preuve. Armoiries: ni description ni dessin. – Bruxelles, le 24 mars 1889. Roi Léopold II: Reconnaissance de noblesse pour René-Jacques della Faille. – Bruxelles, le 22 décembre 1986. Roi Baudouin: Motu proprio attribution du titre personnel de vicomte à l'écuyer René-Marie-Frédégand della Faille de Waerloos, président de la Société royale de zoologie d'Anvers, etc. – Arrêté royal du 25 avril 1888. Roi Léopold II: Reconnaissance de la noblesse pour Émile-Augustin-Joseph della Faille (frère de René, mentionné sous 12.3). La décision a été sans conséquence, car le diplôme n'a pas été retiré. – La Haye, 13 mars 1816. Le roi Willem I: Nomination de Charles-Antoine-Marie-Hyacinthe della Faille (frère de François, mentionné sous 12.2) dans la chevalerie d'Anvers. Cette décision a été abrogée. – Cuenca, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse de Melchior della Faille (frère de Jean et Alexandre, mentionné sous 1.1 et 1.2). – Cuenca, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse de Balthazar della Faille, licencié en droit (frère du précédent). – Bruxelles, le 5 mai 1614. Archiducs Albert et Isabelle: Homologation aux Pays-Bas des armoiries accordées dans l'Empire en 1562 (mentionnées sous 1), le cas échéant avec noblesse pour Martin della Faille, seigneur de Nevele, conseiller au conseil d'amirauté, etc. – Madrid, 3 novembre 1623. Roi Philippe IV: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Jean della Faille, seigneur de Nevele (fils du précédent). – Madrid, 21 mars 1670. Reine régente Maria-Anna.

Confirmation de l'ancienne élévation à la baronnie du manoir flamand de Nevele et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à l'écuyer Jean-François della Faille (petit-fils du précédent), seigneur de cette baronnie, avec effet rétroactif à sa arrière-grand-père Martin, était conseiller au Conseil de l'Amirauté. – La Haye, 13 mars 1816. Le roi Willem I: Nomination de Charles-Antoine-Marie-Hyacinthe della Faille (frère de François, mentionné sous 12.2) dans la chevalerie d'Anvers. Cette décision a été abrogée. – Cuenca, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse de Melchior della Faille (frère de Jean et Alexandre, mentionné sous 1.1 et 1.2). – Cuenca, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse de Balthazar della Faille, licencié en droit (frère du précédent). Armoiries: décrites comme dans le diplôme de 1642, mentionné sous 1.1. – Bruxelles, le 5 mai 1614. Archiducs Albert et Isabelle: Homologation aux Pays-Bas des armoiries accordées dans l'Empire en 1562 (mentionnées sous 1), le cas échéant avec noblesse pour Martin della Faille, seigneur de Nevele, conseiller au conseil d'amirauté, etc. – Madrid, 3 novembre 1623. Roi Philippe IV: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Jean della Faille, seigneur de Nevele (fils du précédent). – Madrid, 21 mars 1670. Reine régente Maria-Anna: Confirmation de l'ancienne élévation à la baronnie du manoir flamand de Nevele et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à l'écuyer Jean-François della Faille (petit-fils du précédent), seigneur de cette baronnie, avec effet rétroactif à sa arrière-grand-père Martin, était conseiller au Conseil de l'Amirauté. – Vienne, 11 février 1736. Charles VI, empereur romain germanique: Attribution du titre de baron (transférable à la première naissance) à l'écuyer François-Albert della Faille, seigneur d'Oycke, etc. (petit-fils du précédent), avec lien possible de ce titre avec le manoir flamand Huise (Zingem). – La Haye, le 14 avril 1816. Le roi Willem I: Nomination de François-Maximilien-Ghislain della Faille d'Huysse avec le titre de Baron de la Chevalerie de Flandre Orientale (petit-fils du précédent). La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance. – Bruxelles, le 4 janvier 1843. Le roi Léopold I. Extension à tous les descendants portant le nom, du titre de Baron Adolphe-Joseph-Ghislain della Faille d'Huysse, ancien représentant du peuple, etc. (fils de ce qui précède). – Bruxelles, le 4 janvier 1843. Le roi Léopold I: Attribution du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, à Hippolyte-Louis-Théodore-Ghislain-Gaëtan della Faille, sénateur, etc. (frère du précédent). – Bruxelles, le 4 janvier 1843. Le roi Léopold I: Attribution du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, à Gustave-Jean-Baptiste-Auguste-Henri-Ghislain della Faille (frère des deux précédents). – Bruxelles, 17 avril 1885. Roi Léopold II: Ajout du nom «d'Huysse» attribué au Baron Gustave della Faille (précité). – Bruxelles, 30 octobre 1963, Roi Baudouin: Propagation, transférable à tous les descendants portant le nom, pour le baron Gaëtan-Georges-Marie-Ghislain della Faille d'Huysse, ingénieur civil électronique, etc. (petit-fils de ce qui précède), ainsi que pour ses oncles le baron Antoine-Maurice-Marie - Joseph-Ghislain, avocat à la cour d'appel de Bruxelles, et le baron Maximilien-Adolphe-Marie-Joseph-Ghislain, avocat à la Cour suprême, etc. Bruxelles, le 14 juillet 1966. Roi Baudouin: Propagation, transférable à tous les descendants portant le nom, pour le baron Michel-Martin-Marie-Joseph-Ghislain della Faille d'Huysse (cousin germain des deux derniers mentionnés), docteur en droit, etc., pour ses trois frères les barons Christian -Maurice-Marie-Joseph-Ghislain, docteur en droit, etc., Jean-Pierre-Ernest-Marie-Joseph-Ghislain, docteur en droit, et François-Maximilien-Marie-Joseph-Ghislain, ingénieur civil, ainsi que pour leur oncle le baron André-Marie-Joseph-Ghislain, ingénieur civil. – Bruxelles, le 4 janvier 1843. Le roi Léopold I: Remise du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, à Édouard-Théophile-Isidore-Constant della Faille (frère des barons Adolphe, Hippolyte et Gustave, mentionné sous 153.1-3). – Bruxelles, 16 juin 1890. Roi Léopold II: Ajout du nom d'Huysse attribué au baron Adolphe-Idesbald-Marie-Joseph-Ghislain della Faille (fils du précédent), ainsi qu'à sa sœur la baronne Hortense-Marie-Albine-Adélaïde-Colette-Ghislaine, épouse du chevalier René de Ghellinck d'Elseghem Vaernewyck. – Bruxelles, le 8 octobre 1985. Roi Baudouin: Prolifération des armes pour le baron Guido-Albert-Jean-Joseph-Idesbald-Christian-Marie-Ghislain alias Guy della Faille d'Huysse, ancien membre du Conseil provincial de Flandre orientale, etc. (petit-fils du précédent). – Madrid, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse de Vincent della Faille, seigneur de Rymenam. – Madrid, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Noblesse de Jérôme della Faille, licencié en droit (frère du précédent). – Madrid, 3 juin 1642. Roi Philippe IV: Augustin della Faille, licencié en droit (frère des deux précédents). – La Haye, 13 mars 1816. Le roi Willem I: Nomination de Joseph-Charles-Henri-Jean-Népomucène della Faille Leverghem à la chevalerie d'Anvers. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. – Laeken, 6 février 1893. Roi Léopold II: Attribution du titre de comte, transférable dès la première naissance, à l'écuyer Charles-Martin-Marie-Joseph della Faille de Leverghem, sénateur. – Bruxelles, le 9 septembre 1933. Le roi Albert I: Admission pour l'écuyer Charles-Jules-Marie-Joseph della Faille de Leverghem (petit-fils du précédent), pour utiliser le titre avec son père. – Bruxelles, le 8 octobre 1956. Roi Baudouin: Attribution du titre de baron, transférable par droit d'aînesse, à l'Esquire Gustave-Clément-Alexandre-Marie-Joseph della Faille de Leverghem (cousin de Charles, mentionné sous 18.1). – Bruxelles, le 20 mars 1964. Roi Baudouin: Attribution du titre de comte, transférable par droit d'aînesse, au baron Gustave della Faille de Leverghem (précité), avec autorisation pour son fils aîné, Edmond-Alexandre-Gaston-Ghislain-Marie-Joseph, de porter le titre avec lui. – Bruxelles, le 20 mars 1964. Roi Baudouin: Remise du titre de baron, transférable par droit d'aînesse, à l'Esquire Alexandre-Marcel-Ghislain-Marie-Joseph della Faille de Leverghem (fils cadet de Gustave, précité). – Bruxelles, le 24 avril 1985. Roi Baudouin: Remise du titre personnel de baron à Harold-Louis-Ghislain-Alexander-Marie-Joseph della Faille de Leverghem, ancien secrétaire général de l'Association belge des sociétés hypothécaires, ancien maire d'Oelegem, etc. (frère du précédent). – Bruxelles, 20 mai 1921. Roi Albert I: Remise du titre de baron, transférable par droit d'aînesse, à l'écuyer Jean-Léopardo-Marie-Joseph della Faille de Leverghem (frère de Charles, mentionné sous 18.1), échevin de Brasschaat, et admission pour sa belle-fille, Marguerite- Georgine de Ranst de Berchem de Saint Brisson, pour utiliser le titre (personnel) de baronne avant le nom de son défunt époux en tant que veuve de l'écuyer André-Gaston-Alphonse-Jean-Marie-Joseph della Faille. – Madrid, 6 avril 1629. Roi Philippe IV: Remise du titre (personnel) de chevalier à Pierre della Faille, seigneur d'Hermay. Armoiries: ni description ni dessin. – Madrid, 2 juillet 1632. Roi Philippe IV: Noblesse de Jean della Faille, licencié en droit (frère du précédent), dont le beau-père, le chevalier Pierre van den Broucke, était conseiller et pétitionnaire au Grand Conseil de Malines. – Fraga, 5 juillet 1644. Roi Philippe IV: Attribution du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Jean-Baptiste della Faille (précité), seigneur de Marielierde, etc., conseiller au Conseil de Justice de Flandre à Gand. – Madrid, 3 juin 1655. Roi Philippe IV: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'Esquire Pierre della Faille, seigneur d'Eeclo, ancien capitaine d'infanterie, récipiendaire général des demandes et subventions du comté de Flandre, etc. (fils de ce qui précède). – Laxenburg, 14 mai 1768. Impératrice Maria-Theresia: Attribution du titre décompte (transférable à la première naissance) et augmentation des armes pour l'écuyer Emmanuel-Jean-Joseph della Faille, seigneur de la ville et de l'artisanat d'Assenede et de la ville, Keure et Vrij Eecloo, etc. – Vienne, 16 février 1780. Impératrice Maria-Theresia: Admission pour Joseph-Sébastien-Ghislain della Faille (fils du précédent) pour porter le titre et les armoiries avec son père. – La Haye, le 14 avril 1816. Le roi Willem I: Nomination de Joseph della Faille d'Assenede (précité) avec le titre de comte de la chevalerie de Flandre orientale. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance. – La Haye, le 14 avril 1816. Le roi Willem I: Nomination de Charles-Borromée-Alexandre-Ghislain della Faille (frère de ce qui précède) dans la chevalerie de Flandre orientale. Il n'a pas été anobli parce qu'il a refusé le rendez-vous[51].

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G[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Prince
Marquis
Comte
Prague, 20 juin 1592, Rodolphe II du Saint-Empire: Motu proprio élévation de la baronnie Loon de Vorsen (Gingelom) au comté du Saint Empire romain germanique, avec sauvegarde impériale, et attribution de ce titre (transférable à tous les descendants portant le nom) à Carolus de Gavre, seigneur libre (baron) de Vorsen. – Madrid, 18 mars 1597, Philippe II d'Espagne: Attribution du titre (personnel) de chevalier à Charles de Gavre (précité), comte de Vorsen et du Saint Empire romain germanique, colonel d'un régiment d'infanterie wallonne[52]. – Nieuport, 20 mars 1602, Albert d'Autriche: Attribution du titre de «comte de Vorsen» (transférable par première naissance) à Charles de Gavre (précité), comte de Vorsen et du Saint Empire romain[52]. – Ratisbonne, 24 mars 1623, Ferdinand II du Saint-Empire: Élévation de la ville de Loon et de la baronnie de Peer en comté du Saint Empire romain germanique et attribution du titre de comte de Vorsen et van Peer (transférable à tous les descendants portant le nom) à Carolus de Gavre, comte de Vorsen (neveu de le précédent). Seule la minute de ce diplôme a été retrouvée[52]. – Madrid, 18 mars 1597, Philippe II d'Espagne: Attribution du titre (personnel) de chevalier à Adrien de Gavre, seigneur d'Aiseau, lieutenant-colonel du régiment duc d'Aarschot (oncle du précédent)[52]. – Aranjuez, 23 avril 1625, Philippe IV d'Espagne: Élévation au marquisat d'Aiseau (Aiseau-Presles) dans le Brabant et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à Rasse de Gavre, comte de Beaurieu, capitaine d'une compagnie de cuiriers à cheval, etc. (fils du précédent)[52].. – Vienne, 13 juin 1736, Charles VI du Saint-Empire: Attribution du titre de prince (transférable à la première naissance) et multiplication d'armoiries (blason doublé d'hermine) à Charles-Emmanuel-Joseph de Gavre, marquis d'Aiseau, comte du Saint Empire romain, etc[52]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles-Alexandre de Gavre (fils du précédent) avec le titre de Prince dans la Chevalerie du Hainaut. La première liste officielle des nobles stipule que le titre de prince est transférable à la première naissance. Le fils aîné porte le titre de marquis du vivant de son père, tandis que les descendants restants portent respectivement le titre de comte ou de comtesse[52].
