Cinquante Nuances de Grey
Cinquante Nuances de Grey | ||||||||
Auteur | E. L. James | |||||||
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Pays | Royaume-Uni | |||||||
Genre | Romance érotique | |||||||
Version originale | ||||||||
Langue | Anglais britannique | |||||||
Titre | Fifty Shades of Grey | |||||||
Éditeur | Vintage Books | |||||||
Lieu de parution | New York | |||||||
Date de parution | ||||||||
ISBN | 978-0345803481 | |||||||
Version française | ||||||||
Traducteur | Denyse Beaulieu | |||||||
Éditeur | Jean-Claude Lattès | |||||||
Collection | Romans étrangers | |||||||
Lieu de parution | Paris | |||||||
Date de parution | ||||||||
Type de média | Livre papier | |||||||
Nombre de pages | 560 | |||||||
ISBN | 978-2-709-64252-1 | |||||||
Chronologie | ||||||||
Série | Cinquante Nuances | |||||||
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Cinquante Nuances de Grey (titre original : Fifty Shades of Grey) est une romance érotique écrite par la romancière britannique E. L. James.
Le livre est d'abord connu par son auto-publication sur le site internet de l'auteur puis sur le site internet The Writers' Coffee Shop, qui le propose à l'impression à la demande en ; l'éditeur Vintage Books le publie en édition papier dans une version révisée en .
Il s'agit du premier tome d'une trilogie, suivi par Cinquante nuances plus sombres (Fifty Shades Darker) et Cinquante nuances plus claires (Fifty Shades Freed).
Se déroulant essentiellement à Seattle, cette trilogie, vendue à plus de 125 millions d'exemplaires dans le monde, retrace la relation entre une jeune diplômée en littérature, Anastasia Steele, et un homme d'affaires, Christian Grey. Il contient des scènes explicitement érotiques mettant en vedette des éléments de pratiques sexuelles impliquant la servitude, la discipline et différentes déclinaisons du sadisme et de l'initiation à la soumission sexuelle menant, peut-être, au masochisme.
Le titre anglais original est à double sens, « Grey » faisant à la fois référence à l'un des deux héros et à la couleur grise. « Shade », traduit en français par le terme neutre « nuances », peut par ailleurs avoir la connotation plus sombre « d'ombre ».
Résumé
[modifier | modifier le code]Anastasia Steele accepte de remplacer sa colocataire malade, Katherine, pour interviewer l'homme d'affaires et milliardaire Christian Grey. Jeune PDG séduisant et mystérieux, ce dernier l'intimide. À sa grande surprise, il vient la voir au magasin où elle travaille, prétextant des achats. Très attirée par lui, elle se verra rapidement devenir sa soumise. Pour cela un contrat va être rédigé pour permettre de définir les règles de ce jeu dangereux. Cependant, ce contrat devient souvent un sujet tabou et sera changé sans cesse.
À mesure que leur relation progresse, la jeune et innocente Ana est confrontée à un tout nouvel univers aux côtés du riche homme d'affaires et elle doit alors décider si elle est prête ou non à y entrer.
Grey
[modifier | modifier le code]Le , E. L. James annonce sur sa page Twitter la sortie du quatrième tome de la saga, intitulé Grey. Ce livre raconte l'histoire du premier tome du point de vue du célèbre milliardaire. La version anglaise est sortie le (jour de l'anniversaire de Christian). Initialement prévue le en France (anniversaire d'Anastasia Steele), la date a été avancée de 6 semaines après le vol du manuscrit soit le 28 juillet 2015[1].
Contexte
[modifier | modifier le code]La trilogie Cinquante Nuances de Grey a d'abord été une fanfiction basée sur l'univers de Twilight et s'appelait à l'origine Master of the Universe. James la publiait petit à petit sous le pseudo « Snowqueen's Icedragon » sur différents sites de fanfiction. Les personnages centraux étaient à l'origine Edward Cullen et Bella Swan, issus de Twilight de Stephenie Meyer. Le roman est alors considéré comme une romance érotique[2].
