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The Monster Ball Tour
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Logo du The Monster Ball Tour
Tournée par Lady Gaga
Album promu The Fame Monster
Date de début
Date de fin
Nb. de concerts 63 en Europe
119 en Amérique
15 en Océanie
4 en Asie
201 au total

Tournées par Lady Gaga

The Monster Ball Tour est la première tournée de l’artiste américaine Lady Gaga. Il s’agit également de la première série de concerts qui la aidé à promouvoir son second album, The Fame Monster. Parcourant les stades de 2009 à 2011, la tournée incorpore différentes chansons de The Fame ainsi que de son second album. Décrite par Gaga comme « un opéra pop-électro », la tournée est annoncée en octobre 2009 et doit intiaiellement être en collaboration avec Kanye West, mais, celui-ci annule ultérieurement sa participation. The Monster Ball Tour s’entame quatre jours avant la sortie de The Fame Monster, en novembre 2009.

Dû au manque de temps accordé à la conception de la version initiale de la tournée, une version révisée est mise en place uniquement quelques mois après sa création. La scène originale de la tournée est bâtie sur une base carrée, étant ainsi comparable à un plateau de tournage de série télévisée. Étant donné que The Fame Monster traite de différentes paranoïas, Gaga construit la thématique principale de la tournée autour de ceci, en représentant les obsessions par une évolution humaine, bien que d’autres éléments devant être utilisés dans la tournée annulée avec West soient exploités dans certaines parties. À partir de 2010, la nouvelle version du spectacle met en scène Gaga à New York vivant une péripétie dans laquelle elle et ses amis se perdent en tentant de trouver le chemin pour se rendre au Monster Ball. Les deux versions de la tournée sont divisées en cinq segments, en plus de posséder un retour. Toutes deux affichent Gaga dans différents costumes, chantant des chansons et relatant le concept de chacun des segments, qui sont séparés par des vidéos d’interlude.

Les critiques musicaux contemporains soulignent positivement les habiletés vocales et le sens de la mode de Gaga. Ils sont aussi impressionnés par la théâtralité dont fait part la tournée, comparant celle-ci à d’autres spectacles tels que ceux d’artistes comme Madonna. Le Monster Ball Tour permet de récolter un total de 227,4 millions de dollars, engendrés par plus de 200 spectacles qui attirent moyenne une audience de 2,5 millions de personnes. Il par le même fait devient la tournée la plus lucrative pour un nouvel artiste, et une des tournées ayant amené le plus de bénéfices de tous les temps. Lors des Billboard Touring Awards 2010, Gaga remporte le prix de la Meilleur tournée pour un nouvel artiste et celui de la Meilleure promotion pour un concert, qui salue son partenariat avec le commanditaire Virgin Mobile.

En février 2011, au Madison Square Garden, la chaîne HBO enregistre le Monster Ball Tour. Le programme, intitulée Lady Gaga Presents the Monster Ball Tour at Madision Square Garden, est diffusé sur HBO et Sky1 respectivement aux États-Unis et au Royaume-Uni. Il montre la totalité du concert ainsi que certains moments issus des coulisses, et reçoit des avis partagés de la part des critiques, qui notent une ressemblance avec In Bed with Madonna, le documentaire diffusé en 1990 relatant l’histoire de la tournée de Madonna.

Genèse[modifier | modifier le code]

Photographie de Lady Gaga debout sur une plateforme, vêtue d'une veste mauve et d'une paire de lunettes de la même couleur.
Les deux versions de la tournée s’entament avec un remix club de Dance in the Dark. Dans la version originale, affichée ci-dessus, Gaga apparaît derrière de forts éclairages.

Tout commence lorsque le chanteur de hip-hop Kanye West et Lady Gaga élaborent ensemble un plan pour se lancer dans une tournée commune, s’intitulant Fame Kills: Starring Lady Gaga and Kanye West, dès octobre 2009[2]. À la suite des MTV Video Music Awards 2009, où West interrompt le discours de Taylor Swift alors qu’elle remercie le public pour avoir remporté le prix de la Meilleure vidéo d’une artiste féminine, Kanye prend la décision de se retirer temporairement de la scène musicale vu l’attention médiatique négative qui lui est portée. Néanmoins, une liste complète des dates des représentations du Fame Kills est peu après affichée sur le site web de Gaga. La tournée doit initialement débuter le 10 novembre 2009 à Phoenix, en Arizona[3]. Toutefois, quelque temps après le dévoilement, la liste est retirée et la tournée annulée définitivement sans aucune explication[4]. Gaga mentionne tout de même la situation lors du déjeuner Billboard Women in Music, où elle déclare que des différends artistiques sont la raison de l’abolition de la tournée. Dans une interview, elle ajoute que « Kanye prend une sabbatique musicale, mais la bonne nouvelle est que ce n’est pas mon cas »[5].

