Wikipédia:Oracle/semaine 3 2013

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De Gaulle - Léopold III

bonjour à tous. Je n'ai rien trouvé, (sans doute mal cherché ou pas avec les bons termes)

J'aurais voulu savoir quelle position De Gaulle avait par rapport au comportement de Léopold III durant la guerre. --Kkbs (d) 14 janvier 2013 à 07:51 (CET)

Question subsidiaire : je me souviens avoir lu étant môme, dans un récit autobiographique (ou présenté comme tel) qui raconte l’histoire d’une famille belge pendant l’occupation, vue à travers les yeux d’un enfant, que Léopold III a arboré l'étoile de David sur ses vêtements quand les nazis ont rendu son port obligatoire pour les juifs, conduisant à une annulation (temporaire ?) de cette mesure. L’article n’en dit mot. Est-ce que quelqu’un peut confirmer ou infirmer cette « anecdote » ? Et ce livre, quelqu’un le connaît ? (bibliothèque verte). rv 14 janvier 2013 à 09:09 (CET)

bonjour, je viens de lire à peu près tout concernant Léopold III et je n'ai rien lu à ce sujet, par contre il existe ceci http://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_X_de_Danemark --Kkbs (d) 14 janvier 2013 à 09:50 (CET)

ps : j'ai seulement trouvé un article qui mentionne que De Gaulle avait du respect pour Léopold III sans plus, j'aurais voulu savoir ce que lui pensait de l'attitude de ce dernier lors de la guerre. Il semble que beaucoup de contre vérités ait été écrites, et c'est surtout cela que malheureusement on retient. Mais sait on jamais la vrai vérité ?--Kkbs (d) 14 janvier 2013 à 09:50 (CET)

livre nouveau testament original

Récupéré en semaine 2 Mitch-Mitch 14 janvier 2013 à 13:08 (CET)

BONJOUR JE POSSEDE LE LIVRE:

Livre

LE NOUVEAU TESTAMENT

                                                       DE
                                            NOTRE SEGEUR JESUS-CHRITS
                                                   VERSION DE
                                                 J.F. OSTERVALD
                                                    _______
                                                 EDITION REVUE
                                                    _______
                                                     PARIS
                                          IMPRIMERIE EMILE MARTINET 
                                          HOTEL MIGNON,RUE MIGNON, 2
                                                    _______

1877

 

CE LIVRE A 323 PAGES J PAI PAS TROUVER DE DOCUMENT DE CETTE ANNEE. DE + J AI LE NOUVEAU TESTAMENT D APRES LE TEXTE GREC PAR LOUIS SEGOND PARIS LIBRAIRIE DELESSERT DE 1901 ;205 PAGES ,POVER VOUS ME RENSEIGER OU ME GUIDER SUR SES 2 LIVRES JE VOUS REMERCIS D AVANCE CABUSAT REGIS 06******** POUR +DE RENSEIGNEMENT ‎88.141.232.220 (u · d · b)

UR INTERNET, abuser de CAPITALES est l'équivalent de CRIER (pardon) dans le langage parlé. Merci de respecter la tranquillité de l'Oracle, qui préfère les questions qui lui sont murmurées à l'oreille...

Mitch-Mitch 14 janvier 2013 à 13:04 (CET)

On en trouve via Google (mais, peut-être pas de la bonne année...). Par exemple, ici. Lire aussi les articles 'Jean-Frédéric Osterwald' et 'Louis Segond'. -- Xofc ^{[me contacter]} 14 janvier 2013 à 14:16 (CET)

« le lycée de Reims » : nom actuel

Bonsoir,

L’article Don Sauveur Paganelli indique que l’intéressé (1888-1978) fut professeur au « lycée de Reims (Marne) ».

J’aimerais connaître le nom actuel de cet établissement.

L’ancien lycée unique d’une ville a en général survécu jusqu’à nos jour en recevant un véritable nom par exemple lorsque cette ville a été dotée d’autres lycées.

Merci d’avance. Alphabeta (d) 14 janvier 2013 à 19:55 (CET)

Pour fournir un exemple : « le lycée de Versailles » est devenu « le lycée Hoche » (cf. w:fr:Lycée Hoche). Alphabeta (d) 14 janvier 2013 à 20:19 (CET)

La réponse est facile à trouver en suivant les liens depuis Reims : c’est le Lycée Georges-Clemenceau (Reims). rv¹⁷²⁹ 14 janvier 2013 à 20:45 (CET)

Le Lycée Georges-Clemenceau (Reims) a été construit à la fin des années cinquante à l'emplacement d'un camp militaire étasunien. Le plus ancien lycée de Reims est devenu un collège, le collège Université. Sous l'ancien régime, il y a déjà un établissement scolaire appelé collège des Bons Enfants. Ses enseignants (pour beaucoup des religieux réfractaires) sont dispersés par la Révolution. Un lycée ouvre à la place en 1808, il est remanié et agrandi dans la seconde moitié du XIXe, réparé après la Grand Guerre, et réaffecté comme annexe du lycée de jeunes filles après que le lycée Clemenceau l'a remplacé en 1958. En 1966 il est enfin transformé en collège (voir ici) et c'est encore le collège du centre de la ville de Reims. --le sourcier 14 janvier 2013 à 21:45 (CET)

D’après l’article, le Lycée Georges-Clemenceau (Reims) a été créé en 1803 et non à la fin des années 50. C’est le Lycée Gustave-Eiffel de Reims qui est dans une ancienne caserne. Il va falloir corriger tout ça, si tu es sûr de tes sources (!). En attendant, si j’étais αβ, je croirais plus volontiers aux articles. rv 15 janvier 2013 à 09:00 (CET)

Dans la tête de beaucoup de rémois le lycée de Reims est l'actuel collège université mais la source college université reimsne semble pas préciser qu'il s'agit du Lycée de reims, quand à l'actuel lycée Clemenceau il date de 1958 voir ici : http://xxi.ac-reims.fr/clg-universite/articles.php?lng=fr&pg=5 --Le ciel est par dessus le toit (d) 15 janvier 2013 à 12:29 (CET)

C'est pas simple, il faut préciser de quoi on parle. Les bâtiments, l'administration ou le nom.

