Utilisateur:007antoine/Brouillon

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Roman historique[modifier | modifier le code]

L'idiome roman historiqueà deux assertions. L'une courante désigne le genre littéraire, forme de romans, l'autre utilisée par les détracteurs des officielles versions historiques, soulignant ainsi la constante orientation, déformation des récits, flattant, courtisant les puissants ,détruisant des preuves, occultant plus ou moins efficacement des faits par pans entiers.

Liberté pour qui?[modifier | modifier le code]

A notre époque nous sommes formaté par un "Roman historique nationale", désinformation construite par un tout petit nombre, histoire officielle pour être enseignée, récit souhaitable... Exemple criant que raconte peu les histoires des encyclopédistes, des Lumières et de la Révolution française: pour plus de 80 pour cent de la population de l'époque, c'est une période de régression, disparition des libertés (les populations soumises aux contrôles changèrent). Contrôles, surveillances, privations des libertés de produire, de marchander et de commercer avait garantie, protégé les denrées alimentaires de base de la spéculation. Libertés d'association d'ancien régime, de confréries et de corporations furent supprimer par la loi Le Chapelier en 1793. Illettrisme pour huit sur dix des citoyens et l'aliénation par le travaille permissent peu l'expression du grand nombre. Cette "révolution fut aussi des régressions de libertés: chapitres paroissiaux s'occupaient aussi de politiques locales, confréries et corporations étendaient leur "chiffre d'affaire" sur toute la "vie privée" des petits. Pour la grande masse, ce fut la période de la liberté débridées des commerces: banquiers, "gens de biens", encyclopédistes bousculèrent les libertés anciennes pour un "libéralismes", la liberté sans frein des "affaires", de fabriquer du papier monnaie, mais surtout démocratie de façade; quatorze juillet 1789, bafouant déclaration de liberté et d'égalité des citoyens, la représentativité politique fut "censitaires" (sauf pour une toute petite période). Liberté de pétitionné et de se réunir étaient "agressions", "conspirations intolérables"; au Champs de Mars le 17 juillet 1791, Lafayette tire sans sommation sur la foule de ceux qui "conspirent" (Les Cordeliers étaient réunis pour pétitionner sur la destitution de Louis XVI). De nos jours la représentation politique est statistiquement toujours aux mains d'une petite frange, défendant ses libertés de berner l'état par le "légalisme" détourné.

UFPJ[modifier | modifier le code]

UFPJ est le sigle de = United For Peace and Justice (Union pour la paix et la justice).

C'est une coalition de plus de 1 300 organisations internationales et américaines qui s'opposent à la politique permanente courante américaine en matière de guerre et d'édification d'un empire[1].

L'organisation a été fondée en octobre 2002 lors de l' invasion de l'Irak par des dizaines d'entités et ONG, dont «National Organization for Women», «National Council of Churches» (Conseil National des Églises), «Peace Action» (action pour la paix), American Friends Service Committee , «Black Voices for Peace» (voies noirs pour la paix) , «Not In Our Name» (Pas en notre nom) , «Eleventh Families for Peaceful Tomorrows» (Onze septembre familles pour les lendemains pacifiques) , et «Veterans for Peace» (anciens combattants pour la paix)... Sa première action conjointe fut des manifestations anti-guerre à la Journée internationale des droits de l'homme , le 10 décembre 2002[2]. Le précurseur direct de l'UFPJ était "United We March!", Lancé par «Global Exchange» (promotion des droits de l'homme, de la justice sociale , économique et environnementale dans le monde entier), «Green Party of the United States» (Parti Vert des États-Unis) et d'autres, qui ont organisé la manifestation du 20 avril 2002 contre l' invasion américaine de l'Afghanistan.

L'UFPJ organise principalement des manifestations de grande envergure. Il a travaillé sur sept thèmes : Irak , actions anti-recrutement militaire , justice mondiale , désarmement nucléaire , Palestine/Israël , libertés civiles , droits des migrants et organisation communautaire efficace.

Le plus récent rassemblement et marche de l'UFPJ a eu lieu à [[Washington (État)|Washington DC le 27 janvier 2007. Parmi les orateurs vedettes figuraient plusieurs célébrités dont Jane Fonda . [4]

L'action majeure précédente de l'UFPJ a eu lieu du 24 au 26 septembre 2005 à Washington (district de Columbia). Elle a appelé à manifester pour l "Fin de la guerre contre l'Irak!" Le 24 septembre, il ya eu une marche et un rassemblement, coparrainé par «ANSWER Coalition» (coalition de réponse) , suivi d'un festival. Bien que les chiffres exacts ne soient jamais connus, les organisateurs estiment que des centaines de milliers de personnes ont assisté à ces événements; Le NYCLU dit 300.000 ont assisté à la marche. Le 25 septembre, il y avait un service interreligieux et une formation de base . La dernière journée, le 26 septembre, a été consacrée au lobbying du Congrès et à l'action directe non violente et à la désobéissance civile . Environ 370 personnes ont été arrêtées pour avoir bloqué l'entrée de la Maison Blanche , exigeant de rencontrer George W. Bush .

Saint Virila[modifier | modifier le code]

Saint Virila fut un religieux né à Tiermas (Saragosse) en 870. Il meurt au monastère de Leyre en 950.

Une légende importante lui est lié: L'illumination de Virila. Cette légende dit que le jours du printemps, l'abbé comme à sont habitude fait une promenade dans les bois près du monastère, tout en méditant (doutant) sur la joie de l'éternité. Un rossignol l'ayant distrait devant une source, il s'y endormi. Au réveil, il eu du mal a trouvé son chemin de retour. Après une longue recherche il trouva, mais il fut perturbé d'avoir si longuement cherché pour revenir. Arrivé au monastère, aucun moine ne le reconnaissait. Expliquant, faisant le récit de sont aventure, il sembla alors aux moines que celui-ci semblait avoir bien vécu ici mais il y a bien longtemps et qu'il était de retour. Ils eurent soudain l'idée de chercher dans les archives du monastère et découvrirent qu'il était l'abbé Virila qui était disparu dans la forêt trois cents ans plus tôt. Si la chanson d'un seul oiseau peut divertir pendant trois siècles un homme, la lumière divine du Sauveur ne peut-elle pas combler l'éternité?" Ensuite, un rossignol entra dans l'abbaye avec un anneau dans son bec. Le rossignol le plaça sur le doigt de San Virila que les moines acceptèrent de nouveau comme abbé.

La légende est très bien racontée par l'auteur espagnole Juan G. Atienza dans son livre de 1998, "Leyendas del Camino de Santiago" dont vous aurez l'extrait en cliquant sur le lien précédent.


Dans le calendrier des saints il est célébré le 1er Octobre tous les ans[3].

Gavot[modifier | modifier le code]

Etymologie[modifier | modifier le code]

Semblerait comme gaver, goitre, gosier, l'occitan "gavach" venir du gaulois "gaba"désignant des goinfres ou des goitreux maladie courante dans les Alpes par manque d'iode. Voir article Wiktionnaire.

Habitants revendiquant l'appellation[modifier | modifier le code]