Photographie de Lady Gaga debout sur une plateforme, vêtue d'une veste mauve et d'une paire de lunettes de la même couleur.
Dans la version révisée, affichée ci-dessus, Gaga chante également Dance in the Dark, mais cette fois-ci sur une scène imitant la ville de New York.

Après avoir annoncé au public qu’elle se lancera dans sa propre tournée, les dates du The Monster Ball Tour sont officiellement annoncées le 15 octobre 2010. Celui-ci devait à l’origine s’entamer à Londres au début de 2010, mais son commencement est finalement devancé au 27 novembre 2009, à Montréal[6],[7]. Le rappeur Kid Cudi confirme sa présence au Monster Ball Tour en tant que première partie, mais est rapidement remplacé, le 28 décembre 2009, par le chanteur Jason Derülo[6],[8]. L’affiche promotionnelle de la tournée montre Gaga habillée de Versace, portant des lunettes numéro 676 de la même marqe et entourée d’un gyroscope géant, nommé « L’Orbite », qu’elle a inaugurée le 3 octobre 2009 dans le cadre d’un épisode de Saturday Night Live. L’accessoire est conçu par Nasir Mazhar et l’équipe artistique personnelle de Gaga, la Haus of Gaga[5],[9]. La chanteuse signe un partenariat pour la manche américaine de la tournée avec Virgin Mobile, qui a introduit le programme Free I.P., un système offrant gratuitement des billets de la tournée aux gens qui offrent de leur temps à des organisations luttant pour l’institutionnalisation de jeunes sans-abri[10].

Développement[modifier | modifier le code]

Concept original[modifier | modifier le code]

« Dans le spectacle, je commence à vivre en tant que cellule puis évolue tout au long de son déroulement. Toute cette évolution est faite en respectant ma philosophie, qui est la pop, la performance artistique, la mode — toutes ces choses sont présentes dans le spectacle. C’est une histoire, c’est moi combattant tous les monstres, mes peurs, auxquels j’ai dû faire face. Au cours de la tournée, je chante certaines chansons de The Fame et toutes celles de The Fame Monster. De plus, la scène, que j’ai conçue avec la Haus of Gaga, est une sorte de cube géant. Imaginez que vous sortez d’une télévision et brisez les quatre murs de la pièce l’entourant. Cela vous force ensuite à fixer au centre de la télévision. Cela est ma façon de dire que ma musique est mon art. »

Lady Gaga décrivant globalement le concept original de la tournée.

Dans une interview avec Rolling Stone, Gaga explique qu’elle désire jumeler un style vestimentaire extravagant et un magnifique spectacle pour de ce fait satisfaire ses fans. Vu la théâtralité et les éléments scénaristiques de la tournée, qui sont joués de la même façon que dans des drames lyriques, Gaga décrit le spectacle comme étant un « opéra pop-électro ». Selon elle, le style visuel du concert est avant-gardiste et novateur en terme de créativité. Suite au désir de Gaga de changer le positionnement du Monster Ball Tour, celle-ci et la Haus of Gaga créent une plateforme « carrée, avec une perspective complète, pouvant être mise au milieu d’une salle ». Au centre, la plateforme conçue par l’équipe de Gaga est agrémentée d’un triangle, imitant donc un diamant, et ses dimensions sont mise sur pied de façon à ce qu’elle puisse concorder avec toute salle. Gaga justifie ce choix en déclarant qu’« ainsi, peu importe où je me trouve, chacun de mes fans vit une expérience identique. Même si je vais dans des salles où l’éclairage n’est pas ajusté, où le public est mal réparti et où la scène est inégale - parfois trop longue, parfois trop large -, je garde le contrôle sur les effets et différents éléments du spectacle grâce à cette plateforme ».

La thématique du spectacle, en plus de traiter des monstres, qui sont tous mentionnés dans The Fame Monster, aborde l’évolution de l’humain et le pêcher originel. Gaga explique cela en disant « Moi et mes amis parlions de la croissance puis la discussion s’est dirigée vers la science, et finalement, cela nous peu à peu guider vers une conversation concernant l’évolution de l’humanité et de comment nous, tout être humain, naissons en une personne et en devenons une autre ». Ces deux thèmes, les monstres et l’évolution influent sur la mode vestimentaire de Gaga dans la tournée, qui selon Gaga est « à un niveau supérieur de celui du Fame Ball […] Ce sera une expérience véritablement artistique qui vous amènera dans la meilleure fête post-apocalyptique vous aurez visité ». Bien que Gaga affirme qu’elle s’est inspirée des éléments qu’elle et West ont conçus pour le Fame Kills, elle atteste qu’elle n’a utilisé aucun de ceux-ci dans le Monster Ball. Plus tard, elle déclare que le Fame Kills est « la meilleure tournée annulée », tout en se révisant et confirmant que finalement, certains éléments de cette dernière tournée sont incorporés dans le Monster Ball. Pour l’interprétation de Paparazzi, Gaga collabore avec Matthew « Matty Dada » Williams, un membre de la Haus of Gaga.

