Utilisateur:Michel Abada/Article en cours de modification/Calvaire de Gordon

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Le crâne qui aurait donné au Ier siècle son nom au « lieu du crâne » (Golgotha), où Jésus aurait été crucifié selon les évangiles

Le Calvaire de Gordon est situé à Jérusalem, en dehors des murs de la ville antique et à proximité de la Porte de Damas au dessus de la « falaise du crâne ». Depuis la fin du XIXe siècle ce lieu est considéré par certains comme celui où Jésus fut crucifié, en opposition au site traditionnel du Golgotha, dont la légende dit qu'il a été identifié au IVe siècle à la demande d'Hélène la mère de l'empereur Constantin Ier.

Juste à côté de la « falaise du crâne » un lieu appelé Tombe du jardin est beaucoup plus célèbre grâce notamment aux guides touristiques. Depuis 1894 et l'achat juste à côté de ce terrain par la Garden Tomb Association, la tombe antique qui s'y trouve est en effet présentée comme la tombe de Joseph d'Arimathée dans laquelle, selon les évangiles, il aurait mis Jésus après sa crucifixion avant que celui-ci ne « ressuscite » moins de deux jours après.

Appellation[modifier | modifier le code]

Golgotha voulant dire « lieu du crâne », Jésus aurait été crucifié sur le plateau situé au-dessus de cette falaise
Plan approximatif de Jérusalem au Ier siècle. La falaise du crâne se trouve à gauche de la Grotte de Jérémie[1]
(Voir une carte plus précise).

Le Golgotha est une éminence où la tradition place la crucifixion de Jésus de Nazareth. On en trouve l'évocation dans les évangiles qui expliquent que le terme signifie « lieu du crâne »[2]. Le terme grec des évangiles (Γολγοθα) vient de l'araméen gulgūltá signifiant « crâne »[3]. Pourtant, la localisation de ce lieu est sujette à controverses.

L'identification des sites chrétiens au IVe siècle[modifier | modifier le code]

Après la crucifixion de Jésus, Jérusalem a connu plusieurs bouleversements. Notamment d'importantes destructions ont eu lieu pendant le Siège de Jérusalem (70) et surtout la ville a entièrement été détruite à l'issu de la défaite de la Révolte de Bar Kokhba (135), en représailles à cette révolte[4]. Une nouvelle ville appelée Ælia Capitolina est alors construite sur l'emplacement de Jérusalem dans des dimensions plus petites que la ville juive[5], sur le plan d'une colonie romaine[6]. Les Juifs, toutes tendances confondues sont expulsés de la ville comme de l'ensemble de la Chôra[6]. Les survivants du mouvement nazôréen créé par Jésus ont été expulsés de la ville avec les autres juifs[7]. Ils se replient vers le nord et s'implantent en Galilée dans la région de Nazareth et de l'autre côté du Jourdain sur le Golan[8] et en Bathanée. Les Juifs sont désormais interdits de droit de cité à Ælia sous peine de mort, sauf le 9 Ab du calendrier hébraïque « où ils ont le droit de venir se lamenter sur les ruines du Temple afin d'en commémorer la chute ou ses [deux] chutes successives[9]. » Cette interdiction est maintenue, au moins, jusqu'à la Expansion de l'islam (VIIe siècle).

Après la conversion de l'empereur Constantin (313), les autorités chrétiennes et impériales cherchent à identifier les grands lieux de la vie de Jésus pour y installer des églises chrétiennes. C'est à ce moment que le Golgotha est situé sur le lieu où sera construit l'Église du Saint-Sépulcre. Aucun lieu de culte chrétien, pas même le Golgotha, n'est historiquement attesté à Jérusalem avant le IVe siècle[10].

Problèmes posés par le site traditionnel[modifier | modifier le code]

Un militaire anglais de la fin du XIXe siècle, le major général Charles Gordon, s'intéressa aux contradictions existant entre la localisation traditionnellement admise du Golgotha et sa description par les évangiles. Il profita alors d'un voyage à Jérusalem en 1883-1884[11] pour rechercher un site plus cohérent avec ces derniers.

Le rocher retenu par les autorités chrétiennes au IVe siècle et qui se trouve désormais à l'intérieur de l'église « est trop étroit pour permettre l'érection de trois croix[12] ». Or toutes les sources et toutes les représentations indiquent que Jésus a été crucifié entre deux « brigands ». Ce rocher est aussi « trop escarpé pour être gravi surtout par un condamné particulièrement affaibli[12] ». Or selon les évangiles, Jésus avait subi préalablement le supplice de la flagellation (Mc 15:15) et était tellement affaibli que le légionnaire romain qui commandait l'exécution a du demander à Simon de Cyrène de l'aider à transporter « sa croix (Mc 15:21) » (probablement le seul patibulum).

De plus, le site retenu au IVe siècle semble être situé à l'intérieur de l'enceinte de la ville au moins dans l'enceinte définie par ce que Flavius Josèphe appelle le troisième mur et peut-être même à l'intérieur du « deuxième mur ». Or les traditions chrétiennes et notamment l'évangile attribué à Jean disent que « le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville[13] » et donc obligatoirement à l'extérieur du mur d'enceinte. Toutefois, les défenseurs du site traditionnel estiment que dans cette partie, l'enceinte externe de la ville ne suivait plus les défenses naturelles du site et que le mur s'interrompait à hauteur des tours au nord du palais d'Hérode. Ils estiment qu'avant le « troisième mur » construit quelques années après la crucifixion de Jésus par Agrippa Ier (37-44), l'enceinte ne suivait pas les défenses naturelles du site. L'archéologie ne permettant pas de discerner en général, des périodes aussi courte. Par ailleurs, le tracé exact du « deuxième mur » n'est pas connu avec précision dans cette partie de la ville et les défenseurs du site traditionnel estiment qu'il passait juste devant le site de l'église du Saint-Sépulcre en faisant deux décrochements.

D'autre-part, plusieurs sources chrétiennes indiquent que Jésus a été crucifié à proximité du secteur des jardins, avec non loin de cet endroit notamment un pressoir à huile, ce qui suggère la présence de plantations d'oliviers. Or la zone aux alentours de l'église du Saint-Sépulcre semble avoir été occupée par des habitations à cette époque et rien dans les recherches archéologiques n'indique que cette zone ait pu être une zone agricole à l'époque de Jésus.

Anonyme de Bordeaux[modifier | modifier le code]

  • (coupé pour cause de blacklist) http://www. villemagne.net /site_fr/jerusalem-l-anonyme-de-bordeaux.php L'anonyme-de-bordeaux]

Vers 333, l'Anonyme de Bordeaux écrit:

Le Mont Sion et le Mont des Oliviers
« Lorsque vous sortez de Jérusalem pour gravir le Mont Sion, du côté gauche, plus bas dans la vallée, à côté du mur, il y a un bassin appelé piscine de Siloé (Jn 9:7) et qui a quatre portiques. Il y a un autre grand bassin à l’extérieur. Cette source coule durant six jours et nuits, mais le septième jour, qui est le dimanche, elle ne coule pas du tout, ni dans la journée ni la nuit. De ce côté, on gravit le Mont Sion et l’on voit où était la maison du prêtre Caïphe et il reste encore une colonne contre laquelle le Christ a été battu avec des verges. À l’intérieur du mur de Sion, on voit l’endroit où était le palais de David. Des sept synagogues qui étaient là autrefois, il n’en reste qu’une seule ; quant aux autres, on laboure et on sème sur elle, comme dit le prophète Isaïe (Is 1:8; Mi 3:12). »

En sortant de Jérusalem pour gravir le Mont Sion, le pèlerin a sur sa gauche la piscine de Siloé. Il est donc clair que le mont dont il parle est le mont Sion actuel, car s'il parlait de l'Ophel ou du mont du Temple, en sortant de Jérusalem, la piscine serait situé sur sa droite.

Il indique d'ailleurs que sur ce mont Sion est situé la maison de Caïphe et la colonne où Jésus a été battu avec des verges qui se situent tous les deux sur ce qui est appelé le mont Sion aujourd'hui.

Le pèlerin de Bordeaux voit cette maison en ruine (en 333). En 530, le pèlerin Théodosus affirme que « De la sainte Sion (le Cénacle) à la maison de Caïphe qui est présentement l'église saint-Pierre, il y a plus ou moins 50 pas. » L'article Église Saint-Pierre en Gallicante indique d'ailleurs la position de cette église sur le mont Sion.

L'article Lieux de station de la liturgie de Jérusalem indique:

À partir du IXe siècle, on commence à distinguer les deux endroits et c'est ainsi que l'on situait au moins jusqu'au XIXe s. la « maison de Caïphe » au sommet de la colline entre la Sainte-Sion et le mur (ottoman) de la ville, dans une propriété arménienne. Mais le lieu du repentir de Pierre s'est toujours maintenu sur le flanc de la colline, là où les Assomptionnistes ont acquis un terrain, « Saint-Pierre en Gallicante », où ont été retrouvés des restes intéressants. Il s'agit d'une part de mosaïques qui ont pu appartenir à l'église, bien qu'on n'ait pas réussi à identifier son plan[14], et d'autre part d'une grotte qui pourrait bien être la « prison du Christ », avant que celle-ci ne migre dans le Saint-Sépulcre, avec d'autres souvenirs de la Passion (comme la colonne de la flagellation, dont le Pèlerin de Bordeaux disait déjà qu'elle avait été déplacée dans la Sainte-Sion, vraisemblablement en provenance de la Maison de Caïphe). Des fouilles plus récentes ont mis au jour des restes d'une riche maison d'époque romaine.