Dans les années 1920, Don Sauveur Paganelli était enseignant du lycée de Reims (qui n'avait probablement pas d'autre nom officiel parce qu'il était le seul lycée (de garçons) de Reims), dans un ensemble de bâtiments situé rue de l'Université. Le site était consacré à l'enseignement depuis longtemps (1517), les constructions ont été remaniées à de nombreuses reprises.

En 1958 le lycée est déplacé dans des locaux neufs avenue Georges Clemenceau et prend le nom de lycée Georges Clemenceau. Paganelli avait alors soixante-dix ans et n'a jamais enseigné dans un établissement ayant ce nom.

Les bâtiments dans lesquels il a enseigné sont affectés aujourd'hui à un collège : le collège Université.

On peut sourcer tout ça avec le site de l'académie de Reims ici pour le lycée et là pour le collège.

Par contre, ce que je n'arrive pas à sourcer, c'est le camps américain. Ce n'était pas une caserne (comme celle du 132e RI, rue de Neuchâtel, recyclée en lycée professionnel) mais un terrain sans autre construction que des baraquements temporaires. Et moi, je n'ai pas d'autre source que la mémoire d'un vieux cornichon. Eh ! --le sourcier 15 janvier 2013 à 13:32 (CET)

Il faudrait pouvoir accéder aux anciens cadastres pour savoir s'il y avait des construction sur ce terrain, il parait que c'est possible sur le net mais je n'ai pas réussi à trouver --Le ciel est par dessus le toit (d) 15 janvier 2013 à 13:47 (CET)

Y a matière à une passionnante monographie rv 15 janvier 2013 à 14:38 (CET)

Freud et l'hypnose

Sigmund Freud en 1885

You dreamt you were a hypnotist

Bonjour cher Oracle,

Je crois me souvenir avoir lu — il y a longtemps — un texte de Freud dans lequel il expliquait que si l'on disait à un patient sous hypnose qu'il trébucherait à telle heure (une fois réveillé), non seulement il le ferait mais il aurait aussi une excellente raison de le faire, autre que la seule suggestion hypnotique : il aurait effectivement loupé une marche, pas vu une pierre, etc.

Quelqu'un pourrait-il m'aider à retrouver les références de ce texte de Freud ?

Merci d'avance.
— Oxag อ๊อกซัก

Salut, après une rapide recherche, je n'ai pas trouvé de référence qui se rapporterait à un quelconque trébuchement. En revanche, et exactement dans le même ordre d'idée, il y a des exemples avec un parapluie. Par exemple, dans « Note sur l’inconscient », dans Métapsychologie, Paris, Gallimard, 1986, p. 176, ou dans Résultats, idées, problèmes, Tome II, 1921-1938, [je n'ai pas l'édition mais il s'agit probablement de PUF, 1998], p. 293-294, Freud raconte le cas d'un patient à qui l'on a donné l'ordre sous hypnose d'ouvrir un parapluie à son réveil, et qui le fait en trouvant plusieurs justifications avant qu'on lui rappelle qu'il s'agit d'un effet de l'hypnose. --JoleK (d) 17 janvier 2013 à 13:26 (CET)

Je ne suis pas sûr de moi mais peut-être confonds-tu avec le cas de la « jeune fille au parapluie » présenté dans Études sur l'hystérie [dont je n'ai pas trouvé l'année d'édition non plus mais c'est chez PUF] p. 78, il s'agit d'une jeune fille qui marche difficilement (elle boite et titube) et à qui Freud, dans un mouvement d'humeur devant le manque de résultat des séances d'hypnose, demande, toujours sous hypnose, de casser son parapluie, ce qu'elle fit plus tard en marchant et en battant la mesure d'une chanson avec.

Je rappelle au passage que Freud abandonna assez rapidement l'hypnose, devant le manque de résultats des suggestions, au niveau du psychisme et du refoulement, et le problème éthique de la manipulation du sujet. --JoleK (d) 17 janvier 2013 à 13:55 (CET)

Freud abandonna l'hypnose aussi car, de son propre aveu, il n'était pas très bon.--G de Gonja 17 janvier 2013 à 16:39 (CET)

Une source serait la bienvenue mais ce n'est pas du tout la question car il y a une coupure épistémologique entre la psychanalyse et la pratique de l'hypnose (qui laisse une part des refoulements inaccessibles) : « je suis donc en droit de dire que la psychanalyse proprement dite ne date que du jour où on a renoncé à avoir recours à l'hypnose » comme l'affirme Freud dans Introduction à la psychanalyse, Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1974, p.45 --JoleK (d) 17 janvier 2013 à 17:15 (CET)

Entre ce que pratiquait vraiment et vainement Freud et ce qu'il a écrit/théorisé, il y a de très grands écarts. Vous trouverez tout ceci détaillé (l'hypnose et Freud) dans le livre noir de la psychanalyse ou dans un autre style chez Michel Onfray (les deux sont étayés par les correspondances de Freud etc).

Cordialement

--G de Gonja 17 janvier 2013 à 17:53 (CET)

Freud est le « découvreur » des structures de l'inconscient, et son travail est une longue élaboration faite d'hypothèses et de remaniements : il n'est donc pas étonnant qu'il donne le sentiment d'avoir tâtonné et qu'il se soit parfois contredit, d'autant plus dans les correspondances qui n'étaient, bien évidemment, pas destinées à faire partie du corpus théorique. Ce qui ne veut pas dire qu'il y ait une vérité cachée à trouver dans ses échanges épistolaires pour autant, ils sont connus (pour la partie accessible au public) et disséqués par les historiens de la psychanalyse depuis longtemps. Il est en revanche particulièrement aisé de prendre des extraits, qui, s'ils ne sont pas remis dans le contexte et le moment de la recherche freudienne, (et sans même parler des problèmes de traduction) peuvent faire passer Freud pour un charlatan ou quelque chose du genre. C'est un fond de commerce des essais anti-freudiens qui existe quasiment depuis son vivant. Quant aux sources, c'est justement à cause de cela qu'elles sont sujettes à caution : Le Livre Noir... est un livre à charge contre la psychanalyse et qui a été vivement critiqué pour ses approximations voire ses erreurs, comme bien des Livres Noirs... de quelque chose, qui se réduisent à des coups éditoriaux très orientés. Il en est de même pour Onfray. Et d'ailleurs, « qu'est-ce qu'Onfray sans Freud ? » Et j'arrête là car on commence à s'éloigner de la vocation de l'Oracle. --JoleK (d) 17 janvier 2013 à 19:28 (CET)