Après avoir reçu des avertissements concernant le contenu explicitement sexuel du texte, James a supprimé l'histoire de ces sites et l'a publiée sur son propre site, FiftyShades.com. C'est plus tard qu'elle modifie Master of the Universe pour en faire une histoire à part entière, en renommant les personnages Christian Grey et Anastasia Steele et en supprimant le texte de son site en prévision de la publication[3].
Personnages
[modifier | modifier le code]- Anastasia Steele : jeune diplômée en littérature âgée de 21 ans, brune aux yeux bleus, elle n'a jamais eu de relation amoureuse. Son père biologique est mort peu de temps après sa naissance. Son enfance a été marquée par les nombreux remariages de sa mère.
- Christian Grey : adopté à l'âge de 4 ans, Christian a fondé la société Grey Enterprises Holding Inc. dont il est le PDG. Sa mère était une prostituée et une droguée. Elle est morte d'une overdose. À 27 ans, il est un homme profondément tourmenté qui ne supporte pas les gestes d'affection à son égard.
- Jason Taylor : garde du corps, chauffeur et chef de la sécurité de Christian.
- Katherine Kavanagh : meilleure amie d'Anastasia et étudiante en journalisme. Elle sera toujours un soutien pour Ana.
- Elliot Grey : frère adoptif de Christian, il deviendra rapidement le petit copain de Katherine.
- Mia Grey : sœur adoptive de Christian Grey, elle a le même âge qu'Anastasia.
- José Rodriguez : très bon ami d'Ana, étudiant et photographe. Il est également amoureux d'elle.
- Elena Lincoln : meilleure amie de Christian Grey, elle est d'abord une amie de la mère de celui-ci. Maîtresse et dominatrice de Christian Grey, elle l'a initié aux pratiques sexuelles BDSM.
- Dr Flynn : psychologue/psychiatre de Christian Grey.
- Grace Trevelyan Grey : mère adoptive de Christian, Elliot et Mia. Elle est pédiatre.
- Carrick Grey : père adoptif de Christian, Elliot et Mia. Il est avocat.
- Carla Adams : mère d'Anastasia, vivant avec son quatrième mari Bob Adams, beau père d'Ana.
- Raymond Steele (Ray) : premier beau-père d'Anastasia, il est celui qu'elle considère comme son père à la suite des remariages de sa mère. Elle a vécu avec lui quand elle était lycéenne à Montesano.
- M. Clayton : Propriétaire du magasin Clayton's.
- Paul Clayton : Frère du propriétaire du magasin Clayton's, M. Clayton.
- Mme Clayton : Femme de M. Clayton.
- Mme Jones : Femme de ménage, cuisinière de Christian. Elle est aussi la compagne de Jason Taylor.
Accueil
[modifier | modifier le code]Un accueil critique réservé
[modifier | modifier le code]L'accueil des critiques et des lecteurs va de mitigé à négatif.
La plupart s'accordent sur l'absence de qualités littéraires du texte[4],[5],[6],[7] et sur la grande faiblesse psychologique[8] des personnages qualifiés d'ectoplasmes par certains critiques[9]. Certaines trouvent toutefois le livre plutôt agréable à lire[10].
En France, le livre a surtout attiré l'attention pour son côté supposément pornographique et, plus précisément, pornographique à l'usage d'un lectorat féminin, ce que l'auteur récuse et condamne[11],[12]. En réplique à la comparaison avec d'autres romans érotiques évoqués par les journalistes et critiques littéraires, E. L. James rappelle fermement que « les récits du marquis de Sade ne sont pas des histoires d’amour. Mon roman est une histoire d’amour ». Pour elle, Histoire d'O « n’est pas une histoire d’amour. (...) C’est un livre brutal sur une femme totalement maltraitée. »[13]. De même, l'éditeur français confirme qu'il s'agit « avant tout d'un roman d'amour »[14].
