Montreuil-Bellay

Montreuil-Bellay | |||||
Montreuil-Bellay, de gauche à droite : la collégiale, le châtelet et le château neuf. | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Canton | Doué-la-Fontaine | ||||
Intercommunalité | C.A. Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Marc Bonnin 2014-2020 |
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Code postal | 49260 | ||||
Code commune | 49215 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montreuillais, Montreuillaise | ||||
Population municipale |
3 903 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 80 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 07′ 56″ nord, 0° 09′ 08″ ouest | ||||
Altitude | 54 m Min. 29 m Max. 73 m |
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Superficie | 48,96 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
Liens | |||||
Site web | Site de Montreuil-Bellay | ||||
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Montreuil-Bellay est une commune française, située sur la rivière Thouet, dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
Situation[modifier | modifier le code]
Cette commune angevine du sud-Loire se situe dans le Saumurois. Implantée à l'extrême sud-est du département de Maine-et-Loire, Montreuil-Bellay est limitrophe de la région Nouvelle-Aquitaine et des départements de la Vienne (commune de Pouançay) et des Deux-Sèvres (commune de Saint-Martin-de-Sanzay).
Baignée par le Thouet, Montreuil-Bellay est située au cœur du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine, à moins de 25 kilomètres de Saumur (Maine-et-Loire), Thouars (Deux-Sèvres) et Loudun (Vienne). La commune est également arrosée par un affluent du Thouet, la Losse, ainsi que par l'ancien canal de la Dive.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
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Cizay-la-Madeleine | Le Coudray-Macouard Saint-Just-sur-Dive |
Brézé | ![]() |
Vaudelnay Le Puy-Notre-Dame |
N | Épieds | ||
O Montreuil-Bellay E | ||||
S | ||||
Saint-Martin-de-Sanzay | Antoigné | Pouançay |
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
La Gare de Montreuil-Bellay est desservie par des trains du réseau TER Nouvelle-Aquitaine qui circulent entre Thouars et Saumur. Au-delà de Thouars, certains trains sont prolongés vers Bressuire, La Roche-sur-Yon ou Les Sables-d'Olonne, et au-delà de Saumur, vers Angers ou Tours.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Monasteriolum en 1048-1060, Musteriolum en 1208[1].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Montreuil-le-Thouet[2].
Montreuil : vient du latin monasteriolum qui signifie « petit monastère »[3].
Bellay : « lieu où pousse le bouleau ».
Histoire[modifier | modifier le code]
Un petit établissement monastique, probablement à l'origine du nom actuel de la cité, est attesté dès le XIe siècle près d'un gué du Thouet (future ville basse). L'église paroissiale Saint-Pierre y est construite peu après, proche du prieuré Saint-Nicolas dit « Les Nobis » fondé entre 1097 et 1103. Vers 1026, Foulques Nerra établit un donjon, sur les hauteurs, et un fief confiés à son vassal Berlai (qui par déformation deviendra Bellay), prémices de la future ville haute.
Fils de Foulque le Réchin, Foulques V le Jeune devient comte du Maine et d'Anjou en 1109. Il soumet les vassaux rebelles, prenant plusieurs châteaux dont celui de Montreuil-Bellay en 1124[4].
Quelques années plus tard éclatèrent des révoltes de barons en Anjou. Il faudra plusieurs années de siège à Geoffroy V d'Anjou, à partir de 1148, pour que tombe la place de Montreuil-Bellay[5].
La famille Berlai entre plusieurs fois en conflit avec son suzerain et conserve le domaine jusqu'en 1217. Une nouvelle famille s'y installe pendant deux siècles, les Melun-Tancarville, puis les d’Harcourt qui laissent de fortes traces à la ville en achevant, notamment, le château ainsi que l'enceinte fortifiée détruite plusieurs fois auparavant.
Montreuil-Bellay fait partie des 32 villes closes de l'Anjou. La ville intra-muros, encore très homogène aujourd'hui, n'évolue que très peu après le XVe siècle.
Sous l'Ancien Régime, Montreuil-Bellay devient le chef-lieu d'une importante élection réunissant 57 paroisses (dont celle de Cholet jusqu'en 1750, date à laquelle Cholet eut son propre subdélégué et des pouvoirs étendus sur l'ensemble des Mauges).
Tout comme le reste de l'Anjou, Montreuil-Bellay fait partie de la généralité de Tours, de l'autorité judiciaire de la sénéchaussée de Saumur et du diocèse de Poitiers sur le plan religieux.
Le commerce jusque-là florissant périclite dès le milieu du XVIIIe siècle, et ce malgré la canalisation du Thouet depuis le XVe siècle.
La maison priorale de la congrégation de Saint-Maur eut pour procureur le philosophe Dom Deschamps, de 1759 à sa mort en 1774.
Le déplacement du centre administratif à Saumur, durant la Révolution française, achève de réduire l'importance commerciale, économique et administrative de la ville, simple chef-lieu de canton depuis 1790.
La ville est prise, provisoirement, par les Vendéens le 8 juin 1793. L'arbre de la Liberté est arraché.
