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1549 en santé et médecine

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Années de la santé et de la médecine :
1546 - 1547 - 1548 - 1549 - 1550 - 1551 - 1552
Décennies de la santé et de la médecine :
1510 - 1520 - 1530 - 1540 - 1550 - 1560 - 1570

Cet article présente les faits marquants de l'année 1549 en santé et médecine.

Événement

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Publications

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  • Ambroise Paré (c. -) fait paraître chez Guillaume Cavellat, à Paris, sa Brève collection de l'administration anatomique, dédiée « à René de Rohan qui l'a engagé comme chirurgien militaire en [2],[3] ».
  • Parution de la traduction latine de la Matière médicale de Dioscoride, édition établie par Jean Ruel, imprimée à Francfort chez Christian Egenolff, et qui deviendra « la source et l'origine de la botanique scientifique jusqu'au début du XVIIe siècle[4],[5] ».
  • Pierre Tolet (-), docteur en médecine, fait imprimer à Lyon, par Jean de Tournes, son Paradoxe de la faculté du vinaigre[6],[7].

Références

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  1. (en) Grâce Young et al., « Saint Bartholomew's Hospital », dans Britannica, (lire en ligne).
  2. Evelyne Berriot-Salvadore, « Enseigner les « indoctes », vulgariser la médecine », Seizième siècle, no 8 « Les Textes scientifiques à la Renaissance (sous la direction de Violaine Giacomotto-Charra et Jacqueline Vons) »,‎ , p. 147 (lire en ligne).
  3. Ambroise Paré, Briefve collection de l’administration anatomique, avec la maniere de cojoindre les os, et d’extraire les enfans tant mors que vivans du ventre de la mere, lors que nature de soy ne peult venir a son effect, composée par Ambroise Paré, maistre barbier chyrurgien à Paris, Paris, Guillaume Cavellat, (lire en ligne).
  4. (la) Dioscoride (trad. Jean Ruel), Pedanii Dioscoridis Anazarbei, De medicinali Materia libri sex, Ioanne Ruellio Suessionensi interprete. Singulis cum stirpium, tum animantium historiis, ad naturae aemulationem expressis imaginibus, seu uiuis picturis ultra millenarium numerum adiectis [etc.], Franc[oforti], apud Chr. Egenolphum, s. d. [1549] (présentation en ligne).
  5. Pierre Assenbaker, Christophe Flament, Anne-Marie Bogaert-Damin et Jean-Michel Dogné, « De et autour des Anciens », dans Yves Poumay, Balade patrimoniale en médecine, pharmacie et sciences biomédicales (lire en ligne), « Hippocrates (c. 460 – c. 377 av. J.-C) », p. 13-26, [§ 17 en ligne].
  6. Pierre Tolet, Paradoxe de la faculte du vinaigre, contre les escrits des Modernes, ou plusieurs choses sont demonstrees non eslongnees de la verité, Lyon, Jean de Tournes, (lire en ligne).
  7. Elise Rajchenbach, « Médecins, chirurgiens, apothicaires : À qui sont adressées les traductions médicales ? Enquête sur l'édition lyonnaise des années 1540 », Renaissance et Réforme, vol. 42, no 1 « Tensions à l'âge de l'imprimé : Conflit et concurrence des publics dans la littérature française de la Renaissance »,‎ , p. 228 (lire en ligne).
  8. Volker Mecking, Le Premier Traité des maladies de l'œil en langue française, de Jacques Guillemeau (Paris, 1585) (pré-publication, document de travail), Lyon, Centre d'études linguistiques, (lire en ligne).
  9. (es) Jon Arrizabalaga, « Francisco López de Villalobos (c.1473-c.1549), médico cortesano », Dynamis : Acta hispanica ad medicinae scientiarumque historiam illustrandam, vol. 22,‎ , p. 30 (lire en ligne).
  10. (da) Peter Wagner, « Botanikerne og graesk-katinske plantenavne », AIGIS supplementum,‎ , n. 7, p. 4 (lire en ligne).
  11. « Bigot (Guillaume) », dans Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne, t. 4, Paris, , nouvelle éd. (1re éd. 1843) (lire en ligne), p. 311.
  12. « Bigot (Guillaume) », dans Pierre Bayle, Dictionnaire historique et critique, t. 3 : BA - BOR, Paris, Desoer, , 11e éd. (1re éd. 1697) (lire en ligne), p. 434 et suiv..