Comte Vienne, 22 décembre 1643, Ferdinand III du Saint-Empire: Motu proprio attribution du titre de comte « de Glymes van Hollebeke et du Saint Empire romain germanique», transférable à tous les descendants portant le nom, pour Winandus de Glymes, vicomte van Geldenaken, etc.[48]La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Ernest-Joseph de Glymes de Hollebecque avec le titre de comte de la chevalerie du Hainaut. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[48]. – Laeken, 28 octobre 1883, Léopold II, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse avec le titre décompte, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Libert-Joseph de Glymes de Hollebecque, chef de service au ministère de la Justice[48]. – Bruxelles, 14 janvier 1817, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Henri-Ferdinand de Glymes de Hollebecque avec le titre de comte dans la chevalerie du Hainaut. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[48].
Baron Vienne, 2 mai 1690, Léopold Ier du Saint-Empire: Attribution du titre de chevalier du Saint Empire romain germanique (transférable à tous les descendants masculins) à Jacobus-Remigius de Goër de Hervé, seigneur de Forêt, etc., conseiller au Conseil ordinaire de la Principauté de Liège, ainsi qu'à son frère Denys-Petrus, Lord van Mesch, etc., prévôt du chapitre collégial de Notre-Dame à Aix-la-Chapelle. – Vienne, 28 février 1719, Charles VI du Saint-Empire: Motu proprio attribution du titre de Seigneur Libre (Baron) du Saint Empire Romain, transférable à tous les descendants portant le nom, au Chevalier-Bannister Jacobus de Goër de Hervé (précité), Seigneur de Haltinne, etc., Président de l'Ordinaire Conseil, etc. Le diplôme a été enregistré au Conseil Secret de la Principauté de Liège. – La Haye, 15 août 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Charles-Ferdinand de Goër de Herve, ancien conseiller au Conseil ordinaire de la Principauté de Liège. – La Haye, le 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Louis-Philippe de Goër de Forêt avec le titre de Baron à la Chevalerie de Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. – La Haye, 15 août 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Léopold-Marie de Goër de Herve et de Forêt. Il était dispensé d'obtenir un diplôme. – Vienne, 8 mars 1697, Léopold Ier du Saint-Empire: Attribution du titre de Chevalier du Saint Empire Romain (transférable à tous les descendants masculins) à Thomas de Goër de Herve, second maire de la ville de Liège, etc. – Vienne, 18 août 1695, Léopold Ier du Saint-Empire: Attribution du titre de chevalier-drapeau-seigneur du Saint Empire romain germanique (transférable à tous les descendants masculins) et ajout du nom 'de Hervé' pour Henricus-Thomas de Göer, échevin de la ville de Liège (frère du précédent), ainsi que pour son frère Denys-Petrus, seigneur de Mesche, etc., chanoine du chapitre collégial de Notre-Dame à Aix-la-Chapelle. Le diplôme a été enregistré auprès du Conseil Secret de la Principauté de Liège[53].
Chevalier Vienne, 24 octobre 1694, Léopold Ier du Saint-Empire: Élévation de la noblesse du motu proprio et quatre quartiers nobles pour Albertus de Grady. Le diplôme a été enregistré auprès du Conseil Secret de la Principauté de Liège[54]. – Vienne, 28 août 1705, Joseph Ier du Saint-Empire: Motu proprio attribution du titre de chevalier-banderole du Saint Empire Romain (attribuable à tous les descendants masculins) et de quatre quartiers nobles à Petrus-Henricus de Grady, échevin de la Souveraine Justice de Liège. Le diplôme a été enregistré auprès du Conseil Secret de la Principauté de Liège[54]. – La Haye, 18 octobre 1829, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de chevalier héréditaire, transférable à tous les descendants masculins, pour Henri-Léonard de Grady de Horion[54]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Albert de Grady de la Neuville (cousin germain du précédent) avec le titre de Chevalier de la Chevalerie de Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle des nobles stipule que le titre titre est transmissible aux descendants mâles (du nom)[54]. – Laken, 13 septembre 1817, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles-Albert de Grady de Brialmont (cousin germain des deux précédents) avec le titre de chevalier de la Chevalerie de Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle de noblesse stipule que le titre est transférable à tous les descendants masculins[54]. – Laken, 13 septembre 1817, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Michel-Albert de Grady de Croenendael avec le titre de Chevalier de la Chevalerie de Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle de noblesse stipule que le titre est transférable à tous les descendants masculins[54]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination d'Albert-Antoine-Henri de Grady de Bellaire avec le titre de Chevalier de la Chevalerie de Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle de noblesse stipule que le titre est transférable à tous les descendants masculins[54].
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H[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Comte Munich, 10 septembre 1745, Maximilien III Joseph de Bavière: Attribution du titre de comte du Saint Empire romain germanique, transférable à tous les descendants portant le nom, et autorisation d'utiliser le prédicat Hoch- und Wohlisjes pour seigneur libre (baron) Johannes-Claudius d'Hemricourt, seigneur de Seron, etc. .., et pour son cousin Conradus-Ferdinandus. Le diplôme a été enregistré auprès du Conseil Secret de la Principauté de Liège. Seuls le procès-verbal et une copie administrative de ce diplôme ont été retrouvés[55]. – Bruxelles, 13 avril 1989, Baudouin, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse pour Jacques-Robert d'Hemricourt[55]. – Laeken, 31 décembre 1902, Léopold II, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse avec le titre décompte, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Edmond-Marie d'Hemricourt, sous-lieutenant du premier régiment de chasseurs à pied[55]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jean-Ernest de Hemricourt avec le titre de comte aux Chevaliers de Liège et de Luxembourg Il résidait à Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Armoiries: ni description ni dessin[55]. – La Haye, 20 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Joseph-Mathias de Hemricourt de Grunne (petit-fils du comte Philippe de Grune et du Saint Empire romain, mentionné sous ce nom) avec le titre de comte dans la chevalerie de Namur La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[55].
Marquis
Comte
Vienne, 12 février 1635, Ferdinand II du Saint-Empire: Attribution du titre de seigneur libre (baron) du Saint Empire romain germanique, transférable à tous les descendants portant le nom, avec autorisation d'utiliser le prédicat Wohlborn, pour Gaspar-Ulrich Hoensbro (uck), chevalier de l'ordre teutonique, comme ainsi que pour ses trois frères Adrian, Daniel et Conrad. – Madrid, 30 décembre 1675, Charles II d'Espagne: Élévation au grade de marquisat de la baronnie limbourgeoise de Hoensbroek et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) au baron Arnould-Adrien de Hoensbrouck, maréchal héréditaire du duché de Gelderland, etc. (fils d'Adrian, précité). – Vienne, 1 septembre 1733, Charles VI du Saint-Empire: Motu proprio attribution du titre comte du Saint Empire romain germanique (transférable à tous les descendants portant le nom) et autorisation d'utiliser le prédicat Hoch- und Wohlisjes pour seigneur libre (baron) Wilhelmus-Adrianus Hoensbr (ouck) (fils de la précédent). Seuls le procès-verbal et une copie administrative de ce diplôme ont été retrouvés. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Clément-Wenceslas de Hoensbro (u) ck (petit-fils du précédent) avec le titre de marquis dans la chevalerie de Limbourg. La décision de nomination a été retirée[56].
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L[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Comte Madrid, 25 octobre 1522, Charles V du Saint-Empire: Élévation de la seigneurie de Lallaing à Lille et attribution de ce titre, transférable de droit d'aînesse, à Charles de Lalaing[57]. – Saragosse, 16 juin 1518, Charles V du Saint-Empire: Élévation au comté du domaine brabançon Hoogstraten et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à Antoine de Lalaing, chevalier de l'Ordre de la Toison d'or, seigneur de Montigny, second chambellan, etc. (frère du précédent)[57]. – Madrid, 13 mars 1524, Charles V du Saint-Empire: Identification d'Antoine et Philippe de Lalaing (fils du précédent). Seule une copie non officielle de cet acte a été trouvée[57]. – Vienne, 7 avril 1719, Charles VI du Saint-Empire: Remise du titre de comte (transférable à la première naissance) à Maximilien-Joseph de Lalaing, ancien gouverneur de la ville de Bruges, etc[57]. – Vienne, 4 janvier 1749, Marie-Thérèse d'Autriche: Augmentation des armes du comte Maximilien de Lalaing (précité), lieutenant de maréchal, gouverneur et grand bailli de la ville de Bruges et du Brugse Vrije[57]. – Laxenburg, 15 juin 1793, Ferdinand II du Saint-Empire: Élévation en baronnie du manoir brabançon d'Arquennes (Seneffe) ou d'un autre, à déterminer, manoir brabançon, et attribution de ce titre (transférable par première naissance) au comte Charles-Joseph de Lalaing et Tildonk, vicomte d'Audenaarde, etc., fils du comte Maximilien-Charles, grand bailli de la ville et châtelain de Courtrai, etc[57]. – La Haye, 13 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles de Lalaing de Thildonck (précité) avec le titre de comte de la chevalerie d'Anvers. Il est mort avant d'avoir pu prêter serment[57]. – Bruxelles, 20 septembre 1877, Léopold II, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse avec le titre décompte, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Maximilien-Jean de Lalaing, ancien ministre résident à la Cour de Madrid (fils du précédent)[57]. – La Haye, 13 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jean-Auguste de Lalaing (déjà décédé et frère du précédent) avec le titre de comte de la chevalerie d'Anvers. La transférabilité du titre n'a pas été déterminée[57]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de François-Joseph de Lalaing (frère des précédents) avec le titre de Comte dans la Chevalerie de Brabant. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[57]. – Vienne, 13 juin 1778., Marie-Thérèse d'Autriche: Prolifération pour Eugène de Lalaing d'Audenarde, Chamberlain[57]. – Schönbrunn, 15 octobre 1809, Napoléon Ier: Attribution du titre personnel de Baron de l'Empire, ainsi que l'attribution d'une livrée aux couleurs de l'écu, à Charles-Eugène de Lalaing d'Audenarde, pikeur de l'impératrice Joséphine, etc. (fils de la précédente)[57]. – Madrid, 18 juin 1629, Philippe IV d'Espagne: Attribution du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Pierre-Hypolite de Lalaing, seigneur de la Mouillerie, etc., récipiendaire général des domaines du quartier anversois[57].
Baron
Chevalier
Vienne, 11 mai 1686, Léopold Ier du Saint-Empire: Motu proprio conférant le titre de Chevalier du Saint Empire Romain (transférable à tous les descendants masculins) et l'autorisation de faire précéder son nom d'une noble particule pour Herman Lamberts, ainsi que pour son épouse Ludgarde Nütten[58]. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Ernest-Pierre Lamberts de Cortenbach à la chevalerie de Limbourg. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve. En 1842, il accepta un siège dans la chevalerie du Limbourg néerlandais[58]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Frédéric-Ernest de Lamberts de Cortenbach (frère du précédent) avec le titre de baron à la Chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre n'est pas transférable. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[58]. – Laeken, 21 octobre 1861, Léopold Ier, roi des Belges: Permission, en vertu de son défunt mari, de continuer à détenir le titre de baronne pour Marie-Thérèse de Bex, veuve de Werner-Joseph de Lamberts-Cortenbach (frère des précédents), gouverneur du Limbourg, etc., et attribution du titre de baron, transférable par droit d'aînesse, à leurs quatre fils Jean-Chrétien, Frédéric-Joseph, Marie-Joseph et Joseph-Ferdinand[58].
