Gelles

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Gelles
Gelles
L'église Saint-Georges du village de Gelles.
Blason de Gelles
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Issoire
Intercommunalité Communauté de communes Dômes Sancy Artense
Maire
Mandat
Luc Gourdy
2020-2026
Code postal 63740
Code commune 63163
Démographie
Gentilé Gellois
Population
municipale
936 hab. (2021 en diminution de 0,95 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 13″ nord, 2° 45′ 50″ est
Altitude Min. 690 m
Max. 1 044 m
Superficie 47,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orcines
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Gelles
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Gelles
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Gelles
Liens
Site web mairie-gelles.fr

Gelles (/ʒɛl/) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Gellois et les Gelloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Elle se situe dans la région naturelle des Combrailles, à la limite du parc naturel régional des volcans d'Auvergne.

Gelles est limitrophe de neuf autres communes dont une, Olby, par un simple quadripoint.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Puys[modifier | modifier le code]

  • Puy de Banson - 1 044 m
  • Puy de Boucaud - 1 035 m
  • Puy des Bruyères - 889 m
  • Puy des Chabannes - 802 m
  • Puy Chalus - 776 m
  • Puy de Lauradoux - 952 m
  • Puy de Neuffont - 964 m
  • Puy de la Vialle - 955 m

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 119 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026,1 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records GELLES (63) - alt : 708m, lat : 45°45'09"N, lon : 2°48'35"E
Records établis sur la période du 01-05-1972 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,2 −1,5 0,8 2,9 6,4 9,9 11,6 11,4 8,1 5,7 1,9 −0,5 4,6
Température moyenne (°C) 2,3 2,6 5,6 8 11,9 15,6 17,6 17,5 13,8 10,5 5,7 3 9,5
Température maximale moyenne (°C) 5,8 6,7 10,5 13,2 17,5 21,3 23,6 23,7 19,5 15,2 9,5 6,5 14,4
Record de froid (°C)
date du record
−25
09.01.1985
−20,2
07.02.12
−19,8
01.03.05
−7,2
22.04.1991
−3
01.05.1984
−1,5
02.06.1975
2
17.07.00
1
02.08.1976
−2,2
22.09.1977
−8,5
25.10.03
−12,5
22.11.1998
−17,5
02.12.1980
−25
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
19,7
01.01.22
22,9
26.02.19
24
31.03.21
27,6
30.04.05
30,7
22.05.22
36,9
29.06.19
37
31.07.20
37,8
18.08.12
33,9
04.09.23
31,1
01.10.23
25,1
08.11.15
21
03.12.1985
37,8
2012
Précipitations (mm) 84 75,7 72,3 86,2 89,4 92,9 86,7 81,3 83,3 82 98,6 93,7 1 026,1
Source : « Fiche 63163001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,4 %), forêts (21,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), zones urbanisées (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Gelles, la commune est composée de 28 hameaux : Augère, Banson, les Boucheaux, Brigaudix, Commeaux, la Croix, Hyvon, Labbas, les Madras, Magnol, la Miouze, Monges, le Montel, Mont la Côte, la Narse, Neuffont, Pidouze, la Prade, les Quintins, Rochette, Say, Say-Soubre, Tracros, Vareilles, la Vendeix, la Vergne, Villatiers, Villevieille.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village de Banson était le siège d'une seigneurie médiévale, mentionnée à la fin du XIIe siècle. Le château fort, implanté à 500 m environ au nord-ouest du village, comportait une enceinte flanquée de quatre tours circulaires et un fossé. Pendant la guerre de Cent Ans, il a été occupé par des routiers de 1360 à 1375, date à laquelle ils en ont été chassés par Louis II de Bourbon. Le dernier seigneur de la maison de Banson, Érard, lègue en 1434 le fief et le château à un parent, Guillaume d'Aubusson. Du château fort, il ne reste guère que les bases de deux tours ; une maison de maître a été établie sur le site au XVIIIe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Gelles est membre de la communauté de communes Dômes Sancy Artense[12], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rochefort-Montagne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[13]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes de Rochefort-Montagne[14].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Issoire depuis 2017[Note 3], à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[12]. De 1801 à , elle faisait partie du canton de Rochefort-Montagne[17].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Orcines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[12], et de la troisième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[17].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Gelles, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[18] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[19]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les trente candidats en lice, quinze ont été élus dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 81,22 %[20].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1892 1898 Gilbert Gaillard   Maire de Clermont-Ferrand (1880-1884)
Député du Puy-de-Dôme (1883-1889)
Sénateur du Puy-de-Dôme (1889-1898)
         
