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François Blanc

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François Blanc
Photo de François Blanc.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, tombeau de Blanc (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Louis-François Blanc[1]
Surnom
Le Magicien de Monte-Carlo
Nationalité
Activités
Père
Claude Agricol Blanc (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Marie Thérèse Janin (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Magdeine-Victoire Huguelin puis Marie Blanc
Enfants
Vue de la sépulture.

François Blanc, surnommé « le magicien de Homburg » ou « le magicien de Monte-Carlo », né le à Courthézon et mort le à Loèche-les-Bains, est un homme d'affaires et promoteur immobilier français, organisateur de jeux de hasard. Il est le bâtisseur du quartier de Monte-Carlo, baptisé ainsi en l'honneur du prince Charles III de Monaco, où il fit construire le casino de Monte-Carlo et l'hôtel de Paris.

Ses origines

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Originaire du village médiéval de Courthézon dans le Vaucluse en Provence, il est le fils de Claude Agricol Blanc[2],[3], qui est receveur des contributions directes, et de Marie Thérèse Janin[4]. Il naît le après son frère jumeau, Louis-Joseph[5],[6], dit Louis, dans une fratrie de quatre enfants, composée également de leurs sœurs, Agathe, née en 1797, et Marie, née en 1804[7],[8].

Sa jeunesse

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François mène une jeunesse paisible dans son village natal. Mais avec son frère jumeau Louis, ils aspirent à une vie plus exaltante et rêvent de faire fortune. Lors de la visite d'un cirque itinérant qui fait étape dans leur village, ils sont fascinés par le montreur de cartes qui faisait des tours et empoche les mises des badauds. Ils décident immédiatement de suivre ce cirque ambulant avec son bonimenteur et quittent à jamais le foyer familial. Ils deviennent assistants du manipulateur de cartes et apprennent les jeux de hasard sur les routes d'Occitanie[réf. souhaitée].

Les grandes étapes de sa carrière

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François et Louis ont 28 ans lorsqu'ils s'établissent à Bordeaux en 1834 et créent une société de placement qui spécule sur les fluctuations des valeurs de la bourse de Bordeaux, en particulier sur les rentes de l'État. Il leur est utile de connaître avant tout le monde l'évolution de la bourse de Paris, qui déterminait les fluctutations de la bourse de Bordeaux.

Les deux frères utilisent le télégraphe Chappe — une chaîne de sémaphores — en corrompant des fonctionnaires chargés de son fonctionnement. Un fonctionnaire complice introduisait dans un quelconque message officiel, une « coquille » pour signifier « marché en baisse » ou « marché en hausse ». Un autre complice à Bordeaux se chargeait de les prévenir de l'anomalie constatée une fois le message reçu, ce qui leur permettait d'avoir toujours une demi-heure d'avance sur tous les autres agents de change.

Leur stratagème est découvert après deux ans de fonctionnement. Lors du procès, ils reconnaissent que si le système est techniquement frauduleux, ils n'ont finalement causé de tort à aucun investisseur privé et prétendent que tous les financiers utilisent des moyens du même ordre. Avant eux, les Rothschild utilisaient déjà des pigeons voyageurs pour transmettre les nouvelles essentielles entre leurs bureaux. En mars 1837, les frères Blanc sont acquittés par la cour d'assises de Tours au motif qu'il n'existe pas de loi interdisant de recevoir télégraphiquement des informations, quelle qu'en soient la nature. Cet arrêt aura pour conséquence la promulgation de la loi du 2 mai 1837 sur le monopole public des télécommunications. Plusieurs employés des télégraphes furent également poursuivis. Les frères Blanc, défendus par Gustave Louis Chaix d'Est-Ange, et le nommé Guibout, employé du télégraphe, sont condamnés tous les trois aux frais du procès[9]. Ils sont cependant condamnés à une amende pour corruption de fonctionnaires. Quittant définitivement Bordeaux, ils s'installent à Paris.

À Paris, ils fréquentent les galeries du Palais-Royal où officient alors un grand nombre d'établissements de jeux dont une maison de jeu qui appartenait à Jacques Bénazet (de), un de leurs amis de Bordeaux. Très vite, ils comprennent qu'il y a beaucoup d'argent à gagner avec le trente-et-quarante, la roulette, le baccara  et l'écarté, les nouveaux jeux à la mode. Profitant de l'absence de réglementation en la matière, ils ouvrent une maison de jeux dans une des galeries en bois du très agité Palais-Royal. Hélas pour eux, le roi Louis-Philippe, cédant aux demandes des ligues de vertu opposées au jeu, promulgue une loi, le , prohibant « les loteries particulières et les maisons de jeux ». Le , les 18 maisons de jeux du Palais-Royal ainsi que toutes celles de France, sont définitivement fermées.