Chevalier Munich, 25 avril 1783, Charles-Théodore de Bavière: Attribution du titre de chevalier du Saint Empire romain germanique (transférable à tous les descendants masculins) à Carolus-Henricus de Longrée. Seule la minute de ce diplôme a été retrouvée. Dans l'empire, la force juridique des nobles faveurs accordées à l'électeur était contestée[59]. – Bruxelles, 27 septembre 1817, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de chevalier de Charles de Longrée (précité), liégeois. La première liste officielle de noblesse stipule que le titre est transférable à tous les descendants masculins[59].
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M[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Comte Madrid, 8 août 1681, Charles II d'Espagne: Anoblissement de Thomas Marchant, seigneur de la Haute Juridiction d'Asembourg, etc., échevin de la Ville de Luxembourg, etc[60]. – Vienne, 10 décembre 1728, Charles VI du Saint-Empire: Élévation à la baronnie du manoir luxembourgeois d'Ansembourg (Tuntingen) et attribution du titre de baron de Marchant et d'Ansembourg (transférable par première naissance) à l'Esquire Thomas de Marchant, seigneur de Septfontaines, etc. (fils du précédent)[60]. – Vienne, 1 octobre 1749, Marie-Thérèse d'Autriche: Élevé comtes de la baronnie luxembourgeoise d'Ansembourg et du manoir de Kœurich, et attribution du titre de comte de Marchant et d'Ansembourg (transférable à la première naissance) au baron Lambert-Joseph de Marchant (fils du précédent)[60]. – Vienne, 16 juillet 1750, François II du Saint-Empire: Attribution du titre de comte du Saint Empire romain, transférable à tous les descendants portant le nom, avec autorisation d'utiliser le prédicat «Hoch- und Wohlisjes» pour le comte Lambert de Marchant et (d ') Ansembourg (précité). Cette subvention n'avait aucune force juridique aux Pays-Bas autrichiens[60]. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jean-Baptiste de Marchant d'Ansembourg, membre de la chevalerie du Brabant septentrional, avec le titre de comte de la chevalerie du Limbourg. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. En 1842, il accepta une nomination dans la chevalerie du Limbourg néerlandais[60]. – Madrid, 17 août 1676, Charles II d'Espagne: Noblesse de Guillaume Marchant, seigneur de Hamave, etc. (oncle de Thomas, mentionné sous 1)[60].
Comte Prague, 27 mars 1648, Ferdinand III du Saint-Empire: Confirmation de noblesse et attribution de quatre quartiers nobles à Carolus de Méan, maire de la ville de Liège, ainsi qu'à ses frères Laurentius et Philippus. Ce diplôme a été enregistré au Conseil Secret de la Principauté de Liège[61]. – Vienne, 3 novembre 1694, Léopold Ier du Saint-Empire: Attribution du titre de seigneur libre (baron) du Saint Empire Romain, transférable à tous les descendants portant le nom, avec autorisation d'utiliser le prédicat Wohlborn pour Ferdinandus de Méan, Doyen de la cathédrale de Liège, etc. (fils de Carolus, précité), pour ses quatre frères, Wilhelmus, chanoine de la cathédrale de Liège, etc., Laurentius, chanoine de la cathédrale de Liège, Jean-Ernestus, seigneur de Saive, chanoine du chapitre collégial de Saint Martin à Liège, et Petrus Seigneur d'Attrin, etc., commissaire du prince évêque de Maastricht, etc., ainsi que leurs deux cousins Conradus, seigneur de Pailhe, etc., et Petrus, seigneur de Gutsenhoven. Ce diplôme a été enregistré au Conseil Secret de la Principauté de Liège[61]. – Munich, 10 septembre 1745, Maximilien-Emmanuel de Bavière: Attribution du titre de comte du Saint Empire romain germanique (transférable à tous les descendants portant le nom), avec autorisation d'utiliser le prédicat du Hoch- und Wohlisjes pour seigneur libre (baron) Petrus de Méan, seigneur de Beaurieux, etc. ., Prince Bishop's Commissioner à Maastricht, etc. (petit-fils de Peter, précité). Ce diplôme, dont seule la minute a été récupérée, a été enregistré au Conseil Secret de la Principauté de Liège[61]. – Francfort-sur-le-Main, 16 juillet 1792, Ferdinand II du Saint-Empire: Attribution du titre de comte du Saint Empire romain germanique, transférable à tous les descendants portant le nom, avec autorisation d'utiliser le prédicat Hoch- und Wohlisjes, pour seigneur libre (baron) Petrus-Carolus de Méan, membre du Second État des États de Namur, etc. (petit-fils de ce qui précède), ainsi que pour ses frères Freeman (Baron) Franciscus-Antonius, Prince-Evêque-Élu de Liège, etc., et Freeman (Baron) Caesar-Constantinus , Canon de la cathédrale de Liège, etc[61]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de César-Constantin-Marie de Méan (fils de Pierre, précité) avec le titre de comte de la chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[61]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de François-Eugène de Méan de Beaurieux (frère du précédent) avec le titre de Comte à la Chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[47]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de François-Antoine de Méan, archevêque de Malines (oncle du précédent), avec le titre de comte à la chevalerie de Liège. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve qui lui donna le titre de prince. La première liste officielle des nobles stipule que les titres de prince et de comte sont personnels[61]. – Vienne, 8 juillet 1701, Léopold Ier du Saint-Empire: Prolongation de la confirmation de noblesse de 1648 (mentionnée sous 1-3) et octroi de quatre quartiers nobles pour Petrus-Josephus de Méan, seigneur van Meer, etc[61].
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O[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
• Oultremont (d’) Comtes et comtesses Voir détails à Maison d’Oultremont
Baron
Chevalier
Vienne, 21 septembre 1771, Marie-Thérèse d'Autriche: Concession de noblesse de Jean-Jacques van Outryve, seigneur de Merkem, de ses frères Jean-Georges, prêtre, et Emmanuel-Louis-Joseph, avocat au Conseil des Flandres, ainsi que de leur sœur Marie-Pétronille et de leur défunt père Pierre-François , Trésorier de la ville de Damme. De plus, le titre (personnel) de chevalier a été conféré à Jean-Jacques et Emmanuel[62]. – Het Loo, 29 juillet 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de chevalier pour Jean-Georges van Outryve d'Ydewalle, ainsi que pour son frère Emmanuel (tous deux précités). Pour l'aîné, le titre est transférable à tous les descendants masculins; pour son frère, le titre est personnel. Leur sœur Marie-Pétronille (précitée) reçoit une reconnaissance de noblesse personnelle[62]. – Motril, 10 août 1982, Baudouin, roi des Belges: Motu proprio attribution du titre de baron, transférable par première naissance, au chevalier Pierre-Joseph d'Outryve d'Ydewalle, gouverneur honoraire de Flandre occidentale[62].
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P[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Marquis
Vicomte
Ecuyer
Bruxelles, 6 février 1531, Charles V du Saint-Empire: Noblesse de Pierre (de) Preud'homme, seigneur de Coisne, meier de Lille, etc[63]. – Bruxelles, 15 février 1600, Albert d'Autriche: Remise de la bataille de chevalier par l'archiduc à Jean de Preud'homme dit d'Hailly, qui s'appelle baron van Poeke, vicomte van Nieuport (petit-fils du précédent), à l'occasion de la joyeuse entrée des archiducs à Atrecht. Seule une mention non officielle de ce prix a été trouvée[63]. – La Haye, 14 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Louis-Colette de Preud'homme d'Hailly avec le titre vicomte de Nieuport dans la chevalerie de Flandre occidentale. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance[63]. – La Haye, 14 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles-François de Preud'homme d'Hailly (frère du précédent) avec le titre de vicomte 'de Nieuport' dans la chevalerie de Flandre occidentale et du Brabant. Il résidait au Brabant. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance[63]. – La Haye, 14 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Constantin-François de Preud'homme d'Hailly (frère des précédents) avec le titre de vicomte 'de Nieuport' dans la chevalerie de Flandre occidentale. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance[63]. – La Haye, 14 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles-Florent de Preud'homme d'Hailly (fils de ce qui précède) avec le titre de vicomte 'de Nieuport' dans la chevalerie de Flandre occidentale[63]. – Bruxelles, 27 mars 1829, Guillaume Ier des Pays-Bas: Admission pour Constantin-Joseph de Preud'homme d'Hailly de Nieuport (fils du précédent), petit-fils de Constantin-François-Antoine-Joseph de Preud'homme d'Hailly, vicomte de Nieuport, membre de la Chevalier van West Flanders, pour porter le titre avec son grand-père[63]. – Bruxelles, 12 octobre 1886, Léopold II, roi des Belges: Ajout du nom de Nieuport attribué à Alfred-Antoine de Preud'homme d'Hailly, vicomte de Nieuport (fils du précédent), ainsi qu'à sa tante Mélanie-Thérèse-Justine-Constance, épouse de Chrétien de Caubergh[63]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Louis-Albert de Preud'homme d'Hailly de Nieuport (frère de Mélanie, précité) avec le titre de vicomte dans la chevalerie du Hainaut. La quatrième liste officielle des nobles stipule que le titre n'est pas transférable[63]. – Bruxelles, 12 octobre 1886, Léopold II, roi des Belges: Ajout du nom «de Nieuport» attribué à Léonie-Marie-Charlotte Deys comme veuve de Alexandre-Victor de Preud'homme d'Hailly (fils du précédent)[63]. – Bruxelles, 11 décembre 1888, Léopold II, roi des Belges: Ajout du nom «de Nieuport» attribué à Louise-Mélanie de Preud'homme d'Hailly, épouse de l'écuyer Ernest de Thibault de Boesinghe (fille des précédents)[63]. – Versailles, 16 janvier 1756, Louis XV de France: Confirmation des titres de chevalier, transférables à tous les descendants mâles, et de marquis, transférables par première naissance, pour Albert-Constant Preud'homme d'Hailly de Verquigneul. Seule une copie administrative de ce diplôme a été retrouvée[63]. – La Haye, 13 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Louis-Henri de Preud'homme d'Hailly (fils du précédent) avec le titre de Marquis 'de Verquigneul' dans la Chevalerie du Brabant. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance[63]. – Bruxelles, 4 février 1610, Albert d'Autriche: Attribution du titre (personnel) de chevalier pour écuyer François de Preudhomme dit d'Hailly, seigneur de Coisnes, ancien guerrier en compagnie d'ordonnance. Seule la pétition favorablement apostillée a été trouvée[63]. – Madrid, 10 mai 1640, Philippe IV d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à l'écuyer Pierre de Preudhomme d'Hailly, seigneur de La Riandrie (fils du précédent)[63]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles de Preud'homme d'Hailly de Nieuport avec le titre de vicomte à la chevalerie du Hainaut. La décision de nomination a été retirée[63].
