Olmiccia

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Olmiccia
Olmiccia
Vue d'Olmiccia dominé par Santa-Lucia-di-Tallano et Sant'Andréa-di-Tallano.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Corse-du-Sud
Arrondissement Sartène
Intercommunalité Communauté de communes de l'Alta Rocca
Maire
Mandat
Roméo Joseph Antoine Adorni
2020-2026
Code postal 20112
Code commune 2A191
Démographie
Gentilé Olmicciens
Population
municipale
118 hab. (2021 en diminution de 0,84 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 41° 41′ 39″ nord, 9° 03′ 38″ est
Altitude 400 m
Min. 38 m
Max. 560 m
Superficie 11,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Propriano
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Sartenais-Valinco
Localisation
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Olmiccia
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Olmiccia
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Olmiccia

Olmiccia est une commune française située dans la circonscription départementale de la Corse-du-Sud et le territoire de la collectivité de Corse. Le village appartient à la piève de Tallano, en Alta Rocca.

Géographie[modifier | modifier le code]

Olmiccia. À l'arrière-plan, le village de Sant'Andréa-di-Tallano

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Olmiccia se situe dans la microrégion du Tallano qui occupe la moyenne vallée du Rizzanese, dans le sud-ouest de la Corse. La commune est adhérente au parc naturel régional de Corse et se trouve dans son territoire de vie appelé Alta Rocca.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Olmiccia fait partie de la « Corse cristalline » ou granitique, à roches magmatiques, qui comprend les deux tiers de l'île à l'ouest d'une ligne Calvi-Solenzara. Elle est une commune de moyenne montagne, sans façade maritime.

Son territoire occupe une partie du bassin versant de la rive gauche du Rizzanese, en amont de la basse vallée de ce fleuve côtier qui le sépare à l'ouest des communes de Sainte-Lucie-de-Tallano, Loreto-di-Tallano et Arbellara.

Au nord et à l'est, elle est séparée de Sainte-Lucie-de-Tallano par une ligne partant du point de confluence du Rizzanese avec le ruisseau de Pieve[1], qui ensuite suit les flancs d'une ligne de crête qui sépare les deux villages de Sainte-Lucie-de-Tallano et d'Olmiccia, et qui se prolonge jusqu'à une altitude de 550 m sur les flancs de la Punta di Piano Maio (692 m) pour gagner la ligne de crête à Tiratoli (540 m). La démarcation se poursuit par les Punta di Suarella (482 m) et Punta di San Cassianu (323 m) avant de rejoindre le lit du Fiumicicoli, affluent du Rizzanese, en amont du pont de Caldane.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Rizzanese est le principal cours d'eau de la commune. Il traverse son territoire sans grand apport d'eau des petits cours d'eau naissant sur la commune. Le plus important est le ruisseau de Furciolu[2] qui a sa source au nord de la Punta di Suarella.

Climat et végétation[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La route D268 traverse toute la commune dans un axe SO-NE, reliant le Sartenais à la Côte des Nacres, depuis la route nationale 196 à Sartène à la RT 10 (ex-RN 198) à Solenzara, via Sainte-Lucie-de-Tallano, Levie, San-Gavino-di-Carbini, Zonza, le col de Bavella (1 218 m),

De Finaju, hameau d'Olmiccia, démarre la route D320 qui rejoint la D20 au nord de Sainte-Lucie-de-Tallano. La D20 permet de gagner Sorbollano.

Transports[modifier | modifier le code]

Il n'existe pas de ligne de chemin de fer sur cette partie de l'île. Le port le plus proche est celui de Propriano. Les aéroports les plus proches sont ceux de Figari et d'Ajaccio. Il n'y a pas de transporteurs de marchandises ni de voyageurs sur la commune ; les plus proches se trouvent à Sainte-Lucie-de-Tallano, village voisin de moins d'un kilomètre.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Olmiccia est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Propriano, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,1 %), zones agricoles hétérogènes (27,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,8 %), cultures permanentes (4,3 %), prairies (0,3 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Olmiccia village[modifier | modifier le code]

Olmiccia autrefois nommée l'Olmigia, est un village médiéval situé au nord-est de la commune. Construit à une altitude moyenne de 380 m, il est dominé par son voisin, Sainte-Lucie-de-Tallano bâti à 450 mètres et plus. La plupart des gens vivent au village, dans des maisons pour la plupart en granit, pierre locale.

Les hameaux sont petits ; ils se situent le long des routes. On peut citer :

Finaju[modifier | modifier le code]

Finaju (ou Fenaggio) au sud du village, est traversé par la D320. Tout proche de sa jonction avec la D268, se situe la Gendarmerie nationale. Les locaux de la mairie s'y trouvent aussi.

Finocchiaja[modifier | modifier le code]

Le hameau de Finocchiaja s'est développé le long de la route D148, proche du pont de Caldane sur le Fiumicicoli au sud de la commune.

Erta[modifier | modifier le code]

Erta est un hameau situé à l'ouest de la commune. Il se présente avec des habitations isolées, au lieu-dit Erta auquel il doit son nom.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Il existe un lieu-dit Frassetu, à environ 800 m au sud-ouest du village d'Olmiccia. C'est une colline de 470 m d'altitude, au sommet de laquelle se dressait le village de Frassetu, détruit au XVIe siècle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au début du XVIe siècle, L'Olmigia était une communauté de la pieve de Talla'. Vers 1520, Talla' avait pour lieux habités : Quenza, la Serra, Auguliena, Cherubia, Chargiagu, Loreto, lo Fraxeto, l’Olmigia, lo Poggio, Santa Lucia, Santandeia, Lasano. Altagene, Ortovecchio, Santantonio, Soza[9].

Au début du XVIIIe siècle, l'abbé Accinelli décrit sommairement la piève d'Attalà : « Frà due bracci del fiume Valinco è situata la Pieve di Attalà, abitata da 1000.circa abitanti in terreni assai fertili. Le sue ville sono S.Andrea, Altagene, Soza, S.Lucia, Olmiccia, Cargiacca, Loreto, Mela, e Poggio »[10].
Poursuivant, Accinelli rapporte : « Pieve di Attalà : S.Andrea, et Altagene 153. Lozza, ò Cozzà 106. S.Lucia 184. Olmiccia 191. Cargiacca, e Loreto 153. Mela 53. Poggio 130. »[Note 3]. Attalà se trouve dans le ressort de la juridiction civile de Sartène.

  • 1768 - L'île passe sous administration militaire française. Attalà prend le nom de piève de Tallano.
  • 1789 - La Corse appartient au royaume de France. Survient la Révolution française qui supprime les juridictions royales. La Constituante divise la France en 83 départements.
  • 1790 - Le département de Corse est créé avec Bastia pour préfecture.
  • 1791 - Corte devient chef-lieu du département ; le siège de l’évêché est fixé à Ajaccio.
  • 1793 - An II. la Convention divise l'île en deux départements : El Golo (l'actuelle Haute-Corse) et Liamone (l'actuelle Corse-du-Sud) sont créés. La commune qui porte le nom de Olmiccia, est dans le canton de Tallano, dans le district de Sartène et dans le département du Liamone.
  • 1801 - Sous le Consulat[Note 4], au Bulletin des Lois, la commune d'Olmiccia est dans le canton de Tallano, l'arrondissement de Sartène et le département du Liamone.
  • 1811 - Les départements d'El Golo et du Liamone sont fusionnés pour former le département de Corse.
  • 1828 - Olmiccia passe du canton de Tallano à celui de Sainte-Lucie-de-Tallano[11].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014 Désiré Susini[12]    
2014 En cours Roméo Adorni    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14].

En 2021, la commune comptait 118 habitants[Note 5], en diminution de 0,84 % par rapport à 2015 (Corse-du-Sud : +6,69 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
265246304335331361382343322
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
300340336326415412278403339
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
330342316345376373219143104
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
717394848299109122118
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Olmiccia a compté jusqu'à 415 habitants en 1881[11].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Le culte pratiqué est le catholicisme. L'église paroissiale Saint-Hippolyte et Saint-Cassien relève du diocèse d'Ajaccio. San Politu (Saint-Hippolyte), le saint patronal, est fêté le de chaque année.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Un monument aux morts se trouve sur la place de l'église d'Olmiccia, pour sauvegarder la mémoire des Olmicciais morts durant la Première et la Seconde Guerre mondiale.
  • 4 moulins étaient en fonctions autrefois. L'un d'entre eux, le "Rise", fermé vers 1950 et aujourd'hui ruiné, utilisait les eaux du Rizzanese. Le lieu-dit Supranu, dit encore de Mantua, conserve le seul moulin à huile en activité de la région. Ses meules en pierres, actionnées de nos jours par l'électricité, l'étaient autrefois par des mulets.