Selon une étude réalisée en 2014 par des psychologues de l'Université du Michigan, la trilogie délivrerait un message subliminal sous-jacent selon lequel l'héroïne, Anastasia, accepte volontairement la violence conjugale qu'elle subit dans ses relations avec son partenaire : outre la banalisation de cette violence dans le couple, le récit mettrait en scène une victime soumise, sujette au syndrome de Stockholm, selon lequel les victimes finissent par comprendre les motivations de leurs agresseurs et les intégrer[15].
Succès international
[modifier | modifier le code]Roman auto-édité sur Internet, à l'origine, Cinquante Nuances de Grey est découvert et publié par Vintage Books et connaît un immense succès marchand : en dix-huit mois, 40 millions d'exemplaires sont vendus, surtout aux États-Unis et au Royaume-Uni[16]. Pendant 37 semaines, il est premier du classement des meilleures ventes de livres publié par le New York Times[17]. Si le public est essentiellement féminin, 20 % des acheteurs aux États-Unis au premier semestre 2012 sont des hommes[18]. En Italie, le succès atteint plus de 900 000 exemplaires vendus[19] et 1,28 million en Australie[20].
En France
[modifier | modifier le code]En France, l'éditeur JC Lattès achète les droits de publication à un prix élevé et fixe le seuil de rentabilité à 360 000 exemplaires[19].
La parution, le 17 octobre 2012, se fait sur la base d'un tirage de 550 000 exemplaires, dont 350 000 sont mis en place en librairie dès le premier jour[21]. Le 11 décembre 2012, l'éditeur annonce que 400 300 romans se sont écoulés depuis sa sortie et table sur 450 000 exemplaires vendus à la fin de l'année 2012[19].
Pour faire face aux éditeurs concurrents qui espèrent profiter du succès du roman, JC Lattès dépose en France la marque « cinquante nuances »[22]. L'éditeur cherche en effet à développer le genre « new romance » (terme français correspondant au « mummy porn » américain, dit aussi mommy porn ou mom porn, littéralement le porno pour mère de famille), mélange de chick lit et d'érotisme soft, avec des auteurs américains comme Anna Todd ou français comme Jane Devreaux[23],[24].
Après la lecture du livre, des personnes auraient tenté d'imiter la sexualité de Christian Grey, notamment dans les pratiques sado-masochiste. En 2018, Decathlon avait noté une augmentation inhabituelle de ses ventes de cravaches[25]. Un magasin Ikea a lui interprété la "chambre rouge" du héros du livre[26].
Récompenses
[modifier | modifier le code]En 2012, Cinquante Nuances de Grey remporte le National Book Award dans la catégorie « fiction populaire »[27],[28].
Série Cinquante Nuances
[modifier | modifier le code]- Cinquante Nuances de Grey, Jean-Claude Lattès, 2012 ((en) Fifty Shades of Grey, Vintage Books, 2012), trad. Denyse Beaulieu (ISBN 978-2-7096-4252-1)
- Cinquante Nuances plus sombres, Jean-Claude Lattès, 2013 ((en) Fifty Shades Darker, Vintage Books, 2012), trad. Aurélie Tronchet (ISBN 978-2-7096-4253-8)
- Cinquante Nuances plus claires, Jean-Claude Lattès, 2013 ((en) Fifty Shades Freed, Vintage Books, 2012), trad. Denyse Beaulieu (ISBN 978-2-7096-4254-5)
- Grey, Jean-Claude Lattès, 2015 ((en) Grey, Vintage Books, 2015), trad. Denyse Beaulieu, Dominique Defert et Carole Delporte (ISBN 978-2-7096-5056-4)
- Darker, Jean-Claude Lattès, 2017 ((en) Darker, Vintage Books, 2017), trad. Denyse Beaulieu, Dominique Defert et Carole Delporte (ISBN 978-2-7096-6178-2)
- More Grey, Jean-Claude Lattès, 2021 ((en) Freed, Vintage Books, 2021), trad. Denyse Beaulieu, Dominique Defert et Carole Delporte (ISBN 978-2-7096-6932-0)
La série est disponible en livre audio, lu par Séverine Cayron, aux éditions Audiolib.