Alors que leur ami Bénazet[10] s'installe à Baden-Baden et y sera surnommé le « roi de Bade », les frères Blanc décident eux de s'exiler dans le grand-duché de Luxembourg dont la capitale est à l'époque une place forte germanique. Ils recommencent leurs activités autour des jeux de hasard, ouvrent un cercle privé et continuent à s'enrichir.

Le landgrave Louis-Guillaume de Hesse-Hombourg est commandant général de la garnison et gouverneur général de Luxembourg, fonctions qui ne lui permettent donc pas de résider dans sa minuscule principauté de 250 km2 à proximité de Francfort. Ne souhaitant cependant pas délaisser ses sujets, il entrevoit une possible solution aux problèmes financiers de son petit État, en y développant les jeux de hasard. Il rencontre les très entreprenants frères Blanc et leur propose alors un grand projet, celui d'y ouvrir ex nihilo une nouvelle station balnéaire avec des jardins, des hôtels et un casino.

Plaque en hommage à François Blanc (casino Bad Homburg).
Gravure du château.
Brunnensälchen (petite salle de la fontaine) vers 1880, emplacement actuel du casino depuis 1949.
Action de la Société anonyme des fermes réunies du Kurhaus et des Sources minérales à Hombourg-ès-monts en date du 1er octobre 1859, signée par François Blanc.

Il suffit d'une quinzaine de jours pour qu'un accord soit trouvé entre le landgrave, François et Louis. Les deux frères mettent tous leurs talents d'organisateur de jeux de hasard au service de ce petit État qui croule alors sous les dettes. Le , le nouveau landgrave Philippe qui vient de succéder à son frère, signe une concession de 30 ans avec les deux frères. Très vite les projets s'enchaînent dans la ville de Hombourg : casino, établissement thermal, salle de spectacles, salle de bal pour mille personnes, jardins, restaurants et hôtels luxueux construits par d'autres entrepreneurs.

Les deux frères rajoutent quelques idées novatrices pour concurrencer efficacement les villes germaniques attirant les touristes fortunés, un casino ouvert toute l'année, de la publicité dans la presse internationale vantant les vertus des sources thermales et distractions en tous genres et surtout leurs roulettes ne comportent qu'un zéro au lieu de deux, nouvelle règle du jeu qui favorise les joueurs.

La roulette tourne pour la première fois dans le Kurhaus (salle de jeux), le , et très vite, les gros joueurs arrivent, entraînant un public mondain en provenance de toute l'Europe et la riche clientèle s'y presse rapidement en masse. Dostoïevski fréquente leurs tapis verts pendant près de dix ans. De tous les casinos, ils sont les seuls à n'interrompre jamais longtemps un jeu, même si un client chanceux fait sauter la banque, en réapprovisionnant le plus vite possible en argent frais la banque. Le personnel recouvre la table d'un drap noir en attendant que l'argent arrive, ce qui a comme conséquence d'exciter les gagnants et de remonter le moral de ceux qui avaient perdu[11].

Finalement, ils font moins de bénéfices mais ils attirent beaucoup plus de clients qu'ils ne pouvaient l'espérer. Ils acceptent de perdre de bonne grâce car ils savent qu'un joueur qui gagne un jour finit par perdre un autre jour ; de plus un client qui gagne attire toujours de nouveaux clients et ils font tout pour que les journaux en parlent.

Entre-temps François fait la connaissance de Madeleine-Victoire Huguelin. Ils ne se marient pas mais ont deux enfants, Camille et Charles Blanc, en 1847 et 1848. Après une longue série de succès, les premières mauvaises nouvelles arrivent en rafale.

  • En Europe, les jeux d'argent sont de moins en moins tolérés. Dès 1848, le Parlement de Francfort vote une loi, jamais appliquée, de fermeture des établissements de jeux.
  • Madeleine-Victoire disparaît prématurément en 1852.
  • Louis, déjà malade, décède la même année à Ivry-sur-Seine, alors qu'il y était soigné.