Maisons d'Olmiccia[modifier | modifier le code]

Sur un bâti de 73 maisons, 24 ont été repérées dont 6 étudiées[16],[17],[18],[19],[20],[21]. Ces maisons datant du XVIIe siècle au XXe siècle, sont toutes en granite, moellon, pierre de taille et enduit. Elles ont des couvertures de tuiles creuses et mécaniques. Elles sont reprises à l'Inventaire général du patrimoine culturel[22].

Église Sant'Ippolito e San Cassianu[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Hippolyte et Saint-Cassien date du Moyen Âge. Dans des rapports de visite apostolique de Mgr Mascardi et de Mgr Spinola, respectivement de 1587 et de 1686, l'église est mentionnée en mauvais état.

L'édifice construit en pierre de granit taillée, plusieurs fois remanié, est de plan allongé avec nef à vaisseau central, a des chapelles latérales et un chœur voûté en cul-de-four. Il est flanqué d'une tour-clocher.

L'église Saint-Hippolyte et Saint-Cassien est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel[23].

L'église renferme huit œuvres reprises à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • mobilier (autels, tabernacle, fonts baptismaux, etc.)[24] ;
  • orfèvrerie (calice et patène)[25] ;
  • tissus (chasuble, étole, manipules)[26] ;
  • bannière de procession de la confrérie de pénitents Saint-Roch(N° 1)[27] ;
  • bannière de procession de la confrérie de pénitents Saint-Roch (N° 2)[28] ;
  • bannière de procession des défunts[29] ;
  • bannière de procession de l'Immaculée Conception[30] ;
  • statue de saint Cassien en bois taillé, peint, polychrome[31].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Parc naturel régional de Corse[modifier | modifier le code]

Olmiccia est une commune adhérente au parc naturel régional de Corse, dans son « territoire de vie » appelé Alta Rocca[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Antoine-Lucien Ortoli, natif d'Olmiccia, poète des Scherzi (Paris, 1891), ouvrage dans lequel ironie et satire le disputent au charme et à la grâce du vers[33].
  • Jean-Baptiste Frédéric Ortoli, fils d'Antoine-Lucien Ortoli, né le à Olmiccia, folkloriste et homme de lettres

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

wikilien alternatif2

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les nombres suivant les lieux cités, sont ceux de leurs habitants
  4. La loi du 28 pluviôse an VIII (19 février 1800) porte sur l'administration locale. Elle conserve les départements hérités de la Révolution mais elle redécoupe les divisions intérieures. Les districts deviennent des arrondissements, la commune est définie et le canton créé. À chaque niveau on trouve un fonctionnaire public (nommé) ainsi qu'une assemblée consultative (élue)
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Pieve (Y8811440) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Furciolu (Y8811500) ».
  3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  9. Antoine-Dominique Monti in Corse : Éléments pour un dictionnaire des noms propres ADECEC Cervioni
  10. Francesco Maria Accinelli L’histoire de la Corse vue par un Génois du XVIIIe siècle - Transcription d’un manuscrit de Gênes - ADECEC Cervioni et l’Association FRANCISCORSA Bastia 1974
  11. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  12. Site de la préfecture corse- identité du maire de la commune
  13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  16. Notice no IA2A000461, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. Notice no IA2A000459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. Notice no IA2A000502, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. Notice no IA2A000295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. Notice no IA2A000462, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. Notice no IA2A000460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. Notice no IA2A000465, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. Notice no IA2A000458, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. Notice no IA2A000458, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  25. Notice no IM2A000355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  26. Notice no IM2A000354, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  27. Notice no IM2A000353, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. Notice no IM2A000349, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  29. Notice no IM2A000352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  30. Notice no IM2A000351, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. Notice no IM2A000350, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. Le Parc naturel régional de corse sur le site de l'INPN
  33. Henry Carnoy in Dictionnaire Biographique International Des Ecrivains