Merci JoleK.
Ça doit probablement être le coup du parapluie qui, après toutes ces années, s'était transformé en trébuchements...
Encore merci.
— Oxag อ๊อกซัก

Tant que c'est pas un coup de parapluie bulgare, ça va... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 19 janvier 2013 à 08:04 (CET)

Revue de Paris ?

Récupéré de la semaine précédente Mitch-Mitch 15 janvier 2013 à 10:38 (CET)

Bonjour. Google indique Revue de Paris pour cette revue mensuelle] publiée à Bruxelles. Serait-ce correct ? Si non, cette revue aurait-elle porté un autre nom ? Merci déjà, Égoïté (d) 15 janvier 2013 à 10:23 (CET)

Dans l'article Revue de Paris on lit :

« Pour la période 1829-1854, il existe des contrefaçons belges de cette revue qui rééditent des versions pirate des textes littéraires et articles parus dans la Revue de Paris mais aussi dans d’autres revues de la presse parisienne : La Revue des deux mondes, Revue nouvelle, etc., parfois avec des variantes »

--Serged/♥ 15 janvier 2013 à 11:24 (CET)

comportement animal.

Bonjour, Suite à la pose de 2 prothèses (hanche et genou), j'ai demandé aux deux chirurgiens de me donner les têtes de fémur et têtes de tibia afin de les proposer à mon chien. Les 2 fois la réponse fut négative. La question que je me suis très très souvent posé est la suivante: mon chien reconnaitrait-t'il mon odeur à travers l'os que je lui présente ? La question peut se poser autrement : nos os ont-il notre odeur et notre fidèle compagnon pourrait-t'il la détecter. On ne sourit pas, ma question est sérieuse. Merci de votre prochaine réponse. Bien cordialement. Pierre VINCENT

CQui (d) Question serieuse en effet, mais qui peut faire sourrir. Je n'aurrais pas indiqué cette raison pour obtenir les "pieces usee" apres l'operation, je pense que cela peut heurter certaines sensibilités bien que ce soit votre propre vie privee dont on parle. Je ne suis pas sur qu'a la fin du processus de remplacement il reste quelque chose de vraiment "recuperable", Y a-t-il un chirurgien dans la salle ? --15 janvier 2013 à 13:56 (CET)

Les viandes à gout puissant (mouton, chèvre, âne, gibiers, et autre chien) ont une odeur qui rappelle celle de l'animal vivant. Il ne serait pas étonnant qu'un chien dont la sensibilité olfactive est très supérieure à la nôtre, reconnaisse un individu en mangeant un de ses os. Plus probablement encore, il identifierai l'os comme étant un os humain. Tu aurais su s'il t'aimait vraiment (en espérant que l'effet ne fût pas trop apéritif). Cordialement. --le sourcier 15 janvier 2013 à 14:04 (CET)

Papa cannibale à son fils : "Tu l'aimes Pépé ? Alors, reprends-en..." (ok, je sors) Cobra Bubbles ^{Dire et médire} 15 janvier 2013 à 18:13 (CET)

Maman cannibale à son fils : "Tiens, reprends donc de la tarte aux paumes..." (je sors aussi) --Floflo (d) 15 janvier 2013 à 18:29 (CET)

CQui (d) Il y a quelques histoires d'animaux domestique enfermés avec leur maitre defunt pendant plusieurs jours avant que l'on ne s'en rende compte, qui ont mangé le maitre en question. Je ne sait pas s'il s'agit de legende ou de realité mais je pense que certains ne verait pas de probleme a finir comme cela, comme un dernier sacrifice pour leur compagnon. Maintenant un bout d'os retiré lors d'une operaiton chirurgicale doit etre plein de desinfectant et autres produits qui ont probablement retiré l'odeur. --16 janvier 2013 à 12:40 (CET)

signalement d'erreur

Bonjour, excusez-moi de vous déranger, il y aurait une erreur sur la page Érythrée, je crois que c'est <<l'état d'érythrée>> au lieu de <<la république d'érythrée>> — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.66.110.19 (discuter), le 16 janvier 2013 à 17:53‎ (CET)

Bonjour. Vous ne nous dérangez pas. Le nom en anglais (lequel est une des langues officiels du pays) est State of Eritrea (voir ici) qui est parfois traduit en français par État d'Érythrée (ici, par exemple), mais il semble que l’appellation République d'Érythrée soit plus usitée en français, y compris sur le site du Ministère des Affaires étrangère. Cordialement. --le sourcier 16 janvier 2013 à 19:04 (CET)

la clé usb

Bonjour

j'ai fait un très beau programme sur access et word et excel. une base de données regroupant les annonces offres d'emploi et les cv que j'envoyais. j'étais très fière de mon travail. je mets ce travail sur ma clé usb et je vais dans un cyber café pour envoyer mes cv, alors que d'ordinaire cela prend quelques minutes, là ma clé usb était vide. le programme a disparu. comment cela se fait il ? est ce que des gens mal intentionnés peuvent avoir accès au contenu de ma clé usb et détruire mon travail ? comment faire pour résoudre ce problème ? je vous remercie pour votre aide.

1/ Vérifiez que c'est la bonne clé USB. 2/ Si oui, essayez de la lire sur un autre ordinateur. 3/ Si ça ne marche toujours pas, reprenez (sur votre disque dur) le document original que vous aviez sauvegardé sur votre clé USB. 4/ Vous ne l'aviez qu'en un seul exemplaire ? Et vous y teniez vraiment ? ... Oblomov2 (d) 16 janvier 2013 à 20:49 (CET)

L'effacement impromptu du contenu d'un périphérique de stockage de masse est une chose toujours possible. Sauf opération d'écriture ultérieure il y a généralement moyen de récupérer ce contenu avec un logiciel permettant la récupération de données comme Recuva, ou dans le cas où la partition serait supprimée, un logiciel comme TestDisk permet de la restaurer puis de récupérer les fichiers qu'elle contenait. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 16 janvier 2013 à 21:37 (CET)

Ça arrive souvent, si on enlève la clef "à l'arrache" peu après l'écriture. Ne jamais oublier de démonter la clef avant de la débrancher ! --Serged/♥ 17 janvier 2013 à 08:09 (CET)

Houlà Serged, ne parle pas de "démonter" la clef, il y en a qui seraient capable de prendre un tournevis ... --Milena ^{(Parle avec moi)} 17 janvier 2013 à 12:00 (CET)

Oui, il est préférable de dire « éjecter » plutôt que « démonter ». Mais peut-être faudra-t-il aussi conseiller de fermer portes et fenêtres, au cas où ? --Indif (d - c) 21 janvier 2013 à 16:28 (CET)

Si c'est encore utile : pour être plus précis que Serged : Windows, comme Firefox et sans doute autres systèmes, place dans une "barre" adéquate un petit dessin vert qui représente le lecteur connecté ; avant de la débrancher, on clique cette icône et on attend que le système déclare qu'on peut retirer le périphérique en toute sécurité.

A propos du 2/ de Oblomov : certaines incompatibilités de systèmes peuvent faire apparaître vide un support qui ne l'est pas. L'intéressée voudrait-elle dire si les conseils donnés ont produit un effet ? - Fr.Latreille (d) 18 janvier 2013 à 18:46 (CET)

CQui (d) Certains champs magnetiques peuvent effacer une clef USB. J'en ai vidé une il y a quelques annees, en ecrivant un CD alors que la clef etait branchee juste a coté. --22 janvier 2013 à 09:08 (CET)

Topographie de versus

Bonjour, tout le monde à dans sa vie vu au moins un fois VS pour signifier contre alors ma question ce pose quel et la topo exacte?: VS; Vs; VS.; Vs. merci de me répondre c'est assez urgent 16 janvier 2013 à 21:45 (CET)

En tout cas, typographie s’écrit avec un y, pas un o. rv¹⁷²⁹ 16 janvier 2013 à 22:08 (CET)

on écrit vs (en minuscule et sans point) Dhatier ^jasons-z-en 16 janvier 2013 à 22:09 (CET)

Merci 16 janvier 2013 à 22:41 (CET)

En français, on peut écrire « contre ». Ce latin d’importation anglo-saxonne m’agace un peu. Morburre (d) 17 janvier 2013 à 07:12 (CET)

Oh ! J’espère bien que le questionneur entend utiliser ce vs dans un fragment de texte anglais, sinon... shocking! rv 17 janvier 2013 à 08:57 (CET)

La plupart des latinismes en français (style "des maxima") sont en fait des anglicismes cryptiques. En anglais, l'usage de l'italique est fluctuant, par exemple pour les abbréviations (i.e., e.g., vs). D'autres (etc) ne sont jamais en italique. Je n'ai jamais saisi s'il y avait une logique. Arnaudus (d) 17 janvier 2013 à 09:58 (CET)

pro : ça fait classe d’utiliser du latin ; con : mais en fait ce sont des anglicismes.

Sol erat in regionem zenithi et calor atmospheri magnissima! rv 17 janvier 2013 à 10:06 (CET)

Serais-tu un diciple de Loth?

C’était tout à fait l’idée, oui. rv

S'il n'y a pas de point, toute la série des Aliens vs. Predator serait fautive ? Père Igor (d) 17 janvier 2013 à 11:30 (CET)

Non, parce que vs. c’est de l’anglais. Morburre (d) 17 janvier 2013 à 12:47 (CET)

C'est vrai que Étrangers contre prédateur, ça rend moins bien. Oblomov2 (d) 17 janvier 2013 à 12:58 (CET)

Alors un point ou pas? 17 janvier 2013 à 13:17 (CET)

En « français », non. En « anglais », oui. Morburre (d) 17 janvier 2013 à 14:14 (CET)

problème avec les bornes logiques

Bonjour,

Je débute avec les balises logiques telles #if:, #ifeq:, etc....

J'ai un wiki sur internet. je travaille dans une infobox V2 sans brique. Je veux créer une ligne optionnelle qui s'appelle "Superficie".

 | {{#if:{{{superficie|}}}| width="60px" style="text-align:center;background:-moz-linear-gradient(left,#e5b348, #c7920e); color:black; border-radius:2px;background:#dfdde1"|Superficie}}
 | style="text-align:center;border-radius:3px; border:px solid #bebebe; color:#3e4143" | {{#if:{{{superficie|}}}|{{{superficie}}}km<sup>2</sup>|}}
 |-
 

Je n'arrive pas à intégrer le code

width="60px" style="text-align:center;background:-moz-linear-gradient(left,#e5b348, #c7920e); color:black; border-radius:2px;background:#dfdde1"

Je veux que la ligne dise : Si le champ "superficie" est vide, alors ne pas afficher la ligne, sinon afficher la ligne "Superficie"

je sais pas si c'est très clair. En tous cas, merci pour votre aide. :)

Le parser if a besoin de 2 paramètres, séparé par une barre verticale « | ». Si le test est vrai, il retourne le premier paramètre, si il est faux, il affiche le second. Dans le code que vous donnez, le premier paramètre (qui est retourné si vrai) est

width="60px" style="text-align:center;background:-moz-linear-gradient(left,#e5b348, #c7920e); color:black; border-radius:2px;background:#dfdde1"

et le second :

