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La Victoire de la Grande Armée

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La Victoire de la Grande Armée
Langue
Auteur
Genres
Roman historique
Littérature uchronique (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Personnages
François Beille (d)
Napoléon Ier
Grande ArméeVoir et modifier les données sur Wikidata
Dates de parution
Pays

La Victoire de la Grande Armée est un roman historique écrit par Valéry Giscard d'Estaing, paru le aux éditions Plon.

Résumé

Prise de Moscou par Napoléon (auteur inconnu).

Dans ce récit uchronique, l'auteur imagine qu'à son arrivée à Moscou après la bataille de la Moskova en , Napoléon décide de reprendre immédiatement le chemin du retour vers la France, évitant ainsi de tomber dans le piège de l'hiver russe et contraignant le général Koutouzov à l'affronter.

Le personnage principal du livre, le général François Beille (personnage de fiction), retient avec son régiment les soldats russes permettant à la Grande Armée de mener la bataille non loin de la Pologne en un lieu choisi par les Français, remportant ainsi une victoire.

Après celle-ci, Napoléon, pour conforter la paix et les acquis de l'Empire, décide de céder la couronne à son fils adoptif Eugène de Beauharnais[1].

Réception

Laurent Joffrin, directeur du quotidien Libération, salue la tentative de l'ancien président de la République de se lancer dans l'uchronie littéraire, mais considère l'idée retenue comme invraisemblable car Napoléon n'a jamais été « sage » et n'aurait jamais pris la décision décrite dans ce roman. Le journaliste reconnait tout de même un charme à cette œuvre, en raison justement de cette invraisemblance, et sous-entend que le fond de celle-ci s'adresserait plutôt à Nicolas Sarkozy, président en exercice au moment de sa publication[2].

Références

  1. « La Victoire de la Grande Armée », sur Babelio (consulté le ).
  2. Laurent Joffrin, « Et VGE sauva Napoléon », Le Point (consulté le ).

Articles connexes