François avait engagé quelques années plus tôt une jeune Allemande, Marie Charlotte Hensel, attachée au service de sa superbe demeure de Homburg. Le temps passant, il est de plus en plus attiré par la vivacité et l'intelligence de cette jeune femme, François passera un pacte avec sa famille, elle ira étudier deux années dans un couvent parisien[12] et elle deviendra Mme Marie Blanc le à Paris, à l'aube de ses 21 ans.

Le casino de Monte-Carlo.

Cependant, Bad Homburg vor der Höhe n'était fréquentée que durant les beaux jours ; durant l'hiver, la clientèle partait séjourner sur la Riviera. Le jeu étant interdit en France comme en Italie, Monaco était l'unique endroit où pouvait être implantée une grande station.

À la suite d'une hausse des taxes due au Prince Florestan Ier de Monaco, des révoltes se succèdent et en 1848, Menton et Roquebrune se proclamèrent « villes libres ». Afin de pallier le manque de ressources financières aggravé par la perte de Menton et Roquebrune, le prince Charles III de Monaco, successeur de Florestan Ier, eut l'idée, sur les conseils de sa mère Caroline Gibert (elle-même conseillée par l'avocat parisien Adolphe Eynaud), le 26 avril 1856, d'autoriser un privilège exclusif de 35 ans pour la création d'un établissement qui prendrait le nom de « Bains de Mer » et au sein duquel devait être fondé aussi une maison de jeux sur le territoire monégasque (un tel établissement était interdit dans les pays voisins). Après quelques tentatives infructueuses du fait du manque d'envergure des projets, il se tourna vers l'homme qui accumulait les succès, François Blanc, spécialiste des maisons de jeux, surnommé « le magicien de Homburg » pour avoir transformé la ville allemande en capitale du jeu[13]. Pour la somme de 1,7 million de francs-or, et une somme annuelle de 50 000 francs plus 10 % des bénéfices nets, il obtient pour 50 ans la concession de jeux et signe l'accord le . François Blanc fonde la société des bains de mer de Monaco[14] essentiellement avec ses propres capitaux, mais fait entrer dans le capital d'autres investisseurs, comme l'évêque de Monaco et le cardinal Pecci — le futur pape Léon XIII.

Entre-temps, la tolérance envers les jeux de hasard se dégrade sur le territoire germanique et une interdiction généralisée guette. François Blanc et sa femme s'installent à Monaco et gèrent à distance leurs intérêts à Bad Homburg vor der Höhe.

C'est en février 1863 que la roulette commença à tourner[15], dans une petite « maison » à l'allure très modeste que les précédents concessionnaires avaient fait construire mais quelques mois plus tard François Blanc procédera à Monaco comme à Homburg. Une maison modeste pour ensuite passer à un niveau bien supérieur en jouant la carte du luxe. Il investit d'importantes sommes pour développer ce territoire isolé nommé les Spélugues — l'actuel Monte-Carlo — qui à l'époque n'était qu'un hameau, et ne tarde pas à mettre en chantier, sur ses deniers personnels, de nombreuses constructions : siège du casino de Monte-Carlo primitif et aménagement des jardins, des voies d'accès et de tout un ensemble de bâtiments destinés à l'agrément des joueurs. Le premier casino de Monte-Carlo de l'ère Blanc est achevé en et Charles III de Monaco rebaptise[16] la colline en Monte-Carlo (mont Charles) en son propre hommage. François Blanc contactera la compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée et négociera avec les dirigeants afin que sa Monte-Carlo soit desservie et des établissements très luxueux tels que l'Hôtel de Paris — à l'époque sans rival en matière de luxe et de confort — et le Café de Paris. L'Hôtel de Paris surclassait tous les autres palaces du monde, par sa décoration comme par sa cuisine. Des artistes parmi les plus renommés furent engagés pour les spectacles du casino. Ils étaient très bien rémunérés, d'autant plus que beaucoup jouaient leur cachet au casino. Chaque année il gratifie les journalistes d'un montant global de 500 000 francs afin qu'ils fassent la promotion du casino de Monte-Carlo.