  • Ubaye: L'appellation Gavot, couramment depuis des lustres employée, désigne les montagnards issues de l'amont du bassin versant Durançois. François Arnaud notaire, érudit productif, 1843-1908, dans son dictionnaire "Le langage de la vallée de Barcelonnette" [4]dit que l'appellation Gavot désigne clairement pour les provençaux les habitants de l'Ubaye sa vallée:
    • Outre leur langue maternelle, dialecte assez pur de la langue d'oc, se rapprochant beaucoup plus de celui de Montpellier que de celui d'Arles, nos ancêtres parlaient donc couramment le français, et le parlaient bien, puisqu'ils l'enseignaient au reste de la Provence ; "la Vallèia" a fournie amplement pendant les trois derniers siècles, des curés et des instituteurs, comme nul part ailleurs. Ces derniers étaient de simples paysans instruits qui, pendant la saison d'hiver, allaient ainsi gagner la nourriture et quelques louis d'or. On les appelait "li gavons", mais on allait à leur école ; d'où ce proverbe provençal : "li gavots an de groussié gue la vesto".
    • à Enchastrayes, vallée de l'Ubaye à la Rente (1609), a un cadran solaire du XX dont la légende en patois est « Gavot l’es pas qu vouo »: "Gavot ne l'est pas qui veut".
    • Gavot et les cinq sens : (Dans son ouvrage Frémont-Garnier écrit à propos des habitants de la vallée de l'Ubaye) " Plus généralement on les appelle gavot (montagnard), dénomination dont quelques-uns se glorifient parce qu'ils voient dans les cinq lettres de ce mot, les initiales des mots latins qui expriment les cinq sens, dont ils prétendent posséder mieux que d'autres la finesse : c'est avoir la conscience de son propre mérite. Au reste, si cette prétention n'annonce pas une très grande modestie, elle est un peu justifiée par le proverbe provençal : - Dans le gavot, il n'y a de grossier que l'habit ... - ". G : le goût, du latin gustus; A : l'ouïe, dérivé de audire; V : la vue, de veüe; O : l'odorat, de odoratus; T : le toucher, du latin populaire toccate. [5]
  • ..

Haute-Ubaye[modifier | modifier le code]

La limite avale de cette partie haute de l'Ubaye est facile à identifier, c'est la barre rocheuse du "Pas-Grégoire", complétée, au versant frais opposé d'ubac par la perpendiculaire au fil de l'eau jusqu'à la tête de Cuguret. Les limites amonts sont simples, ce sont celles des bassins versant tous confluents compris. Les principaux confluents sont l'Ubayette, Le Parpaillon, le Riou-Mounale, la Baragne. Administrativement, la limite aval correspond à la séparation entre les communes de La Condamine-Châtelard et Jausiers. Sa frontière, limite périphérique totale, comporte:

  • 23% du totale soit 27 km bordant la Moyenne-Ubaye. Il y a 9 km qui coupe le Parc du Mercantour car le vallon du Lauzanier fait partie de la haute-Ubaye.
  • 1,5 km borde au sud-ouest le département des Alpes-Maritimes (fond du vallon du Lauzanier).
  • 55 km sont frontalier du Piémont italien (soit 43% du totale),
  • 44 km sont bordé du département des hautes-Alpes (soit 34% du totale) (Jusqu'en 1713, ces 44 km furent la frontière avec le royaume de France, par la province du Dauphiné)(16 km sont mitoyen du Queyras),

Jusqu'à la fin du XIX siècle, cette partie de l'Ubaye était souvent désigné par les locaux, dans les conversations Chastéous-àouts (se traduit: châteaux-hauts d'aout ) [6]; rien d'une moquerie! Cela soulignait la présence des principaux passages stratégiques de l'Ubaye. Il y avait là, un besoin de maisons-fortes, de forts, de fortins, de fortifications, de vigies, de péages, de lieux d’accueil, d'auberges, de relais équestres, de fourrages, de guides, de passeurs, de magasins, de boutiques, de douaniers, de gendarmes, de casernements, de refuges, d'hospitalités, de maréchaux-ferrant, de vétérinaires, de docteurs, d'infirmiers, de forgerons, de bourreliers, de sabotiers, de chausseurs, de charretiers, passait là, des caravanes muletières commerciales, des autorités religieuses, ecclésiastiques, militaires, royales, des troupes, des moines, des artistes etc...

Cette zone comprend 4 communes : "Condamine" (précité), Saint-Paul-sur-Ubaye, Meyronnes, Larche. Elle fut canton pus de cent ans, de 1877 jusqu'en 1988, année où elle fut regroupée avec le Canton de Barcelonnette).

Moyen Âge central[modifier | modifier le code]

L'Ubaye transférée du Royaume d'Italie au royaume de Provence, tombe en suite sous la coupe du Saint-Empire romain germanique en 1032. Au XIIe, des immigrants venus d'Italie s'installent dans la vallée, qui reprend peu à peu vie après avoir végété depuis l'époque romaine[7].

La période est complexes, des facteurs extrinsèques à la vallée ont fait l'objet de très nombreuses études au niveau autorités tutélaires et en premier chef les conflits de division de la Provence.

Carte des trois fiefs provençaux en 1125.

. La Provence était donc en trois entités. La vallée était alors la frontière nord-est de la plus grande partie séparée de son archevêque d'Embrun quand en 1193, le mariage d'Alphonse II de Provence avec Gersande de Sabran, petite-fille de Guillaume II, comte de Forcalquier, permit l'unification du comté de Provence et de celui de Forcalquier.

Période à partir de la création de Barcelonnette 1231 jusqu'à 1385[modifier | modifier le code]

À l'époque, les deux gros bourg de la vallée étaient Faucon (aujourd'hui Faucon-de-Barcelonnette), où vivait les seigneurs de la vallée[7], et Drolla[8] (l'actuel Saint-Pons). En 1230, ces deux villes se mirent d'accord pour fonder une ville nouvelle, à égale distance entre les deux, au lieu-dit de Bérardon[9]. En 1231, avec l'accord de l'archevêque d'Embrun, le comte Raimond-Bérenger IV de Barcelone devenu comte de Provence par mariage, attribua une charte consulaire à la vallée, en créant la ville administrative Barcelonnette. Cette vallée, entre le XIIIe et le milieu du XXe était nommée « vallée de Barcelonnette ». Territoire utile au comte pour tenir sa frontière, enserré entre Dauphiné du Saint Empire (qui devint rapidement province de France) et Marquisat de Saluces (attaché souvent à un bord puis à un autre). Le comte offrit par cette charte de nombreux privilèges (pas de taxes sur le sel, sur les moulins, sur les fours, pigeonniers...), une grande autonomie et un droit-devoir de cavalcade[10]. Il y eut juste un représentant nommé par le comte (chargé de haute justice, appel d'instance communautaires, pouvoir militaire et administratif supérieur), le viguier, certains disent le bailli (Philippe Martel, CNRS 1987, étude de la charte de 1231). La vallée était administrée par communautés villageoises, dont un consul élus tous les ans parmi les chefs de familles[11] participait aux conseils à Barcelonnette. Des remparts importants furent érigés, flanqués de 22 tours et percés de 4 portes, mais détruits au XVIs. L'organisation spatiale actuel du bâti et des rues à angle droit, manière militaire, date de cette époque prennant exemple sur les villes-bastides du sud-ouest. Côté sud du versant, le marquisat de Saluces, cette même année 1231, une charte du même genre est attribué, territoire plus réduit en Haute-Stura, citée administrative Bersezio-Argentera [12]. Côté Dauphiné, c'est en 1343 que les rudes communautés Alpines similaires, (organisation politique en paroisses indépendantes, aux caractéristiques assez connus), rachetèrent elles les droits féodaux, obtenant ainsi des privilèges et droits assez comparables (Dauphin Humbert II de Viennois, Charte dite des Escartons; elles verseront ensembles, par elles-même, une rente annuelle volontaire, assez avantageuse comparativement aux périphéries soumises.

Revenons dans la vallée, les consuls délègues volontiers le droit-devoir de cavalcade nécessitant compétences et frais d'arnachements. C'est une mission de protections militaires aux autorités de passage qui reçu du comte le confiant par la charte aux communautés. Par exemple des hommes de guerres, fuyant des terres environnantes, demandant asile au comte, obtiennent en suite cette charge militaire; deux exemples:

  • Le père de Jean de Matha d'origine ibérique, arrivé en 1231 avec le comte.
  • La famille Audiffret (dépôt d'archive en 1931 à la bibliothèque de Barcelonnette, copie issue des archives des Chevalier-Hospitalier).

Période de la dédition à la Savoie à partir 1385[modifier | modifier le code]

Des facteurs extrinsèques à la vallée, au premier chef les difficultés posées par l'assassina de la reine Jeanne le 22 mai 1382.

