Lagarde (Gers)

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Lagarde
Lagarde (Gers)
Le château
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne gersoise
Maire
Mandat
Christian Manabera
2020-2026
Code postal 32700
Code commune 32176
Démographie
Gentilé Lagardais, Lagardaises
Population
municipale
122 hab. (2021 en augmentation de 1,67 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 54″ nord, 0° 33′ 23″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 184 m
Superficie 8,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lectoure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lectoure-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lagarde
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Lagarde
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Lagarde
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Lagarde

Lagarde ou Lagarde-Fimarcon (Lagarda en occitan[1]) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Auchie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Lagarde est une commune rurale qui compte 122 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 542 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lectoure. Ses habitants sont appelés les Lagardais ou Lagardaises.

Le village actuel est partiellement entouré de remparts du 13e siècle sur lesquels s'adossent des maisons en rénovation exemplaire. Le site du village et de ses abords est inscrit aux Monuments Historiques (arrêté du 11 juillet 1986). Le patrimoine architectural de la commune comprend en plus deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église, inscrite en 1983, et le château, inscrit en 1984.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Lagarde est une commune située en Gascogne sur l'Auchie.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Larroque-Engalin, Lectoure, Marsolan, La Romieu et Saint-Martin-de-Goyne.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Lagarde se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lagarde.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par l'Auchie, le ruisseau de l'artigue, le ruisseau de Sans et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[5],[Carte 1].

L'Auchie, d'une longueur totale de 15,7 km, prend sa source dans la commune de Terraube et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gers à Saint-Martin-de-Goyne, après avoir traversé 7 communes[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Condom à 15 km à vol d'oiseau[9], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 703,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[13] : le « plateau de Marsolan » (621 ha), couvrant 2 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[13] : l'« ensemble de tulipes et messicoles de Marsolan à la Romieu » (3 318 ha), couvrant 6 communes du département[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lagarde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[I 1],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lectoure, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), prairies (2,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lagarde est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lagarde.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 91 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 91 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien castelnau de la seigneurie de Fimarcon, édifié au XIIe siècle.

L'histoire médiévale de la seigneurie de Fimarcon de la maison de Lomagne (du Xe au XVIIIe siècle) est détaillée par l'abbé Mauquié, curé de Caussens, dans plusieurs articles publiés à la fin du XIXe siècle dans la Revue de Gascogne[23],[24],[25],[26],[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2020 Ghislaine Poirette-Maïs[28]    
2020 En cours Christian Manabera    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 122 habitants[Note 5], en augmentation de 1,67 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
520507542482531477466445421
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
400412402375351403333278277
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
266240188209214207211194223
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
200141148165132130130121119
2021 - - - - - - - -
122--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 0 % 3,7 % 1,9 %
Département[I 5] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 52 personnes, parmi lesquelles on compte 78,8 % d'actifs (76,9 % ayant un emploi et 1,9 % de chômeurs) et 21,2 % d'inactifs[Note 6],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lectoure, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 15 en 2013 et 20 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 44, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42,5 %[I 8].

Sur ces 44 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 75 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,5 % les transports en commun et 20,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

3 établissements[Note 7] sont implantés à Lagarde au [I 11]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (1 sur les 3 entreprises implantées à Lagarde), contre 12,3 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 23 16 11 11
SAU[Note 9] (ha) 949 1 039 1 052 1 004

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 16 en 2000 puis à 11 en 2010[35] et enfin à 11 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[36],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 949 ha en 1988 à 1 004 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 41 à 91 ha[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Vestiges de l’ancien château des marquis de Fimarcon : A la fin du 15e siècle, les Sires de Fimarcon, vassaux des Rois d’Angleterre, édifièrent un château gigantesque sur le modèle des châteaux anglais. De l'ancien château médiéval, seule subsiste l'aile des communs datant du 17e siècle et abritant l'ensemble des écuries monumentales, une tour talutée du 15e siècle et une partie des remparts. Les façades et toitures de l'aile des communs sont inscrites aux Monuments Historiques (arrêté du 16 juillet 1984). C'est un bâtiment à étage flanqué de deux pavillons d'angle et muni d'un portail monumental. Ce dernier est constitué de pilastres plats alternés de bossages de couleurs différentes. Ces pilastres soutiennent un entablement à triglyphes et métopes, qui soutient une corniche où s'appuient deux volutes inversées. Dans l'axe se trouve une fenêtre à meneau. Propriété privée. Visite des extérieurs uniquement.
  • Église Saint-Martin, de fondation romane, contiguë à la porte du village, dotée d’archères en croix sur trois faces, remaniée aux XVIIe et XVIIIe siècles. Cuve baptismale ornée. L'église est inscrite en totalité à l'inventaire des monuments historiques (arrêté du 18 octobre 1983)[37],[38]. Elle semble dater de la 2e moitié du 13e siècle (maçonnerie en moyen appareil, portail nord en arc légèrement brisé aujourd'hui bouché, lien avec l'enceinte fortifiée). Elle est peut-être bâtie sur un édifice antérieur comme en témoigne l'existence d'un chevet plat à l'extérieur et courbe à l'intérieur. L'église a été modifiée avant 1824 par l'adjonction d'une sacristie à l'est et d'une chapelle au sud, puis courant 19e siècle par la reconstruction de la partie supérieure du clocher. L'église est à nef unique. Le clocher-tour est implanté au nord de l'extrémité orientale de l'église. Il participe à la défense et constitue la porte latérale du village. Une chapelle est accolée au sud de l'église, au milieu de la nef. La sacristie prend place à l'est du chevet, dans l'angle formé par celui-ci et le clocher.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Baptiste Maïs (1865-1946), agriculteur-viticulteur et inventeur d’un grand nombre de machines agricoles, dont la décavaillonneuse.
  • Paul Maïs, fils du précédent, maire de Lagarde, en fit la première commune du Gers entièrement équipée en eau courante.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Lagarde » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lagarde » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lagarde » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lagarde » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte du Gers en occitan sur le site du Conseil général
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. Plan séisme
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Lagarde », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « l'Auchie »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  10. « Station Météo-France « Condom » (commune de Condom) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Condom » (commune de Condom) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Lagarde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « plateau de Marsolan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF l'« ensemble de tulipes et messicoles de Marsolan à la Romieu » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lagarde », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lagarde », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. l'abbé Mauquié, « Les seigneurs de Fimarcon », Revue de Gascogne, vol. XXXIV,‎ , p. 323-337 (lire en ligne Accès libre)
  24. l'abbé Mauquié, « Les seigneurs de Fimarcon (suite) », Revue de Gascogne, vol. XXXV,‎ , p. 144-159 (lire en ligne Accès libre)
  25. l'abbé Mauquié, « Les seigneurs de Fimarcon (suite) », Revue de Gascogne, vol. XXXV,‎ , p. 290-298 (lire en ligne Accès libre)
  26. l'abbé Mauquié, « Les seigneurs de Fimarcon (suite) », Revue de Gascogne, vol. XXXV,‎ , p. 418-426 (lire en ligne Accès libre)
  27. l'abbé Mauquié, « Les seigneurs de Fimarcon (fin) », Revue de Gascogne, vol. XXXVI,‎ , p. 129-148 (lire en ligne Accès libre)
  28. Site de la préfecture - Fiche de Lagarde
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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