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Saix

Saix
Saix
Église Sainte-Radegonde
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Sylvie Barillot
2020-2026
Code postal 86120
Code commune 86250
Démographie
Population
municipale
276 hab. (2021 en évolution de −4,83 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 08′ 17″ nord, 0° 00′ 04″ est
Altitude Min. 34 m
Max. 117 m
Superficie 22,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saix
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Saix
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Saix
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Saix

Saix est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation

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Saix est le village le plus au nord de la Vienne et de la région Nouvelle Aquitaine, à la limite du département de Maine-et-Loire. Ce village se trouve à 6 km de Fontevraud-l'Abbaye, à 17 km de Saumur et une petite vingtaine de kilomètres de Loudun. Saix fait partie du canton des Trois-Moutiers.

La commune de Saix est composée d'un centre-bourg avec la mairie, l'église paroissiale, la salle des fêtes et d'une école maternelle, d'un gros hameau nommé la Tourette et de plusieurs autres petits hameaux (la Guerche, Eternes, Pas de Loup...).

Hydrographie

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Huit mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal (30 000 recensées dans la région de Poitou-Charentes). Les mares de Poitou-Charentes ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[1].

Communes limitrophes

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Climat

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Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 624 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montreuil-Bellay à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saix est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,6 %), forêts (28,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), prairies (5 %), cultures permanentes (4 %), zones urbanisées (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saix est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Courance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1999, 2010 et 2013[16],[14].

Saix est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[17]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 1],[18], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [19],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saix.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 74,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Toponymie

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Le nom du village pourrait provenir du latin saxa qui désigne un terrain rocheux[25].

Histoire

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Légende

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Le village de Saix aurait été le lieu du « miracle des Avoines », lié à sainte Radegonde, alors reine des Francs par son mariage avec Clotaire Ier. Fuyant son époux qui voulait l'empêcher de se consacrer religieusement, elle se serait réfugiée avec deux de ses servantes dans une villa située sur la paroisse de Saix. Traversant un champ, poursuivie par son époux et quelques cavaliers, Radegonde demanda au paysan y travaillant de ne pas révéler sa présence. Et avant qu'ils n'arrivèrent, le champ se couvrit d’avoine, permettant à la reine et à ses suivantes de rester introuvables. Le roi, voyant un champ prêt pour la moisson au sortir de l'hiver, y a vu un signe divin et rebroussa chemin. Radegonde put continuer sa route sans crainte et arriver à Poitiers, saine et sauve. Une petite chapelle appelée Sainte-Radegonde rappelle ce miracle à l'endroit même où il se produisit[26]. Autre commune de l’Ouest à considérer la paternité du miracle des Avoines : La Genétouze.

Sainte Radegonde décida de la fondation d'un oratoire et d'un hospice sur la terre que possédait son époux Clotaire Ier à Saix, et ce fût l'un des premiers en France[27].

Révolution française

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Saix accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires. Mais en tant que symbole, il attire l’hostilité des contre-révolutionnaires, qui l’abattent en 1794, en pleine Terreur. L’aubergiste de la Belle Cave, complice et contre-révolutionnaire convaincu, est condamné à mort[28].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1813 1820 Le Noir de Pas de Loup    
1820 1822 Bazille    
1822 1828 Le Noir de Pas de Loup    
1828 1830 Bruneau    
1830 1835 Bazille Auguste    
1835 1846 Garreau Louis    
1846 1861 Bouilleau François    
1861 1866 Moriceau Henri    
1867 1870 Bougouin Louis    
1870 1871 Fillatreau René    
1871 1877 Bougouin Louis    
1877 1884 Brillault Louis    
1884 1889 Colonel Delavau Charles    
1889 1908 Fillatreau René-Auguste    
1908 1918 Genevrais René    
1919 1925 Limousin Célestin    
1925 1935 Bouguier Henri    
1935 1945 Général Delavau Gaston    
1945 1977 Hardré Gaston    
1977 1995 Lefief Maurice    
1995 2001 Cailleteau Michel    
mars 2001 mars 2008 René Chauvet    
mars 2008 2019 Robert Marteling[29]    
2019 en cours Barillot Sylvie    

Source :[30]

Instances judiciaires et administratives

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La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 276 habitants[Note 3], en évolution de −4,83 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
447499495616662634669669666
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
615605594569533510502473465
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
469465454370366368379362359
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
321290235189171185208211278
2017 2021 - - - - - - -
290276-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 9,4 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Enseignement

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L'école maternelle a deux classes. Elle fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal avec les communes avoisinantes de Morton et de Roiffé).

Économie

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Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que 18 exploitations agricoles en 2010 contre 21 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées se sont maintenues au cours de cette décennie : 864 hectares[35]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[36].

41 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 21 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 5 % pour le fourrage et 1 % reste en herbe[35].

En 2000, 137 hectares répartis sur seize exploitations étaient consacrés à la vigne. En 2010, le nombre d'hectares est de 121 pour douze fermes viticoles[35].

Trois exploitations en 2010 (contre quatre en 2000) abritent un élevage d'ovins (29 têtes en 2010 contre 71 têtes en 2000). L'élevage de bovins a disparu au cours de cette décennie[35].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles de Wikipédia

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saix et Montreuil-Bellay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Mont-bellay-inra » (commune de Montreuil-Bellay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mont-bellay-inra » (commune de Montreuil-Bellay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Saix ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saix », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  18. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  19. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saix », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  25. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  26. Le miracle des Avoines
  27. Sainte Radegonde et le village de Saix
  28. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 120-121
  29. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  30. http://www.saix-86120.fr/les-elus/historique-des-maires/
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a b c d et e Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  36. Enquêtes structure 2007 sur les exploitations agricoles - Agreste - Poitou-Charente
  37. « Eglise », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  38. La Vienne, Patrimoines et Médias, coll. « Châteaux, Manoirs et Logis », , 399 p. (ISBN 2-910137-11-2), p. 48.