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R[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Vicomte
Baron
Ecuyer
Vienne, 16 janvier 1782, Joseph II du Saint-Empire: Remise du titre de baron (transférable à la première naissance) à l'écuyer Théodore-Jean Roest d'Alkemade, originaire de Dordrecht[64]. – Vienne, 20 avril 1781, Joseph II du Saint-Empire: Autorisation accordée à Élisabeth-Marie Oem de Moesenbroeck, veuve de Jacques-Théodore Roest d'Alkemade, de nommer son fils cadet écuyer Jacques-Go (ds) c (h) alk Roest d'Alkemade (frère du précédent) et arme Oem[64]. – Vienne, 1 décembre 1786, Joseph II du Saint-Empire: Attribution du titre de «baron d'Oem de Moesenbroeck» (transférable à la première naissance) à Jacques-Godsc (h) alk Roest d'Alkemade nommé Oem de Moesenbroeck (l'un des susdits), né à Dordrecht[64]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jacques-Godschalk de Roest d'Alkemade (précité) avec le titre de vicomte dans la chevalerie du Brabant. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[64]. – Bruxelles, 19 février 1924, Albert Ier, roi des Belges: Remise du titre de baron, transférable par première naissance, à Xavier de Roest d'Alkemade (Oem de Moesenbroeck), ainsi qu'à ses trois cousins de plein droit Gaston, Marcel et Henri. Cette décision était sans conséquence car le diplôme n'a pas été annulé[64]. – Bruxelles, 25 décembre 1925, Albert Ier, roi des Belges: Remise du titre de baron, transférable par première naissance, à l'Esquire Michel-Antoine de Roest d'Alkemade (Oem de Moesenbroeck) (neveu des trois derniers mentionnés)[64]. – Bruxelles, 25 décembre 1925, Albert Ier, roi des Belges: Remise du titre de baron, transférable de droit d'aînesse, à l'écuyer Étienne-Théodore de Roest d'Alkemade Oem de Moesenbroeck, président de l'ouvrage 'Le Mot du Soldat' pendant la Première Guerre mondiale, etc. (cousin germain) du précédent)[64]. – Bruxelles, le 25 décembre 1925, Albert Ier, roi des Belges: Attribution du titre de baron, transférable de première naissance, à l'écuyer Georges-Henri de Roest d'Alkemade Oem de Moesenbroeck, ancien sous-lieutenant (frère du précédent)[64]. – Bruxelles, 25 décembre 1925, Albert Ier, roi des Belges: Remise du titre de baron, transférable par droit d'aînesse, à l'écuyer Jacques-Marie de Roest d'Alkemade Oem de Moesenbroeck, volontaire de guerre 1914-1918 (frère des précédents)[64]. – Bruxelles, 25 décembre 1925, Albert Ier, roi des Belges: Remise du titre de baron, transférable par première naissance, à l'Esquire Robert-Hyacinthe de Roest d'Alkemade Oem de Moesenbroeck, adjudant, etc. (frère des précédents)[64]. – Bruxelles, 5 mai 1975, Baudouin, roi des Belges: Reconnaissance du titre de baron, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Guy-Étienne de Roest d'Alkemade Oem de Moesenbroeck, capitaine-commandant de réserve d'infanterie (fils de ce qui précède)[64]. – Bruxelles, 25 décembre 1925, Albert Ier, roi des Belges: Attribution du titre de baron, transférable par première naissance, à l'écuyer Louis-Émile de Roest d'Alkemade Oem de Moesenbroeck, volontaire de guerre 1914-1918 (oncle du précédent)[64]. – Bruxelles, 25 décembre 1925, Albert Ier, roi des Belges: Remise du titre de baron, transférable par première naissance, à l'écuyer Théodore-Henri de Roest d'Alkemade Oem de Moesenbroeck, volontaire de guerre 1914-1918 (frère du précédent)[64]. – Vienne, 25 juillet 1739, Charles VI du Saint-Empire: Remise du titre de vicomte (transférable à la première naissance) à l'écuyer Frédéric Roest d'Alkemade[64]. – Vienne, 31 mai 1741, Marie-Thérèse d'Autriche: Prolifération des armes pour le vicomte Frédéric Roest d'Alkemade[64]. – Vienne, 19 août 1779, Marie-Thérèse d'Autriche: Confirmation, le cas échéant, du titre de vicomte (transférable de droit d'aînesse) pour Jérôme-Balthazar de Roest d'Alkemade (fils du précédent), avec autorisation de transférer le titre à un proche en l'absence de descendants[64]. – Bruxelles, 26 octobre 1779, Charles VI du Saint-Empire: Lien du titre de vicomte au manoir de Stalle (Uccle) par Jérôme-Balthazar de Roest d'Alkemade (précité)[64].
Baron
Chevalier
Vienne, 8 octobre 1757, Marie-Thérèse d'Autriche: Octroi du titre (personnel) de chevalier et propagation des armes à Emmanuel-Joseph Ruzette, fils de Michel-François, bailli de Vloesberg et Lessen[65]. – Het Loo, 30 juillet 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de chevalier, transférable à la première naissance, pour Maximilien Ruzette (petit-fils du précédent) et reconnaissance de la noblesse pour ses frères Édouard et Alexis[65]. – Bruxelles, 26 février 1877, Léopold II, roi des Belges: Remise du titre de chevalier, transférable à tous les descendants masculins, à Léon-Emmanuel Ruzette, commissaire de district d'Ypres (fils d'Édouard, l'un des susdits)[65]. – Bruxelles, 10 juin 1888, Léopold II, roi des Belges: Attribution du titre de baron, transférable de première naissance, au chevalier Léon Ruzette (précité), gouverneur de Flandre occidentale[65].
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S[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Baron Vienne, 3 mars 1660, Léopold Ier du Saint-Empire: Motu proprio noblesse, attribution du titre de chevalier du Saint Empire Romain (transférable à tous les descendants masculins) et de quatre quartiers nobles à Hermanus de Stockem, chanoine de la cathédrale de Liège, ainsi qu'à ses trois frères Jean, prévôt de la collégiale Chapitre Saint-Mars à Liège, Nicolas, prévôt du chapitre collégial de Saint Paul à Liège, et Léonard. Ce diplôme, dont seule la minute a été récupérée, a été enregistré au Conseil Secret de la Principauté de Liège[66]. – Vienne, 1 mars 1766, Joseph II du Saint-Empire: Attribution du titre de seigneur libre (baron) du Saint Empire romain, transférable à tous descendants portant le nom, autorisés à utiliser le prédicat le Wohl Born pour Leonardus-Erardus de Stockhem, seigneur de Vieux-Waleffe, etc. (petit-fils de Leonardus, l'un des susdits), ainsi que pour son frère Nicolas-Erasmus , seigneur van Heers, etc., conseiller au Conseil secret de la Principauté de Liège[66]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Léonard-Nicolasde Stockhem de Vieux-Waleffe (fils de Leonardus, l'un des susnommés) avec le titre de baron de la chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[66]. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles-François de Stockhem de Heers (cousin germain de ce qui précède) avec le titre de baron dans la chevalerie de Limbourg. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[66]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de François-Joseph de Stockhem (frère du précédent) avec le titre de Baron à la Chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[66]. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Lambert-Gaspard de Stockhem (frère des précédents) nommé au titre de baron dans la chevalerie de Limbourg. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom[66].
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T[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Chevalier Vienne, 30 juin 1703, Léopold Ier du Saint-Empire: Motu proprio conférant le titre de chevalier du Saint Empire romain germanique (transférable à tous les descendants masculins) et quatre quartiers nobles à Arnoldus-Leonis de Theux, docteur en droit. Le diplôme a été enregistré auprès du Conseil Secret de la Principauté de Liège[67]. – Het Loo, 20 mai 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse avec le titre de chevalier pour Joseph-Mathieu de Theux de Meylandt et Montjardin (petit-fils du précédent). La première liste officielle de noblesse stipule que le titre est transférable à tous les descendants masculins[67]. – Bruxelles, 18 mars 1840, Léopold Ier, roi des Belges: Attribution du titre de comte, transférable à tous les descendants masculins, au chevalier Barthélemi-Théodore de Theux de Meylandt, ministre des Affaires étrangères et de l'Intérieur, etc. (fils cadet du précédent)[67].
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U[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Comte
Baron
Écuyer
Vienne, 4 mai 1716, Charles VI du Saint-Empire: Élevé en baronnie du manoir brabançon de Gentinnes (Chastre) et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à l'écuyer Charles-Ghislain d'Udekem, seigneur de Limelette, etc[68]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jacques-François d'Udekem d'Acoz avec le titre de Baron de la Chevalerie du Hainaut. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance[68]. – Laeken, 21 octobre 1861, Léopold Ier, roi des Belges: Admission pour l'écuyer Jacques-Albert d'Udekem (petit-fils du précédent) pour utiliser le titre avec son père[68]. – Bruxelles, 12 juin 1876, Léopold II, roi des Belges: Prolifération pour le baron Jacques d'Udekem (précité)[68]. – Bruxelles, 10 juin 1886, Léopold II, roi des Belges: Ajout du nom «d'Acoz» attribué au baron Jacques d'Udekem (précité)[68]. – Bruxelles, 15 février 1966, Baudouin, roi des Belges: Admission pour l'écuyer Henri-Joseph d'Udekem d'Acoz, avocat au barreau d'Ypres, représentant adjoint du peuple, maire de Proven, etc., pour utiliser le titre avec son père[68]. – Bruxelles, 25 octobre 1924, Albert Ier, roi des Belges: Remise du titre de baron, transférable par droit d'aînesse, à l'écuyer Paul-Joseph d'Udekem d'Acoz[68]. – Bruxelles, 10 juin 1886, Léopold II, roi des Belges: Ajout du nom «d'Acoz» accordé à l'écuyer Louis-Jean-Ghislain d'Udekem (oncle du précédent)[68]. – Bruxelles, 10 mars 1921, Albert Ier, roi des Belges: Attribution du titre de baron, transférable par droit d'aînesse, à l'écuyer Arnold-Gérard d'Udekem d'Acoz, maire de Wanfercée-Baulet, etc. (fils du précédent)[68]. – Bruxelles, 6 juillet 1852, Léopold Ier, roi des Belges: Reconnaissance du titre de baron, transférable du droit d'aînesse, pour Ferdinand d'Udekem, sénateur. La décision a été sans conséquence, car le diplôme n'a pas été retiré. Armoiries: ni description ni dessin[68]. – Bruxelles, 25 janvier 1888, Léopold II, roi des Belges: Ajout du nom «de Guertechin» attribué à Léon-Louis d'Udekem (fils du précédent)[68]. – Laeken, 17 avril 1891, Léopold II, roi des Belges: Reconnaissance de la noblesse pour Léon d'Udekem de Guertechin (précité)[68]. – Bruxelles, 19 juin 1978, Baudouin, roi des Belges: Changement de nom (d'Udekem Gentinnes) attribué à Charles-Ghislain d'Udekem de Guertechin[68].
Duc
Comte
Bruxelles, 4 mai 1619, Albert d'Autriche: Octroi du titre (personnel) de chevalier à Conrad (d'Ursel) de Grobendoncq, seigneur de Gestel, homme de la ville d'Anvers (fils de Conrad Schetz, que l'on retrouve sous ce nom, qui, après l'adoption par sa tante Barbe d'Ursel, prit le nom d'Ursel et armoiries en 1617). Seules la pétition favorablement apostillée et la minute du diplôme ont été récupérées[69]. – Bratislava, 22 janvier 1638, Ferdinand III du Saint-Empire: Motu proprio attribution du titre de comte d'Ursel, de Hoboken et du Saint Empire romain germanique, transférable à tous les descendants portant le nom, à Conrad d'Ursel (précité), baron de Hoboken et Hingene, etc. a été approuvé sous le sceau secret de Philippe IV le 20 mars 1639[69]. – Vienne, 24 avril 1717, Charles VI du Saint-Empire: Élévation au duché de la baronnie brabançonne de Hoboken (Anvers) et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) au comte Conrad-Albert d'Ursel, supérieur général du camp de l'armée aux Pays-Bas autrichiens, etc. (petit-fils de ce qui précède)[69]. – Paris, 16 décembre 1810, Napoléon Ier: Remise du titre personnel de Comte d'Empire, ainsi que l'attribution d'une livrée aux couleurs de l'écu, à Charles-Joseph d'Ursel, maire de la ville de Bruxelles[69]. – La Haye, 13 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles-Joseph d'Ursel (précité) avec le titre de duc de la Chevalerie d'Anvers. Dans la première liste officielle des nobles, il est déterminé que le titre est transférable à la première naissance; tandis que les autres descendants portant le nom portent respectivement le titre comte ou comtesse[69]. – Bruxelles, le 6 février 1884, Léopold II, roi des Belges: Multiplication des armes pour Isabelle-Charlotte de Clermont-Tonnerre, comme veuve du comte Charles-Marie d'Ursel (petit-fils du précédent), ainsi que pour leur fille unique[69]. – Bruxelles, 6 février 1884, Léopold II, roi des Belges: Propagation d'armes pour le duc Marie-Charles d'Ursel (frère de Charles, susmentionné), qui, en tant que chef de famille, est le seul à conserver le droit d'utiliser les armoiries comme stipulé ci-dessus- diplôme mentionné de 1717[69]. – Bruxelles, 6 février 1884, Léopold II, roi des Belges: Multiplication d'armes pour le comte Léon-Léopold d'Ursel (frère des précédents)[69]. – Bruxelles, 6 février 1884, Léopold II, roi des Belges: Multiplication d'armes pour le comte Louis-Marie d'Ursel, sénateur (oncle des précédents)[69]. – Bruxelles, 6 février 1884, Léopold II, roi des Belges: Multiplication d'armes pour Marie-Camille de Croix, veuve du comte Marie-Auguste d'Ursel, ainsi que pour leurs enfants[69].
