Saint-Auvent

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Saint-Auvent
Saint-Auvent
La chapelle du sanctuaire Notre-Dame-de-la-Paix.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Bruno Grancoing
2020-2026
Code postal 87310
Code commune 87135
Démographie
Gentilé Auventais, Auventaises
Population
municipale
964 hab. (2021 en diminution de 0,52 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 23″ nord, 0° 55′ 57″ est
Altitude Min. 194 m
Max. 348 m
Superficie 33,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Auvent (Sent Auvenç en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle se situe entre le Haut-Limousin et la Charente limousine. Cette commune rurale se trouve dans le parc naturel régional Périgord-Limousin. L'altitude du bourg est de 295 mètres.

Ses habitants s'appellent les Auventais et les Auventaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Saint-Auvent en Haute-Vienne.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Poitou-Charentes » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »0[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 034 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rochechouart à 8,8 km à vol d'oiseau[6], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Auvent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,1 %), prairies (33,1 %), forêts (17,8 %), terres arables (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %), zones urbanisées (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Auvent est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Auvent.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 36,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Auvent est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Saint-Auvent, ou « Sent Auvenç » en langue limousine, est surnommé l’épiscopal, en raison de sa dépendance envers l'évêque. C'était une cure de l’ancien archiprêtré de Saint-Junien, anciennement sous le patronage de Saint Pierre-aux-Liens, puis de Saint Auvent par la suite.

Saint Auvent était évêque et mourut en ce lieu en revenant d’un pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. En 1230, son corps fut déterré et placé dans l'église de ce qui devint le centre de la paroisse.

Sous l'Ancien Régime, Saint-Auvent faisait partie de la vicomté de Rochechouart, qui dépendait administrativement de la généralité de Poitiers. En 1603, le vicomte Louis de Rochechouart partagea ses biens entre ses trois fils, René devint comte de Saint-Auvent et baron de Montmoreau. Le nouveau comté ainsi créé regroupait Saint-Auvent, Marval, Milhaguet, Saint-Martin-de-Jussac, une petite partie de Saint-Junien (dont le Petit Saint-Auvent), l'étang de la Pouge et l'est de la forêt de Rochechouart. René fut comte jusqu'en 1632. Lui succéda son fils Jean, puis, en 1695, Jean II qui meurt sans enfant en 1709. Il laissa ses biens à sa sœur Anne de Rochechouart, mariée à Isaac Perry, marquis de la Chauffie (à Pressignac)[21].

Une autre église existait auparavant au lieu-dit Romevieille à Saint-Auvent. Cette dernière fut réunie en 1558 avec l'église paroissiale.

Le château de la commune date du XIIe siècle. Il était à l'origine possédé par la famille de Rochechouart, issue des vicomtes de Limoges. Il est aujourd'hui devenu propriété privée.

Michel Vovelle rapporte la mort le d'Étienne Boudaud à l'âge de 8 ans. Il était le fils unique du sieur de la Boissière, Pierre Boudaud. Étienne est mort noyé dans un puits[22].

Passé ferroviaire du village[modifier | modifier le code]

Carte postale de la gare de Rochechouart vers 1910.
Réparation de la ligne vers 1910.
Horaire de la ligne en 1956.

De 1880 à 1996, la commune de Saint-Auvent a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant, qui, venant de Rochechouart se dirigeait ensuite vers la gare de Saint-Laurent-sur-Gorre.
A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Parti : au premier d'argent à deux lions à la queue léopardée de gueules l'un sur l'autre, au chef de sable ; au second fascé ondé d'argent et de gueules.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 juin 1995 Pierre-Louis Raymondaud PS  
mars 2001 2014 Christian Groleau[23] Ind. Conseiller général
2014 En cours Bruno Grancoing DVG Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[24].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 964 habitants[Note 5], en diminution de 0,52 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8612 1191 8771 9541 9511 9411 8931 9132 002
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9061 8281 8041 7191 7271 8101 7941 8841 833
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8711 9051 8241 5321 4141 3521 2361 1641 041
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 013924777813817837907917956
2017 2021 - - - - - - -
962964-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château[29] : bâti sur un promontoire granitique au milieu d’un parc de trois hectares, il surplombe les vallées de la Gorre et du Gorret. Aujourd’hui propriété privée, il est un centre artistique ouvert à l’art contemporain. Depuis 1996, ont lieu chaque année, durant tout le mois d'août, les Rencontres du château de Saint-Auvent.
  • La maison de pays.
  • L'étang de la Pouge (La Poja en oc lim.), alimenté par le Gorret.
  • Le puits à balancier du village de la Berthe.
  • Une voie gallo-romaine (via Vicinala qui permettait de rejoindre la voie d'Agrippa voisine dont le trajet s'est perdu[30]) et son pont antique.
  • Église Saint-François-de-Sales de Saint-Auvent.
  • Notre-Dame-de-la-Paix, souvent nommée la Grotte, lieu de pèlerinage catholique. Copie de la grotte de Lourdes, elle doit son existence à l’abbé Paul Elias. Ce clerc avait fait un vœu avant la Seconde Guerre mondiale : si tous les hommes de Saint-Auvent revenaient vivants, avec eux il creuserait un rocher pour la remercier. Il existe aussi un pèlerinage des gens du voyage qui se tient tous les ans le lundi de Pâques[31].
  • Dolmen de Chez Moutaud[32]
  • Menhir de Chez Moutaud[32]

Sites naturels[modifier | modifier le code]

  • La forêt de Rochechouart est une Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1. D'une superficie de 559,93 hectares, elle s'étend partiellement sur la commune de Saint-Auvent. L'intérêt de cetteforêt réside dans l'ancienneté de ces boisements de feuillus d'une part et d'autre part la présence de landes sèches et humides relativement bien préservées.[33]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • L'abbé Paul Elias, né à Cussac (Haute-Vienne) en , fut curé de Saint-Auvent de 1938 à 1955. Il décède d'ailleurs en 1955. Pendant l'occupation, il fut un résistant actif et cacha chez lui trois juifs un pendant un an et demi un autre durant quatre mois, et enfin un instituteur, pendant quatre mois[réf. nécessaire]. Ce sont ces trois personnes qui ont demandé que ce dernier soit inscrit au Yad Vaslem. L'abbé Elias a donc été élevé au titre de Juste (à titre posthume) et son nom en tant que curé de Saint-Auvent est inscrit au jardin de Yad Vashem[34].

Anecdotes[modifier | modifier le code]

  • On trouve les inscriptions suivantes sur les deux cloches de l'église :
  • Sit Nomen Domini Bendictum. Parrain : saint Auvent patron de la paroisse ; marraine Notre Dame Auxiliaire de Saint François de Salles. Martial–Joseph Cheyron, curé. Gravelat Lagasne, maire. Martin frères, fondeurs, 1801.
  • Sit Nomen Domini Bendictum. Parrain : saint Auvent patron de la paroisse ; Maxime de Fredy, parrain sous le patronage de Saint François de Salle. Marraine, Marie Clémence, comtesse de la Guéronnière. Comte de Fredy, maire, curé M. Deluret. Fondue par Triadou aîné, à Villefranche, Aveyron, 1876.
  • Dans la bande dessinée Les Bidochons Tome 1 de Binet, les parents de Robert sont dits habiter à Saint-Auvent dans le Limousin.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dictionnaire Historique et Géographique de la Haute-Vienne (extraits), André Clerc, in Sauvent-Auvent, tables des mariages (1625-an X), CGHHML, présentation de Saint-Auvent.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Auvent et Rochechouart », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rochechouart » (commune de Rochechouart) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Rochechouart » (commune de Rochechouart) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Auvent », sur Géorisques (consulté le )
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  21. André Lecler, Dictionnaire historique et géographique de la Haute-Vienne, .
  22. Michel Vovelle, Mourir autrefois, attitudes collectives devant la mort aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, Gallimard, , 251 p. (ISBN 2-07-032564-4), page 26.
  23. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  24. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Château de Saint-Auvent », notice no PA87000020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Jean Régis Perrin, « La voie d'Agrippa restituée, du Queyroix à la Pouge-Périgord », sur www.archeologieaerienne-marchelimousin.fr (consulté le ).
  31. Pierre Géraudie, « La communauté des gens du voyage a, comme chaque année, rassemblé les siens à Saint-Auvent », le Populaire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. a et b « Dolmen et menhir dits de Chez Monteau », notice no PA00100439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Espaces Naturelsdu Limousin, Chabrol L.,.- 740000070, FORET DE ROCHECHOUART. - INPN,SPN-MNHN Paris, 38P. [1]
  34. « dossier 5158 », sur yadvashem-france.org, (consulté le ).