Initialement, elle imagine un déroulement différent pour la performance. Toutefois, Dada suggère que Gaga coiffe ses cheveux de manière tressée, ce qu’elle n’avait jamais fait à l’époque. Dada justifie son idée en affirmant qu’elle est inspirée par l’apparence de Raiponce, le héros de contes de fées. Il élabore en disant que, malgré son inspiration, Gaga et le décor ne ressembleront pas au personnage, affirmant que les contes de fées sont « quelque chose que les gens comprennent parfaitement. Ainsi, lorsque j’ai dit à Gaga qu’elle porterait des lunettes de soleil et serait accompagnée par un monstre géant dansant à ses côtés, je lui ai promis qu’elle ne ressemblera pas à Raiponce ».

Concept révisé[modifier | modifier le code]

Photographie montrant plusieurs danseurs et une femme sur une scène, tous derrière un cube de verre géant.
Au cours de la version originale, le spectacle se poursuit avec l'interprétation de Just Dance, affichée ci-dessus, dans laquelle Gaga surgit d'un cube de verre géant.

En décembre 2009, Gaga révèle qu’elle prévoit annuler les dates initiales du Monster Ball dans le but de se lancer dans une nouvelle version de la tournée. Elle a l’impression que le concert original doit être remplacé comme il a été construit et imaginé dans un très court laps de temps. Gaga déclare qu’après avoir annulé sa tournée avec West, Fame Kills, elle n’était plus certaine de pouvoir créer un concert en respectant l’échéancier fixé par son label, mais désirait absolument promouvoir The Fame Monster. C’est pourquoi elle bâtit un spectacle qu’« honnêtement, je n’aurais jamais fait si j’avais eu plus de temps ». Ainsi, après avoir complété les dates américaines, Gaga prévoit jouer la nouvelle version à partir des dates britanniques, en février 2010. Elle clarifie en disant que « mon équipe croit que je suis complètement folle. Mais je ne me soucie pas du tout de ce qu’ils pensent. [...] Simplement pour vous donner une idée, la nouvelle scène est environ quatre fois plus grande que la précédente et, conceptuellement, est entièrement différente. Une chose qui a été perdue dans la musique pop ces 10-15 dernières années et l’idéologie du showbiz. Et, dans ma tournée, elle sera définitivement de retour ». Les oeuvres qui ont principalement inspiré la conception du spectacle sont les films musicaux tels que Le Magicien d'Oz (1939) et West Side Story (1961), le film de science-fiction Metropolis (1927) ainsi que la mini-série télévisée Angels in America (2003).

Photographie une femme vêtue d'un habit de sœur religieuse accompagnée de plusieurs autres personnes. Ceux-ci sont entassés dans un petit compartiment de métro.
Au cours de la version révisée, Gaga apparaît dans un habit de sœur religieuse lors de la performance de LoveGame, affichée ci-dessus. Tout au long de celle-ci, elle se trouve dans un compartiment de métro.

Lors d’une interview avec 98.5 Capital FM, une station de radio londonienne, Gaga explique de façon plus approfondie les changements de la tournée. Elle déclare que le concert est construit sous forme d’une pièce de comédie musicale et spécifie qu’il incorpore un numéro de pièces musicales de tout genre, certaines d’entres elle ayant été pré-enregistrées spécifiquement pour le spectacle. De plus, Emma, un keytar, est construit spécialement pour le Monster Ball. L’instrument est créé par la Haus of Gaga, la chanteuse ajoute à son propos que « moi et la Haus avons ce nouvel instrument que j’ai apporté aux Brits, Emma. Elle est un hybride de tous les autres instruments existants ». Dans le cadre d’une interview avec Ryan Seacrest ayant lieu dans son émission, On Air with Ryan Seacrest, et étant diffusée sur KISS-FM, Gaga explique que le spectacle se nomme toujours le Monster Ball, mais qu’il est maintenant plus une pièce musicale qu’un concert. Celui-ci est érigé autour de son thème principal, New York; Gaga et ses amis se rendent au Monster Ball, mais se perdent en route dans la ville.