La vallée écclésiastiquement liée à l'archidiocèse d'Embrun (jusqu'en 1789) trouve tout naturel à partir de 1385 (deux temps bien séparés par trois ans), de se "donner"; terme technique "dédition" à la Savoie (trois ans plus tard ce sera aussi la Dédition de Nice à la Savoie). Les habitants se donnent donc à Amédée VII de Savoie [13]. Ce mouvement commence à partir des communautés des "Chateaux-Hauts" (hautes vallées de l'Ubaye), liées aux flux commerciaux très importants passant entre les Col de Larche et Col de Vars). Ce n'est donc pas par la cité administrative que cela commence, elle ne fera que suivre ce mouvement politique en 1388 ( qui est le reste de la vallée plutôt administrative et frumentaire de la vallée). Les autorités provençales, sans forces en place soumises, ne pourrons jamais contrecarrer ce mouvement communautaire efficace. Très bien organisées, autonomes, ces communautés ont de puissants liens et appuis transfrontaliers. Elles n'auront aucune difficultés à obtenir des autorités dauphinoises une préservation de leurs statuts et même une amplification de leurs privilèges (domaine de la chasse par exemple). Anticipant ce bouleversement, un incident emblématique important très embarassant politiquement, illustra leur vitalité. Il eu lieu au printemps 1287 à St Paul. En appel, la cour de justice comtale d'Aix en Provence très embarrassée, après une instruction longue, une enquête comtale de plus de cinq années; reconnaitra à cette communauté le droit de gestion des pâturages comtaux, ainsi que l'annulation des dommages. Bafouant les conventions comtales de pâturages à l'estive, elle violenta un troupeau étranger autorisé. Tout à fait inhabituel, la cours comtale fie don d'un parchemin de 5m de long et 30cm de large racontant cette instruction à la commune de Saint-Paul. Son récit témoignait de l'immenses vitalités communautaires.

Très frappant, en plus de la communauté en faute, les communautés avoisinantes sont entendues. Toutes défendront à travers cette affaire, becs et ongles, leurs coutumes, règles impérieuses strictes. Encore plus inattendu, la communauté dauphinoise frontalière de Vars est entendue. Il devient alors évident que cette frontière est pour eux presqu'une simple ligne: familles, communautés et gens influents (parfois très éloignés) possèdent, usent de patrimoines des chaque côtés. Au cours des auditions à St-Paul un très grand nombre de population se mobilise, soutenant les inculpés. Il est particulièrement rare de trouver un si long document confié à un si petit groupe d'hommes et on ne peu l'imaginer sans l'intervention personnel de proches du comte. En effet les décisions de la cours ne sont jamais complétés du récit des auditions et de l'étude juridique des faits. Au moment de cet acquittement éclatant, la solennité du cadeau à forcément impressionné autant juristes que petits citoyens.

"Barcelonnette, vieille ville et nouveaux quartiers", Hélène Homps, étude urbanistique, http://www2.culture.gouv.fr/culture/inventai/telechar/homps.pdf, 4 pages Fondation-reconstruction de Barcelonnette (Barchinona ), entre 1190 et 1240 sur décision du Comte de Provence, Raymond Bérenger V;

"Etude sur les villas mexicaines du canton de Barcelonnette"; Numéro de dossier : IA04000085; date 2003; https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/dossier/pdf/98bd2f9f-4987-44d8-b989-540b161fca6f/presentation-de-l-etude-sur-les-villas-mexicaines-du-canton-de-barcelonnette.pdf?; 26 pages; 36 illustrations de qualité; 1316 un important couvent de Dominicains;

"Plan de Barchinona (Barcelonnette)" Gravure, 1677 par Giovanni Tommaso. https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/illustration/ivr9319990400002xb/6cbc81a4-1dc4-4130-80b7-4fb83e019ae7

Pas Grégoire[modifier | modifier le code]

C'était une zone de franchissement assez aisé à contrôler. Aucun chemin carrossable ne passait par là avant 1850 (environ, a préciser), date à laquelle la route longeant la rivière fut percée sur les traces d'un chemin muletier délicat. Ce défilé, cet "esterch", comportait peu de passages traversiers:

  • Rive droite, côté adroit, dans la barre rocheuse :
    • celui au rive de l'Ubaye.
    • Celui provenant du Villard-haut passant la barre à 1480m d'altitude et plongeant littéralement de 120m en seulement 140m horizontale (Dix virages resserrés permette cette prouesse).
    • Celui passant la barre à 2027m d'altitude rejoignant la descente du chemin de Costebelle à la cote 1950 (chemin passant 300m sous pointe-fine côté sud).
  • Rive gauche, côté ubac: Les combes, Rimaye (veut dire crevasse), celle de la Charniera (cimetière) et celle du Dégouloire empêchent quasiment d'autre passages que très haut à la cote du fort de Cuguret (1830m) ou aussi au bord de l'Ubaye (1250m), aucun traversiers entre les deux. Celui du haut passe aux Ramettes et à "La-Chaup" puis redescent à La condamine (Chau, Chalp, Chaup, toponyme répandu avec le sens de hauteur dénudée au voisinage des crêtes provenant d'un terme supposé gaulois CALMIS/CALMA = haut plateau dénudé, plateau rocheux de base pré-indo-européenne *CAL = rocher)[14].

Bassin versant[modifier | modifier le code]

La source de l'Ubaye est a 2655m et la limite avale, Pas-Grégoire, est a 1220m d'altitude. Le parcours est de 33km avec une pente moyenne de 4,05m pour 100m (alors qu'elle est de 0,69% en moyenne Ubaye).

Mirandole[modifier | modifier le code]

Le col de Mirandole est à 2 433 m.

Histoire[modifier | modifier le code]

Il fut une des étapes secondaires de franchissement des Alpes d'enchaînement des deux cols Vars vers Larche ( Axe Durance Piémont). Les six hameaux et bourgs les plus proches avec lesquelles il entretenait des échanges muletiers et pédestres sont:

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme du col a un sens très simple, avec une racine qui vient du verbe « mirer » (le verbe « admirer » a cette même racine) dans le sens d'observer avec précision. Le suffixe dol vient assez surement du chiffre « deux », dont l'interprétation est fort simple car l'observation dans les deux directions opposées laisse percevoir l'enchainement stratégique, sur le même axe, des cols éloignés de Vars et Larche.



Canton de Saint-Paul-sur-Ubaye[modifier | modifier le code]

Liste des conseillers généraux successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant
1877
1895 C. Gariel Droite  
1895 1901 M. Cogordan Républicain  
1901 1913 M. Signoret Républicain Médecin
1913 1937 Paul Reynaud
(neveu d'H.Gassier)
ARS
puis ADS
puis CR
Avocat à la Cour d'Appel de Paris
Député des Basses-Alpes (1919-1924)
Député de la Seine (1928-1942)
Ministre (1930, 1931-1932, 1938, 1938-1940)
Chef du Gouvernement (mars-juin 1940)
1937 1940 Louis Signoret RG Docteur en médecine à Paris
1945 1951 Albert Donnadieu MRP Viticulteur - Maire de Larche
1951 1958 Jean Spitalier RPF puis
ARS
 
1958 1964 Emile Aubert SFIO Sénateur (1948-1969)
Ancien maire de Barcelonnette
1964 19.. Armand Richaud SFIO puis DVD  
19.. 1982 M. Goirand DVD  
1982 1988 M. Jacques RPR  





  1. en.wikipedia.org/wiki/United_for_Peace_and_Justice
  2. www.scoop.co.nz/stories/WO0212/S00068.htm
  3. nominis.cef.fr/contenus/saint/11116/Saint-Virila.html
  4. 322 p. Préfacier : Paul Meyer (1840-1917)
  5. Extraits de "Lettres sur la vallée de Barcelonnette, Frémont-Garnier, p. 82, Société scientifique et littéraire des Alpes de Haute-Provence, Sabença de la Valeia, Barcelonnette - 2008
  6. F. Arnaud 1920 "Langage de la vallée"
  7. a et b Vallis Montium 1995, p. 29.
  8. Vallis Montium 1995, p. 42.
  9. Vallis Montium 1995, p. 30.
  10. Administration avant 1789.
  11. Vallis Montium 1995, p. 33.
  12. Administration avant 1789 1995, p. selon Fernand Benoit.
  13. Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, par l'abbé Expilly, Jean-Joseph Expilly, Édit: Desaint et Saillant, 1762
  14. Bessat, Germi, 1993