Rumilly-lès-Vaudes

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Rumilly-lès-Vaudes
Rumilly-lès-Vaudes
Manoir.
Blason de Rumilly-lès-Vaudes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Communauté de communes du Barséquanais en Champagne
Maire
Mandat
Brigitte Girard
2020-2026
Code postal 10260
Code commune 10331
Démographie
Gentilé Rumillons, Rumillonnes
Population
municipale
573 hab. (2021 en augmentation de 9,77 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 37″ nord, 4° 13′ 02″ est
Superficie 42,38 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Troyes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bar-sur-Seine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Rumilly-lès-Vaudes est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le sous-sol de Rumilly daterait du néocomien, bas étage du crétacé. Dans l’ancien lit de la Seine on trouve sable et graviers. Les argiles, présentes au-delà de la place du Turot renferment entre autres des pierres de lumachelle qui ont notamment servi à la construction du Manoir des Tourelles et de l’église Saint-Martin.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Celles-sur-ource », sur la commune de Celles-sur-Ource à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rumilly-lès-Vaudes est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,2 %), terres arables (18,4 %), prairies (6 %), eaux continentales[Note 4] (4,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), zones urbanisées (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'étymologie est la même que pour Romilly, dérivant du latin Romiliacus formé sur le nom de personne latin (porté par un Gaulois) Romilius[14],[15], suivi du suffixe gallo-roman *-ACU, issu du gaulois *-ako.

Il existait comme écart : Au-De-là-le-Rupt[16], les Bocages, le Bochot, le Bois-du-Roi, le Bois-l'Abbé, les Boulins, Bréviande, la Butte, Châtillon, Chaussepierre, Cinq-Chêne, la fontaine Claude-Masson, Courgelaine, Courtin-de-la-Grange, la Croix-Blanche, la Croix-du-Caron, le rû d'Eclan, d'Erland et de l'Etang, l'Ecluse, l'Ermitage, la fontaine Frémy, Fréson, la Gravière, la Haie de l'Orme de Guiller des Buissonneaux, le Haut-Tuilot, le Long-du-Bois, la Maison-Guillemart, Montmaur, la Motte, les moulins du bas et du haut, le Poil, le Pont-Roussel, la Rocatelle, Saint-Thomas, la Séquenterie, la Taillanderie, le Truffot, Villeneuve-sous-Verrien sur la cadastre de 1836.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1789, le village dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons-sur-Marne, de l'élection de Troyes et d'un bailliage particulier relevant de celui de Troyes.

Chronologie succincte[modifier | modifier le code]

  • 1104 – Le comte de Champagne fait don de sa terre de Rumilly à l’abbaye de Molesme.
  • 1250 – L’abbé de Molesme abandonne au comte de Champagne, la moitié de ses droits sur la terre et les bois de Rumilly en échange de la garde de la seconde moitié du domaine.
  • 1284 - Édification d'une place forte qui deviendra plus tard le manoir des Tourelles au XVIe siècle.
  • 1308 – Pour le différencier des autres Rumilly, Remilly… le village prend le nom de Rumilly-lez-Vaudes (à côté de Vaudes.)
  • 1493 – Jacques Colet obtient à Rome une bulle d’indulgences pour la réparation et la conservation de l’église (ancienne).
  • 1527 – Première pierre de l’église nouvelle.
  • 1532 – Le Manoir de Pierre Pion est « tout neuf ».
  • 1549 – Consécration de l’église Saint-Martin.
  • 1739 – Un orage abat le campanile du transept.
  • 1798 (an VI) – L’incendie ravage la toiture de l’église.
  • 1840 - L'église Saint-Martin est classée Monument Historique.
  • 1844 – Réception de la mairie-école, à côté de l’église.
  • 1850 – La commune gagne le procès qu’elle a intenté contre l’État, au sujet des droits d’affouages en forêt.
  • 1902 – Le manoir est acquis par la commune qui en fait sa mairie et l’école des garçons.
  • 1903 - Le manoir est classé Monument Historique.
  • 1925 – L’électricité à Rumilly.
  • 1954 – Translation du cimetière, des abords de l’église à l’embranchement de la route de Saint-Parres et de celle de Vaudes.
  • 1957 – Les enfants entrent dans le groupe scolaire nouvellement construit.
  • 1966 – L’eau coule au robinet.
  • 1978 – Ouverture du logement foyer du Vaudois.
  • 1979 – Approbation du plan d'occupation des sols (POS).
  • 1988 – Recherche de pétrole en forêt.
  • 1984-1991 – Opposition à la décharge Chazelle en limite de forêt.
  • 2002 – Premières plaques (et numéros) de rues.