Superficie

Pour que le premier paramètre soit :

width="60px" style="text-align:center;background:-moz-linear-gradient(left,#e5b348, #c7920e); color:black; border-radius:2px;background:#dfdde1"|Superficie

Il vous faut retirer la barre verticale de l'analyse par le parser, par exemple le remplaçant par un modèle qui affichera après l'analyse par if une barre verticale. Rien de sorcier, vous pouvez utiliser le modèle {{!}} (qui affiche simplement « | »). -- Namo (d) 24 janvier 2013 à 03:00 (CET)

John Paul (entreprise)

Récupéré en semaine 2

Mitch-Mitch 17 janvier 2013 à 13:28 (CET)

Bonjour chers Wikipédiens,

John Paul est une entreprise française de Conciergerie d'entreprise et de services de relation-clients haut de gamme. Nous souhaitons lui créer une page pour définir cette nouvelle activité et éviter les confusions avec ses homonymes (http://en.wikipedia.org/wiki/John_Paul). Nous veillerons à garder un ton neutre comme le demande Wikipédia en présentant notamment l'histoire, la structure et les références de John Paul. Dans quelle mesure pouvons nous travailler avec Wikipédia pour s'assurer que nos objectifs respectifs sont remplis?

Merci et à très vite!

Qui me dit que vous êtes bien John Paul ? Mike Coppolano (d) 17 janvier 2013 à 16:42 (CET)

Bonjour, pour créer un article sur wikipédia, il n'y a pas besoin de demander l'autorisation. En revanche, il est conseillé de vérifier que votre entreprise correspond aux critères d'admissibilité, sinon la page sera vraisemblablement supprimée. Mais plutôt que de vous expliquer tout ça ici, je vous donne la page où vous trouverez le plus d'info : sur Wikipédia:Forum des nouveaux. _Bertrouf 18 janvier 2013 à 08:06 (CET)

Vu cet article Conciergerie d'entreprise et compte tenu des autres entreprises qui se sont attribuées un emplacement sous forme d'un vague paragraphe suivi de leur adresse de site (j'ai fait un peu de ménage mais il doit en rester) ou de références promotionnelles sur ce métier, toujours en plein milieu de l'article, d'où la nature des bandeaux déjà apposés, vous pouvez tenter de faire la même démarche pour votre propre entreprise, mais je vous signale au passage que votre entreprise figure dans cet article ou plus exactement dans la Tribune, (La conciergerie de luxe pour les entreprises) dans la section « Liens et documents externes » et c'est bien suffisant, néanmoins bonne chance.--Doalex (d) 18 janvier 2013 à 11:03 (CET)

La guerre au Mali est elle bonne pour la croissance de la France

Bonjour Oracle,

j'ai de vagues souvenirs de mes cours à l'école ou l'on m'expliquait qu'une "bonne guerre" était toujours la bienvenue pour relancer ou augmenter la croissance d'un pays. En ces temps de crise, et au delà de toutes question de lutte contre le djihadisme, je me pose donc la question de savoir si la guerre entamée au Mali est bonne pour la croissance de notre Pays. D'avance merci pour les lumières que vous pourrez apporter. 88.163.57.10 (d) 17 janvier 2013 à 16:55 (CET)

Si je me souviens bien, ca relance l'économie parce que ca crée des emplois (constructions de fortifications type mur de l'Atlantique, fabrication de munitions) et que ca embauche des soldats; indirectement ca occupe les chomeurs. Enfin, ca marche surtout quand le guerre est sur notre territoire le semble-t-il... Mitch-Mitch 17 janvier 2013 à 17:13 (CET)

Euh non, c'est une version du Sophisme de la vitre cassée : quand on casse quelque chose et qu'il faut le réparer, on a perdu de la richesse, on n'en a pas gagné. C'est vrai que dans le cas d'une guerre à l'étranger, on fabrique des armes et on crée donc de l'activité économique, mais cette activité n'est pas un investissement. Ça reviendrait au même par exemple que l'État achète 100.000 Peugeot et les entrepose quelque part sans rien en faire : ça génère de l'activité, mais ça ne peut pas être viable économiquement, c'est impossible (au contraire de l'investissement dans les infrastructures, par exemple). Arnaudus (d) 17 janvier 2013 à 17:25 (CET)

Et puis, il ne faudrait pas que toute la région s'embrase, il y a de l'uranium juste à côté, au Niger... -- Xofc ^{[me contacter]} 17 janvier 2013 à 18:17 (CET)

Un adage boursier dit "Achetez au son du canon, vendez au son du violon"... Oblomov2 (d) 18 janvier 2013 à 08:45 (CET)

La réponse à la question du titre est non, ou pas spécialement, disons, ça n'est ni bon ni mauvais, les pertes matérielles seront compensées par des achats, c'est certain, mais les coûts annexes (primes de combats, logistique, envoi et rapatriement des troupes et des matériels, maintien d'une force française au Mali à l'issue de la guerre, etc.) vont annuler le petit sursaut de production en armes et munitions, donc au total ça devrait avoir un effet nul ou très faiblement positif ou négatif sur la croissance en production ou en PNB.

Sur le deuxième point, « une "bonne guerre" [est] toujours la bienvenue pour relancer ou augmenter la croissance d'un pays », comme dit Mitch-mitch ça ne vaut que si ça se passe sur son territoire ou aux frontières, et pour autant qu'on ait les capacités pour lutter efficacement contre son adversaire, au départ, sinon la destruction des infrastructures et des outils de production peut à l'inverse être très défavorable, et à long terme, à l'économie d'un pays. Et surtout, quand on mène une guerre, il vaut mieux ne pas la perdre, on en a eu l'illustration avec l'Allemagne qui, au lendemain de la première guerre mondiale, se trouva dans une situation économique encore plus désastreuse que ses voisins – à remarquer que, pour diverses raisons dont les leçons de l'entre-deux-guerres, les vainqueurs de 1945 ne firent pas l'erreur, au lendemain de la deuxième guerre mondiale, de mettre les vaincus à genoux et au contraires les aidèrent à remonter leur économie, puisque cette mise en coupe réglée des vaincus fut un des principaux moteurs de la « revanche » qui amena au second conflit mondial. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 18 janvier 2013 à 12:27 (CET)

Le Monde d'aujourd'hui donne un élément de réponse à la question initiale : les "opex" (opérations extérieures donc, comme la guerre au Mali) ont, depuis 2000, un coût budgétaire d'un milliard d'euros par an, qui me paraît difficilement compensé par un gain pour l'industrie de l'armement. Cela dit, j'ai lu dans Le Canard Enchaîné de cette semaine que Hollande espérait que ce soit une nouvelle occasion de montrer « le savoir-faire de la France » qui pourrait permettre de vendre quelques Rafales.