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V[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Baron Vienne, 29 avril 1785, Joseph II du Saint-Empire: Remise du titre de seigneur libre (baron) du Saint Empire Romain, transférable à tous les descendants portant le nom, avec autorisation d'utiliser le prédicat «Wohlborn» pour Johannes-Ignatius de Villenfagne, ancien maire de la ville de Liège. Le diplôme a été enregistré auprès du Conseil Secret de la Principauté de Liège[70]. – La Haye, 16 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Antoine-Lambert-Joseph de Villenfagne de Zolder (fils du précédent) avec le titre de Baron à la Chevalerie de Limbourg. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[70]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Joseph-Hilarion de Villenfagne d'Ingihoul (frère du précédent) avec le titre de baron de la Chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[70]. – Noisy, 23 juin 1823, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse au titre baron, transférable à tous les descendants portant le nom, pour Léopold-Albert de Villenfagne de Sorinne, ancien maire de la ville de Liège (frère des précédents)[70]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Jean-Dieudonné de Villenfagne de Loën (frère des précédents) nommé au titre de baron de la Chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[70]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Louis-Ignace de Villenfagne de Vogelsanck (frère du précédent) avec le titre de Baron de la Chevalerie de Liège. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à tous les descendants portant le nom. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[70]. – Bruxelles, 8 mai 1678, Carlos de Gurrea, duc de Villa Hermosa: Nomination de Noël de Villenfagne comme conseiller et pétitionnaire au Grand Conseil de Malines. Si nécessaire, cette fonction a été élevée à la noblesse héréditaire[70]. – Madrid, 2 janvier 1674, Marie-Anne d'Autriche: Noblesse de Jean-Baptiste de Villenfagne, seigneur d'Hottomont, ancien sergent[70].
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W[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
  • Woestenraedt (de)[71]
Comte
Baron
Vienne, 1 février 1744, Marie-Thérèse d'Autriche: Attribution du titre de comte (transférable à la première naissance) et propagation des armes au baron Philippe-Joseph de Woestenraedt, chef drossard du Leenhof de Limbourg, etc.[71].
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X[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
  • Xavier (de)[72]
    Xavier de Lasne (de)
Baron
Écuyer
Madrid, 24 février 1676, Charles II d'Espagne: Élévation à la baronnie du manoir brabançon de Lasne et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à Jean-Philippe de Xavier, fils d'Antoine, capitaine de cavalerie[72]. – La Haye, 26 avril 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Jean-Alexandre de Xavier de Lasne avec le titre de Baron de la Chevalerie du Brabant. La première liste officielle des nobles stipule que le titre est transférable à la première naissance. Son admission à la pairie fut confirmée par un acte de preuve[72].
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Y[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Comte
Écuyer
Madrid, 23 avril 1598, Philippe II d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier à Charles d'Yedeghem, seigneur de Wieze, etc., grand bailli de la ville, zale et châtelain d'Ypres, etc., au père duquel le roi a donné la chevalerie[73]. – Bruxelles, 30 septembre 1600, Albert d'Autriche: Élévation à la baronnie de Bousbecque et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) au chevalier Charles d'Yedeghem (précité)[73]. – Madrid, 18 juin 1629, Philippe IV d'Espagne: Élévation au comté de Watou (Poperinge) et attribution de ce titre (transférable à la première naissance) à Charles d'Yedeghem (précité), baron de Bousbecque, etc[73]. – Bruxelles, 22 septembre 1605, Albert d'Autriche: Attribution du titre (personnel) de chevalier pour échapper à Philippe d '(Y) edeghem, seigneur de Waasten, etc., guerrier dans une compagnie d'ordonnance (frère du précédent). Seules la pétition favorablement apostillée et la minute du diplôme ont été retrouvées[73].
  • Ysembart (d')[74]
    Ysembart de Wreichem (d')
Écuyer Het Loo, 25 août 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Reconnaissance de la noblesse pour Philippe-François d'Ysembart de Wreichem. Bien que le diplôme ait été supprimé, aucun exemplaire n'a été retrouvé[74]. – Madrid, 7 novembre 1697, Charles II d'Espagne: Prolifération, si nécessaire, pour Adrien-François d'Ysembart, seigneur de Régalle, ancien maître de la ville d'Ath[74]. – Madrid, 18 septembre 1678, Charles II d'Espagne: Noblesse de Jacques d'Ysembart, licencié en droit, greffier de la ville de Mons[74].
Écuyer Laxenburg, 17 juin 1779, Marie-Thérèse d'Autriche: Élévation de la noblesse et changement d'armes pour Philippe-Benoît-Emmanuel Ysenbrant, seigneur de Zantervelt, échevin de la ville et de la châtellenie de Furnes[75].
Chevalier Vienne, 29 juillet 1715, Charles VI du Saint-Empire: Motu proprio attribution du titre de chevalier du Saint Empire romain germanique (transférable à tous les descendants masculins) confirmation de la noblesse, avec réhabilitation ou exaltation si nécessaire, et attribution de quatre quartiers nobles aux descendants portant également le nom de Gaspard van Ysendyck quant à son frère Henricus, arrière-grand-père de Petrus, maire de la ville de Herentals, etc., et de son cousin germain Johannes, premier bras-roi Toison d'Or à Vienne, etc. Bien que ce diplôme ait été dûment enregistré Pays-Bas autrichiens, il a été abrogé par le décret du 24 juillet 1734[76].
Marquis
Comte
Madrid, 2 octobre 1662, Philippe IV d'Espagne: Élévation à la baronnie du manoir namurois de Soye et attribution de ce titre (transférable par première naissance) à François-Philippe d'Yve, député du Second État des États de Namur, etc[77]. – La Haye, 5 mars 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Ferdinand-Antoine d'Yve de Jodoigne de Bavay avec le titre de comte dans la chevalerie du Hainaut. La transférabilité du titre était déterminée par le diplôme suivant[77]. – La Haye, 15 janvier 1822, Guillaume Ier des Pays-Bas: Remise du titre de marquis au comte Ferdinand-Antoine d'Yve et de Jodoigne, chambellan, membre de la chevalerie du Hainaut. Le titre de Marquis est transférable par droit d'aînesse; tandis que les autres descendants portent respectivement le titre de comtesse ou de comtesse[77]. – Linz, 20 septembre 1732, Charles VI du Saint-Empire: Attribution du titre de comte (transférable à la première naissance) et propagation des armes à Gaspard-Henri d'Yve d'Ostiche, qui est appelé vicomte de Bavay et baron, etc. (oncle du précédent). En l'absence de descendant, le titre passe à son frère Philippe ou au chef de famille[77]. – Bruxelles, 13 mai 1735, Charles VI du Saint-Empire: Lien du comte de titre avec la seigneurie brabançonne de Ruisbroek (Sint-Pieters-Leeuw) par Gaspard d'Yve d'Ostiche (précité)[77]. – Bruxelles, 26 juin 1823, Guillaume Ier des Pays-Bas: Remise du titre personnel de comtesse à Jeanne-Népomucène d'Yve d'Ostiche. Elle était dispensée d'obtenir un diplôme[77].
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Z[modifier | modifier le code]

Nom Titre Histoire Blason
Écuyer Vienne, 7 juillet 1745, Marie-Thérèse d'Autriche: Noblesse à propagation d'armes pour Pierre-François Zaman, meier héréditaire de Sinaai et Belsele[78]. – Madrid, 6 juillet 1694, Charles II d'Espagne: Confirmation de noblesse, si nécessaire, pour Jean-Pierre Zaman, fils de Jacques, commissaire aux recettes du Land van Waas[78]. – Vienne, 27 avril 1722, Charles VI du Saint-Empire: Élévation à la noblesse du Saint Empire Romain, octroi de quatre quartiers nobles et autorisation de faire précéder son nom d'une noble particule pour Petrus Zaman (oncle du précédent). Bien que ce diplôme fût dûment enregistré aux Pays-Bas autrichiens, il y fut révoqué par décret du 24 juillet 1734[78]. – Vienne, 20 octobre 1735, Charles VI du Saint-Empire: Confirmation de noblesse et, si nécessaire, élévation de noblesse, avec effet rétroactif au 27 avril 1722, pour Pierre Zaman (précité)[78]. – Laeken, 8 octobre 1858, Léopold Ier, roi des Belges: Noblesse de Joseph-Emmanuel Zaman, sénateur[78].
Écuyer Vienne, 11 décembre 1728, Charles VI du Saint-Empire: Réhabilitation de noblesse, avec noblesse si nécessaire, pour Nicolas-Charles de Zomberghe, bailli et récipiendaire de Fontaine-l'Evêque, qui se prétendait de la famille précédente. Le diplôme fut déclaré invalide par jugement du Conseil de Justice du Hainaut du 17 décembre 1731[79].
Écuyer Madrid, 10 décembre 1651, Philippe IV d'Espagne: Noblesse de Charles (de) Zua (l) art, seigneur de Waufin, etc., récipiendaire des États et de la ville de Namur. Ce diplôme, que le bénéficiaire n'obtint jamais, fut répété textuellement dans la suite à partir de 1668. – Madrid, 10 novembre 1668, Marie-Anne d'Autriche: Confirmation de la noblesse accordée le 10 décembre 1651 à Charles Zualart (précité), seigneur de Wanze, etc., échevin de la ville de Namur, etc. – Madrid, 18 novembre 1642, Philippe IV d'Espagne: Noblesse de Jacques Zua (l) art, seigneur de Sclayn, etc., commissaire du Souverain Bailliage de Namur, etc. (frère du précédent). – Madrid, 12 février 1681, Charles II d'Espagne: Remise du titre (personnel) de chevalier et propagation des armes pour l'écuyer Jean-François (de) Z (u) alart, seigneur de Golsinne (petit-fils du précédent). – La Haye, 20 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Frédéric-Joseph de Zualart à la chevalerie de Namur. – La Haye, 20 février 1816, Guillaume Ier des Pays-Bas: Nomination de Charles-Joseph de Zualart (frère du précédent) à la Chevalerie de Namur[81].
Écuyer Bruxelles, 6 janvier 1661, Luis de Benavides Carrillo: Nomination de Bernard-Alexandre van den Zype, grand pensionnaire de la ville de Malines, comme conseiller et pétitionnaire au Grand Conseil de Malines. Si nécessaire, cette fonction concède la noblesse héréditaire[81].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Paul Janssens et Luc Duerloo, Armorial de la noblesse belge du XVe au XXe siècle, Bruxelles, Editions Crédit Communal, (ISBN 2871931682)
  • Oscar Coomans de Brachène, État présent de la noblesse belge, Bruxelles, État présent asbl, 1984-2002
  • Isidore de Stein d'Altenstein, Annuaire de la noblesse de Belgique, Bruxelles, Auguste Decq, 1847-1950

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Janssen et Duerloo 1992, p. 1 ; Coomans de Brachène 1984, p. 31 - Armoiries: «ain Schilldt deren die drey Thail gelb unnd rott oder rubinfarb, schachweis abgethaillt, unnd das vorder ober virt Thaill weiss oder sielberfarb, dar inn im Grundt ain grüner Perg oder Pühel darauf fürwertts stehendt aines schwarzen Nachtraben Gestallt.» «Auf dem Schilldt ain freyer offner adlichen Thurnirershelm, baiderseits mit gelber und rotter oder rubinfarber Helmdeckhen, unnd darob von denselben Farben ainem gewundenen Pausch geziert, darob abermaln fürwerz aines schwarzen Nachtraben Gestallt erscheinendt ... nach vollgender massen ... gebessert ... an stat des Pausch ain gelbe oder golldfarbe kunigcliche Cron unnd in derselben ain grünnen Perg.»
  2. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 2 ; de Stein d'Altenstein 1874, p. 49-51 - Armoiries: «[écartelé, au premier et quatrième] d'argent, à trois hamaydes de gueules ... [au deuxième et troisième] d'or, à la fasce de gueules, qui seroit ... de Haveskercke. ... couronne de vicomte à perles ...[Supports:] deux lions d'or, armés et lampassés de gueules ... tenans chacun une banderolle, celle à dextre d'argent, à trois hamaydes de gueules ... et celle à senestre ... d'or, à la fasce de gueules.»
  3. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 3 ; de Stein d'Altenstein 1874, p. 7-56 - Armoiries: «d'argent, à deux fleurs de lys de gueulle, au canton de gueulle, chargé d'un saultoir eschicqueté d'argent et de sable. ... heaume ouvert et treillé, boissons et hachemens d'argent et de gueulle, et pour cimier deux cornes de boeuf de mesme.»
  4. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 3-4 - Armoiries: «d'or, à une chèvre sautante au naturel, sur un vignoble de même, l'un et l'autre terrassé de sinople, écartelé de gueules, à trois château[x] d'argent.»-«... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, aux hachemens et bourlet d'or et de gueules, et pour cimier une chèvre naissante de l'écu, entre un vol d'argent.»
  5. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 4 - Armoiries: ?
  6. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 5-6 ; de Stein d'Altenstein 1859, p. 112-120 - Armoiries: ?
  7. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 6 - Armoiries: ?