Éditions
[modifier | modifier le code]- E. L. James, Fifty Shades of Grey, Vintage Books, , 528 p. (ISBN 978-0345803481)
- E. L. James, Cinquante Nuances de Grey, Jean-Claude Lattès, , trad. Denyse Beaulieu, 560 p. (ISBN 978-2-709-64252-1)
- E. L. James, Cinquante Nuances de Grey, Le Livre de poche, , trad. Denyse Beaulieu, 672 p. (ISBN 978-2-253-17650-3)
Produits dérivés
[modifier | modifier le code]Bande originale
[modifier | modifier le code]En France, le lancement[16] s'accompagne d'une BOL, une « bande originale du livre », compilation des morceaux de musique classique cités dans les trois volumes, et publiée par la maison de disques EMI, d'un guide pratique, Le Décodeur de 50 nuances de Grey avec 20 jeux sensuels pour pimenter votre vie de couple, dans la collection « Le Petit Livre de », aux éditions First, ainsi que la sortie de 50 nuances de plaisir, guide d’éducation sexuelle reprenant les différentes positions décrites dans le livre, et publié par les Éditions Larousse[29].
Sextoys
[modifier | modifier le code]L'auteur a travaillé avec un fabricant de sextoys pour éditer une gamme[30] d'après ceux mentionnés dans le roman. La commercialisation est lancée en novembre 2012. Selon E.L. James : « cette gamme est ce que j'ai toujours imaginé pendant que j'écrivais Fifty Shades of Grey, je suis tellement excitée que les jouets que j'ai décrits dans les livres soient venus à la vie et puissent maintenant être appréciés dans le monde entier[31]. »
Jeu de société
[modifier | modifier le code]Elle a également vendu les droits de sa romance à Imagination Games, une société australienne, pour commercialiser un jeu de société intitulé Fifty Shades of Grey - Party Game[20].
Adaptation cinématographique
[modifier | modifier le code]En 2012, Universal Pictures achète les droits pour 5 millions de dollars[32]. Plusieurs acteurs dont Charlie Hunnam ont été pressentis pour le rôle de Christian Grey[33] mais c'est finalement Jamie Dornan qui tiendra le rôle. C'est Dakota Johnson qui incarne Anastasia Steele.
Pastiches
[modifier | modifier le code]Le succès du roman est aussi l'occasion de la publication de pastiches dont :
- Fifty Shames of Earl Grey (en référence au nom du thé Twinings que boit Anastasia tout au long des livres) par Andrew Shaffer, Da Capo Press[34]
- Quarante-neuf nuances de Loulou par Rossella Calabro, Éditions Albin Michel, 2013
- Les 50 ménagères de Gray par James Lee, Éditions City, 2013
Au théâtre, SPANK! The Fifty Shades Parody, une parodie sous forme de pièce musicale est créée au Canada[35] et reprise en France sous le titre de 50 et des nuances, au Théâtre Le Palace (Paris) dans une mise en scène de Ned Grujic avec dans le rôle principal féminin Mathilde Hennekinne[36].
En musique, le clip de Nuances d'engrais : it is about entertainment[37].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « 50 nuances de Grey : après le vol du manuscrit, l'éditeur avance la sortie du tome 4 », sur MCE TV, (consulté le ).
- Renaud Baronian, « Cinquante Nuances de Grey » : « J’ai encore des fantasmes en réserve! », Le Parisien, (consulté le ) : « Comment définiriez-vous votre trilogie? - C’est une love story. Je suis moi-même une grande lectrice de romances, dont des romances érotiques. Ma trilogie entre parfaitement dans cette catégorie. »
- GalleyCat. The Lost History of Fifty Shades of Grey. Media bistro.
- Florence Roques, « « 50 nuances de Grey » en 20 citations ridicules », sur Evene, (consulté le )
- (en) Christine Sheehy, « The 'mommy porn' seducing women », New Zealand Herald, (consulté le )
- (en) Jessica Reaves, « Fifty shades of retrograde », sur Chicago Tribune, (consulté le )
- (en) Laura Barnett, « Mommy porn?: Fifty Shades of Grey by EL James: review », Telegraph, (consulté le )
- Angel, 50 Nuances de Grey : pourquoi un tel succès ?, analyse sur la perversion narcissique de Christian Grey et les insécurités féminines profondes qui résonnent dans le personnage d'Anastasia auprès des lectrices.