Sinon, j'avoue ne pas comprendre le concept de « bonne guerre ». J'ai plutôt tendance à la voir comme un mal, hélas, parfois nécessaire. Elle est toujours le signe d'un échec de la politique et il me semble que les pertes occasionnées à un pays sur le territoire duquel se déroulent des combats, ne sauraient être contrebalancées par d'incertains gains économiques, à moins éventuellement d'être victorieux et de s'approprier les richesses de l'ennemi, et encore cela est-il discutable. Parce qu'en ce qui concerne les deux conflits mondiaux, en prenant en considération, en plus des pertes matérielles, les pertes humaines, dont celles des forces vives (intellectuels, artistes, politiques, etc...), il me semble que l'Europe a irrémédiablement perdu de nombreux pans de ce qui faisait sa culture (y compris la culture populaire), et donc, sa richesse. Je crois personnellement qu'il y a encore toute une histoire à faire de l'Europe, vue sous cet angle là. --JoleK (d) 18 janvier 2013 à 16:40 (CET)

on peut relier votre question à la philosophie chinoise ancienne, « Jamais guerre prolongée ne profita à aucun pays. » (voir L'Art de la guerre). dans une pensée plus moderne, la guerre est parfois vue au service de l'économie, voir Guerre_économique#La_guerre_au_service_de_l.E2.80.99.C3.A9conomie. je penche plutôt pour la sagesse ancienne, avec une touche de modernité : la crise écologique nous montre qu'il faudrait mettre fin à la croissance et stabiliser à la fois l’activité économique et la croissance démographique (voir Halte à la croissance ?)--Moulins (d) 18 janvier 2013 à 21:10 (CET)

Les sommes en jeu sont dérisoires pour l'économie de la France. Cette guerre n'aura pas d'impact perceptible, du moins si elle garde la dimension qu'elle a actuellement.

Pour répondre au fond de la question, à savoir si une guerre peut être "bonne" à une économie. C’est une question en fait technique. La réponse d’Arnaudus cerne les enjeux du point de vue du raisonnement économique. Mais il faut la complexifier dans un premier temps (et la nuancer dans un deuxième).

Prenons le cas le plus simple : une guerre qui n’a pas d'impact sur le pays qui la mène (pas de destructions, etc.) C’est le cas de toutes les guerres des Etats-Unis au XXe siècle. Il y a, en fait, deux situations. Première situation : l’économie du pays est proche du plein emploi des capacités de production (ou il y est). Une guerre a alors un impact négatif sur l’économie. Les dépenses qui sont livrées pour l’entreprendre ne "relancent" en effet pas l’économie, qui n’a pas besoin de l’être. Au contraire, la guerre détourne les ressources d'un usage a priori utile pour l’économie (celle du secteur privé ou d’autres dépenses plus utiles de l’Etat) vers des dépenses qui ne vont pas accroître le potentiel de croissance de l’économie sur le long terme (bombarder un pays n’améliore pas la productivité du pays qui mène le bombardement…). Dans le pire des cas, le financement de la guerre s’opère par un accroissement des emprunts de l’Etat, ces emprunts ne vont pas vers le secteur privé qui aurait pu les investir efficacement (en accroissant ainsi le potentiel productif de l’économie), et ils vont avoir un impact durable sur la solidité financière de l’Etat : c’est exactement les conséquences qu’a eu la seconde guerre du golfe menée par G. W. Bush. Dans toutes ces situations l’effet est négatif, à des degrés divers (et des niveaux de visibilité différents).

Dans le cas où le pays subit les conséquences de la guerre, et qu'il faut reconstruire, on se trouve dans le cas du paradoxe de la vitre brisée, qu’évoquait Arnaudus. L’impact est encore plus négatif. Au lieu d’accroître la richesse de l’économie, on utilise les facteurs de production (notamment le temps de travail des individus) pour reconstituer une richesse qui existait déjà. C’est autant de richesses nouvelles en moins. Par contre, la croissance économique peut être rapide, ce qui donne une impression de richesse : la période de reconstruction, si elle est menée efficacement, peut être brève. Pendant quelques années, l’économie "croît" vite : elle produit plus d'une année sur l’autre. Mais, à la fin, le niveau de production qu’elle atteint est exactement celui qu’elle avait avant la guerre. Le pays ne s’est donc pas enrichi, bien qu’il ait connu quelques années de forte croissance. C’est ce qui s’est passé en France entre 1945 et 1950 (le stock de capital de l’économie française avait été détruit à 40% en 1945 par rapport à 1939).

La situation est, toutefois, différente dans le cas d’une économie qui connaît ce que l'on appelle, en économie, une forte récession résultant d'un choc de demande. Dans ce type de récession, l’économie se trouve en dessous de son potentiel à la suite d’une baisse brutale de la demande, sans que les mécanismes équilibrants habituels (variations des prix, des salaires, etc.) n’y mettent un terme. Cela correspond à la situation de l’économie américaine dans les années 1930, ou à la situation actuelle de notre économie (mais pas à la situation de la crise de la fin des années 1970). Quand la situation est particulièrement grave, seul un accroissement des dépenses de l’Etat peut permettre de la stabiliser. L’Etat en accroissant ses dépenses augmente, en effet, la demande globale dans l’économie. Ces dépenses peuvent être de n’importe quelle nature, mais il est bien sûr préférable qu’elles aient un impact structurel positif sur l’économie (comme des dépenses d’infrastructure). Mais, à court terme, peu importe : une hausse de la demande est une hausse de la demande, quelle que soit la nature de cette hausse. Ainsi, l’économie américaine est définitivement sortie de la récession des années 1930 grâce à la hausse des dépenses de l’Etat en vue de la préparation de la Seconde Guerre mondiale. Comme l’observe Paul Krugman, l’Etat américain a été obligé d’accroître ses dépenses à un niveau très élevé (le seul capable de sortir l’économie de la récession) que n’aurait jamais accepté, dans d’autres circonstances, les hommes politiques américains.