En juillet 2010, dans une interview pour le magazine Rolling Stone, Gaga souligne certaines de ses inspirations pour les interprétations de la version révisée du spectacle. L’une d’elles concerne le placement d’un clavier dans le capot d’une voiture lors de la performance de Just Dance. Gaga explique ceci en disant que, lorsqu’elle était jeune, elle est tombée en amour avec un homme qui conduisait une Chevrolet El Camino verte-lime nommée Nadine. C’est alors qu’au moment où la conception de la tournée devait être faite, Gaga et son équipe ont pris la décision de créer une imitation fantaisiste de l’automobile. La chanteuse décide ensuite de transformer la voiture en piano. Selon l’histoire fictive du Monster Ball, lorsque Nadine tombe en panne d’essence, Gaga ouvre son capot, joue Just Dance puis la voiture fonctionne à nouveau. Une autre partie de la tournée, nommée Subway, est inspirée par la vision que Gaga possède de New York et son fantasme ayant lieu dans un compartiment de métro. Au cours de ce segment, Gaga est vêtue d’un habit de sœur religieuse, qui selon elle la personnifie en tant qu’« une étudiante catholique se découvrant elle-même, et, dans cette découverte, qui est guidée vers le Monster Ball ».

Synopsis du concert[modifier | modifier le code]

Scénario original[modifier | modifier le code]

Photographie montrant une femme portant un habit doré imitant le costume traditionnel des pharaons égyptiens.
Dans la version originale de la tournée, le spectacle se continue avec la performance de Fashion, affichée ci-dessus, dans laquelle Gaga est vêtue d’un habit doré inspiré par la mode égyptienne antique.

Apparaissant sur scène dernière un géant écran vidéo vert projetant certaines images, Gaga est vêtue d’un justaucorps futuriste, accessoirisé de pierres précieuses, s’harmonisant avec ses lunettes. Elle commence à chanter Dance in the Dark tandis que ses danseurs, habillés d’un masque blanc ainsi que d’une combinaison de la même couleur, exécutent une chorégraphie autour d’elle. Alors que la performance se continue, l’écran vidéo, affichant une grille mathématique bleue, disparait. Après avoir terminé l’interprétation, Gaga accroche un clavier à sa taille puis chante Just Dance tout en étant enfermée dans un cube de verre géant suspendu au plafond. La performance terminée, une brève vidéo d’interlude est affichée, puis Gaga revient sur scène portant un costume blanc imitant un squelette d’extraterrestre alors que ses danseurs revêtent des coiffes, elles aussi reproduisant des dos d’extraterrestre. Gaga entame ensuite la chanson LoveGame, qui se termine rapidement pour laisser place à des flammes surgissant de l’écran vidéo, camouflant ainsi Gaga qui retire son costume squelettique. Enfilant un justaucorps argenté, Gaga effectue l’interprétation d’Alejandro, dans laquelle elle simule différentes positions sexuelles avec ses danseurs.

Photographie montrant une femme portant un habit conçu de différentes plumes artificielles. À ses pieds est présent un imposant brouillard.
Pour faire suite aux précédentes interprétations, la performance originale de Monster, affichée ci-dessus, où Gaga porte une robe faite de plumes, est mise sur pied.

La performance achevée, une vidéo montrant des chiens bruyants et des corbeaux est jouée. Monster est par la suite chantée par Gaga, qui apparait à nouveau sur scène, cette fois-ci dans une jaquette plumée noire. En guise de chorégraphie, elle imite certains mouvements emblématiques de Michael Jackson pendant que la toile de fond affiche des ailes d’oiseaux noirs. Elle continue le spectacle avec deux chansons issues de The Fame Monster intitulées So Happy I Could Die et Teeth, après avoir retiré sa robe de plumes. Gaga joue ensuite la ballade Speechless au Piano, et poursuit avec une version acoustique de Poker Face. Le rappeur Kid Cudi rejoint ultérieurement la chanteuse pour interpréter Make Her Say, qui contient des extraits de Poker Face. Ce segment est suivi par les performances de Fashion et de The Fame, durant lesquelles Gaga est vêtue d’un justaucorps et d’une coiffe, tous deux dorés, inspirés du style vestimentaire égyptien antique et de la mode viking. Gaga joue ensuite Money Honey puis se retire de la scène pour se vêtir d’un bikini et d’un chapeau conçus de cuir rouge et y retourne pour interpréter Boys Boys Boys. Elle est accompagnée par ses danseurs, qui ne portent pas de chandail, dansant autour d’elle. Une légère pause a alors lieue, après laquelle Gaga, habillée d’un chandail fabriqué avec des bandelettes de cuir et d’un masque conçu de muselières, chante Poker Face en plus d’exécuter une chorégraphie. Paper Gangsta, une pièce issue de The Fame, est alors jouée. Pendant la performance de celle-ci, Gaga est assise sur une chaise de dentiste et écarte ses jambes. Une autre vidéo, montrant Gaga, qui est vêtue de manière gothique, dans différentes poses, est par la suite diffusée.