  8. a b c et d Janssen et Duerloo 1992, p. 6-7 - Armoiries: «de gueules, à deux lions d'or, addossez à l'écusson de même en abîme, chargé d'une bande d'azur, losangée d'argent en abîme.» - "... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, hachemens d'or et de gueules ... timbrées d'une trousse de plumes d'or et de gueules, sortant d'un bourlet."
  9. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 8 ; de Stein d'Altenstein 1865, p. 46-52 - Armoiries: «écartelées, au premier de gueules, à une hache d'or, qui [est] de Meyer, au deuxième d'argent, à une bande fuselée de gueules, de cinq pièces, qui [est] de Marselaer, au troisième de gueules, au lion d'or, armé, lampassé et couronné d'azur, qui [est] ... Van Haelen, au quatrième aussi de gueules, à cinq losanges d'or, formant une croix, qui seroient de Rycke, et sur le tout d'argent, au compas ouvert d'or, qui [est Aerts].» - «... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, fourré d'azur, aux hachemens et bourlet d'argent et de gueules, et pour cimier le compas du surtout, entre deux proboscides d'argent.»
  10. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 8 ; de Stein d'Altenstein 1862, p. 53-54 - Armoiries: «Videlicet ut sit scutum totum crocei seu aurei coloris, in quo appareat surgens ex imo in altum arx turrida colore caeruleo conspicua, tam in medio ubi etiam pergula circundatur, quam in cacumine fenestris et pinnaculis ornata, habens inferius portam patentem, eiusque fastigio insistat pelicanus candidus, qui vulnerato pectore pullos cruore suo perfundere videatur, superiorem vero dimidiam campi partem occupet aquila nigra biceps, expansis alis et pedibus, hiantibus rostris, in alterutro capite diadema aureum gestans.» - «Scuto imposita sit galea aperta seu clathrata, diademate aureo gemmato ornata, e cuius cono emineat arx per omnia similis illi, quae habetur in clipeo cum pelicano eidem insistente, dependentibus ex utroque scuti latere phaleris seu laciniis a sinistra croceis et caeruleis et a dextra nigris et croceis.»
  11. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 10 - Armoiries: «Videlicet scutum caerulei seu caelestini coloris, in cuius medio albi seu argentei coloris rosa cum apice aurei seu crocei coloris in centro apparet.» - «Et supra scutum galeam apertam torneaream taen[i]is et lacin[i]is albi seu argentei ac azurei seu caelestini colorum redimitam, in cuius cono e fascia tortili eorundem colorum loco cristarum geminae alae eiusdem azurei seu caelestini coloris eminent, quarum qualibet similem rosam albi seu argentei coloris ut in scuto continet.»
  12. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 11 - Armoiries: «de gueules, à trois étoiles de six raiz d'argent, deux et une, chargé en cœur d'un croissant aussi d'argent.»-«... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, aux hachemens et bourlet d'argent et de gueules, et pour cimier le croissant de l'écu.»
  13. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 11 - Armoiries: ?
  14. a b c d e f et g Janssen et Duerloo 1992, p. 14-15 ; de Stein d'Altenstein 1852, p. 102-109 - Armoiries: «Scutum videlicet rubeum quod tres cruces argenteas trigoni in modum dispositas contineat. Clipei centrum aliud scutulum aureum occupet, in quo aquila nigra biceps, alis et pedibus late explicatis, volaturienti similis conspiciatur.»-«Extremas scuti maioris oras circumdent qua[t]tuor lilia virentia ita disposita, ut ex summa ima dextra sinistraque scuti parte unum promineat.»
  15. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 15 - Armoiries: « Videlicet scutum azurei seu caelestini coloris, in cuius medio dextra manus nuda, alam albi seu argent[e]i coloris tenens, inter quinque stellas aurei coloris triangulari serie positas, et octo radiis singulas conspicitur.»-«Supra scutum galea aperta tornearia, taeniis et laciniis azurei caeruleive ac aurei seu flavi colorum redimita, in cuius cono e fascia tortili eorundem colorum ala albi coloris eminet. »
  16. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 15 - Armoiries: «d'argent, à ung pin de synople, son fruict de pourpre.»-«... l'heaulme treillé, les hachemens et borrelet d'argent et de synople, et pour cimier deux aîles d'argent.»
  17. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 15-16 - Armoiries: «Videlicet scutum aurei seu crocei coloris cruce rubea in quatuor aequales partes divisum, quarum superior dextra et inferior sinistra aquilam nigram unius capitis dextrorsum flexi, alis expansis, caudis pedibusque protensis, cum corde albi seu argentei coloris in pectore singulae continent, inferior vero dextra et superior sinistra partes leonem nigrum dextrorsum versum, linguis exsertis ungulisque rubeis singulae complectuntur, porro in crucis medio sit scutum albi seu argentei coloris, in quo tres psitaci viridis coloris, rostris pedibusque rubeis, triangulari forma positi unus in basi, reliqui duo in superioribus scuti angulis apparent, quae gentilia tua sunt insignia.»-«Et supra scutum galeam apertam torneariam, aurei seu crocei et nigri colorum laciniis sive induviis redimitam, in cuius cono super serto laureo viridis coloris anterior pars leonis nigri, rictu aperto linguaque exserta et unguibus rubeis eminet.»
  18. Lieven Algoet, dans : Peter G. BIETENHOLZ, Contemporaries of Erasmus. Biographical Register of the Renaissance and Reformation, Toronto/Londen, University of Toronto, 2003.
  19. Nationaal Biografisch Woordenboek, sub verbo Lire en ligne.
  20. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 16 - Armoiries: ?
  21. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 16 - Armoiries: «escartellé d'or et d'azur, au grifon contre-escartelé de l'ung en l'aultre, tenant en sa dextre une hache de gueulles, onglé et lampassé de mesmes.»-«... au timbre trailly de trois trailles, avecq borrelet et hachemens d'or et d'azur, surmonté d'ung grifon nayssant d'or, tenant en sa dextre une hache de gueulles, onglé et lampassé de mesme.»
  22. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 16 ; de Stein d'Altenstein 1877, p. 36-39 - Armoiries: «d'or, à la barre de sinople, chargée de trois croix diamantées.»-«... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, fourré de gueules, aux hachemens et bourlet d'argent et de sinople, et pour cimier une croix de l'écu, entre un vol d'argent.»
  23. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 18 - Armoiries: «d'argent, à la face de gueulles, et trois testes de chevaux de sable, bridées d'or, deux en chef et une en pointe.»-«Cimier: une semblable teste de cheval, à un vol d'argent, fascé de gueulles, bourlet et hachements d'argent et de gueules.»
  24. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 18-19 - Armoiries: ?
  25. a b c et d Janssen et Duerloo 1992, p. 21 - Armoiries: ?
  26. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 21-22 - Armoiries: «<d'azur, à trois cocquilles d'or, assavoir deux en chief et ungne au poinct.>»-«<Le heaulme treillé de trois treilles, les hachemens ou feulaiges et bourelelette d'or et d'azur, et pour cymier ung demi homme sauvaige, tenant ung bourdon de Saint-Jacques à la droict.>»
  27. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 22 - Armoiries: «d'argent, à une colonne de gueules, posée sur une montagne de sinople, avec des veines d'argent, accompagné[e] à dextre de trois cœurs de gueules, deux et un, les deux premiers cœurs surmontés au chef de l'écu d'une étoile de même, et à sinistre d'une croix de gueules, surmontée pareillement au chef de l'écu d'une étoile de même, et en pointe d'un lion de gueules, rampant sur ladite montagne.»-«... bonnet ordinaire de baron.»
  28. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 22-23 - Armoiries: «d'azur, à deux plumes d'argent, passées en sautoir, accostées de quatre estoilles d'or.»-«Cimier: une estoille de mesme, heaume ouvert et grillé, bourlet et hachemens d'or et d'azur.»
  29. a b c et d Janssen et Duerloo 1992, p. 25 ; Coomans de Brachène 1984, p. 75 - Armoiries: « Scutum argenteum erectum, insertis triangulariter, una scilicet supra et duabus infra medium, tribus rosis rubeis in suis scapis foliatis et basi viridis coloris.»-«Scuto incumbit galea tornearia clathrata et coronata, unde apicis loco exsurgit rosa scutaria bis foliata. Laciniae denique utrinque defluentes rubeae sunt et argenteae. »
  30. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 27 - Armoiries: «d'azur, au lévrier d'argent, à collier de gueules, garni d'or.»-«L'heaume treillé de cinq treilles, le bourelet d'argent et d'azur, et pour cimier, sortant une tête de lévrier à collier de gueules, armé d'or, les hachements d'argent et d'azur.»
  31. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 27 - Armoiries: «d'argent, à la croix de Bourgogne de gueules, accompagné de quatre étoiles à six raiz d'azur.»-«... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, aux bourlet et hachemens d'argent et de gueules. Cimier: la croix de l'écu, entre un vol d'argent.»
  32. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 28 - Armoiries: «d'azur, à un chevron d'or, accompagné de trois glands de mesme, la queue en bas.» «Heaume d'argent, enrichy d'or, timbre: un trousseau de trois pennaches, à droicte de gueules, à gauche d'or et au milieu d'azur, surmonté d'une aigrette d'argent, bourlet et hachemens d'or et d'azur.»
  33. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 28 - Armoiries: « Scutum militare erectum horizontaliter sectum, in cuius superiore parte caerulea stella aurea, in inferiore autem parte nigra tres centifoliae, media infra et duae reliquae aequaliter iuxta se positae binis foliis et suis scapis aurei coloris erecte conspiciuntur.»-«Scuto incumbit galea tornearia argentea ad dexteram obliqua, auro fimbriata, clathrata et coronata, scutaria apicis loco inter nigrum alarum aquilinarum iugum stella exornata. Laciniae denique sunt a dexteris aureae et nigrae, a sinistris vero aureae et caeruleae. »
  34. a b c d e f g h i et j Janssen et Duerloo 1992, p. 28 ; Coomans de Brachène 1984, p. 78-84 ; de Stein d'Altenstein 1872, p. 34-62 - Armoiries: «coupé d'or, au lion assis de gueules, lampassé d'azur, la queue fourchue et passée en sautoir, et d'azur, à quatre pals d'or.»-«L'écu sommé de la couronne de baron, surmonté d'un heaume d'argent, grillé, liseré et couronné d'or, fourré de gueules. Cimier: le lion de l'écu, entre deux trompes de sable. Supports: deux lions contournés d'or, lampassés de gueules, tenant chacun une bannière aux armes de l'écu.»
  35. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 30-31 ; de Stein d'Altenstein 1912, p. 17-38 - Armoiries: ?
  36. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 31 ; de Stein d'Altenstein 1866, p. 49-66 - Armoiries: « d'or, à une roue ouverte de sable, de dix raïx ou raions, coupé de sinople. »-"... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, aux hachemens et bourlet d'or, le sable et de sinople, et pour cimier la tête et col de cheval d'argent."
  37. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 32 - Armoiries: ?
  38. a b c d e et f Janssen et Duerloo 1992, p. 32-33 ; Coomans de Brachène 1984, p. 88-93 ; de Stein d'Altenstein 1897, p. 48-68 - Armoiries: « van azuur, met een faas vergezeld van drie opvliegende zeekippen, alles van goud.» «Het schild overtopt met een helm van zilver, gekroond, getralied, gehalsband en omboord van goud, gevoerd en gehecht van keel, met dekkleden van goud en van azuur. Helmteken: een opvliegende zwaan van zilver. Bovendien voor de [titularis] ... het schild getopt met een ridderkroon. »
  39. a b c d et e Janssen et Duerloo 1992, p. 585 - Armoiries: «Videlicet scutum argenteum, in quo duo pisces marini furvi sive nigri coloris conspiciuntur, ambo capite sursum et cauda deorsum utrinque tamen extrorsum directi, in medio autem corpore introrsum inflexi. │ Supra scutum incumbentem coronam regiam, ad scuti latus dextrum et sinistrum binos telamones in figura viri investis sive nudi sylvicolae geris hirsutis, capite serto hederaceo redempto, et corpore supra coxam tegumento pariter hederaceo cincto et oblato, quorum uterque primus quidem ad dextrum scuti latus praememoratam scuto incumbentem coronam manu sinistra, nodosam vero clavam ligneam deorsum directam manu dextra, alter autem ad sinistrum scuti latus vice versa dextra manu dictam coronam, sinistra vero pari modo clavam nodosam gestat. Insuper nos quoque de novo pro tegumento scuti concedimus pallium ex holoserico caeruleo plaga argentea scutulata subductum et patagiatum.»