Dès la première année les bénéfices se montent à 800 000 francs et à deux millions trois ans plus tard. Ainsi, les affaires prospèrent tellement bien que dès le mois de mai 1864 François Blanc supprime le double zéro et introduit à Monaco la roulette qu'il avait inventée avec son frère à Hombourg, le prince Charles III de Monaco quant à lui, sur les conseils de sa femme Antoinette de Mérode-Westerloo, abandonne officiellement toute levée d'impôts sur la principauté. Cependant, la principauté restait difficile d'accès, jusqu'à la création de la Basse Corniche (route carrossable reliant Nice à Gênes et desservant Monaco), prévue lors de l'accord du 2 février 1861[17] pour la cession de Menton et Roquebrune (fiefs monégasques de jure) et jusqu'au prolongement à Monte-Carlo de la ligne de la compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée dont la gare qui desservira Monaco sera largement financée par le couple Blanc.

Malgré le conflit franco-prussien de 1870, les jeux continuent dans la toute jeune Allemagne jusqu'au , où le chancelier Bismarck fait fermer toutes les maisons de jeux. De ce fait, à partir de 1877, après la fermeture du casino suisse de Saxon-les-Bains, le casino de Monte-Carlo put jouir d'un confortable monopole de fait en Europe, jusqu'en 1907 lors de la réouverture des casinos français.

François Blanc, dont le surnom est « le magicien de Homburg[13] », aura régné en maître pendant plus de 30 ans dans cette ville. Le parc thermal de Bad Homburg, fier de son héritage et conscient des nombreux apports de la famille Blanc, se surnomme aujourd'hui « Mutter von Monte Carlo » (la mère de Monte-Carlo).

Heureusement, les lourds investissements dans la principauté portent leurs fruits et rapportent des sommes encore plus considérables qui compensent la perte de Homburg. En 1870, les bénéfices se montent à 5 millions de francs. Ceci permet à François Blanc de participer au remboursement des dommages de guerre versés à l'Allemagne. Puis dans cette même lignée de générosité, il contribue au bouclage financier de la deuxième tranche de travaux du nouvel Opéra Garnier à Paris inauguré en 1875.

Souffrant de problèmes respiratoires, François Blanc meurt le à Loèche-les-Bains en Suisse, où il venait se faire soigner. Il laisse une fortune personnelle de 72 millions de francs : en un peu plus de 15 ans, il est devenu à nouveau le « magicien de Monte-Carlo[18] » assurant ainsi une fortune et une renommée sans pareil à Monaco. Désormais, la destinée de Monte-Carlo sera entre les mains de sa richissime veuve, Marie Blanc, surnommée « Madame Monte-Carlo »[19] qui meurt en 1881 puis au fils aîné de François Blanc, Camille Blanc jusqu'en 1923. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (56e division)[20].

Ses réalisations majeures

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  • « Le savoir-faire n'est rien sans le faire savoir. »
  • « Ici, nous devons donner du rêve, des plaisirs, et de la beauté », à propos de Monaco[21].
  • « Rouge gagne souvent, Noir quelquefois, mais Blanc gagne toujours. » Autre version : « Essayez rouge, essayez noir. C'est toujours Blanc qui gagne. »[22]

Descendance

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De sa liaison avec Magdeleine-Victoire Huguelin :

  • Camille Blanc (1847-1927), homme d'affaires, promoteur immobilier, marié sans descendance.
  • Charles Blanc (1848-1872), célibataire sans descendance.

De son mariage, en 1854, avec Marie Hensel :

Publications

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  • Projet financier pour venir au secours de l'État dans la situation présente. Aux citoyens membres de l'Assemblée nationale par François Blanc (Plon frères, Paris 1848) - Lire en ligne
  • Des valeurs étrangères en France par François Blanc (E. Dentu, Paris 1860) - Lire en ligne
  • Des valeurs étrangères et de leur négociation en France par François Blanc (E. Dentu, Paris 1861) (2ème edition)
  • De l'influence de l'amortissement sur le crédit public par François Blanc (E. Dentu, Paris 1861) - Lire en ligne
  • Des ressources de l'épargne en France et de leur emploi depuis 1852 par François Blanc (E. Dentu, Paris 1863) - Lire en ligne
  • Les capitaux de garantie par François Blanc (E. Dentu 1864) - Lire en ligne