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Le crane qui aurait donné au Ier siècle son nom au « lieu du crâne » (Golgotha), où Jésus aurait été crucifié selon les évangiles

Le Calvaire de Gordon[15] est situé à Jérusalem, en dehors des murs de la ville antique et à proximité de la Porte de Damas.

Deuxième mur[modifier | modifier le code]

« Trois murs fortifiaient la ville du côté où elle n'était pas entourée de ravins infranchissables ; sur ces derniers points, il n'y avait qu'un retranchement. »

Un retranchement ? Un petit mur en quelque sorte.

« du côté des ravins, la muraille n'était pas praticable et, de l'autre, le premier mur paraissait assez fort pour défier les machines. »

Donc, il y avait bien une muraille « du côté des ravins », probablement un mur moins épais et moins haut, ce que Josèphe avait appelé un retranchement.

Tour Antonia[modifier | modifier le code]

Construite par Hérode

« La tour Antonia était située à l'angle de deux portiques du premier Temple, le portique de l'ouest et celui du nord : on l'avait construite sur un rocher élevé de cinquante coudées et escarpé de toutes parts. C'était l’œuvre du roi Hérode qui y montra au plus haut degré la magnificence de son caractère.

Le rocher, depuis ses fondements, était recouvert de plaques de pierres lisses, servant d'ornements et en même temps de défense, car tout homme qui eût essayé d'y monter ou d'en descendre aurait glissé. De plus, il y avait, devant l'édifice même de la tour, un mur de trois coudées, à l'intérieur duquel s'élevait jusqu'à une hauteur de quarante coudées toute la superstructure de l'Antonia. »

« Présentant dans  l'ensemble l'aspect d'une tour, elle s'appuyait aux quatre angles d'entre elles avaient cinquante coudées de hauteur ; celle qui était placée à l'angle sud-est en mesurait soixante-dix, de sorte que de son sommet on apercevait le Temple tout entier. »

Troisième mur[modifier | modifier le code]

« Le troisième mur avait pour origine la tour Hippicos ; de là il continuait vers le nord jusqu'à la tour Psephina, descendait en face de la sépulture d'Hélène, reine des Adiabéniens et mère[17] du roi Izatas, se développait le long des caveaux royaux, s'infléchissait à la tour d'angle près du Tombeau du Foulon, enfin, se rattachant à l'ancien retranchement, aboutissait dans la vallée du Cédron. Ce fut Agrippa qui entoura de ce mur les nouveaux quartiers de la ville, jusque-là tout entiers sans défense ; car la cité, vu l'excès de la population, débordait peu à peu les remparts[16]. »

Tour Psephina, Titus, Tombeau d'Hélène et jardins[modifier | modifier le code]

Au tout début du siège, Flavius Josèphe raconte une attaque que les assiégés ont lancé contre Titus, alors que celui-ci effectuait une reconnaissance.

« Il lui [Titus] était impossible de continuer sa marche en avant, car tout le terrain, à partir du rempart, était sillonné de fossés destinés à l'irrigation des jardins, coupé de murs transversaux et de nombreuses clôtures. »

Les jardins se trouvaient donc bien au nord du quartier de Bézétha. Pour cet incident Josèphe donne la position suivante:

« sur la route qui montait en ligne droite vers les remparts, personne ne parut hors des portes ; mais quand il se détourna de la route pour se rapprocher de la tour Psephinos ([8] A l'angle N.-O. du troisième mur) par une marche oblique, à la tète de ses cavaliers, soudain, prés des tours appelées « tours des femmes », une innombrable multitude s'élança par la porte située en face du monument d'Hélène et se fraya un chemin au milieu de la cavalerie. »

Position du tombeau d'Hélène par rapport au 3e mur[modifier | modifier le code]

Il est précisé plus loin que « Titus n'avait ni casque ni cuirasse » pour cette reconnaissance. Il se trouvait donc probablement au minimum à 200 mètres du mur (et peut-être même 300). Peut-on en conclure qu'il y avait au moins 200 à 300 mètres entre le 3ème mur et la tombe d'Hélène ?

À l'époque de Félicien de Saulcy, il semblait presque établi que l'enceinte à l'époque du siège était la même que celle de la vieille ville actuelle (qu'en est-il aujourd'hui ?). Dans ce texte Félicien de Saulcy essaye de démontrer que le tombeau d'Hélène ne peut pas se trouver là où Robinson l'a situé. Il n'a reconnu cette position du tombeau que par la suite. L'essentiel de sa démonstration est : 1) la porte de Damas correspond à la porte des Femmes ; 2) Il y a 800 mètres (ou 750 mètres) entre les deux ce qui ne correspond pas aux descriptions que nous donne les différents auteurs.

  • Baab-el-Aamoud (« Porte de la colonne ») = Porte de Damas (pour de Saulcy la porte de Damas correspond à la position de la porte des femmes située par Joseph à l'est de la tour Psephina et en face du tombeau d'Hélène)
  • Qasr-Djaloud = tour Psephina (selon Félicien de Saulcy, mais qui semble se tromper)

En Ant jud XX, IV, 3, Josèphe dit qu'Hélène avait fait bâtir son tombeau à 3 stades de Jérusalem, ce qui (selon le stade utilisé) ferait selon de Saulcy entre 420 et 555 mètres. (555 mètres avec le stade romain tel qu'il est rapporté par wp)

Il y a 2450 à 2500 pieds entre la porte de Damas et le tombeau d'Hélène et ce tombeau est bien situé en face de la porte de Damas. (0,3048×2450=746,76 m.)

Pour Moïse de Khorène, le tombeau d'Hélène est situé devant la porte de la ville sainte. (mais il s'agit d'Aelia Capitolina)

Le point où Félicien de Saulcy semble avoir raison c'est que la distance entre le tombeau d'Hélène et le troisième mur était inférieure à 750 mètres. => Conclusion : le troisième mur doit être situé environ 200 mètres plus au nord que l'enceinte de la vieille ville actuelle. Que disent les historiens/archéologues actuels sur ce sujet ? Difficile à savoir. C'est ce qui semble ressortir des plans de Jérusalem fournis par Lémonon ou Mimouni. Reste une question, le Calvaire de Gordon était-il au delà ou en deçà du troisième mur ? De toute façon après la prise de Jérusalem en 69-70 les murs d'enceinte ont été détruits (sauf le mur occidental du Tempe et 3 tours). Une bonne partie de la ville a été détruite, beaucoup de citoyens sont prisonniers, en exil ou vendu comme esclave => Dons la ville est dépeuplée et beaucoup d'habitations détruites et comme il n'y a plus e mur d'enceinte on est assez facilement en dehors de la ville.

Tour Hippicos[modifier | modifier le code]

Schwentzell[modifier | modifier le code]

Situation de la tour Hippicos

Selon Schwentzell, la tour Hippicos était la plus occidentale des trois tours (Hippicos, Phasaël et Mariamne) situées sur le mur nord de l'ensemble palatial qu'a fait construire Hérode Ier le Grand[17]. Celui-ci était composé de deux édifices principaux, l'un dédié à Auguste (César), l'autre à Marcus Agrippa[17]. Il devait mesurer environ 330 mètres de long et entouré d'une muraille de 14 mètres de haut. Dans la Guerre des Juifs, Josèphe nous donne aussi des indications sur les jardins attenants au palais où se côtoyaient des bois d'essence diverses, de longues allées des canaux, des réservoirs et des fontaines[17].

Les trois tours (Hippicos, Phasaël et Mariamne) défendaient la muraille nord de cet ensemble[17]. À l'ouest la tour Hippicos mesurait 37 mètres de haut. La tour Phasaël s'élevait à quelques 42 mètres de hauteur. Il est possible que l'actuelle tour dite « de David », près de l'actuelle porte de Jaffa, en soit le vestige[17].

Joan Taylor[modifier | modifier le code]

« Dans mon livre, Christians and the Holy Places, j'ai soutenu que Constantin a choisi de construire sa “Martyrium” basilica (dédiée en 335) en l'honneur de la croix sur le site de l'ancien temple de Vénus pour des raisons de convenance, et que le Temple de Vénus lui-même avait été construit ici (ca. AD 135-50) sans avoir le moindre objectif de recouvrir un lieu saint chrétien[18]. »

« Cela m'a conduit à un autre réexamen de toutes les preuves disponibles, et la découverte de matériel supplémentaire dans les apocryphes du Nouveau Testament, qui peuvent porter sur les questions. Dans cet article, je soutiens que la crucifixion était bien plus au sud que le site traditionnel permettrait de situer, comme je l'ai soutenu précédemment, mais que le tombeau de Jésus traditionnelle peut très bien être authentique[19]. »

Le mot golgolta aurait indiqué ne pas tout simplement un crâne dans sa forme squelettique, mais une tête humaine individuelle, et plus tard Jérôme examinerait le sens de «Golgotha» dans le dialecte de son propre jour de Jérusalem à être "le lieu de la décapitation» (Comm. dans Matthieu 27:33). Quel que soit le cas, la chose importante est que nous avons ici une région qui peut être identifié comme ayant un certain caractère géographique de son propre: ". L'ancienne carrière à l'ouest des murs», il aurait pu s'appeler autre chose que Si l'on devait rejeter la carrière dans son ensemble comme étant le Golgotha, et chercher une option dans la carrière, il y aurait alors le problème de concilier cela avec la description donnée dans l'Evangile de Jean, qui se réfère à Golgotha comme un espace assez grand pour contenir une site d'une crucifixion romaine et aussi un appareil cultivé des terres ou sur le jardin (kapos) où il y avait une nouvelle tombe[20].

Nouveau Testament[modifier | modifier le code]

John 19:20 a ce que les topos où Jésus fut crucifié était près de la ville , de nombreux Juifs lurent le titulus , " Jésus le Nazaréen , le roi des Juifs " . Mark 15:29-30 ( = Mt 27:39 ) se réfère aux passants sur la route ( hodos ) . Dans la Lettre aux Hébreux ( 13:12 ) , Jésus est décrit comme étant crucifié " en dehors de la porte . " Par conséquent , il nous est dit expressément dans le Nouveau Testament que l'emplacement précis de la crucifixion était proche d'une route et , bien sûr , une porte[21].

Quelle porte ? En fait , nous n'avons pas un grand nombre de solutions de rechange . Comme dans toutes les villes fortifiées , les routes ont conduit vers l'extérieur des portes dans certaines directions principales . Villes fortifiées n'ont généralement pas une grande abondance de portes , parce portes augmentent leur vulnérabilité stratégique . Portes servi routes principales seulement . Si nous sommes à la recherche d'un porte près de la région que nous avons identifié comme Golgotha , il y a une seule porte connue qui cadrerait bien pour cette localité. Il est généralement supposé que la porte était probablement celle que Josèphe appelle Porte de « Gennath (Γενὰθ, jardins)[22],[23] », située dans le premier mur. Selon Flavius Josèphe , c'est ici que le second mur commençait ( et ensuite vers le nord et autour de la forteresse Antonia répondre )[24].

L' Onomasticon d'Eusèbe[modifier | modifier le code]

Plus important encore, peut-être, est la preuve trouvée dans l'Onomasticon d'Eusèbe[25], écrite à la fin de la 3ème siècle ou au début du quatrième, un certain temps avant que Constantin ait construit sa basilique sur le site du Temple de Vénus ([préalablement] détruit ). Dans ses notes de divers lieux bibliques qu'il pouvait encore trouver en Palestine, Eusèbe écrit au sujet due Golgotha : « lieu du crâne », où le Christ a été crucifié , qui est en effet placé (pointed out in Aelia) dans Aelia, juste à côté (pros) de la partie nord (tois boreiois) du Mont Sion[26].

« Le Pèlerin de Bordeaux (AD 333) décrit le mont Sion comme un grand espace, peut-être divisé par un mur. Le pèlerin sort de Jérusalem et voit la piscine de Siloé « à côté du mur » (Itin. 592) puis gravit le mont Sion à partir de là et puis s'en va « à l'intérieur de Sion, au delà du mur » pour voir le palais de David (cité de David), le domaine de l'actuelle Citadelle. Le pèlerin passe ensuite par « le mur de Sion vers la porte de Neapolis », de quel mur il s'agit cela n'est pas clair, mais ce sont probablement des restes du premier mur[27]. »

Par la suite, de nombreux autres témoins montrent qu'au IVe siècle, le mont Sion n'est plus le mont du Temple, mais est déjà l'actuel mont Sion.

Évangile de Pierre[modifier | modifier le code]

Il existe aussi ce qu'il est convenu d'appeler le « fragment Akhmim » de l'Évangile de Pierre qui serait autrement perdu[28]. Il y est dit que Joseph d'Arimathée a pris Jésus, l'a lavé , l'a enveloppé dans du lin, et l'a apporté dans son propre sépulcre appelé « Jardin de Joseph »( 6.24). C'est un nom intéressant pour la localisation, car il ressemble beaucoup au genre de nom qui aurait été donné au site au fil du temps, afin de l'identifier précisément. En outre, il s'agit d'un nouveau nom, ne résultant pas des évangiles canoniques. Il est certes probable que si Joseph était propriétaire de la tombe, il possédait le jardin extérieur, la tombe avait probablement été fraîchement taillée dans la paroi d'une parcelle de terrain qu'il avait acheté. Que le tombeau soit nommé par référence à un jardin est étonnant, et peut refléter la langue de la période après 41-44, lorsque Agrippa Ier a inclus cette zone à l'intérieur de sa troisième muraille. Grâce à cette innovation, les tombes auraient été vidées, et les tombes déjà taillées n'auraient plus été utilisées. Cependant, le jardin aurait encore probablement été un jardin. Dans les murs de la ville, les gens auraient pu facilement aller au « jardin de Joseph » et regarder dans la grotte/tombe inoccupée.

Une autre raison de supposer que certaines connaissances du site se trouvent derrière le texte de l'Evangile de Pierre est le détail curieux que lorsque Marie-Madeleine et ses amis se rendirent au sépulcre, ils "se penchèrent et y virent un jeune homme assis au milieu du sépulcre " (13:55 ). La porte de tombes romaines est généralement de petite taille, et serait obliger les gens à se baisser. Dans l'Évangile de Pierre, nous sommes d'imaginer les femmes se baissant pour regarder juste par l'entrée , pour voir à travers la porte un peu, où ils voient le jeune homme . Il leur ordonne ensuite . " ... Baisser cette façon et voir le lieu où il gisait , car il n'est pas ici» ( 13:56 ) . Encore une fois, sur la base de ce que nous savons de la « tombe de Jésus» traditionnelle et tombes romaines en général , pour voir la corniche on aurait besoin de se baisser encore par la porte et regarder à droite. C'est une représentation étonnamment précise[29].

Les Actes de Pilate, en date peut-être du deuxième siècle (Schneemelcher : 501-38), est redevable principalement à l'Evangile de Luc dans sa présentation de la crucifixion et l'enterrement ; le Golgotha n'est pas mentionné que le site. Ici, la tombe est spécifiquement décrit comme une «caverne» ( XII, XIII , XV.6 : " nouvelle grotte " ) . Si cela reflète une certaine connaissance du fait que le tombeau pourrait être décrit comme une grotte est difficile à évaluer , mais je comprend qu'il est complet[30].


Tout le reste montre que l'auteur ne sait pas que le mont Sion a « sauté » d'une colline à l'autre

Cela tend à suggérer que le site de la crucifixion - qui est ce qui est spécifiquement mentionné par Eusèbe - était près de la partie nord de " . Mount Zion " Aujourd'hui , le Mont Sion est identifié à l'extérieur du mur sud de la ville . Cependant , à proprement parler , géographiquement Mount Zion est l'ensemble de la colline du sud-ouest , le «sommet» étant juste au sud de l' actuelle Citadelle , où la hauteur au sol est de 773 m ( 2536 pieds) d'altitude . Le sommet de la montagne de Sion actuel est de 765 m ( 2510 pieds) d'altitude . La colline sud-ouest était l'emplacement du camp légionnaire d'Aelia , qui a été transféré à Eilat un certain temps sous le règne de Dioclétien . Il est assez clair que ce camp a été généralement considéré comme en dehors Aelia , la rue plan géométrique de la ville ne s'applique pas ici . Aelia bon a commencé juste au nord du camp , c'est à dire au nord de la montagne de Sion plus ( Biddle 1994:100 ). Le Pèlerin de Bordeaux (AD 333) décrit le mont Sion comme un grand espace, peut-être divisé par un mur. Le pèlerin sort de Jérusalem et voit la piscine de Siloé « à côté du mur » (Itin. 592) puis gravit le mont Sion à partir de là et puis s'en va « à l'intérieur de Sion, au delà du mur » pour voir le palais de David (cité de David), le domaine de l'actuelle Citadelle. Le pèlerin passe ensuite par « le mur de Sion vers la porte de Neapolis », de quel mur il s'agit cela n'est pas clair, mais ce sont probablement des restes du premier mur. Le pèlerin peut-être passé à travers la vieille Gennath Gate, si elle reste encore en usage[31]. À un certain point , l'étendue de la montagne de Sion rétréci . Certains idée de l'étendue de la montagne de Sion à l'époque byzantine est donnée par Eucher , au Ve siècle , qui écrit que

« il est sur le sud , et donne sur la ville comme une citadelle . La plus grande partie de la ville se trouve sur la pointe plate d'une colline qui est inférieur à ce mont . Mont Sion est couvert sur le flanc nord de logements pour le clergé et des moines , et son sommet , qui est de niveau , est occupée par les cellules de moines autour de l'église qui est dit avoir été fondée par les apôtres en l'honneur de la place du Seigneur résurrection , parce que c'est là qu'ils ont été remplis par l'Esprit une fois promis par le Seigneur ... la montagne de Sion ... est approché par une éminence étirement north[32]. »

Cette description correspond à la compréhension moderne de l'étendue de la montagne de Sion . Un mur qui sépare « la montagne de Sion " bonne de la ville a été construite vers où le mur actuel fonctionne , peut-être un peu de temps dans la période byzantine . Eucher écrit au Ve siècle que d'un mur long »englobe maintenant la montagne de Sion , bien que cela a été une fois à l'extérieur . " 13 Ce mur aurait clos le côté sud de la montagne de Sion[33].

Si la montagne de Sion est réputé avoir inclus le camp légionnaire , cependant, de l'identification du site de Jésus de la crucifixion Eusèbe correspond à ce que nous avons déjà apporté des éléments de preuve . A la fin du troisième siècle, le site de la crucifixion pourrait bien avoir été décrit comme étant dans Aelia , juste à côté de la partie nord de la montagne de Sion[34].

Martin Biddle a déclaré que cela, encore une fois, n'est pas la traduction correcte , affirmant au contraire que les pros tois boreiois tou Sion moyen Orous " au nord de la montagne de Sion » ou « au nord de la montagne de Sion » ( Biddle 99-100 ) qui cadrerait mieux avec l'implantation traditionnelle du lieu de la crucifixion à une certaine distance . Il convient de rappeler que la préposition grecque est pris dans son sens exact par le cas du mot auquel il se rapporte . " Au nord , " à l'aide des pros, aurait effectivement été pros Borran , soit pros avec la forme de l'accusatif , datif pas . Plus tois boreiois est très différente grammaticalement . Ici, nous avons la préposition avec l'article défini et un pluriel neutre adjectivale . Cela ne peut signifier « au nord », « . Du mont Sion " littéralement, il signifie " . Difficile par / très près ( pros ) les brochets ( tois boreiois ) " Dans ce cas , " les brochets " sont Cette construction est utilisée seulement une fois dans l'ensemble de la Onomasticon : dans le cas de Golgotha . Fait intéressant, toutefois , lorsque les articles définis avec des formes plurielles adjectifs se trouvent ailleurs , ils se réfèrent à des emplacements dans les territoires de la ville plutôt que de directions ( de 76,14 à 15 , cf 10,18 à 20 ; . 30,6 ; 42,11 ; 54,27 , de 68,15 à 16 ) . Plus signifie « très difficile par " quelque part , dans ce cas, " les régions du nord de la montagne de Sion . " Il peut être soit à l'intérieur ou à l'extérieur de ces régions du nord , mais il est proche de la limite . Nous pourrions peut-être même le traduire par « par la limite nord de la montagne de Sion . " Cela nous donne un emplacement tout à fait spécifique . Si Eusèbe avait voulu être vague , il aurait indiqué l'emplacement directionnelle , qui Golgotha était « au nord de la montagne de Sion » , quelque part , en utilisant les expressions qu'il a utilisées régulièrement : avantages Borran , eis Borran , et ainsi de suite[35].

Si nous combinons maintenant la preuve d'Eusèbe avec ce que nous avons à Peri Pascha de Melito , il ne semble remarquablement cohérent , et un emplacement dans Aelia a certainement raison . Quant à l'idée que si Golgotha a été " a souligné " qu'il devait être en quelque sorte visible ( Biddle : 100 ) , je ne suis pas sûr que ce soit vrai . Un site peut être souligné comme étant dans une certaine proximité , même si ne voit pas. Plaques à Londres et ailleurs sur les bâtiments modernes peuvent nous dire que le site était où la maison de, disons , William Blake a vécu , et guides pointera vers le bâtiment moderne comme étant à cet endroit , il ne signifie pas que quoi que ce soit de la maison de Blake reste à être regardé. Quiconque a été à une visite guidée se souviendra des moments où le guide peut pointer vers une cour , ou un carré , et d'identifier qu'un événement a eu lieu là-bas. Donc, ici , Eusèbe pointe vers un emplacement où un événement a eu lieu[36].

POV opposé à Taylor[modifier | modifier le code]

Tout d'abord, les différentes dalles de pierre (par exemple, où le corps de Christ est dit avoir été lavé et oint et où il a été mis au tombeau) sont en fait de marbre rose, qui, n'étant pas originaire de Palestine, a été sans aucun doute importé d'Europe. Deuxièmement, la désignation du site peut être placé dans le temps de la reine Hélène, mère de l'empereur Constantin. Elle suppose que le tombeau du Christ serait trouvé sous l'un des temples romains païens sur l'hypothèse que les Romains auraient couvert le lieu saint chrétien, tout comme ils avaient couvert le site du temple détruit d'Hérode avec un temple de leur propre, dédié à Jupiter. Elle rasé donc le temple de Vénus et fouillé la zone, trouver un grand cimetière. L'une des tombes était situé dans une grotte, et ce qu'elle libellés la "Saint-Sépulcre" du Christ.

En fait, il n'y avait pas les lieux saints "chrétiens" autant que les Romains de la deuxième siècle de notre ère étaient concernés. Rome combattait les Juifs, qui n'aurait pas eu lieu le tombeau de Jésus pour être sacré. La profanation du temple n'était donc pas comparable à celle de la tombe de Jésus. Malgré les plus de 16 siècles où l'Eglise Saint-Sépulcre a été tenue à la vénération, il n'a aucune preuve pour étayer ses allégations.

[...] Leurs raisons, cependant, n'étaient pas justifiées. L'objection à l'église, c'est qu'il était dans les murs de la ville, tandis que la Bible est claire que le Christ a été crucifié et enterré à l'extérieur du mur (qui sied loi religieuse juive).

Ce raisonnement a été réfutée par la découverte de la paroi ouest de la ville de l'époque de Jésus, situé sous la chapelle de orthodoxe Saint-Alexandre de Russie, juste jeter de l'Eglise du Saint-Sépulcre. 2 Ces «fouilles russe" montrent des restes du mur du nord au sud, puis, se tournant vers l'est et la formation d'une porte de l'angle à travers lequel, certains chrétiens croient maintenant, Christ est sorti en route vers le lieu de la crucifixion. Depuis l'église Saint-Sépulcre est situé juste à l'ouest de ce mur (avec des preuves dans les fouilles que Constantin a utilisé le mur lui-même pour former l'extrémité orientale de la première église), il était clairement en dehors des murs de la ville à l'époque de Jésus.

En 1881, le colonel britannique Claude R. Conder a pensé avoir identifié une tombe récemment creusée (maintenant situé sur le côté ouest de la route de Naplouse, à côté de la nouvelle gare routière) à celle du Christ. En effet, une comparaison avec les tombes d'Hérode-période de fouilles à Jéricho au cours des dernières années a mis en évidence que le tombeau ne, en effet, la date de la période du temps correct, bien que personne ne croit aujourd'hui que ce soit celle du Christ. 3

En 1867, une autre tombe avait été creusée à proximité, à l'est, à la base d'une falaise basse. Le propriétaire grec du site avait l'intention d'utiliser le tombeau taillé dans le roc comme un réservoir pour le stockage de l'eau. Mais, après avoir été informés par des amis que les archéologues seraient intéressés à le voir intact, il inhumé, puis plus tard, il est exposé à voir de nouveau. 4

Lieu du crâne[modifier | modifier le code]

Pendant ce temps, la colline à l'est de cette tombe a attiré l'attention d'un certain nombre de chercheurs européens qui visitent ou qui vivent en Terre Sainte, comme Otto Thenius (1842 ou 1849), le colonel Churchill (c.1870) et Fisher Howe (1871 ). Pour eux, il est apparu que ce pourrait être un endroit logique pour le Golgotha de la Bible. 5

En 1883, le général britannique Charles ("chinois") Gordon était en visite à Jérusalem et de rester à l'American Colony, juste à l'intérieur de la muraille nord et immédiatement à l'est de la porte de Damas. En contemplant le paysage à l'extérieur de la paroi, il a noté l'affleurement rocheux de premier plan à quelques centaines de mètres qui, à son avis, aurait pu être le Golgotha biblique. 6 Bien que la Bible ne dit pas que le Christ a été crucifié sur une colline ( Golgotha est appelé «le lieu du crâne» dans Jean 19:17), l'idée a été, néanmoins, fermement enracinée dans la tradition chrétienne en raison de la petite colline rocheuse dans l'Eglise Saint-Sépulcre. [...]

Le récit de Jean 19:41-42 fourni le principal renseignements biblique sur le site: «Maintenant, à l'endroit où il a été crucifié il y avait un jardin, et dans le jardin un sépulcre neuf, où personne encore n'avait été mis là qu'ils posées. Jésus .... "

Le tombeau avait, bien sûr, appartenu à Joseph d'Arimathie. Dans les années à venir, la preuve a été découvert que le Garden Tomb a été, en effet, un tombeau juif du premier siècle qui n'avait jamais été achevé, qu'il était situé au milieu d'un jardin et près de l'endroit de l'exécution, se conformant ainsi à la description biblique. Pourtant, en dépit de la grande quantité d'intérêt dans le site et le nombre de livres et brochures publiés au fil des ans, pas une source a donné la totalité de la preuve archéologique. Ni, d'ailleurs, ont tous ensemble considéré tout ce qui pouvait être dit. Il est donc mon espoir de présenter ici une vision plus globale des preuves en faveur de la Tombe du Jardin comme le site de la sépulture et de la résurrection du Christ.

Garden Tomb[modifier | modifier le code]

La première chose à noter est que la petite colline appelée "Calvaire de Gordon" est la partie la plus septentrionale de la montagne appelée Moriah dans la Bible. C'était à cette montagne que Abraham a Isaac pour le sacrifier (Gen. 22), symbolique du sacrifice de Christ à venir. Le site a ensuite été acheté par David et utilisé par Salomon pour construire son temple. Le temple lui-même était situé à environ mi-chemin sur la ligne nord-sud de la colline. De manière significative, les animaux sacrificiels, dont la mort symbolisée celle du Christ, ont été tués dans le nord de l'autel du temple (Lév. 01:11). Si Jésus a été crucifié à "Calvaire de Gordon," puis il est mort sur la partie la plus septentrionale de la colline où l'autel était situé.

Le Golgotha (que nous appellerons désormais "Calvaire de Gordon") est séparée du corps principal du mont Moriah par un gouffre créé par une ancienne carrière de pierre. Parce que le visage du crâne est sur la falaise qui a été coupé par la carrière, il est important de savoir quand la carrière était en exploitation. Si, par exemple, elle est postérieur au Christ, alors la forme du crâne ne pouvait pas avoir été présent dans son temps, et il n'y aurait aucune raison de croire qu'il a prêté le nom Golgotha sur le site. Il y a, cependant, quelques indications que la carrière antérieure Christ.

Les premiers bits de données sont traditionary. La falaise sud de la carrière passe juste en dessous de la paroi nord de la Vieille Ville de Jérusalem. Coupez-les en cette falaise est une grande grotte (en partie naturel) qui a été agrandi par l'exploitation des carrières. Il a longtemps été appelé «Carrières de Salomon", basé sur la tradition que c'est là que Salomon obtenu pierre pour la construction de son temple. Il a également été appelé «grotte de Sédécias,« d'une tradition que le roi Sédécias caché ici de Nabuchodonosor de Babylone en 587 av. Si l'une de ces histoires est vraie, alors la carrière et les falaise en forme de crâne-en résultent sont antérieurs à Christ. Savant français Charles Clermont-Ganneau découvert, dans la première des chambres de carrières à l'intérieur de la grotte, un dessin d'un sphinx ailé dans le style assyrien (aujourd'hui au Louvre à Paris). Cela dater de la période israélite et impliquerait que la carrière remonte au moins à 600 av. 7

La partie nord-est de la carrière, le long de la falaise à l'est de la tête de mort, s'ouvre sur une grande caverne creusée dans le roc appelé "Grotte de Jérémie." Tradition associés avec ce lieu où Jérémie a été emprisonné par le roi Sédécias et où il est dit avoir écrit le livre des Lamentations (Jérémie 38:6). Fait intéressant, Jer. 02:13 parle de «citernes crevassées, qui ne retiennent pas l'eau." Il est juste comme une citerne sur la même falaise, à l'ouest de la tête de mort. L'opération de carrières coupé la citerne en deux, laissant un grand trou béant dans la falaise, qui a un autre trou courir au sommet de la colline dans le roc, où les cordes ont été une fois laissé tomber pour en tirer de l'eau. Les citernes de ce type est venu en premier en usage dans l'époque du roi David, extinction de la chaux étant les moyens de prévenir les fuites d'eau à travers les fissures dans le calcaire. Il est possible qu'il ait été détruit une génération plus tard par le travail de Salomon. 8

La pièce principale de la preuve qui placerait la coupe de la carrière avant l'époque de Jésus, c'est la découverte d'un certain nombre de tombes de la période israélite taillées dans la roche sur la carrière falaise à l'ouest de la tête de mort sur la propriété de Saint- Stephen Couvent, très proche de la Tombe du Jardin lui-même. 9 Cela semble indiquer, une fois de plus, que les opérations d'extraction ont eu lieu avant cette date, à la fois sur la base de l'emplacement des tombes et sur le fait que les cimetières sont généralement considérés comme lieux sacrés, de ne pas être dérangés par les carrières. 10

Si, comme cette preuve l'indique, les falaises de la carrière se tenaient dans les jours d'Hérode le Grand, il est inconcevable que Hérode n'aurait pas fait usage de leur position défensive pour construire son mur de la ville du Nord au sommet eux. En effet, il ya quelques pierres d'Hérode entre la falaise et la soi-disant «Porte d'Hérode" à l'est, et des parties de la roche de la falaise semblent avoir été sculptés pour ressembler à des pierres d'Hérode avec leurs bords rédigés.

En outre, immédiatement à l'ouest de la falaise sud, où Mt. Moriah tombe à former la vallée Tyropoean (aujourd'hui comblé) du récit de Josèphe, nous avons la porte de Damas, où Dame Kathleen Kenyon aménagé au début des années 1960. Pierres Hérode se trouve ici, avec les restes d'une passerelle et tours Herothan 11 Ceci, bien sûr, fournit la preuve que le Golgotha était, comme la Bible dit-non loin à l'extérieur des murs de la ville et près de la porte (Jean 19:20;. Matt . 27:39; 28:11; Hébreux 13:12). Il a été également situé à côté de la route principale, un endroit idéal pour le nord une exécution publique en raison des nombreux passants (qui, dans l'histoire du Nouveau Testament, le Christ moqué comme il était sur la croix).

Major Conder a noté une tradition juive dit de lui en 1874-1875 que la colline était autrefois un lieu de l'exécution. 12 chrétiens de Jérusalem sont également dit avoir eu la tradition que cela a été le cas à la fois Jérémie et Stephen ont été lapidé. 13 Les ajustements de la falaise bien avec la méthode juive de la lapidation de l'époque du Christ, décrite dans la Michna (Sanh. 6, 1-4), dans lequel le condamné a été jeté d'une falaise (avec une hauteur minimale de 12 pieds). Si il a survécu à la chute, alors que les témoins étaient pour ramasser une grosse pierre et la lancer sur sa poitrine. S'il n'a toujours pas mort, alors la foule serait le lapider.

Il semble tout à fait probable que, à l'époque du Christ il n'y avait qu'un lieu d'exécution dans la région de Jérusalem. Depuis un site d'exécution aurait été considéré comme pollué, il n'aurait pas été conforme à la coutume juive de pierre ou exécuter des gens n'importe où ailleurs. À cet égard, il faut noter l'exécution de Stephen dans Actes 7. Commençant dès le cinquième siècle de notre ère, et 14 au moins jusqu'au temps des croisades, la porte de Damas a été appelé "la porte de Saint-Etienne."

Eglise Saint-Etienne du Ve siècle (aujourd'hui reconstruit avec le même nom et le logement de l'Ecole Biblique Française) est situé à côté de Golgotha, au-dessus de la falaise juste au nord de la Tombe du Jardin lui-même. La découverte de l'église en 1882 15 a fourni des éléments de preuve à l'appui de la tradition primitive de placer l'exécution de Stephen ici. Il est probable que le Christ a été exécuté dans le même lieu.

Les fouilles dans le domaine de la Tombe du Jardin ont révélé des preuves qu'il était, en effet, un ancien jardin-pas de fleurs, mais des fruits. Un pressoir, découvert en 1924, peut être vu sur le site aujourd'hui, avec trois citernes, dont l'une a une capacité de 200.000 litres d'eau. Du plâtre autour de l'extérieur de la tombe et dans les environs de la grande citerne a été déterminée comme datant de la période romaine, bien que le plâtre de la citerne elle-même a été réparé plus tard, à l'époque byzantine et décoré d'une croix, une preuve de début culte chrétien.

DESCRIPTION DE LA TOMBE[modifier | modifier le code]

La Tombe du Jardin répond aux spécifications de celle d'un riche Juif du premier siècle de notre ère. Plusieurs archéologues ont noté examiné et déclaré qu'il est juif et de la période d'Hérode. Comme 16 autres tombes juives de Jérusalem de la même période (par exemple, dans les vallées Kidron et Hinnom, à Sanhedria, etc), il est orienté vers le Mont du Temple. Il leur ressemble aussi dans sa forme, en ce qu'il comporte une "chambre en pleurant" extérieure pour les visiteurs, plus une chambre intérieure avec des niches funéraires pour les morts. Le type de burinage sur la face de la falaise en dehors de la tombe, et à l'intérieur aussi bien, est le même que celui trouvée dans ces sépultures de Jérusalem comme «Sanhédrin tombes," les tombes des vallées Kidron et Hinnom, le soi-disant " Tombeau des Rois », et le « tombeau de la famille d'Hérode - tous juifs et tous datant entre le deuxième siècle avant JC et le premier siècle de notre ère.

Taillé dans le roc solide, le Garden Tomb se conforme à la description biblique de "une sépulcre taillée dans le roc, où personne n'avait encore été mis" (Luc 23:53). Il dispose d'un nephesh (litt. «âme») ou une sorte de fenêtre coupée dans la face supérieure droite, par laquelle, selon la tradition juive, l'esprit du défunt partait après le troisième jour dans la tombe.

On entre dans la tombe par la chambre de pleurer sur la gauche, où il est possible de descendre légèrement dans la chambre funéraire. Ici se trouvent trois niches funéraires, dont une seule a été achevée par les ouvriers, ce qui indique que cela aurait été un "nouveau" tombeau où Jésus a été enterré là, comme le dit la Bible. Le seul créneau qui peut être vu à partir de la porte est celui dans le coin nord-est. Il serait donc s'adapter aux exigences du lieu de sépulture de Jésus, à la fois pour Marie-Madeleine et Jean ont pu voir l'endroit de l'extérieur du tombeau, en regardant à travers la porte. Les femmes qui viennent au tombeau le matin de Pâques ont pu regarder à l'intérieur et voir les anges assis où le corps de Jésus avait été couché.

Quand on examine de près la niche funéraire, il devient évident qu'il a été élargie dans le domaine de la tête à l'est, en ciselant loin dans le substratum rocheux. C'est probablement parce que la personne enterré il était plus grand que celui pour lequel il a été construit. Cette preuve d'un «tombeau emprunté" correspond à la nature de celle de Joseph d'Arimathie, dans lequel Jésus a été enterré.

En face de la tombe, il y a un creux qui pourrait avoir servi à guider une pierre qui roule devant la porte. (Voir Mark 16:3-4;.. Matt 28:2) Ces pierres de roulement pour les entrées de tombes sont connus des autres tombes juives de l'époque de Jésus dans la région de Jérusalem. On peut voir des exemples aujourd'hui à (1) la soi-disant « tombe de la famille d'Hérode," à côté de l'Hôtel King David, (2) le soi-disant «Tombeau des Rois" (en fait construit par la reine Hélène d'Adiabène à la fin du premier siècle avant JC, après sa conversion au judaïsme), en face de la cathédrale Saint-George, et (3) un tombeau dans l'église de Bethphagé, sur le mont des Oliviers, en route vers Béthanie.

Il a été fait remarqué que les coups de ciseaux dans le creux au Garden Tomb semblent être de l'époque des croisades à l'origine, indiquant qu'il a été peut-être utilisé pour l'alimentation des animaux, mais pas pour guider une pierre qui roule en place en face de l'entrée de la tombe. 17 Néanmoins, il est intéressant de noter qu'il a la même largeur que le chemin de roulage du "Tombeau des Rois." En outre, parce que le muret formant la partie avant de la cuve est de six à huit pouces de plus que le socle formant une cour en face de la tombe, si le bac était un coup, alors qu'il aurait dû être formé par l'abaissement de la toute cour rocheux en ciselant, ce qui n'est pas le cas. Si le burinage est de l'époque des Croisés, il est plus susceptible de résulter d'efforts pour approfondir le canal, plutôt que de créer.

Les visiteurs de la Tombe du Jardin sont souvent surpris à la hauteur de la porte menant à la tombe. Une telle ouverture, il faudrait une très grosse pierre de roulement pour le bloquer en plus grand que n'importe lequel de ceux connus dans d'autres tombes de la période. 18 Mais un examen de la ciselure sur le côté gauche de la porte (le seul côté qui est complet ) révèle que sa hauteur initiale était considérablement moins-à-dire approximativement un tiers de la présente porte. La partie supérieure de la porte a des preuves de burinage très rugueuse, fait quand plus pierre a été retiré pour intensifier elle. La largeur est la même que l'original, cependant, comme cela est démontré par le fait que son côté est encore partiellement marqué sur la partie inférieure droite.

La hauteur de la porte est importante pour comprendre l'histoire biblique, dans laquelle John et Marie-Madeleine ont dû se baisser pour regarder à l'intérieur de la tombe (Jean 20:05, 11). Chacun a pu voir l'endroit où Jésus a été enterré partir de cette position, qui souligne à nouveau à la niche funéraire dans le coin nord-est. C'était probablement à cause de la lumière entrant par la nephesh qu'ils étaient capables de discerner l'intérieur de ce qui aurait été une tombe sombre.

La raison de l'absence de porte et la paroi avant de la Tombe du Jardin (ce dernier maintenant rempli avec la maçonnerie) peut probablement être attribuée à la construction d'une église byzantine sur le site. Preuve de cette église prend la forme de mosaïques trouvées sur le site (restes de revêtements de sol), ainsi que la voûte et les trous pour plafond poutres trouvés dessus de l'entrée de la tombe.

Longues rainures dans le sol rocheux en face de la tombe ont peut-être pris en charge un écran bas, typique des églises byzantines. L'écran aurait séparé la zone de la congrégation de la zone où le prêtre officiait, avec le tombeau proprement dit (sa paroi avant ayant été assommé) servant de sanctuaire dans la configuration tripartite.

La dépression rectangulaire dans le sol rocheux à gauche de l'entrée de la tombe est peut-être pour un reliquaire boîte contenant des os ou d'autres reliques d'un saint tôt. Ce sont commun dans les églises byzantines.

Fig7

Croix byzantines ornent l'intérieur de la tombe et deux de la plus élaborée de ceux-ci, après avoir été peint sur le mur, ont disparu depuis la découverte de la tombe. Autres-peints et sculptés à rester, tout comme une grande croix de plâtre en relief dans la plus grande citerne.

Une autre croix est gravée sur le mur extérieur de la tombe, à la gauche et au-dessus de la hauteur de la porte. Un examen attentif montre qu'il était à l'origine une ancre qui a ensuite été étendu et transformé en une croix. L'ancre, avec le poisson, était un symbole chrétien très tôt et peut indiquer une vénération du premier siècle du site de la tombe.

Candidat le plus probable[modifier | modifier le code]

Sur le plateau au-dessus de la falaise basse dans laquelle la tombe est gravé se trouve l'église Saint-Etienne au milieu des ruines de structures plus anciennes. Un cimetière de l'époque byzantine, situé presque immédiatement au-dessus du jardin de la tombe elle-même, fait partie des découvertes archéologiques du site. Deux des inscriptions prêtent preuve de l'authenticité de la tombe comme celle du Christ. On lit "Buried près de son Seigneur», peut-être référence à la proximité de la tombe de Jésus. L'autre lit "Onésime, diacre de l'Eglise des témoins de la Résurrection." Quel meilleur endroit pour une église dédiée aux témoins de la résurrection de l'endroit où cet événement merveilleux s'est produit? Dans cette inscription, nous avons peut-être le nom de l'église byzantine qui se tenait une fois avant l'entrée de la tombe.

Comme circonstancielle que certains éléments de preuve peuvent être, une chose est certaine à propos de la Garden Tomb. Il s'adapte à toutes les qualifications pour le tombeau dans lequel Jésus a été enterré, à la fois archéologique et les points de vue des Écritures. Il est de loin le candidat le plus approprié pour le tombeau authentique de Jésus-Christ.

Notes[modifier | modifier le code]

1. William Steuart McBirnie, pour rechercher la tombe authentique de Jésus (Montrose, Californie; Acclamé Books, 1975), p. 110. Il y avait des cartes anciennes de Jérusalem qui montrait la crucifixion qui aura lieu au nord de la ville, en dehors de la porte de Damas, par exemple, Christianus Adrichon (1584), Bruin et Hogenberg (1572), et Thomas Fuller (1650). Voir Jérusalem: La Tombe du Jardin, le Golgotha et le jardin de la Résurrection (Londres: Le Tombeau Association Jardin 1955, ci-après JGT), pp 36-37.

2. Voir Barauth C. Schick en Palestine Exploration Fund relevé trimestriel (ci-après PEFQS), Avril 1893. Le mur continue vers le nord de la zone des fouilles et des restes russes peuvent être trouvées dans divers magasins menant à la porte de Damas. Le mur est en ligne avec d'autres la construction d'Hérode vu à la fois l'intérieur et l'extérieur de la zone de la porte de Damas.

3. Sir Charles Wilson identifié à tort comme la tombe israélite ou pré-israélite (c.-à-cananéen). Voir JGT, p. 20.

4. Schick dans PEFQS, Avril 1892.

5. Voir PEFQS, Avril 1890.

6. Voir l'article de Gordon dans PEFQS, Avril 1885.

7. Voir la brochure par Isaac Sachs, "Carrières de Salomon», publié par la municipalité de Jérusalem (sd), p. 13.

8. Si elle devait être possible d'examiner le plâtre à l'intérieur de la citerne, peut-être on pourrait déterminer sa date. Malheureusement, la propriété fait partie d'un cimetière musulman.

9. Schick, dans PEFQS, Juillet, 1886, p. 155, décrit ces tombes. Il ya quelques années, un archéologue associé à l'Institut Albright à Jérusalem (et également membre du conseil d'administration de la tombe Association Jardin) m'a dit d'une tombe âge du fer creusée vers 1922 le long de la falaise sous le mur nord de la Vieille Ville, qui prouverait que la carrière a été coupé avant l'heure. Cependant, je n'ai pas encore pu obtenir aucune information sur cette excavation.

10. L'interdiction de la profanation de tombes a, bien sûr, parfois ignoré dans le cas des envahisseurs. Par exemple, les Babyloniens ont profané des tombes juives, comme on le sait à la fois de Jérémie et de preuves archéologiques.

11. Il ya encore beaucoup de débats pour savoir si le travail d'Hérode dans la région de la porte de Damas remonte à l'époque d'Hérode le Grand ou à celui d'Hérode Agrippa 11. Kenyon estime la porte d'être en retard, tandis qu'un grand nombre d'autres chercheurs de la date avant le Christ, en montrant l'existence de mur plus au nord d'Agrippa (le "Troisième mur" mentionné par Josèphe). Bien que la question est importante, nous n'avons pas de place pour en discuter ici.

12. Conder dans PEFQS, Avril, 1890, pp 69-70.

13. Voir Rev JC Hanauer dans PEFQS, Juillet, 1892, p. 199. Voir aussi id. Ibid., Octobre 1902, p. 307.

14. Luciana, un pèlerin chrétien, écrit en l'an 415, note que la porte nord de Jérusalem a été appelé la "Porte de Saint-Etienne."

15. JGT, p. 19. Notez que la "Porte de Saint-Etienne" et "Eglise de Saint-Etienne" à l'est de la vieille ville n'ont pas reçu leurs noms et l'identification avec Stephen jusqu'à ce que les dix-huitième et dix-neuvième siècles.

16. Cela comprend Dame Kathleen Kenyon, Sir Charles Marston, Sir Flinders Petrie, et d'autres. Voir le Daily Telegraph de Londres Magazine du 27 Mars 1970.

17. JGT, p. 18.

18. Il est affirmé par certains et peut-être à juste titre, qu'il ya prises ciselés dans la roche à l'entrée qui ont occupé les charnières pour une porte en bois. Ceux-ci, cependant, auraient pu facilement être ajoutée après l'entrée a été renforcée. En outre, depuis les portes de pierre nous sont connus de tombes juives de la deuxième à la cinquième siècle de notre ère, il n'y a aucune raison de supposer que la porte était en bois. Aujourd'hui, la tombe Association Garden a exposé dans les exemples des deux portes de pierre et des pierres de roulement trouvé d'autres tombes dans la ville de Jérusalem.

Pour plus d'informations, consultez la brochure, Jérusalem: Le Gar den Tombeau, "Skull Hill" et le jardin de la Résurrection (copie droite par Palphot, Jérusalem, et imprimé à la fin des années 1970 pour l'Association Tomb jardin). Pour une excellente carte montrant les vestiges archéologiques à Jérusalem, avec l'Institut américain d'études Terre Sainte sur le mont Sion à Jérusalem.

ABD[modifier | modifier le code]

Dans le Nouveau Testament[modifier | modifier le code]

De les évangiles , l'emplacement est clairement défini en référence à la ville de Jérusalem :

( 1 ) le site a été connu par son nom hébreu , gwlgwlt ˒ , transcrit en grec golgotha , qui a été traduit Kraniou Topon ( - lieu du crâne ) et calottes de suppléance dans la Vulgate ( Jean 19:17 - 18 ; Luc 23:33 ; Mark 15:22 ; Matt 27:33 ) ;

( 2 ) le site était à l'extérieur l'une des portes de la ville , mais pas loin de là (He 12,12) , le quatrième Evangile souligne que beaucoup de Juifs lurent l'inscription sur la croix - parce que l'endroit était près de la ville (Jean 19:20) ;

( 3 ) sur le site du Golgotha il y avait un jardin contenant une nouvelle tombe ( cf. Jean 19:41 ; 20:15 , ce qui implique l'existence d'un jardin avec la mention d'un jardinier ) ;

( 4 ) le propriétaire de la nouvelle tombe était Joseph d'Arimathie ( Matt 27:59-60 ) ;

( 5 ) la tombe a été taillé dans la roche et l'entrée fermée par une grosse pierre en forme de meule de moulin ( Matt 27 : 59-60 , Marc 16:3-5 ; Luc 23:53 ; 24:2 ) .

Le tombeau semble avoir été de type arcosolium plutôt que Kôkîm. Voir INHUMATIONS ( ANCIEN juif) . Dans Jean 20:12 , les anges étaient assis à la tête et les pieds de Jésus quand il était sur la plate-forme de sépulture . Description de l'évangéliste des anges impossible dans une tombe de la m Kok ( ou four oblong ) taper , alors qu'il serait tout à fait naturel dans une tombe de arcosolium[37].

Localisation[modifier | modifier le code]

La tradition chrétienne depuis les premiers jours de l'Église [sic] a toujours reconnu le Golgotha dans ce lieu qui se trouve maintenant dans les limites de l'Eglise Anastasis. A compter de 1961 , des fouilles archéologiques et des explorations souterraines ont été réalisées dans le domaine de l'Anastasis , communément connu aujourd'hui comme la basilique du Saint-Sépulcre. Dans le même temps, la zone adjacente de Muristan a également été étudiée (par exemple , Kenyon , 1974; Lux 1972 )[38].

La tradition ancienne et les récentes découvertes archéologiques doivent être comparées avec les données bibliques pour établir si la tradition la plus ancienne est valide et la basilique du Saint-Sépulcre est en effet le site authentique du Golgotha . Il faut noter que, après la mort de Jésus , la zone du Golgotha a été incluse dans les murs de la ville de Jérusalem par Hérode Agrippa I ( AD 40-44 ). Après Jérusalem avait été détruite en l'an 135 , la nouvelle ville, - Colonia Aelia Capitolina, a été reconstruite plus au nord, ainsi que le site du Golgotha s'est retrouvé dans le centre de la ville . Selon les sources historiques ( Eusèbe Vita C. ; . . Jerome Ep Paul ) , le site du Golgotha a été enterré sous le vaste décharge du Capitolium (temple païen ) d'Aelia . La nouvelle ville romaine est clairement défini dans le célèbre Madeba Carte du 6ème siècle de notre ère ) , mais , à la place du Capitole se tient l'Anastasis constantiniennes . Les modifications effectuées à une suite de la création de la ville romaine est encore visible aujourd'hui dans la vieille ville , en expliquant comment le site du Golgotha est venu pour être dans le centre de la ville[39].

Résultats de l'archéologie[modifier | modifier le code]

Quel a été le site du Golgotha comme au temps de la Passion du Christ ? Les informations fournies par les évangiles trouve un bon soutien dans les résultats de la recherche archéologique récente (par exemple , Corbo 1981-1982 : . Vol 1 )

Les fouilles entreprises de 1961 à 1980 sur le site du Golgotha donnent les données suivantes :

( 1 ) Pas de logements de toute nature appartenant à une époque antérieure à la fin du 1er siècle après JC ont été retrouvés sur le site .

( 2 ) De la 7e siècle avant Jésus-Christ partir , la selle du mont . Gareb , où Golgotha était situé plus tard, contenait une grande carrière de Malaky ( royal ) pierre . Indications évidentes et sûr de cette carrière ont été trouvés dans toute la région qui sous-tend la basilique du Saint-Sépulcre et dans la zone adjacente Muristan .

( 3 ) Lorsque l'extraction a été interrompue au 1er siècle avant JC , la fosse a été récupéré pour la culture . Couche arable et les éclats de pierre épars ont été rejetés dans la fosse . Le résultat était un jardin avec des niveaux correspondant à peu près à l'étage de la basilique actuelle , ca . 10 m en dessous de la ligne de contour ( 760 m au dessus du niveau de la mer) de la selle d'origine de la pente de la colline .

( 4 ) Depuis la fosse a été transformé en un jardin, il avait des murs verticaux de pierre à ses bords extérieurs , en particulier ses côtés W et S . Au moins deux tombes ont été creusées dans les murs de W de la roche : celle du type de arcosolium (le tombeau de Jésus ) et celui communément appelé le tombeau de Joseph , avec les sites d'enfouissement de la m Kok ( ou au four ) taper . La paroi verticale sur le flanc S s'élevait au-dessus du jardin, comme une sorte de dent, de sorte que ses E et S flancs sont restés connectés à la selle d'origine de la colline . Cet éperon rocheux , y compris le jardin ci-dessous , a été appelé Golgotha .

( 5 ) Le jardin , avec les escarpements rocheux de Golgotha et les tombes , a subi deux grands changements après la résurrection de Jésus . Tout d'abord, avec la construction d'Aelia Capitolina , le jardin et les escarpements rocheux ont été enterrés sous une vaste décharge qui a soulevé les niveaux du jardin au niveau de la selle restante de la montagne , créant ainsi une large plate-forme . Le Capitole a ensuite été construit sur cette plate-forme , au-dessus du tombeau de Jésus . La structure a trois chambres avec une statue de Jupiter dans le central . L' éperon rocheux du Golgotha , maintenant enfoui dans la décharge , puis est devenu le fondement d'une statue de marbre de Vénus . Notre source pour cette information est Jérôme dans sa lettre à Paulin . Le témoignage d'Eusèbe ( Vita C 26 ) concernant le temple d'Hadrien au-dessus du jardin du Golgotha est plus vague , car il s sommets en termes généraux d'un culte de Vénus . ( - ... la construction d'un recoin sombre d'une divinité chaste , Aphrodite ... ) des fouilles récentes ont donné beaucoup d'Hadrien reste de la temenos des fondations de la Capitolium ( Corbo 1981-1982 : . . 1,33 à 37 ; 2 Tableau 28 ; 3 Photos 1-3 , 5 , 14 , 15 , 17 , 30 , 31 , 34 , 44 , 45 , 50 , 51 , 53 , 88-90 , 118-20 ) . La redécouverte des vestiges de construction d'Hadrien sur le site du jardin du Golgotha est un plus certain critère de l'authenticité de ce site .

La deuxième modification , selon les informations fournies par Macarios , évêque de l'église mère de Jérusalem , a été l'œuvre de Constantin le Grand , qui , en 325 , avait le Capitole et les temenos démoli et enlevé la décharge . Dans ce processus , le jardin du Golgotha , avec ses deux monuments de la Passion ( le tombeau de Jésus et de la colline du Golgotha ) a été découvert : sur le côté de S , l'éperon rocheux du Golgotha s'est refait surface , alors que dans le W , les escarpements rocheux de la selle contenant les deux tombes ont été redécouvertes[40].

Afin d'isoler la tombe de type arcosolium de Jésus , les flancs rocheux au W et N ont ensuite été découpée . Ce réaménagement paysager a été entrepris pour faire place à la construction de deux Anastasis autour de la tombe de Jésus et de la maison du patriarche de l'évêque de Jérusalem . De plus, les deux autres côtés ( E et S ) ont été maintenant également revu à la baisse et affrontés , résultant en un type de quatre - pilier face à ciel ouvert (voir Corbo 1981-1982 , 2 . fig 41 ) . Ainsi , les travaux de rénovation de Constantine , la géographie de la colline du Golgotha et du jardin a été radicalement modifié , différant sensiblement de son apparition au moment de la Passion .

Quand donc isolé , le rocher du Golgotha maintenant face à la S et E ailes de la triportico constantinienne et était dans les murs de la basilique grandiose du Martyrium . Cette basilique , selon le compte plus tard du pèlerinage 4ème siècle de Egeria , a été donné le nom correct de Golgotha , Martyrium , ou Place du témoin - ... il est donc appelé Martyrium , car il est dans Golgotha ( Maraval 1982: 272 )[41].

Voir Fig . GOL.01 . Le complexe de bâtiments qui Constantine puis érigé pour honorer la mémoire de la Passion a été fouillé et peut être reconstruit ( 1981-1982 Corbo , 1:39-137 ; 2 : tableaux 10 , 11 , 14 , 16-19 , 21 , 23 , 24 , etc , 3) . Ce complexe comprend ( du W ) l'Anastasis (avec la résidence clergé de son N ) , le Triportico , la basilique ( Martyrium ) , et la cour de E avec son entrée principale en face du Cardo Maximus (le principe de la ville N- S artère )[42].