  40. a et b Côte-d'Or (France) Archives départementales, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Côte-d'Or : Archives civiles, série B : Chambre des comptes de Bourgogne, P. Dupont, (lire en ligne).
  41. Leopold Everaert et Jean Bouchery, Histoire de la ville de Hal d'après les documents originaux, Tillot, (lire en ligne)
  42. (de) Haus-, Hof- und Staatsarchiv (Austria), Gesamtinventar des Wiener Haus-, Hof- und Staatsarchivs: Bd, A. Holzhausens Nachfolger, (lire en ligne)
  43. Jean Charles Joseph de Vegiano (seigneur de Hoves), Nobiliaire des Pays-Bas et du comté de 1724-94 Bourgogne: et neuf de ses suppléments, rédigés et classés par familles et d'après un système alphabétique et méthodique, (lire en ligne)
  44. Archives départementales du Nord, Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790: Nord, (lire en ligne)
  45. Alexandre Henne, Histoire du règne de Charles-Quint en Belgique, Émile FlatauPerrotin, (lire en ligne)
  46. Alexandre Henne, Histoire du règne de Charles-Quint en Belgique, Émile Flatau, (lire en ligne)
  47. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x et y Janssen et Duerloo 1992, p. 517-523 ; Coomans de Brachène 1987, p. 161-169 ; de Stein d'Altenstein 1847, p. 234-240 - Armoiries: « Scutum videlicet maius (seu arma quae quondam regis Stephani ex Hungaria extorris nepos Guilielmus de Croÿ, ab Hungaria regum stipite se discriminans assumpsisse dicitur) argenteum seu candidi coloris tribus trabibus seu limbis rubeis per transversum intersectum, quod aliud minus scutum, vulgo pectorale dictum occupet, quod et ipsum primum quidem in partes aequales perpendiculariter dissectum, in dextra sui parte regum Hungariae insignia (ex quibus illustris haec familia derivat), in campo item argenteo quatuor trabes rubeas referat, in sinistra vero iterum in duas partes per transver- sum divisa, in superiore quidem exhibeat familiae vetustissimae atque a saeculo et amplius vobis coniunctae d'Alençon insignia, nempe Galliarum regis arma limbo seu limite rubeo laminulisque argen- teis rotundis segmentata seu circumdata, inferius vero Lotharingiae ducum (quibus aeque iuncti estis) arma prostent, quae sunt trabs rubea infundo aureo, e sinistra in dextram oblique ascendens tresque alcyones candidas longo ordine volantes exhibens. │ Scuto maiori galerus sive mitra ducalis rubra, pellibus caudisque hermelinorum suffulta atque segmentata incumbat. »
  48. a b c d e et f Janssen et Duerloo 1992, p. 819-820 ; Coomans de Brachène 1989, p. 172-174 - Armoiries: « d'azur, billeté d'or, à la bande d'argent, brochant[e] sur le tout. │ Supports: à dextre un griffon d'or, et à senestre un lion de même, armés et lampassés de gueules, tenant chacun une bannière aux armes de l'écu. Le tout placé sur un manteau de gueules, doublé d'hermin[e], blasonné sur les courtines aux émaux de l'écu, et sommé d'une couronne à cinq fleurons. »
  49. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 585 - Armoiries: «écartelé, au premier et quatrième d'azur, au lion d'or, naissant, armé et lampassé de gueules, à queue retroussée, au deuxième et troisième d'or, à deux doubles clefs de gueules, posées en sautoir │ ... couronne de baron à perles ... [Tenants:] deux hommes sauvages, couronnés et feuillés de sinople, tenant chacun une banderolle, celle à dextre d'or, à deux doubles clefs de gueules, et celle à senestre d'azur, au lion d'or, naissant, armé et lampassé de gueules, à queue retroussée.»
  50. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Janssen et Duerloo 1992, p. 645-649 ; Coomans de Brachène 1988, p. 123-125 ; de Stein d'Altenstein 1933, p. 106-107 - Armoiries: «Videlicet clipeum in cuius alba seu argentea area sive campo tria parva scuta ad modum trianguli posita, duo scilicet superius et unum inferius depinguntur, in unoquoque quorum caelestini coloris campo una stella aurea seu crocea cum sex radiis sita est.»-«In galea vero communi clausa albis seu argenteis ac caelestini coloris redimita laciniis sive induviis supercontortis aureis seu croceis et viridis coloris fascibus inter duas alas croceas seu aureas caput le[op]ardi, in collo torquem aureum habens conspicitur.»
  51. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 677-690 ; Coomans de Brachène 1988, p. 206-245 ; de Stein d'Altenstein 1858, p. 93-131 - Armoiries: «de sable, à un chevron d'or, chargé de trois fleurs de lis d'azur, et d'un costé et d'autre de la partie supérieure dudit chevron deux testes de lion d'or, avec les langues de gueulles, regardan[t] l'un l'autre, et à la poincte embas dudit chevron une autre teste de lion, mordant un annneau de fer. │ ... timbre couvert, avec une couronne d'or au lieu de bourlet, et au-dessus d'icelle un croissant d'or, aves une fleur de lis d'azur.»
  52. a b c d e f g et h Janssen et Duerloo 1992, p. 775-776 ; Coomans de Brachène 1989, p. 20-21 - Armoiries: «d'or, à la bordure engrelée de sable, au lion de gueules, armé, couronné et lampassé d'azur. │ ... couronne de prince ... [Supports:] deux lions d'or, aussi armés, couronnés et lampassés d'azur ... manteau doublé d'hermines.»
  53. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 826-827 ; Coomans de Brachène 1989, p. 188-190 - Armoiries: «van goud, beladen met eenen klimmenden leeuw van keel. │ Het schild gedekt met eene kroon van goud van dertien paerlen, en ter wederzijde vastgehouden door eenen geluipaarden leeuw in deszelfs natuurlijke kleur.»
  54. a b c d e f g et h Janssen et Duerloo 1992, p. 819-820 ; Coomans de Brachène 1989, p. 172-174 - Armoiries: «van zilver beladen met een ter regterzijde gekeerde klimmende leeuw van keel en coeur een leggende halve maan van goud. │ Het schild gedekt door eene kroon van goud met negen paerlen, waarop eenen vooruitstaande[n] helm van zilver, gekroond, geboord, getralied en gecierd van goud, gevoerd van keel, waaruit tot helmteeken is komende de leeuw van het schild. Voorts met zijne helmdekken van zilver en keel. Het schild ter regterzijde vastgehouden door een klimmenden griffioen van zilver, gebekt van goud, en ter linkerzijde door eenen klimmenden ram van zilver, gehoorn[d] van goud, dragende ieder eene banier van goud, die ter regterzijde gelijkvormig aan het schild en die ter linker van lazuur beladen met drie schapen van zilver geplaatst twee en een.»
  55. a b c d e et f Janssen et Duerloo 1992, p. 1004-1005 - Armoiries: «in rood, een schuinbalk van hermelijn. │ Schildhouders: twee rood genagelde en getongde, gouden leeuwen. Alles geplaatst op een blauwen mantel, gevo[e]rt, omboord en gebonden met zilver, gedekt met eene gouden kroon met vijf bladeren.»
  56. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 1004-1005 - Armoiries: «Videlicet scutum militare erectum planum coccinei coloris superinductis transversim et alternatim quatuor fasciis argenteis, in quo cernitur leo niger, auro coronatus, erecto corpore quasi scandens, lingua aurea expansa, et cauda bifurcata supra tergum proiecta. Scutum redimitum est corona comitibus Imperii propria, cui incumbunt tres galeae torneariae argenteae et clathratae, ac coronatae, quarum media situ recto apicis loco sustinet aquilam nigram bicipitem superimposita in medio marquisii mitra cum lemniscis rubeis, reliquae duae galeae situ ad imisem obliquo, ex quarum dextera assurgit nascens leo scutarius, et ex sinistra pariter nascens leo aureus coronatus expansa lingua rubicunda. Laciniae undique defluentes argenteae et rubeae. Telamones demum sunt duo integri leones aurei coronati.»
  57. a b c d e f g h i j k l m et n Janssen et Duerloo 1992, p. 1159-1161 ; Coomans de Brachène 1992, p. 151-155 ; de Stein d'Altenstein 1851, p. 145-160 - Armoiries: «de gueules, à dix losanges d'argent, posées trois, trois, trois, un. │ Supports: deux griffons contournés d'or. L'écu placé sur un manteau de gueules, fourré d'hermin[e], sommé de la couronne à cinq fleurons.»
  58. a b c d et e Janssen et Duerloo 1992, p. 1170-1171 ; Coomans de Brachène 1992, p. 178-181 ; de Stein d'Altenstein 1876, p. 162-171 - Armoiries: «écartelé, au premier et quatrième d'argent, au demi-lion de gueules, mouvant de l'angle senestre de la pointe de l'écu, tenant de la dextre un annelet d'or, au deuxième et troisième d'or, à la demi-aigle éployée de sable, mouvante du flanc senestre, parti d'or, à la fasce de gueules, et sur le tout un écusson d'or, à trois bandes de gueules, couronné d'or. │ L'écu timbré de la couronne de baron pour le titulaire, et pour les autres descendants d'un heaume d'argent, grillé, colleté, liseré et couronné d'or, doublé de gueules, aux lambrequins d'argent et de gueules. Cimier: le lion de l'écu [issant]. Tenants: deux sauvages de carnation, tenant chacun une bannière aux armes du surtout.»
  59. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 1274 ; Coomans de Brachène 1977, p. 202-206 ; de Stein d'Altenstein 1894, p. 1366-1371 - Armoiries: «van zilver, beladen met een op een molenijzer van sabel staande willigen boom in deszelfs natuurlijke kleur. │ Het schild gedekt met de Nederlandsche ridderkroon, en ter wederzijden vastgehouden door een klimmenden leeuw in zijne natuurlijke kleur.»
  60. a b c d e f et g Janssen et Duerloo 1992, p. 1337-1338 ; Coomans de Brachène 1978, p. 1-11 - Armoiries: «einen in vier Theil abgesönderten Schild, in dessen Mitte ein silbernes, mit einer goldenen Cron geziertes, ebenfalls quadrirtes Hertz-schildel sich befindet, in welchen ersten und vierten Theil ein aufrecht stehenden zum Kampf gerichter rechterseits gekehrter schwartzer Löw, mit einem goldenen Crönlein, doppelt aufwerffenden Schwantz, roth ausgeschlagener Zungen und dergleichen Klauen sich zeiget, in dem anderten und dritten Theil aber ein gantz eiserne Ege in ihrer natürlichen Farbe zu ersehen ist, in dem ersten gantz goldenen Felde des Hauptschildes stellet sich dar ein durchaus rother ebenfalls aufrecht stehender rechterseits sich wendender mit einer rothen Cron gecrönter grimmiger Löw, das zweyte rothe Feld hat ein schwartzes Haupte mit silbernen Rauthen bestreuet, in dem dritten silbernen Feld befinden sich blaue Eisenhütlein, wordurch in der Mitte ein rother Querbalcken gezogen wird, und im vierten letzten ebenfalls gantz goldenen Feld ein einfacher schwartzer rechterseits sich wendender Adler mit ausgespreitzten Flügeln, roth ausgechlagener Zungen und von sich werffenden Prangen. │ Das gantze Hauptschild bedecket eine reichsgräfliche mit vielen Kleinodien besetzte, roth gefütterte goldene Cron, auf welcher fünff offene, blau angeloffene gleichfalls roth gefütterte gecrönte Turniershelme mit anhangenden Kleinodien ruhen, auf deren Mitteren der erst beschriebene einfache schwartze Adler, auf denen zwey daneben stehenden die ebenfalls schon angemerckte zwey Löwen, nehmlich rechterseits der schwartze, und linckerseits der rothe herfürwachsend und gegen einander schauend abzunehmen, über den vierten und vorderen rechten Helm aber ein Adlersflug das zweyte Feld des Hauptschildes vorstellend, und endlichem über den fünfften und letzten drey grüne Straussenfederen zu ersehen seynd. Die Helm- decken seynd die erste gold und schwartz, die zweyte silber und schwartz, die dritte gold und roth, die vierte silber und roth, die fünffte silber und blau. Und die Schildhaltere geben ab zwey goldene vor sich schauende und die Schweiff unter die Beine schlagende, auch ihren blutigen Rachen aufsperrende léoparden, welche mit einer Pratzen das Schild, mit der anderen aber einen Fahn halten, auf welchen rechterseits sich befindenden Fahn das erste Feld des Hauptschildes, auf den linckerseits aber das zweyte Feld des Hauptschildes abermahlen abzunehmen ist.»