Notes et références

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  1. GAZETTE DES TRIBUNAUX N°3552 du 28/01/1837 page 313 http://data.decalog.net/enap1/Liens/Gazette/ENAP_GAZETTE_TRIBUNAUX_18370128.pdf
  2. Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle par c. d'E-A - cf. pages 333 https://archive.org/details/dictionnairedesf04chai/page/332
  3. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe par Albert Révérend 1904 page 137 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36631z/f145.item
  4. « Livre : "The Wizard of Homburg and Monte Carlo" by Count Corti (1934) page 17 »
  5. GAZETTE DES TRIBUNAUX N°3552 du 28/01/1837 page 313 - Lire en ligne
  6. (en) Making Monte Carlo: A History of Speculation and Spectacle par Mark Braude (Simon & Schusser, 2016) - Lire extrait en ligne p16
  7. « Généalogie de François BLANC », sur Geneanet (consulté le )
  8. « P68 », sur jean.gallian.free.fr (consulté le )
  9. « Des signaux clandestins sur le télégraphe Chappe entre Tours et Bordeaux, entre 1834 et 1836 », dans le Picton n°127 de janvier 1998. [1]
  10. (de) Blaha, Dr. v.; Chabert, Benazet und die Gebrüder Blanc, oder die Geheimnisse des Roulettespiels und der deutschen Spielbanken; Grimma, Leipzig
  11. Monte-Carlo : un siècle de roulette par George W. Herald & Edward D. Radin
  12. Stéphane Bern, Plus belle sera la vie, Plon, 2007
  13. a et b Francoise Blind-Kempinski, « Monaco réinvente son luxe », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  14. Philippe Delorme, « Monaco et les princes de Grimaldi », émission Secrets d'histoire sur France 2, 11 septembre 2012
  15. "Monte-Carlo: un siècle de Roulette" par HERALD George W. & RADIN Edward D. 1964, page 7
  16. Ordonnance Souveraine du 1er juin 1866, Archives de Monaco
  17. http://mjp.univ-perp.fr/constit/mon1861
  18. « François Blanc », sur Gouvernement princier. Principauté de Monaco
  19. Philippe Saint Germain, La Grande Dame de Monte-Carlo, Stock, 1981
  20. Paul Bauer, Deux siècles d'histoire au Père Lachaise, Mémoire et Documents, , 867 p. (ISBN 978-2-914611-48-0), p. 123
  21. « Monte-Carlo Société des Bains de Mer est la plus belle collection d'expériences uniques à Monaco », sur www.montecarlosbm.com (consulté le ).
  22. (en) Count Corti, « The Wizard of Homburg and Monte Carlo », sur Digital Library Of India, , p. 270
  23. Saint-Simon (F. de) & Séréville (E. de), Dictionnaire de la noblesse française, 1975 et Supplément, 1977
  24. EDMOND-BLANC – voir BLANC (Comte). Armes : De sable au lion d’or surmonté d’une ville d’argent (noblesse du Comtat Venaissin) ; Bref en décembre 1879 en faveur de François-Edmond-Eugène BLANC (1856-1920), propriétaire.
  25. Arnaud Clément, « La Noblesse Française », sur academia.edu, (consulté le ), p. 1110

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • (de) Dr. v. Blaha, Chabert, Benazet und die Gebrüder Blanc, oder die Geheimnisse des Roulettespiels und der deutschen Spielbanken, Grimma : Druck und verlag des Verlags-Comptoirs, - Lire en ligne
  • Monaco et Monte-Carlo par Bénédict-Henry Révoil (1878), réédité
  • Revelations of Monte Carlo roulette par J. Cousins Lawrence (T.F. Unwin, 1919)
  • (en) Count Corti, The Wizard of Homburg and Monte Carlo, Thornton Butterworth Limited, - Lire en ligne - Résumé
  • Monte Carlo Casino par Peter A. Polovtsoff (Hillman-Curl, 1937)
  • Monte-Carlo : un siècle de Roulette par George Herald et Edward Radin 1964
  • La Grande Dame de Monte-Carlo par Philippe Saint Germain (Radio Monte-Carlo 1981)
  • Ich schenke Dir Monte Carlo par Rolf Palm (Presse - Druck, Augsburg 1993)
  • Monte-Carlo la légende par Frédéric Mitterrand (Assouline 1993)
  • Histoire de Monaco - Que Sais-je par Jean-Baptiste Robert (PUF 1997)
  • Plus belle sera la vie, roman, par Stéphane Bern, éd. Plon, Paris, 2007, 242 p., (ISBN 978-2-259-19540-9), (BNF 41076281)

Articles connexes

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Liens externes

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