Il faut attendre la fin du XIXe siècle pour voir une extension de la ville hors de ses murs, le long des routes d'Angers et de Saumur ouvertes dès 1841, ou de celle de Poitiers créée en 1885.
La ville se situe depuis la fin du XIXe siècle sur la ligne de chemin de fer qui relie Tours à La Roche-sur-Yon via Saumur, Thouars, Bressuire, ancienne ligne Paris — Les Sables-d'Olonne très fréquentée, et est donc de ce fait connectée au réseau ferré pour des trajets réguliers vers Paris. Par ailleurs une ligne de tramway existait jusqu'à la Seconde Guerre mondiale entre Montreuil-Bellay et Bressuire via Argenton-Château.
Le 23 novembre 1911, un accident ferroviaire se produit sur le territoire communal au point kilométrique (PK) 94,5 de la ligne de Loudun à Angers-Maître-École, sur une section inaugurée en février 1877[6] et incorporée dès 1878 au réseau de l'État. Un pont sur la rivière Thouet s'est effondré au passage d'un train, faisant quatorze morts. Survenant quatre ans après l'effondrement lui aussi meurtrier d'un autre pont de la même ligne aux Ponts-de-Cé, l'évènement suscita un tollé contre l'État entrepreneur de chemin de fer.
Du 8 novembre 1941 au 16 janvier 1945, la France fit du site de Montreuil-Bellay un camp pour « individus sans domicile fixe, nomades et forains, ayant le type romani ». Ils étaient Manouches, Gitans, Roms, Sintés, et plus généralement Tsiganes. Ce camp était à la base un stalag implanté par les Allemands le , et qui fut ensuite géré par le régime de Vichy[7]. En juillet 2010, les ruines de ce camp ont été inscrites au titre des monuments historiques afin d'empêcher leur disparition totale et d'en faire un lieu de mémoire pérenne[8].
Lors de la première visite présidentielle sur le site de cet ancien camp d’internement, François Hollande a reconnu le la responsabilité de la France dans l’internement de milliers de Tsiganes par le régime de Vichy et jusqu’en 1946.
- « Le jour est venu et il fallait que cette vérité soit dite » a dit le président français. « La République reconnaît la souffrance des nomades qui ont été internés et admet que sa responsabilité est grande dans ce drame », a-t-il poursuivi lors d’une cérémonie d’hommage, où étaient présents plusieurs survivants[9].
Le l'ancienne commune de Méron est rattachée à celle de Montreuil-Bellay (fusion simple)[10].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Montreuil-Bellay est municipalité depuis 1793, et chef-lieu du canton de Montreuil-Bellay de 1793 à 2015.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.
Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]
Jusqu'en 2014, Montreuil-Bellay est chef-lieu du canton de Montreuil-Bellay, et fait partie de l'arrondissement de Saumur[12]. Ce canton compte alors treize communes. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Doué-la-Fontaine, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[13].
Population et société[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].
En 2016, la commune comptait 3 903 habitants[Note 1], en diminution de 3,25 % par rapport à 2011 (Maine-et-Loire : +2,61 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 48 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,1 %, 15 à 29 ans = 19,3 %, 30 à 44 ans = 19,2 %, 45 à 59 ans = 18,8 %, plus de 60 ans = 22,6 %) ;
- 52 % de femmes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 14,3 %, 30 à 44 ans = 19,8 %, 45 à 59 ans = 18,3 %, plus de 60 ans = 29,3 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Sont présents sur le territoire communal :
- quatre écoles primaires (trois écoles publiques et une école privée) ;
- le collège public Calypso ;
- le lycée professionnel agricole et le centre de formation d'apprentis Edgard-Pisani ;
- la maison familiale rurale La Rousselière.
Services[modifier | modifier le code]
Montreuil-Bellay dispose d'un centre de secours, d'une gendarmerie et d'un bureau de poste. Au niveau des services à la personne, on y trouve une maison de retraite, une maison familiale, une crèche "1 2 3 soleil" et une médiathèque municipale.
Montreuil-Bellay possède deux campings ainsi qu'une aire de service pour camping-cars.
Animations[modifier | modifier le code]
Dans son palmarès 2010, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France[19] a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris.
Tous les ans, durant le week-end de l'Ascension, le festival « l'art en fête » organise une animation autour de spectacles de rues gratuits ainsi qu'un marché artisanal[20].
Au mois d'août, le concours des peintres dans la ville prend place le long du Thouet.
Économie[modifier | modifier le code]
Sur 344 établissements présents sur la commune à fin 2010, 16 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 54 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[21].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
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La commune de Montreuil-Bellay comporte 18 inscriptions au Patrimoine[22], dont 17 monuments historiques.
Sites classés ou inscrits[modifier | modifier le code]
- Ancien couvent des Augustins, du XVIIe siècle, classé monument historique en 1989 pour l'église, le reste des bâtiments étant inscrit la même année[23].
- Ancien hôpital Saint-Jean, du XVe siècle, classé en 1967[24].
- Ancien hôtel rue Nationale, des XVIe au XIXe siècle, inscrit en 1970[25].