  61. a b c d e f g et h Janssen et Duerloo 1992, p. 1375-1377 ; Coomans de Brachène 1978, p. 56 - Armoiries: «Scutum videlicet militare erectum argenteum, in quo ante antiquam quercum, illius radici quasi eminenti insidens aquila nigra imperiali diademate coronata, expansis alis, rostro aperto, rubeaque exserta lingua, dextrorsum prospiciens cernitur. │ Scuto incumbit corona Sacri Romani Imperii comitis dignitati propria pendens, per quam exsurgit aquila nigra extremitatibus rubeis scuto insistens. Scutum denique tectum est pallio coeruleo auro subducto. Telamones sunt ex utraque parte duo gryphi argentei introrsum versi, bannerias nigras fimbriis aureis circumdatas cum aurea cifra 'LIL', pariter diademate imperiali coronata, gestantes.»
  62. a b c et d Janssen et Duerloo 1992, p. 1580-1581 ; Coomans de Brachène 1979, p. 153-167 - Armoiries: «d'or, à trois fleurs de neffles de gueules. │ ... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, fourré d'azur, aux hachemens ... d'or et de gueules ... couronne d'or au lieu du bourlet ... et pour cimier une fleur de l'écu, entre un vol d'or et de gueules ... [Supports:] deux lions d'or, armés et lampassés de gueules, tenant chacun une banderolle aux armes de l'écu.»
  63. a b c d e f g h i j k l m n o p et q Janssen et Duerloo 1992, p. 1726-1730 ; Coomans de Brachène 1980, p. 74-78 - Armoiries: «de sinople, à l'aigle d'or, membré de gueulle. │ Timbré d'un col d'aigle d'or ... [Supports:] deux lyons de mesme.»
  64. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Janssen et Duerloo 1992, p. 1837-1841 ; Coomans de Brachène 1980, p. 200-206 ; de Stein d'Altenstein 1871, p. 247-260 - Armoiries: «gevierendeeld, een in sinopel, een leeuw van zilver, genageld en getongd van keel, vergezeld in de punt van drie gerangschikte mereltjes zonder kop noch pooten van zilver (de Roest), twee in zilver, een dwarsbalk van keel, beladen met een halve leeuw van goud, genageld en getongd van lazuur, en vergezeld van vijftien graskluiten van sinopel, negen in het hoofd, vijf en vier geplaatst en zes in de punt drie, twee en één geplaatst (Oem), drie in zilver, een dwarsbalk van sabel, beladen met een speerijzer van goud, de punt omhoog en vergezeld van drie biezenschoven van sinopel, gebonden van goud (de Moesenbroeck), vier in zilver, een leeuw van sabel, genageld en getongd van keel, gekroond van goud (d'Alkemade). │ Het schild overtopt met eene kroon van dertien paarlen, waarvan drie verheven, bovendien overtopt met eenen helm van zilver, gekroond, getralied, gehalsband en omboord van goud, gevoerd en vastgehecht van keel, met dekkleeden van zilver en sinopel. Helmteeken: een bos van vijf struisvogelvederen beurtelings van sinopel en van zilver. Schildhouders: twee leeuwen van goud, genageld en getongd van keel. Wapenspreuk: 'Vivo leo cespite tutus' van sabel, op eenen spreukband van zilver.»
  65. a b c d et e Janssen et Duerloo 1992, p. 1889 ; Coomans de Brachène 1980, p. 276-282 ; de Stein d'Altenstein 1897, p. 2089-2091 - Armoiries: «L'écu surmonté de la couronne de chevalier, sommé d'un heaume d'argent, grillé, liseré et couronné d'or, doublé de gueules, aux lambrequins de sable et d'argent. Cimier, un trèfle de l'écu. Supports: deux lions léopardés d'or.»
  66. a b c d e f et g Janssen et Duerloo 1992, p. 2053-2054 ; Coomans de Brachène 1981, p. 281 ; de Stein d'Altenstein 1872, p. 244-251 - Armoiries: «Videlicet scutum militare erectum argenteum, in quo truncus furvi sive nigri coloris superius et inferius mutilatus ramis hinc inde truncatis cernitur. │ Scuto incumbit corona Sacri Romani Imperii liberis baronibus propria. Telamones ex utraque parte sunt leones aurei exsertis linguis rubeis, caudisque a tergo proiectis ac capitibus extrorsum collocatis.»
  67. a b c et d Janssen et Duerloo 1992, p. 2102-2103 ; Coomans de Brachène 1982, p. 33-45 ; de Stein d'Altenstein 1940, p. 165-246 - Armoiries: «parti, waarvan het eerste deel van keel, beladen met een gekervd en tegengekervd kruis van zilver, het tweede van zilver, beladen met drie banden van synople, ieder beladen met eenen loopenden leeuw van goud. │ Het schild gedekt met eene kroon van goud, met negen paerlen van zilver, op dezelve eene voortuitstaande helm van zilver, gekroond, geboord, getralied en gecierd van goud, gevoerd van keel, uit de kroon zijn tot helmteeken klimmende twee tegen elkander gekeerde leeuwen van goud, voorts met zijne helmdekken ter regterzijde van keel, gearceerd van goud en zilver, en ter linker van synople, gearceerd van goud en zilver. Het schild ter wederzijde vastgehou- den door eenen klimmenden leeuw van goud, en houdende ieder eene banier, die ter regterzijde gelijkvormig aan het eerste deel, en die ter linker gelijkvormig aan het tweede deel des schilds.»
  68. a b c d e f g h i j k l m et n Janssen et Duerloo 1992, p. 2164-2167 ; Coomans de Brachène 1982, p. 122-133 ; de Stein d'Altenstein 1850, p. 176-186 - Armoiries: «de sable, à trois maillets d'or. │ L'écu sommé d'une couronne d'or à neuf perles placées sur le cercle, et supporté par deux lions contournés d'or, armés et lampassés de gueules, tenant chacun une gouche d'argent, emmanchée d'or. Le tout placé sous un pavillon de gueules, bordé d'hermin[e], et doublé de sinople, surmonté d'un buste de vieillard, coiffé d'un bonnet de gueules, rebrassé de trois pointes d'hermin[e] issant dudit pavillon.»
  69. a b c d e f g h i j et k Janssen et Duerloo 1992, p. 2173-2175 ; Coomans de Brachène 1982, p. 150-175 ; de Stein d'Altenstein 1869, p. 215-228 - Armoiries: «de gueules, au chef d'argent, chargé de trois merlettes du champ. │ L'écu surmonté de la couronne de comte à treize perles, et supporté de deux griffons d'or. Le tout placé sur un manteau de gueules, fourré d'hermin[e], blasonné sur les courtines aux émaux de l'écu, et sommé de la couronne ducale du Saint Empire.»
  70. a b c d e f g h et i Janssen et Duerloo 1992, p. 2250-2252 ; Coomans de Brachène 1982, p. 273- 287 - Armoiries: «van zilver, beladen met eene bande van sabel, waarop drie Sint-Jacobsschulpen van goud, en ter wederzijde ver[ge]zeld van een filet mede van sabel. │ Het schild gedekt met eene kroon van goud, met vijf paerlen, waarop twee tegen elkander gekeerde helmen van zilver, gekroond, geboord, getralied en gecierd van goud, gevoerd van keel, op die ter regterzijde is tot helmteeken geplaatst de buste van een man, gekleed van keel, en het hoofd omwonden met een band van zilver, gekeerd ter linkerzijde van het schild, en op die ter linkerzijde een halve vlugt van sabel, beladen met een schulp van het schild, voorts met zijne helmdekken ter regterzijde van sabel en zilver, en ter linker van sabel en goud. Het schild ter regterzijde vastgehouden door eenen wildeman in deszelfs natuurlijke kleur, het hoofd omwonden en de lendenen omgord met eikenloof, en ter linker door eenen met omgekeerden kop klimmenden leeuw in deszelfs natuurlijke kleur.»
  71. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 2369 ; de Stein d'Altenstein 1869, p. 254-264 - Armoiries: «de gueules, aux ramures de cerf d'or, accompagnés en cœur d'un cigne d'argent. │ ... couronne à hauts fleurons ... [Supports:] deux griffons d'or, armés et lampassés de gueules.»
  72. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 2391 ; de Stein d'Altenstein 1885, p. 289-293 ; Coomans de Brachène 1983, p. 248 - Armoiries: ?
  73. a b c d et e Janssen et Duerloo 1992, p. 2392-2393 - Armoiries: ?
  74. a b c et d Janssen et Duerloo 1992, p. 2396 ; de Stein d'Altenstein 1867, p. 303-319 - Armoiries: «d'or, au boucq au naturel rampant, contre un arbre de mesme, sur une terrasse de sinople, à la bordure engrellé de gueulles. │ ... heaume d'argent, grillé et lisseré d'or ... couronne de petit prince d'or [au lieu de bourrelet] ... hachemens d'or et de sinople, et pour cimier un boucq naissant de l'escu ... [Supports:] deux satires au naturel ... ayan[t] chacun en la main une banderolle armoyée, celle à dextre aux armes de ... Smet, et celle à sinistre à celles de Daelman.»
  75. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 2396 ; de Stein d'Altenstein 1867, p. 303-319 - Armoiries: «écartelé, au premier et quatrième ... coupé d'argent et d'or, chargé en chef à dextre d'une quintefeuille de gueules tigée, sur un écot de même, posé en fasce, et à senestre d'une moucheture d'hermine de sable, et en pointe d'un lion naissant de sable, armé et lampassé de gueules, et au deuxième et troisième d'argent, à la bande de gueules, chargée d'un croissant d'or, accompagnée de dix billettes, cinq en chef et cinq en pointe de même ... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, fourré d'azur, aux hachemens et bourlet d'argent et de gueules, et pour cimier un lion naissant de sable, armé et lampassé de gueules.»
  76. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 2397 - Armoiries: «Scutum militare planum rubeum vel rubicundi coloris, habens ad latus dexterum et usque ad medium tam lateris sinistri quam fere usque ad medium versus inferiorem scuti partem, apertam dicti scuti rubei vel rubicundi coloris partem quadratam, in qua duo sceptra flavi coloris sive aurea formam liliorum praeseferentia conspiciuntur quae sceptra directe a dextera ad sinistram et a sinistra ad dexteram ab utroque angulo prefatae partis quadratae sursum tendaitia in medio sese intersecant, reliquum vero scuti rubei vel rubicundi coloris, quatenus non occupatur per dictam partem quadratam, habet tres palos flavos sive aureos rectos aequaliter ab invicem distantes, recta ab inferiore ad superiorem scuti partem porrectos. │ Scuto incumbit galea aperta tornearia laciniis aureis seu flavis et rubeis ornata, galeae superimposita est corona aurea indeque eminent duo sceptra scutaria.»
  77. a b c d e f et g Janssen et Duerloo 1992, p. 2397-2398 ; de Stein d'Altenstein 1856, p. 183-196 - Armoiries: «vairé d'argent et d'azur, à trois pals de gueules. │ ... couronne à trois fleurons, entremêlés alternativement de trois perles, l'une posée sur les deux autres ... [Tenants:] deux sauvages ... couronnés et habillés de feuilles de lierre de sinople, et vêtu chacun d'un manteau armoyé aux armes de l'écu, portant leurs massues posées en terre.»
  78. a b c d e et f Janssen et Duerloo 1992, p. 2399-2400 ; de Stein d'Altenstein 1858, p. 256-262 - Armoiries: «parti, facé d'argent et de gueules de six pièces, lesdits faces d'argent chargées de douze mouchettures d'hermines, posées cinq, quatre et trois, à la bordure engrelée d'azur, au second d'or, au chevron d'azur, accompagné de trois croissans de sable, qui sont ... van Gavere. │ ... heaume d'argent, grillé et liseré d'or, aux hachemens d'argent et de gueules ... couronne d'or [au lieu du bourrelet], et pour cimier deux Maures naissants affrontés, celui à dextre habillé d'argent, rebroussé et lié de gueules, et celui à sinistre habillé de gueules, rebroussé et lié d'argent.»
  79. a et b Janssen et Duerloo 1992, p. 2407-2408 ; de Stein d'Altenstein 1881, p. 326-335 - Armoiries: «d'argent, parti de gueules, sautoir alésé de l'un à l'autre, brochant sur le tout, au chef cousu d'or. │ Cimier: un buste de vieillard, en face de carnation, vêtu au blanc de l'écu, avec le casque.»
  80. Janssen et Duerloo 1992, p. 2408-2409 - Armoiries: ?
  81. a b et c Janssen et Duerloo 1992, p. 2416-2415 - Armoiries: ?