Luneray

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Luneray
Luneray
La mairie
Blason de Luneray
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Terroir de Caux
Maire
Mandat
Guy Auger
2020-2026
Code postal 76810
Code commune 76400
Démographie
Gentilé Luneraysiens
Population
municipale
2 170 hab. (2021 en diminution de 0,55 % par rapport à 2015)
Densité 427 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 45″ nord, 0° 54′ 51″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 100 m
Superficie 5,08 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Luneray
(ville-centre)
Aire d'attraction Luneray
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Luneray
(bureau centralisateur)
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Luneray
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Luneray
Liens
Site web https://www.luneray.fr/

Luneray est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Le centre du bourg.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Luneray et son aires d'attraction des villes en 2020, dans la Seine-Maritime.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Luneray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luneray, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 3 476 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luneray, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,6 %), zones urbanisées (40,7 %), prairies (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 162, alors qu'il était de 1 083 en 2013 et de 1 022 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89,1 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 7,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 80,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 17,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Luneray en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,7 %) inférieure à celle du département (3,9 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 56,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (57 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Luneray en 2018.
Typologie Luneray[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,1 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,7 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 7,2 8,1 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Luneraco avant 830; de Lunerio avant 1189; Apud Luneretum en 1188 et 1189; Apud Luneres en 1201 et 1202; Lunerei entre 1223 et 1250[17]; Ecclesia de Lunerai vers 1240; Apud Lunerei en 1248; Apud Lunerey vers 1385; De Lunerei en 1264; Ecclesia de Lunerey en 1265; Lunerei en Caux en 1280[18]; Lunerey en 1319; Lunerey en 1337; Lunerey en 1431 (Longnon); De Lunerayo en 1537; Saint Rémy de Luneray en 1714[19]; Fief de Luneray entre 1664 et 1726[20]; Luneray en 1715 (Frémont) et en 1757 (Cassini)[21].

Canteleu (Cantulupo en 1143) est une commune instituée par la Révolution française après avoir été une paroisse, devenue un hameau de Luneray en 1823[22],[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Luneray est l'une des rares communes normandes à avoir une importante communauté protestante.

En 1823, Luneray absorbe Canteleu qui devient un hameau[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Luneray appartient à l'arrondissement de Dieppe et au canton de Luneray depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015[24] et en est le bureau centralisateur. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Bacqueville-en-Caux.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription de la Seine-Maritime,

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Luneray était membre de la communauté de communes Saâne et Vienne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Terroir de Caux dont est désormais membre la commune.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[25].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[26],[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avril 1799 31 juillet 1815 Jean Calbry    
31 juillet 1815 15 mai 1825 Nicolas-Amable Capron    
15 mai 1825 8 avril 1834 Joseph Lanfray    
8 avril 1834 27 septembre 1843 Daniel Lardans   Adjoint faisant fonction de maire
27 septembre 1843 6 décembre 1847 Frédéric Poullard    
6 décembre 1847 14 juillet 1860 Nicolas Capron    
14 juillet 1860 11 octobre 1870 Jean-Amédée Poullard    
11 octobre 1870 11 décembre 1892 Émile Poullard    
11 décembre 1892 17 mai 1896 Théodore Lardans père    
17 mai 1896 16 mai 1900 Casimir Ouvry    
16 mai 1900 16 juin 1902 Théodore Lardans fils    
16 juin 1902 10 décembre 1919 Amédée Jamme    
10 décembre 1919 14 mai 1925 Camille Lardans    
14 mai 1925 18 mai 1935 Louis Lheureux    
18 mai 1935 19 septembre 1936 Édouard Boullen    
15 octobre 1936 Robert Varin   Docteur en médecine
29 novembre 1944 10 février 1947 Louis Hennetier    
10 février 1947 7 mai 1953 Eugène Lefebvre    
7 mai 1953 2 mai 1962 Adrien Desmarais DVD Décédé en fonction
Conseiller général de Bacqueville-en-Caux (1955 → 1962)
29 juin 1962 11 mars 1983 Roger Houdet[28] CNIP Ingénieur agronome, résistant
Ministre de l'agriculture (1953 → 1959)
Sénateur de la Seine-Maritime (1952 → 1977)
11 mars 1983 6 avril 2003 Daniel Renault[29] RPR puis UMP Industriel
Conseiller général de Bacqueville-en-Caux (1985 → 2004)
6 avril 2003 mai 2020[30] Martial Hauguel[31] DVD Chef d'entreprise
Conseiller général de Bacqueville-en-Caux (2004 → 2015)
Conseiller départemental de Luneray (2015 → )
Vice-président du conseil départemental (2015 → )
Vice-président de la CC Saâne et Vienne (2008 → 2016)
Vice-président de la CC Terroir de Caux (2017 → 2020)
juillet 2020[32] En cours
(au 17 janvier 2022)
Guy Auger   Vice-président de la CC Terroir de Caux (2020 → )

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Le bureau de poste.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 2 170 habitants[Note 3], en diminution de 0,55 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0401 0061 1681 4301 6311 7411 7781 8481 980
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9161 9021 9391 8661 8581 7681 7301 6381 552
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5431 6151 5541 3391 3551 4011 4491 4631 458
1962 1968 1975 2004 2006 2009 2014 2019 2021
1 6641 7821 7362 0972 0502 1442 1662 1692 170
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

  • SIARR, équipements automobiles.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le temple protestant de Luneray.

La commune compte un monument historique :

On peut également signaler :

  • Église Saint-Rémi.
  • La mairie-halle

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Luneray et le cinéma[modifier | modifier le code]

Le film Le gaffeur de Serge Penard a été tourné a Luneray en 1985.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Luneray Blason
Écartelé : au 1) de gueules mantelé d’argent, au 2) de gueules au chevron d’or accompagné de trois têtes de loup du même, au 3) d’or aux trois lionceaux de sable, au 4) d’argent aux trois mouchetures d’hermine de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Luneray » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Luneray - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Luneray - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Luneray et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Luneray », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luneray », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Bib. Rouen ms 1207 f. 12 v., 136 v.
  18. Archives de Seine-Maritime 103 H.
  19. Archives de Seine-Maritime G. 3267, 1961, 738.
  20. Archives de Seine-Maritime II B 387, 388.
  21. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 679.
  22. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 186.
  23. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Décret no 2014-266 du 27 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Seine-Maritime sur le site de Légifrance
  25. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  26. « Luneray », sur seine76.fr (consulté le ).
  27. « 76400 - Luneray - Les maires », sur fr.geneawiki.com (consulté le ).
  28. « HOUDET Roger, ancien sénateur de la Loire-Inférieure puis de la Loire-Maritime », Anciens sénateurs Ve République, Sénat (consulté le ).
  29. « Hommage à Daniel Renault », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Elections municipales 2020 : à Luneray, qui pour succéder à Martial Hauguel ? », Les Informations dieppoises,‎ (À Luneray, le maire sortant, Martial Hauguel ne se représente pas aux Municipales de mars 2020. Deux têtes de listes pourraient émerger au sein de son conseil, consulté le ).
  31. Réélu pour le mandat 2014-2020: « Martial Hauguel réélu maire de Luneray », Paris Normandie,‎ (lire en ligne) « Si Martial Hauguel siège à la mairie de Luneray (Seine-Maritime) depuis 43 ans, d’abord en tant que simple conseiller, puis depuis 2003 en tant que maire, tout cela est désormais derrière lui (...) Martial Hauguel, le maire sortant, ne se représentera pas et les élections municipales à Luneray risquent de voir émerger deux têtes de liste différentes, à la suite d'une dissension interne au sein de l’équipe municipale ».
  32. « Elections municipales : Guy Auger ceint l'écharpe de maire », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Notice no PA76000064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Paul Ricœur: La critique et la conviction, Calmann-Lévy, 1995.