1977 2001 Georges Gourdy    
mars 2001 avril 2014 Alain Faure    
avril 2014
(réélu en 2020)
En cours
(au )
Luc Gourdy[21]   Retraité
5e vice-président de la communauté de communes de Rochefort-Montagne (2014-2016)[22]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 936 habitants[Note 4], en diminution de 0,95 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7471 4971 9261 7462 0181 9701 9251 9391 925
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8661 8151 8631 8561 9012 0381 8631 7851 743
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6841 6431 6381 4691 4151 4071 3821 3011 199
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1651 1271 0471 025983911917915909
2015 2020 2021 - - - - - -
945940936------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune dispose de deux églises : l'église Saint-Georges, connue dès 1165[27] et l'église Saint-Jean, du village de Monges, construite au début du XXe siècle, qui a succédé à une première église, connue en 1246[28]. De nombreuses croix monumentales ont été érigées sur le territoire communal[29].

Dans différents hameaux, on trouve des traces du passé :

  • un pigeonnier à Say-Soubre,
  • des lavoirs aux Quintins et à Villatiers,
  • une fontaine à Mont-la-Côte,
  • des fours à pains à Tracros, à Magnol,
  • des bacs à Villevieille, à Commeaux, à Neuffont ainsi qu'à Say,
  • des entraves à Vareilles et à Say.

Les hommes ont aussi transformé le paysage en créant des étangs :

  • l'étang de Banson (1980),
  • l'étang Michelin (1980),
  • l'étang Chambon (1970-1975).

Il y a aussi des curiosités naturelles :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Rémy Julienne (1930-2021), cascadeur, a vécu au château de Neuffont à Gelles.
  • Bernard Planche (1953-), ex-otage en Irak et né à Clermont-Ferrand, avait été placé en famille d'accueil à Gelles à l'âge de 8 ans.
  • Eugène Roy (1882-1938), homme politique, est né à Gelles. Un membre de sa famille est le poète patoisant Jean Roy (1773-1853), ancien maire de Gelles[30].
  • Gilbert Gaillard (1843-1898), homme politique, maire de Gelles de 1892 à 1898.
  • Pierre Tullon (1851-1918), peintre originaire de Gelles[31],[32].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme ont été modifiées afin que chaque nouvel établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre soit rattaché à un seul arrondissement au [15]. La communauté de communes Dômes Sancy Artense à laquelle appartient la commune est rattachée à l'arrondissement d'Issoire ; ainsi, Gelles est passée le de l'arrondissement de Clermont-Ferrand à celui d'Issoire[16].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Gelles » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Gelles » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  12. a b et c « Commune de Gelles (63163) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. « CC Dômes Sancy Artense (No SIREN : 200069169) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  14. « CC de Rochefort-Montagne (No SIREN : 246300909) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  15. « Modification des limites territoriales des arrondissements du Puy-de-Dôme au  », sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  16. Préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, « Arrêté no 16-536 du 21 décembre 2016 portant sur les modifications des limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme » [PDF], Recueil des actes administratifs no 63-2016-065, sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 211-214.
  17. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  18. Article L. 252 du Code électoral.
  19. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  20. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  21. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 3.
  22. « Les élus de la Communautés de Communes de Rochefort-Montagne », Communauté de communes de Rochefort-Montagne (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Église paroissiale Saint-Georges », notice no IA63000347, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 juin 2014.
  28. « Église paroissiale Saint-Jean », notice no IA63000352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 juin 2014.
  29. « Croix monumentales », notice no IA63000345, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 juillet 2014.
  30. Laurent Beaudonnat, « Le poète patoisant Jean Roy », Le Gonfanon, Association de recherches généalogiques et historiques sur l'Auvergne (Argha), no 81,‎ .
  31. Laurent Beaudonnat, « Pierre Tullon, un peintre auvergnat méconnu », Le Gonfanon, Association de recherches généalogiques et historiques sur l'Auvergne (Argha), no 86,‎ .
  32. Hughes Brivet, « Pierre Tullon berger auvergnat, peintre parisien », sur Blog d'HABEO Art et Estampes (consulté le )