Pour débuter le dernier segment, Gaga est attache de longues extensions à ses cheveux dans le cadre de la performance de Paparazzi. Ses cheveux contenant deux anneaux accrochés à une barre métallique, elle se retrouve perchée sur cette dernière barer qui est soutenue par deux danseurs. En guise de fond, des étoiles sont montrées. L’interprétation se termine avec une séquence pendant laquelle Gaga, toujours accrochée à la barre, prend l’altitude puis, finalement, simule sa mort. Le rappel venu, Gaga surgit du plafond — ce qui représente sa renaissance — puis interprète Eh, Eh (Nothing Else I Can Say) dans la brume et les éclairages blancs. Tout au long de l’interprétation, elle est entourée par un gyroscope géant fabriqué par la Haus of Gaga nommé « The Orbit ». Au cours de la dernière performance du spectacle, celle de Bad Romance, Gaga porte un ensemble inspiré des années 80 contenant d’immenses épaulettes et des pantalons lousses. La représentation se conclut avec une vidéo affichant Gaga se faisant tatouer un coeur sur l’épaule, où est inscrit le mot « Papa ».

Scénario révisé[modifier | modifier le code]

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Version originale[modifier | modifier le code]

Version révisée[modifier | modifier le code]

Réception commerciale[modifier | modifier le code]

Diffusion et enregistrement[modifier | modifier le code]

Première partie[modifier | modifier le code]

Programmation[modifier | modifier le code]

Dates des représentations[modifier | modifier le code]

Date Ville Pays Salle
Amérique du Nord [22]
Montréal Drapeau du Canada Canada Centre Bell
Toronto Air Canada Centre
Ottawa Scotiabank Place
Boston Drapeau des États-Unis États-Unis Wang Theatre
Camden Susquehanna Bank Center
Vancouver Drapeau du Canada Canada Queen Elizabeth Theatre
San Francisco Drapeau des États-Unis États-Unis Bill Graham Civic Auditorium
Las Vegas Pearl Concert Theater
San Diego San Diego Sports Arena
Los Angeles Nokia Theatre
New Orleans UNO Lakefront Arena
Atlanta Fox Theatre
Miami Knight Center
Orlando UCF Arena
St. Louis Fox TheatreFox Theatre
Chicago Rosemont Theatre
Détroit Joe Louis Arena
New York City Radio City Music Hall
West Lafayette Elliott Hall of Music
Europe [22]
Manchester Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni Manchester Evening News Arena
Dublin Drapeau de l'Irlande Irlande The O2
Belfast Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni Odyssey Arena
Liverpool Echo Arena Liverpool
Londres The O2 Arena
Glasgow Scottish Exhibition Centre
Cardiff Cardiff International Arena
Newcastle Metro Radio Arena
Birmingham LG Arena
Océanie [22],[23]
Auckland Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande Vector Arena
Sydney Drapeau de l'Australie Australie Sydney Entertainment Centre
Newcastle Newcastle Entertainment Centre
Melbourne Rod Laver Arena
Brisbane Brisbane Entertainment Centre
Canberra AIS Arena
Perth Burswood Dome
Adelaïde Adelaide Entertainment Centre
Wollongong WIN Entertainment Centre
Sydney Sydney Entertainment Centre
Melbourne Rod Laver Arena
Asie [22]
Kobe Drapeau du Japon Japon Kobe World Kinen Hall
Yokohama Yokohama Arena
Europe [22]
Stockholm Drapeau de la Suède Suède Ericsson Globe
Hambourg Drapeau de l'Allemagne Allemagne O2 World Hamburg
Berlin O2 World
Arnhem Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas Gelredome
Antwerp Drapeau de la Belgique Belgique Sportpaleis
Paris Drapeau de la France France Palais omnisports de Paris-Bercy
Oberhausen Drapeau de l'Allemagne Allemagne König Pilsener Arena
Strasbourg Drapeau de la France France Zénith de Strasbourg
Nottingham Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni Trent FM Arena Nottingham
Birmingham LG Arena
Londres The O2 Arena
Manchester Manchester Evening News Arena
Sheffield Sheffield Arena
Amérique du Nord [22]
Montréal Drapeau du Canada Canada Centre Bell
Boston Drapeau des États-Unis États-Unis TD Garden
Atlantic City Boardwalk Hall
New York City Madison Square Garden
Toronto Drapeau du Canada Canada Air Canada Centre
Cleveland Drapeau des États-Unis États-Unis Quicken Loans Arena
Indianapolis Conseco Fieldhouse
St. Louis Scottrade Center
Oklahoma City Ford Center
Dallas American Airlines Center
Houston Toyota Center
Denver Pepsi Center
Phoenix US Airways Center
Kansas Sprint Center
Chicago Grant Park
Los Angeles Staples Center
Las Vegas MGM Grand Garden Arena
San Jose HP Pavilion at San Jose
Portland Rose Garden
Tacoma Tacoma Dome
Vancouver Drapeau du Canada Canada Rogers Arena
Edmonton Rexall Place
Saint Paul Drapeau des États-Unis États-Unis Xcel Energy Center
Milwaukee Bradley Center
Détroit The Palace of Auburn Hills
Pittsburgh Consol Energy Center
Washington D.C. Verizon Center
Charlottesville John Paul Jones Arena
Philadelphie Wells Fargo Center
Hartford XL Center
Charlotte Time Warner Cable Arena
Raleigh RBC Center
Europe [22]
Helsinki Drapeau de la Finlande Finlande Hartwall Areena
Oslo Drapeau de la Norvège Norvège Oslo Spektrum
Herning Drapeau du Danemark Danemark Jyske Bank Boxen
Dublin Drapeau de l'Irlande Irlande The O2
Belfast Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni Odyssey Arena
Zagreb Drapeau de la Croatie Croatie Arena Zagreb
Budapest Drapeau de la Hongrie Hongrie Budapest Sports Arena
Turin Drapeau de l'Italie Italie Torino Palasport Olimpico
Vienne Drapeau de l'Autriche Autriche Wiener Stadthalle
Zurich Drapeau de la Suisse Suisse Hallenstadion
Prague Drapeau de la Tchéquie République tchèque O2 Arena
Malmö Drapeau de la Suède Suède Malmö Arena
Antwerp Drapeau de la Belgique Belgique Sportpaleis
Gdańsk Drapeau de la Pologne Pologne Ergo Arena
Rotterdam Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas Ahoy Rotterdam
Lyon Drapeau de la France France Halle Tony Garnier
Milan Drapeau de l'Italie Italie Mediolanum Forum
Barcelone Drapeau de l'Espagne Espagne Palau Sant Jordi
Lisbonne Drapeau du Portugal Portugal Pavilhão Atlântico
Madrid Drapeau de l'Espagne Espagne Palacio de Deportes
Londres Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni The O2 Arena
Paris Drapeau de la France France Palais Omnisports de Paris-Bercy
Amérique du Nord [22]
Atlantic City Drapeau des États-Unis États-Unis Boardwalk Hall
New York City Madison Square Garden
Washington D.C. Verizon Center
Pittsburgh Consol Energy Center
Chicago United Center
Grand Rapids Van Andel Arena
Toronto Drapeau du Canada Canada Air Canada Centre
Buffalo Drapeau des États-Unis États-Unis HSBC Arena
Ottawa Canada Scotiabank Place
Boston Drapeau des États-Unis États-Unis TD Garden
Columbus Jerome Schottenstein Center
Louisville KFC Yum! Center
Dallas American Airlines Center
San Antonio AT&T Center
Omaha Qwest Center Omaha
Salt Lake City EnergySolutions Arena
Oakland Oracle Arena
Sacramento ARCO Arena
Las Vegas MGM Grand Garden Arena
Phoenix US Airways Center
Los Angeles Staples Center
San Diego Viejas Arena
Anaheim Honda Center
Tulsa BOK Center
Austin Frank Erwin Center
Houston Toyota Center
New Orleans New Orleans Arena
Fort Lauderdale BankAtlantic Center
Miami American Airlines Arena
Orlando Amway Center
Tampa St. Pete Times Forum
Atlanta Arena at Gwinnett Center
Nashville Bridgestone Arena
Newark Prudential Center
Uniondale Nassau Veterans Memorial Coliseum
Montréal Drapeau du Canada Canada Centre Bell
Cleveland Drapeau des États-Unis États-Unis Quicken Loans Arena
Guadalajara Drapeau du Mexique Mexique Estadio Tres de Marzo
Mexico Foro Sol