- Ancien presbytère de l'église Sainte-Catherine, des XVe et XVIIe siècles, inscrit en 1972[26].
- Ancien prieuré des Nobis, prieuré de bénédictins, de mauristes dit les Nobis, du XIIe au XVIIIe siècle, ses origines très anciennes en font un des plus vieux établissements monastiques de la vallée de la Loire, classé en 1974 pour les ruines de l'église Saint-Pierre et du cloître, le reste des bâtiments étant inscrit[27].
- Château de Montreuil-Bellay[28], des XIe, XIIIe, XIVe et XVIIe siècles, classé en 1979[29].
- Église paroissiale Notre-Dame (ancienne chapelle du château), du XVe siècle, classée en 1907[30].
- Enceinte fortifiée de la ville, du XVe siècle, classée en 1996, y compris la porte Saint-Jean, classée sur la liste de 1889[31]
- Le Thouet et ses abords, site protégé inscrit le 22 mars 1943.
- Menhir de l'Accomodement, néolithique, inscrit en 1967[32].
- Menhir de la Pierre de Lenay, néolithique, classé en 1911[33].
- Moulin du Boëlle, du XVe siècle, inscrit en 1986[34].
- Porte du Moulin, des XIVe et XVe siècles inscrite en 1976[35].
- Maison dite « la Minotière », du XVIIIe siècle, inscrite en 1976[36].
- Porte de Ville dite « Porte Nouvelle », classée en 1922[37].
- Vestiges du camp d'internement des tziganes, inscrit le 8 juillet 2010.
- Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP), créée le 11 mai 2001.
Autres sites inventoriés[modifier | modifier le code]
- Ferme semi-troglodytique, rue de la Basse-Ardenne, des XVIIe et XVIIIe siècles.
- Plusieurs fermes et maisons des XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles.
- Maison troglodytique, rue du Prés-aux-Iles.
- Manoir Saint-Christophe dit « manoir l'Ardiller », des XVe, XVIIe et XVIIIe siècles.
- Moulin du Château, à eau[Quoi ?], du XVe siècle.
- Proto-écluse ou bassin à portes marinières près du moulin de La Salle, sur le Thouet, en aval de la ville.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Alphonse Toussenel (1803-1885), écrivain et journaliste français, est né à Montreuil-Bellay.
- Charles Dovalle (1807-1829), poète français, est né à Montreuil-Bellay.
- Edgard Pisani (1918-2016) , homme politique français, plusieurs fois ministre, fut maire de la commune de 1965 à 1974.
- Régis Laguesse, (1950-), footballeur puis entraîneur français, est né à Montreuil-Bellay.
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (notice BnF no FRBNF34649310, lire en ligne)
- René Grousset, Histoire des croisades et du royaume franc de Jérusalem - II. 1131-1187 L'équilibre, Paris, Perrin, (réimpr. 2006), 1013 p.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie de Montreuil-Bellay
- Montreuil-Bellay sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - p. 409 - {{isbn[2600028838}}
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Pierre-Louis Augereau - Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire - page 116 - (ISBN 2844783384)
- Grousset 1935, p. 13.
- Jean Favier, Les Plantagenêts, Origine et destin d'un empire, éd. Fayard, 2004.
- Le Petit Journal du 3 février 1877, p. 2.
- Camp d'internement pour les Tsiganes.
- Un ancien camp de tziganes inscrit comme monument historique Article de L'Express.fr, le 2 août 2010.
- la responsabilité de la France, liberation.fr.
- Code officiel géographique de Montreuil-Bellay, sur le site de l'Insee, consulté le 24 juin 2012.
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le 19 avril 2014).
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Montreuil-Bellay, consultée le 7 mars 2015
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- « Évolution et structure de la population à Montreuil-Bellay en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le 29 mars 2012).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le 29 mars 2012)
- Site des Villes et Villages Fleuris, consulté le 28 février 2011.
- Festival l'art en fête
- Insee, Statistiques locales du territoire de Montreuil-Bellay (49), consultées le 28 avril 2013
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel
- « Ancien couvent des Augustins », notice no PA00109196, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Ancien hôpital Saint-Jean », notice no PA00109198, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Ancien hôtel rue Nationale », notice no PA00109199, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Ancien presbytère de l'église Sainte-Catherine », notice no PA00109207, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Ancien prieuré des Nobis », notice no PA00109208, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- site officiel du château de Montreuil-Bellay
- « Château », notice no PA00109195, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Église paroissiale », notice no PA00109197, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Enceinte fortifiée de la ville », notice no PA00109205, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Menhir dit de l'Accomodement », notice no PA00109201, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Menhir de la pierre de Lenay », notice no PA00109202, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Moulin du Boëlle », notice no PA00109203, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Porte du Moulin », notice no PA00109204, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Maison dite la Minotière », notice no PA00109200, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- « Porte Nouvelle », notice no PA00109206, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 mars 2011.
- Armoiries d'argent au sanglier de sable enregistrées le 27 mars 1700, Armorial des communes de Maine-et-Loire