Les Templiers[modifier | modifier le code]

Hameau de Chaussepierre qui avait quinze feux en 1290[17] ; c'était un arrière-ban d'Aumont et relevait des sires de Chappes. Il fut engagé en 1247 aux Templiers. Il appartenait aux Chamblin au XIIIe siècle, à la famille de Vitel aux XVIe et XVIIe siècles avant d'arriver aux Coqueley au XVIIIe siècle.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 573 habitants[Note 5], en augmentation de 9,77 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
780737734607681730740687729
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
652620605574562586573588598
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
512509471415420461481464472
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
472471459485475484466466468
2014 2019 2021 - - - - - -
520557573------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

Le logement[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1956 Maurice Naudin    
1956 1976 Marcel Singoth    
1977 1995 Jean Daunay    
mars 1995 2014 Jean-Louis Milesi[22]    
2014 En cours Brigitte Girard
Réélue pour le mandat 2020-2026[23]
DVD Commerçante
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune de Rumilly vit principalement de l’agriculture et de la forêt avec pour compléments commerces et artisans. Quelques fermes dont l’une produit encore du lait (pour le fromage dit « de Chaource »). S’y ajoutent : un jardin pour cueillette individuelle et une basse-cour de produits locaux (volailles-porcs). Deux scieries qui exploitent le bois de la forêt. Les habitants y jouissent du droit d’affouage.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La forêt de Rumilly où la communauté avait droit de ramasser le bois mort et mort-bois, d'y venir chercher le bois de charpente pour leurs maisons avec congés des officiers ; le pâturage pour quatre vaches et quatre cochons[24].

Le Manoir des Tourelles[modifier | modifier le code]

Manoir de Rumilly.

Édifié en 1284, c'est d'abord une demeure fortifiée, comme en témoignent les quatre tourelles d’angle percées de canonnières, proche de la « grange aux dîmes, elle fut résidence administrative des représentants du roi de France, gérant le domaine, en son nom et en celui de l’abbé de Molesme, tous deux seigneurs sur la terre de Rumilly.

Parmi ces délégués du pouvoir, fut le sénéchal de Champagne Louis II d'Orléans

, le futur Louis XII ; ses armes mutilées ornent la porte nord du manoir et le cheminée est du rez-de-chaussée. C’est Pierre Pion, riche boucher troyen qui, vers 1530, a donné sa touche personnelle au bâtiment, avant qu’à sa mort, François II de Vienne, abbé de Molesme, en fasse décorer les manteaux des quatre cheminées.

Déclaré bien national à la Révolution, il échut aux Labille de la Rocatelle (un domaine sur le territoire de Rumilly). La commune l’acquiert en 1902 pour y installer la mairie et l’école des garçons. En 1947, les deux classes qui y avaient trouvé asile le quittent pour intégrer un groupe scolaire tout neuf. Le manoir des Tourelles reste aujourd’hui mairie officielle de Rumilly et le rez-de-chaussée a été aménagé en salle de réception.