Box office[modifier | modifier le code]

Salle Ville Billets vendus / disponibles Bénéfice
Centre Bell Montréal 40,285 / 44,466 (90%) 10,016,362$[24],[25],[26]
Air Canada Centre Toronto 28,753 / 28,753 (100%) 2,506,582$[27],[28]
Scotiabank Place Ottawa 21,895 / 21,895 (100%) 1,891,532$[27],[28]
Wang Theatre Boston 7,056 / 7,056 (100%) 4,385,924$[29]
Susquehanna Bank Center Camden 7,143 / 7,143 (100%) 4,891,295$[29]
Queen Elizabeth Theatre Vancouver 8,220 / 8,220 (100%) 479,149$[30]
Bill Graham Civic Auditorium San Francisco 17,000 / 17,000 (100%) 9,840,960$[31]
Nokia Theatre Los Angeles 20,559 / 20,559 (100%) 944,680$[32]
Fox Theatre Atlanta 8,897 / 8,897 (100%) 489,849$[32]
James L. Knight Center Miami 9,365 / 9,365 (100%) 445,933$[33]
UCF Arena Orlando 6,753 / 6,785 (99%) 283,886$[34]
Rosemont Theatre Rosemont 12,712 / 13,032 (97%) 610,177$[35]
Joe Louis Arena Détroit 16,084 / 16,648 (97%) 750,090$[36]
Radio City Music Hall New York City 23,684 / 23,684 (100%) 1,360,515$[37]
Edward C. Elliott Hall of Music West Lafayette 5,765 / 5,765 (100%) 198,893$[38]
Manchester Evening News Arena Manchester 40,327 / 40,472 (~100%) 3,007,033$[39]
The O2 Dublin 62,985 / 62,985 (100%) 1,225,970$[40]
Odyssey Arena Belfast 10,038 / 10,038 (100%) 426,986$[40]
The O2 Arena London 67,795 / 67,812 (99%) 4,618,330$[41],[42]
Vector Arena Auckland 23,084 / 23,936 (96%) 1,056,840$[39]
Sydney Entertainment Centre Sydney 35,460 / 35,460 (100%) 2,533,140$[43]
Newcastle Entertainment Centre Newcastle 7,182 / 7,225 (99%) 527,770$[36]
Rod Laver Arena Melbourne 39,299 / 39,299 (100%) 2,679,010$[44]
AIS Arena Canberra 4,990 / 5,058 (99%) 328,569$[39]
Burswood Dome Perth 18,383 / 22,891 (80%) 1,746,560$[39]
Adelaide Entertainment Centre Adelaide 9,186 / 9,791 (94%) 629,515$[39]
WIN Entertainment Centre Wollongong 5,183 / 5,746 (90%) 349,420$[39]
Brisbane Entertainment Centre Brisbane 25,222 / 25,476 (99%) 2,065,210$[43]
O2 World Hamburg Hamburg 7,010 / 10,500 (67%) 600,688$[42]
Sportpaleis Antwerp 63,759 / 63,759 (100%) 5,255,380$[45],[46]
Palais Omnisports de Paris-Bercy Paris 31,474 / 31,552 (~100%) 2,763,340$[47]
Boardwalk Hall Atlantic City 26,827 / 26,837 (100%) 3,434,715$[48],[49]
Madison Square Garden New York City 74,410 / 74,410 (100%) 8,295,034$[39],[49]
American Airlines Center Dallas 39,501 / 41,619 (95%) 4,334,491$[50],[51]
Staples Center Los Angeles 44,094 / 44,476 (99%) 5,091,571$[52],[53]
Rose Garden Portland 13,149 / 13,149 (100%) 1,386,255$[39]
Rexall Place Edmonton 28,282 / 28,282 (100%) 2,794,870$[54]
Verizon Center Washington, D.C. 29,608 / 29,608 (100%) 3,235,156$[45],[49]
Consol Energy Center Pittsburgh 14,713 / 14,713 (100%) 1,554,415$[49]
United Center Chicago 15,845 / 15,845 (100%) 1,801,457$[49]
Van Andel Arena Grand Rapids 11,992 / 11,992 (100%) 1,227,096$[28]
HSBC Arena Buffalo 15,512 / 15,512 (100%) 1,580,602$[28]
TD Garden Boston 14,361 / 14,361 (100%) 1,525,663$[28]
Jerome Schottenstein Center Columbus 13,229 / 13,229 (100%) 1,369,378$[28]
KFC Yum! Center Louisville 17,270 / 17,270 (100%) 1,678,962$[51]
AT&T Center San Antonio 14,257 / 14,257 (100%) 1,462,75$4[51]
Qwest Center Arena Omaha 15,313 / 15,313 (100%) 1,606,232$[51]
EnergySolutions Arena Salt Lake City 14,385 / 14,385 (100%) 1,313,005$[51]
Oracle Arena Oakland 15,913 / 15,913 (100%) 1,563,797$[53]
Power Balance Pavilion Sacramento 14,285 / 14,285 (100%) 1,302,951$[53]
MGM Grand Garden Arena Las Vegas 14,119 / 14,119 (100%) 1,712,826$[53]
US Airways Center Phoenix 14,166 / 14,166 (100%) 1,386,115$[53]
Viejas Arena San Diego 9,655 / 9,655 (100%) 1,147,055$[53]
Honda Center Anaheim 13,026 / 13,026 (100%) 1,380,353$[53]
BOK Center Tulsa 13,710 / 13,710 (100%) 1,322,897$[55]
Frank Erwin Center Austin 12,904 / 12,904 (100%) 1,295,938$[55]
Toyota Center Houston 13,412 / 13,412 (100%) 1,401,330$[55]
New Orleans Arena New Orleans 13,513 / 13,513 (100%) 1,392,998$[55]
BankAtlantic Center Sunrise 13,398 / 13,398 (100%) 1,442,679$[26]
American Airlines Arena Miami 14,695 / 14,695 (100%) 1,573,090$[26]
Amway Center Orlando 13,451 / 13,451 (100%) 1,460,286$[26]
St. Pete Times Forum Tampa 15,134 / 15,134 (100%) 1,506,017$[26]
Arena at Gwinnett Center Duluth 10,864 / 10,864 (100%) 1,173,392$[56]
Bridgestone Arena Nashville 14,925 / 14,925 (100%) 1,485,607$[56]
Prudential Center Newark 14,809 / 14,809 (100%) 1,500,885$[56]
Nassau Veterans Memorial Coliseum Uniondale 13,195 / 13,195 (100%) 1,393,404$[56]
Quicken Loans Arena Cleveland 14,857 / 14,857 (100%) 1,499,897$[26]
Estadio Tres de Marzo Guadalajara 29,047 / 29,047 (100%) 2,559,232$[26]
Foro Sol Mexico City 111,060 / 111,060 (100%) 6,699,708$[26]
Total 1,454,824 / 1,469,682 (99%) $125,201,731

Crédits[modifier | modifier le code]

Les données sont issues des livrets respectifs du Monster Ball Tour (version originale et révisée)[57].

  • Promoteur(s) – Live Nation Global Touring (monde), AEG Live (Royaume-Uni)
  • Sponsor(s) – Virgin Mobile (États-Unis), M.A.C Cosmetics (monde)
  • Directeur de la tournée – Arthur Fogel
  • Directeur(s) artistiques – Matthew « Dada » Williams, Willo Perron
  • Chorégraphe – Laurie-Ann Gibson
  • Assistant chorégraphe – Richie Jackson
  • Styliste – Nicola Formichetti
  • Assistant styliste – Anna Trevelyon
  • Directeur administratif – Troy Carter
  • Directeur financier – TMI Productions
  • Directeur légal – Ziffren Brittenham LLP
  • Coiffeur – Frederic Aspiras
  • Maquilleur – Sarah Nicole Tanno
  • Assistant maquilleur – Tara Savelo
  • Réalisateurs des vidéos – Nick Knight et Haus of Gaga
  • Monteurs des vidéos – Ruth Hogben, Kevin Stenning (BURSTvisual)
  • Programmeur des vidéos – Matt Shimamoto
  • Compagnie d'éclairage – Production Resource Group (PRG)
  • Compagnie de vidéo en direct – Nocturne Video
  • Designer de l'éclairage – Willie Williams
  • Directeur de l'éclairage – Ethan Weber
  • Danseurs – Michael Silas, Ian McKenzie, Asiel Hardison, Graham Breitenstein, Montana Efaw, Sloan Taylor-Rabinor, Amanda Balen, Molly d'Amour, Mark Kanemura, Jeremy Hudson, Cassidy Noblett, Victor Rojas
Représentations originales (2009–10)
  • Directeur musical – Jeff Bhasker
  • Designer de la scène – Es Devlin
  • Constructeur de la scène – Tait Towers
  • « The Orbit » – Nasir Mazhar and Haus of Gaga
  • Designer(s) de costumes – Haus of Gaga avec Franc Fernandez, Gary Card, Maison Martin Margiela, Miguel Villalobos, Oscar O Lima, Zaldy Goco
  • Guitariste – Adam Smirnoff
  • Batteur – Charles Haynes
  • Claviériste – Pete Kuzma
  • Joueur de Keytar – Lady Gaga
  • Claviériste/Batteur – Mitch Cohn
Représentations revisées (2010–11)
  • Directeur musical – Joe « Flip » Wilson
  • Designer de la scène – Roy Bennett
  • Constructeur de la scène – Tait Towers
  • Sclupteur(s) – Nick Knight, Kevin Stenning
  • Designer(s) de costumes – Haus of Gaga avec Giorgio Armani, Miuccia Prada, Philip Treacy, Charlie le Mindu, Jaiden Va James, Rachel Barrett, Gary Card, Keko Hainswheeler, Atsuko Kudo, Alex Noble, Zaldy Goco, Alun Davies, Marko Mitanovski, Alexander McQueen, NOKI
  • Claviériste – Brockett Parsons
  • Violoniste – Judy Mickey Kang
  • Batteur – George « Spanky » McCurdy
  • Bassiste – Lanar « Kern » Brantley
  • Guitariste(s) – Ricky Tillo, Kareem Devlin
  • Harpiste – Rashida Jolley
  • « Emma » – Lady Gaga
  • Joueur de keytar – Lady Gaga
  • Choristes – Posh, Charity Davis, Ameera Perkins, Lenesha Randolph, Taneka Samone Duggan, Chevonne Ianuzzi, Jasmine Morrow

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

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  3. (en) Daniel Kreps, « Kanye West, Lady Gaga Announce Full Slate of “Fame Kills” Dates », Rolling Stone, Jann Wenner,‎ (lire en ligne, consulté le )
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  57. (en) Lady Gaga The Monster Ball Tour (Liner Notes) Interscope Records (2009-10). Consulté le 3 août 2011