Appellation[modifier | modifier le code]

Golgotha voulant dire « lieu du crâne », Jésus aurait été crucifié sur le plateau situé au dessus de cette falaise

Le major général Charles Gordon qui connaissait les contradictions qui existent entre le site du Golgotha et la position que l'on peut déduire de la description des évangiles, profita d'un voyage à Jérusalem en 1883-1884[43] pour rechercher un site qui convienne mieux. Un habitant de Jérusalem lui indiqua ce site situé au delà du mur d'Agrippa et donc à l'extérieur de l'ancienne cité de Jérusalem. Il fut frappé par le crane que l'on voyait sur la falaise et a émis l'hypothèse que ce pourrait être l'origine de l'appellation Golgotha que l'on trouve dans les évangiles pour désigner le lieu où Jésus fut crucifié. L'évangile selon Marc précise en effet que Golgotha signifie « le lieu du crane »

Motivation et découverte[modifier | modifier le code]

Au cours du XIXe siècle certains doutes ont été soulevés au sujet de l'authenticité du site traditionnel, l'Église du Saint-Sépulcre :

  • Avant le temps de Constantin Ier, le site était un temple dédié à Aphrodite construit par Hadrien[44].
    • L'archéologie suggère que l'emplacement exact revendiqué pour le tombeau aurait été dans Temple d'Hadrien, ou susceptible d'avoir été détruit sous les lourds murs de soutènement du temple[45],[46].
    • L'emplacement du temple est conforme à la disposition typique des villes romaines (c'est à dire adjacent au Forum, à l'intersection de la principale route nord-sud avec la principale route est-ouest), plutôt que d'avoir été un acte délibéré de mépris pour le christianisme.
  • Une piste serait nécessaire pour que la paroi rocheuse ait inclus à la fois l'emplacement de la tombe présumée et les tombes au-delà de l'extrémité ouest de l'église.
  • Les dirigeants juifs du premier siècle condamnent les enterrement à l'ouest de la ville[47], une condamnation corroborée archéologiquement par les emplacements connus des tombes juives anciennes[48].
  • Le site est situé à l'intérieur de la Vieille ville de Jérusalem et en raison des hauteurs du terrain, il serait dangereux et peu probable, du point de vue de l'efficacité de la défense de la ville, que les murs aient été préalablement situés à l'est de l'Église du Saint-Sépulcre[49].
  • Les tombes à l'ouest du site sont considérées comme datant au plus tôt du Ier siècle, indiquant que le site était en dehors de la ville à cette époque. Toutefois il n'y a pas de consensus sur cette datation[50].
L'entrée de la Tombe du jardin

Cet ensemble d'éléments semblent montrer que le site choisi au IVe siècle à la demande de la mère de Constantin se situait au Ier siècle à l'intérieur des murs de la ville, or dans les évangiles Jésus est crucifié en dehors des murs de la ville et enterré tout près. En raison de ces problèmes, plusieurs savants du XIXe siècle ont rejeté la validité du site traditionnel. En 1883, près de la Porte de Damas, le général Gordon a trouvé un escarpement rocheux (désormais situé juste derrière une station de bus), qui sous plusieurs angles ressemblaient à la face d'un crâne. Puisque l'un des étymologies possibles pour le Golgotha est le mot araméen pour « crâne » et pensant que cela pouvait se référer à la forme du lieu, Gordon conclu que l'escarpement rocheux était de nature à correspondre au Golgotha. Avant Gordon, cette possibilité avait également été suggérée par le colonel Conder en 1870 (associé de Lord Kitchener)[51], par Fisher Howe en 1871[52], et par l'érudit allemand Otto Thenius en 1842[53].

L'Église du Saint-Sépulcre a ses seulement quelques mètres de la tombe de son Golgotha, ce qui correspond avec le récit de l'évangéliste Jean: «Maintenant, à l'endroit où il a été crucifié il y avait un tombeau neuf ..." ( Jean 19:41 ). En 1869, un certain nombre de tombes avait été trouvée près du Calvaire de Gordon, et Gordon conclu que l'un d'entre eux doit avoir été le tombeau de Jésus. John précise également que le jardin de Jésus tombe était située dans un; [14] , par conséquent, un ancien pressoir à vin et citerne ont été cités comme preuve que la zone avait été autrefois un jardin, et le tombeau peu isolé à côté de la citerne est devenu identifié que la Tombe du Jardin de Jésus. Ce tombeau a aussi une rainure de pierre particulière qui longe le sol à l'extérieur, ce qui a fait valoir Gordon être une fente qui abritait autrefois une pierre, ce qui correspond au récit biblique d'une pierre en cours de déploiement sur le entrée de la tombe pour le fermer.

Tombe du jardin[modifier | modifier le code]

La Tombe du Jardin (également connu sous le nom de C'est un tombeau taillé dans la roche considéré par certains comme le site de l'enterrement et la résurrection de Jésus et comme étant situé à côté du Golgotha[54], [2] en opposition à son emplacement traditionnel: l'Église du Saint-Sépulcre. Il n'y a aucune mention de la « Tombe du Jardin » comme lieu de sépulture de Jésus avant le XIXe siècle.

Calvaire de Gordon, liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Vincent Lemire, La soif de Jérusalem: Essai d’hydrohistoire (1840-1948), Publications de la Sorbonne, 2011, Paris, p. 174 ; voir la carte.
  2. James Tabor (en), La Véritable histoire de Jésus: Une enquête scientifique et historique sur l'homme et sa lignée, titre original: The Jesus Dynasty, Paris, 2006, éd. Robert Laffont.
  3. étymologie de Golgotha, par le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNTRL).
  4. Les sources juives et chrétiennes mentionnent qu'après la destruction de la ville le légat romain a fait passer une charrue pour labourer la surface de la nouvelle cité.
  5. Peter Schäfer, The Bar Kokhba War Reconsidered, 2003, Mohr Siebeck, Tubingen, Allemagne, p. XVIII.
  6. a et b Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 522.
  7. Simon Claude Mimouni, La tradition des évêques chrétiens d'origine juive de Jérusalem, in Studia patristica vol. XL, publié par Frances Margaret Young, Mark J. Edwards, Paul M. Parvis, éd. Peeters, Louvain, 2006, p. 462.
  8. François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, p. 122.
  9. Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 523.
  10. (en) Joan E. Taylor, Christians and the Holy Places : The Myth of Jewish-Christian Origins, Clarendon Press, , p. 384
  11. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées autoref2
  12. a et b François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, 2001, Paris, Éd. du Cerf, p. 125.
  13. Nouveau Testament, évangile selon Jean, 19, 20.
  14. J. Germer-Durand, La maison de Caïphe et l'église Saint-Pierre de Jérusalem, Revue biblique, 11 (1914), 71-94
  15. (en) Richard Losch, The Uttermost Part of the Earth: A Guide to Places in the Bible, Grand Rapids, MI, W.B. Eerdmans, (ISBN 978-0-8028-2805-7), p. 64
  16. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, V, IV, 2, (146).
  17. a b c d et e Christian-Georges Schwentzel, Hérode le Grand.
  18. Joan Taylor, Christians and the Holy Places, 1993, p. 113–142..
  19. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  20. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  21. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  22. Drs. Leen and Kathleen Ritmeyer, Jerusalem at the Time of Jesus, éd. Abindon Press, Nashville, 2009.
  23. « Le second mur s'amorçait à la porte de Gennath (Γενὰθ), qui faisait partie de la première enceinte ; il n'entourait que la partie septentrionale de la ville et montait jusqu'à la tour Antonia. », Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, V, IV, 2, (146).
  24. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  25. L'édition définitive est celle d'Erich Klostermann, Das Onomastikon der biblischen Ortsnamen, in Die griechischen christlichen Schriftsteller der ersten drei Jahrhunderte II, 1 [Eusebius III, 1] (Leipzig, 1904. repr. Hildesheim: Georg Olms, 1966).
  26. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  27. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  28. For this work, see Schneemelcher 1991: i, 249–84.
  29. The Akhmim fragment was discovered in the grave of a monk in Akhmim, Upper Egypt, in the winter of 1886–7. It contains part of the Gospel of Peter, the Greek Apocalypse of Peter and the Greek Enoch. The Gospel of Peter was recognized as an authoritative writing in some parts of the early Church but later expunged from the recognized canon (see Eusebius, Eccles. Hist: 3.3.2; 3.25.6), see for further information: NTA i; 216–27.
  30. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  31. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  32. Eucherius montre clairement ici que le sol commence à monter vers le nord à nouveau, mais pas aussi haut que le mont Sion.
  33. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  34. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  35. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  36. Joan Taylor, Golgotha: A Reconsideration of the Evidence for the Sites of Jesus’ Crucifixion and Burial.
  37. ACB, article Golgotha (Place), p. 3262.
  38. ACB, article Golgotha (Place), p. 3262.
  39. ACB, article Golgotha (Place), p. 3263.
  40. ACB, article Golgotha (Place), p. 3263.
  41. ACB, article Golgotha (Place), p. 3264.
  42. ACB, article Golgotha (Place), p. 3264.
  43. (en) Geoffrey W. Bromiley, International Standard Bible Encyclopedia: E-J, Wm. B. Eerdmans Publishing Co, Michigan, 1982, p. 1028.
  44. Eusebius Pamphilius, Life of Constantine.
  45. Virgilio Corbo, The Holy Sepulchre of Jerusalem (1981).
  46. Dan Bahat, Does the Holy Sepulchre Church Mark the Burial of Jesus?, in Biblical Archaeology Review May/June 1986.
  47. Talmud, Baba Batra 25a.
  48. Ephraim Stern, (editor), New Encyclopedia of Archaeological Excavations in the Holy Land, 1993.
  49. Colonel Claude R. Conder, The City of Jerusalem (1909), (republished 2004); for details about Conder himself, see Herbert Kitchener, 1st Earl Kitchener#Survey of Western Palestine.
  50. Rachel Hachlili, (2005) Jewish Funerary Customs, Practices and Rites in the Second Temple Period
  51. Claude R. Conder, The City of Jerusalem (1909), (republished 2004).
  52. William Steuart McBirnie, The Search for the Authentic Tomb of Jesus (1975).
  53. Bill White, A Special Place: The Story of the Garden Tomb (1989).
  54. The Garden Tomb

Liens externes Hélène (mère de Constantin)[modifier | modifier le code]