Mais, dans le cas de la France et du Mali, on est très loin de cette situation : cette opération ne coûte en fait pas grand chose au regard du budget de la France (comme il est noté au dessus les opex coûtent 1 milliards d’euro : le PIB de la France est 2 000 fois supérieur…). En outre, c’est une relance coordonnée au niveau européen qui serait nécessaire. Ce qu’il nous faudrait, en fait, est une URSS menaçante à nos frontières (mais ne passant pas à l’acte), qui oblige les Allemands (avant tout, mais aussi quelques autres pays) à multiplier par 4 ou 5 leur dépenses militaires dans l’année qui vient… Mais l’AQMI n’est pas au niveau, de ce point de vue… (comme je suis déjà trop long, je me contente d'une réponse se situant au niveau "macroéconomique". La guerre a, en fait, un impact complexe au niveau micro, mais ce serait trop long). gede (d) 18 janvier 2013 à 21:27 (CET)

CQui (d) Des guerre n'ont pu etre bonnes que parce qu'elle ont netoyé et reorganisé un pays, en vidant des campagnes cela pousse a rationnaliser la main d'oeuvre, en financant la modernisation de l'industrie sur le dos de l'etat, en faisant comprendre aux mecontent que les mechant c'est les autres et qu'on a interet a filler droit... La seule expression que je connaisse utilisant ce terme Bonne guerre, c'est il leur faut une bonne guerre, en parlant de manifestants. --22 janvier 2013 à 08:33 (CET)

Balle Baseball signé:

Bonjour! J'ai une balle de Baseball des Expos que j'ai fait signé soit en 2000 ou 2001 à l'ouverture du camp de Expos/Cardinal de ST-Louis à Jupiter en Floride. (Janvier 2000 ou 2001)

Je ne me souviens pas du nom du signataire.

J'ai fait des recherches auprès des réseaux sportifs. J'ai eu une seule réponse de : RDS. Il semblerait que ce soit la signature de : Scott Stuart.

Je leur avait fait parvenir la photo de la balle. Mais comme je vois, c'est impossible de vous faire parvenir la photo. S.V.P. aidez-moi.

Merci Carole Girard

Bonjour. Pour la photo, si elle se trouve quelque part sur le Net il suffit de placer un lien vers elle ici, comme ça: http://www.casalsport.com/phproduit/20100916/D38U_F.jpg Pour la question, le mieux serait de la poser sur le portail:Baseball, précisément dans leur Ballpark Café. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 18 janvier 2013 à 06:41 (CET)

Scott Stewart (notez l'orthographe) a joué pour les Expos de 2001 à 2003. Il dispose d'un article dans la wikipedia en anglais [1]. On peut voir son autographe ici [2] . Vous pouvez toujours comparez avec votre balle autographiée. --Xuxl (d) 21 janvier 2013 à 15:38 (CET)

Woody Allen? Coluche?: "la vie c'est pas terrible (...) concurrents"

Bonjour,

J'ai le souvenir d'avoir lu quelque chose du genre: "La vie c'est pas terrible, mais si on regarde les concurrents..." en beaucoup mieux dit. Je crois que c'est de Woody Allen (ou Coluche?), mais je n'en suis pas du tout sûr. Est-ce que cela dit quelque chose à quelqu'un?

Merci d'avance. Omolony

Non, ça ne me dit rien, mais sur cette page on trouve celle-là :

« « La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible ».

Pas mal aussi. Plus qu'à éplucher les autres pour voir si tu retrouves la tienne. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 18 janvier 2013 à 07:33 (CET)

Ca me rappelle plutôt Geluck. Roger, un muscadet ! _Bertrouf 18 janvier 2013 à 08:00 (CET)

Merci pour les liens intéressants mais je cherche toujours l'auteur... Omolony

Sel dans les boissons gazeuses

Bonjour,

Dans la salle d'attente du labo pour... (peu importe, après tout), j'ai trouvé un dépliant intitulé « Y a-t-il du sel dans les eaux minérales gazeuses ? ». Vu le lieu, il est a priori digne de confiance (?). Il y est expliqué que si l'eau de Saint-Yorre contient 1,7 g/l de sodium, cela ne représente que 0,5 g/l de « sel (chlorure de sodium) », puisque le reste est sous forme de bicarbonate de sodium. Soit une teneur en sel « comparable aux normes de l'eau du robinet ». Or « Sodium et sel n'ont pas le même effet sur l'organisme ». Donc « on peut boire quotidiennement une eau riche en bicarbonate de sodium, puisqu'il ne s'agit pas de sel ».

Tout ceci est bien beau, mais je croyais que dans une solution aqueuse (mes excuses à l'eau minérale) il n'y a ni chlorure de ceci ni bicarbonate de cela mais seulement des ions : CO3--, Cl-, Na+ en l'occurrence (j'espère ne pas me tromper). Cela étant, j'ignore absolument sous quelle forme ces ions sont absorbés et éventuellement stockés par l'organisme. Serait-ce que le « coupable » serait l'ion chlorure, qui déterminerait les dommages attribués à l'excès de « sel » dans l'organisme ? Car si c'est l'ion sodium, il est présent en quantité...

Déliré-je ? Merci de me remettre les idées en place. J'ai soif - Fr.Latreille (d) 18 janvier 2013 à 14:50 (CET)

En effet, ça me surprend également mais là ou là, je crois comprendre qu’il existe un mécanisme d’absorption spécifique au NaCl... rv 18 janvier 2013 à 15:17 (CET)

Merci de ces infos. Pour autant que j'ai compris (chimie + anglais, c'est dur !), il semblerait que l'absorption du sodium soit conditionné à la fois par l'état de "chloridation" et par la présence de bicarbonate. De là à savoir si l'excès de l'un est néfaste et l'excès de l'autre non, je ne crois pas que ces recherches (car il semble que ce soit des infos toutes récentes) en ait décidé. Et puis il y a peut-être autre chose qui se joue ailleurs. Donc, c'est compliqué. Hmm.

Au fait, j'oubliais : le dépliant dont je parle se réfère à une publication dont j'ai pu trouver la première page mais pas plus. Il s'agit explicitement de chercher à savoir si tous les sels de sodium ont le même effet sur l'hypertension artérielle ; et apparemment la suite (que je n'ai pas pu lire, il faut être abonné) prouverait que non. Pourquoi? Ce qui précède, peut-être ? Re-hmm.

Amusant : j'étais donc au labo pour une analyse sanguine. Dans le compte-rendu reçu ce soir, je trouve une rubrique "Sodium", où le dosage, en millimole/litre, doit se trouver dans une certaine fourchette. Mais pas d'indication sur la forme chimique de ce sodium...

Merci quand même, je suis un tout petit peu moins naïf sur la question. - Fr.Latreille (d) 18 janvier 2013 à 18:24 (CET)

En pèle-mèle : les ions (Na+, Cl-, K+ ...) sont présents sous forme ionique dans l'organisme. Le sel comme le bicarbonate de soude se dissolvent complètement dans l'eau (jusqu'à plus de 10 fois la concentration normale dans le sang, au vu des solubilités du chlorure de sodium et du bicarbonate de sodium). Les ions Na+, K+, Cl- et Ca++ sont les principaux ions utilisés par les cellules pour créer des différences de potentiel électrique - ils sont transportés sous forme ionique, parfois en couple (Na+ et K- ensemble, pour ne pas créer de déséquilibre électrique, par exemple, ou Na+ et glucose). Il n'y a pas de stock, la régulation se fait par les reins en adaptant les sorties (urinaires) aux entrées (alimentaires) (et aux pertes incontrôlables : larmes, sueurs, etc.). Le Na+ est l'ion le plus concentré dans le sang, c'est par lui que le rein adapte les sorties d'eau (pareil, pour les adapter aux entrées). S'il y a trop de Na+ à évacuer, le rein ne peut pas évacuer aussi toute l'eau qu'il devrait (ou pas assez vite), cela crée une accumulation d'eau dans le corps, donc une augmentation de la pression sanguin, donc ... de l'hypertension artérielle.

Pour la suite, je n'ai pas de piste à vous apporter personnellement. L'association SALT propose une explication qui va dans le sens de votre dépliant. Cette association loi 1901 semble sérieuse et de bonne foi ([3]), malgré un site internet quasi-vide.

Question sur "Vatican en Ligne"

Bonjour

Je me suis inscrite sun un site en ligne pour rechercher un emploi qui se prénome VATICAN EN LIGNE.

Cela avait tout l'air sérieux. Je me suis inscrite et ai envoyé mon cv. Mais quand j'ai voulu consulter les offres rien n'est apparu. Aussi je me demande si cela pouvait être une blaque ou un site bidon.

Est ce que c'est possible de faire des sites bidon sur internet ? est ce que c'est facile ?

je vous remercie pour votre aide et vos renseignements à ce sujet. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 84.96.27.174 (discuter), le 18 janvier 2013 à 16:29‎ (CET)

« le site avait l'air sérieux » : voir Hameçonnage (Phishing). Avoir l'air, sur Internet, ce n'est pas suffisant. Oui, il est facile de faire un site qui a l'air. -- Xofc ^{[me contacter]} 18 janvier 2013 à 16:40 (CET)

Mais moi, j'suis pô pape !. --Agamitsudo (d) 18 janvier 2013 à 16:51 (CET)

Excusez-moi de poser des questions bêtes. Je me connecte sur un site, jre remplis les formulaires pour la recherche d'emploi et je constate qu'il n'y a pas d'offres. Je me demande si c'est une blaque ou un faux site parce que j'entends souvent qu'il y a des farces de ce genre sur internet. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 84.96.27.174 (discuter), le 18 janvier 2013 à 17:06 (CET)

Ce n'est pas une question bête. Il y a effectivement des faux sites, et surtout dans le domaine des offres d'emplois. Une personne de ma famille en a été victime, mais ce n'était pas ce site, et ce n'est que plusieurs mois après qu'on s'est aperçu que les annonces n'étaient pas sérieuses. Donc, vous avez raison de vous méfier. A part ça, sur ce site précis, je ne sais pas. --Rene1596 (d) 18 janvier 2013 à 20:01 (CET)

Voulez-vous parler de www.vatican.enligne-int.com ? Le nom de ce site me semble bizarre, car il propose des offres d'emploi aux USA et non pas au Vatican. Pourquoi ce nom ? En lien avec Vatican (Louisiane)? --Moulins (d) 18 janvier 2013 à 20:40 (CET)

Il y a http://www.luxembourg.enligne-int.com, http://www.italie.enligne-int.com/, etc. Tous proposent des offres d’emploi là où on l’imagine. La variante « Vatican » ne propose rien du tout, et annonce « aux USA » sans doute parce qu’il s’agit d’un template qui n’a jamais été modifié, faute d’offres d’emplois au Vatican. rv¹⁷²⁹ 18 janvier 2013 à 21:37 (CET)

Guy de Maupassant

Venant de : "j'aimerai qu'on me dise comment faire une bonne biographie de maupassant je veut dire il y a tellement de chose qu'est ce qui est le plus important?merci d'avance" — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 89.224.93.93 (discuter) Mike Coppolano (d) 20 janvier 2013 à 11:25 (CET)