- Françoise Dargent et Dominique Guiou, « Fifty Shades of Grey : 5 raisons de ne pas le lire », Le Figaro, (consulté le )
- (en) Jenny Colgan, « Fifty Shades of Grey », The Guardian, (consulté le )
- Rania Hoballah, « E.L. James : "Mes livres ne sont pas pornographiques" », Metro, (consulté le )
- David Caviglioli et Marie Vaton, « E.L. James : «Les journalistes ne pensent qu'au sexe» », Le Nouvel Observateur, (consulté le ) : « Mon roman est une romance classique. […] Ce n’est pas un livre pornographique. C’est une histoire d’amour. »
- David Caviglioli et Marie Vaton, « E.L. James : «Les journalistes ne pensent qu'au sexe» », Le Nouvel Observateur, (consulté le )
- Xavier Thomann, « En France aussi Fifty Shades séduit, sans nuances », sur Actualitté, (consulté le )
- « 50 nuances de Grey cloué au pilori par une étude américaine », Le Figaro, (consulté le )
- « La guerre des best-sellers » par Eric Albert avec Alain Beuve-Méry et Isabelle Piquer, M le magazine du Monde du 21 septembre 2012.
- Antoine Oury, « Fifty Shades of Grey œuvre pour la répartition des richesses », sur Actualitté, (consulté le )
- Xavier Thomann, « EL James n'aime pas la publicité autour de ses ouvrages », sur Actualitté, (consulté le )
- Renaud Baronian, « Le « porno des mamans » fouette les ventes », Le Parisien, (consulté le )
- Clément Solym, « Fifty Shades of Grey, prochainement en jeu de société », sur Actualitté, (consulté le ).
- MQ, « Attention, le porno soft débarque en France », Livres Hebdo, (consulté le )
- Victor de Sepausy, « Cinquante Nuances de Grey : bien plus qu'un livre, une marque », sur Actualitté, (consulté le )
- Élisabeth Gouslan, « La guerre des sex-sellers », sur lefigaro.fr, .
- Emmanuèle Lavinas, « Les quilles à la vanille : Jane Devreaux, reine de la «New Romance» », sur liberation.fr, .
- « Chez Décathlon, le désir de cravaches grandit avec Cinquante nuances plus sombres », sur FIGARO, (consulté le )
- « 50 nuances d'Ikea », sur Le Point Q (interdit aux moins de 18 ans) (consulté le )
- (en) Alison Flood, « EL James comes out on top at National Book awards », sur The Guardian, (consulté le )
- Cécile Mazin, « Fifty Shades of Grey, élu livre de fiction de l'année 2012 », sur Actualitté, (consulté le )
- Isabelle Falconnier, « Coup de fouet sur l’édition », L'Hebdo, (consulté le ).
- Gamme de sextoys inspirés de Fifty Shades Of Grey
- Victor de Sepausy, « La trilogie Fifty Shades Of Grey déclinée en toys érotiques », sur Actualitté, (consulté le )
- Julien Helmlinger, « Le porno Fifty Shades of Grey XXX attaqué en justice pour plagiat », sur Actualitté, (consulté le ).
- (en) Lynette Rice, « 'Fifty Shades of Grey' casts Dakota Johnson and Charlie Hunnam », Entertainment Weekly, (consulté le )
- Christophe Greuet, « Cinquante Nuances de Grey, un phénomène littéraire à tendance sado-maso », sur Culture Café, (consulté le )
- Ania Vercasson, « On joue 50 nuances de Grey au théâtre », sur actualité, (consulté le )
- QuartierLibre Productions, « 50 et des nuances », sur actualité, (consulté le )
- cartondioide, « Nuances d'engrais - it is about entertainment », (consulté le )
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- (en) Site officiel de l'auteur
- Bande Originale de Cinquante Nuances de Grey sur Soundsgood