Une galerie court au premier étage de sa façade sud, ornée de culs-de-lampe moyenâgeux, soutenue par six colonnes torses aux chapiteaux armoriés. La porte d’entrée est surmontée des armes royales entourées du cordon de l’ordre de Saint-Michel. Du côté nord, la porte de la tourelle centrale hexagonale, ouvre sur un escalier à vis aux marches d’une largeur exceptionnelle, orné à chaque angle d’un animal ou personnage de légende.

Au rez-de-chaussée, sur une poutre du beau plafond Renaissance (tant plein que vide), Pierre Pion a fait sculpter ses armes avec celles de sa femme et des membres de sa famille. Au premier étage, la cheminée ouest, offre les armoiries d’Antoine II de Vienne abbé de Molesme. Une des quatre tourelles abrite un oratoire à la voûte élégante, simple et discret. À l’entrée du grenier - dont la charpente est en forme de carène de vaisseau renversé, - la colonne au chapiteau sculpté qui termine la vis de l’escalier voisine avec une galerie de pierre ajourée.

Le souvenir des Compagnons qui ont contribué à la construction et à la rénovation du manoir plane de manière évidente et constante à l’extérieur et à l’intérieur de l’édifice : trois caveaux en sous-sol, en hommage aux trois fondateurs du compagnonnage, colonne aux spires inversées, images du chien et du loup, du renard tenant en sa gueule une poule, erreur dans la composition d’un plaque de cheminée. Tout est à voir dans ce manoir, le seul édifice rural du département classé XVIe siècle, et conservé dans son intégrité.

L’église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

Église de Rumilly.

L'édifice fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[25].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Charles Fichot, vers 1860, a croqué tous les aspects architecturaux du manoir et de l’église.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Rumilly-lès-Vaudes Blason
De gueules au manoir d'argent flanqué de deux tours, le tout couvert du même, au chef d'or chargé d'un chevron d'azur surchargé d'une étoile aussi d'or, accompagné de trois œillets du champ.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Culture[modifier | modifier le code]

Nouvellement créée en 2012, l’association Rumilly Histoire et Patrimoine a acquis, pour l’église Saint-Martin, un orgue numérique, un instrument qui sera utilisé pour des concerts ainsi que pour la formation des futurs organistes.

Visites guidées du manoir et de l’église sur demande.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Rumilly, mon village, prix du Conseil général de l’Aube, 1965, reprint, Le livre d’histoire Lorisse, 180 pages, 14 x 20.
  • Monuments de Rumilly. (Église et Manoir), Éd. Daunay, 80 pages, 14 x 23.5.
  • Rumilly, histoire et patrimoine, Éd. Daunay, 360 pages, 24 x 21, nombreuses illustrations.
  • Un village de Champagne de 1939 à 1945, Éd. Daunay, 221 pages, 16 x 24
  • Le retable de Jean Colet, Éd. Daunay, 20 pages, 16 x 23,5, 30 photos couleur.
  • Parlers de Champagne, 2 vol. reliés toile, Aube-Marne-Haute-Marne, Éd. Daunay, plus de 1000 pages, 26000 mots anciens.
  • Le franc-champenois, Notes sur les parlers de Champagne, Éd. Daunay, 270 pages, 14 x 22.5, 110 croquis.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Rumilly-lès-Vaudes et Celles-sur-Ource », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Celles-sur-ource », sur la commune de Celles-sur-Ource - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Celles-sur-ource », sur la commune de Celles-sur-Ource - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, 1979, p. 562.
  15. Louis Le Clert, Étude historique sur Romilly-sur-Seine, éditions du Bastion [réf. incomplète]
  16. Ici le rupt est Vérien, lieu-dit aussi nommé Villeneuve-sur ou sous Vérien par Courtalon in TOpo. hist., III, 110.
  17. auguste Longnon, Documents, I, no 195.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Site officiel de la préfecture de l‘Aube « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  23. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21599644
  24. Déclaration faite par les habitants en 1634.
  25. Notice no PA00078212, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture