Union étudiante

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Union étudiante
Histoire
Fondation
2023 Union étudiante
Origine
Scission de l'UNEF (en partie)
Prédécesseur
L'Alternative (2019-2023)
Fusion de
UNEF (en partie) et l'Alternative (2023)
Cadre
Zone d'activité
Forme juridique
Structure
Fédération d'associations
Domaine d'activité
Siège
Pays
Organisation
Membres
Présence revendiquée sur 51 campus (juin 2023[1])
Portes-paroles
Éléonore Schmitt
Hugo Prevost (2019-2024)
Secrétaire fédérale
Emmy Marc
Secrétaires généraux
Karel Talali
Pauline Lebaron
Positionnement
Représentativité
Élus au CNESER :
3  /  11

Élus au CNOUS :
3  /  8
Site web

L'Union étudiante est une fédération de syndicats et d'associations étudiantes.

Elle est créée en 2023 à la suite d'une fusion de L'Alternative[2] (créée en 2019 par un ensemble de syndicats indépendants et locaux, en partie issus de scissions de l'UNEF) et d'une partie de l'UNEF. Elle revendique l'héritage du syndicat étudiant historique.

Elle a le statut d'organisation étudiante représentative[3].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origine et création de L'Alternative[modifier | modifier le code]

Les années 2010 sont marquées par une double évolution du syndicalisme étudiant français.

D'une part, un certain nombre d'universités voit apparaître des syndicats étudiants locaux, revendiquant un fort ancrage à gauche et leur indépendance des formations nationales[4]. C'est le cas, par exemple, dans les universités Paris-Sorbonne (l'AGEPS, créée en 2007 et issue de l'UNEF[5]), Montpellier 3 (le SCUM, créé en 2014[6]), Rennes-II (l'Armée de Dumbledore, créée en 2015[7] et devenue depuis l'Union pirate[8]), Toulouse-II (l'UET, créée en 2015[9]) ou encore à l'ENS de Lyon (ÉCHARDE, créée en 2017[10]). Lors des élections au CNESER de 2017, certaines de ces formations s'allient à Promotion et défense des étudiants (PDE) et constituent la liste Parole étudiante, qui obtient un siège au Cneser[11],[12].

D'autre part, le syndicat étudiant historique, l'UNEF, subit une nette perte de vitesse. Fragilisée électoralement (elle perd notamment en juin 2017 sa place de première organisation étudiante au profit de la FAGE)[13],[4], elle fait l'objet de plusieurs polémiques médiatiques[13],[14] et de dissensions internes importantes. En septembre 2017, sept membres du bureau national de l'UNEF et sa trésorière, tous membres de la tendance Majorité nationale (la TMN), sont démis de leur fonction en raison de leur proximité avec la France Insoumise[15]. Ces membres constitueront un groupe d'opposition interne, les « Syndicalistes »[16]. En 2019, ces éléments aboutissent à deux scissions distinctes :

  • plusieurs sections locales liées aux « Syndicalistes »[réf. nécessaire] quittent l'UNEF pour fonder des syndicats locaux : l'Union des Étudiant⋅es de Grenoble (UEG), de Reims (UER), de l'Université de Paris (UEUP) et des Yvelines (UEY)[17] ;
  • l'une des tendances minoritaires de l'UNEF (la TUAS, correspondant à son aile gauche) annonce son départ du syndicat[18] et la plupart des militants scissionnaires fonde alors un nouveau syndicat national : la Fédération syndicale étudiante (FSE)[19],[20].

L'Alternative naît dans ce contexte, à l'occasion des élections au CNESER de 2019. Elle y porte une liste commune à de nombreux syndicats indépendants, notamment des syndicats qui avaient participé à la liste « Parole Étudiante » en 2017 mais aussi ceux nés des « Syndicalistes » de l'UNEF (qui sont fondés dans le même temps[17]). Ces formations locales sont, par la suite, rejointes par la FSE ainsi que par quelques sections de Solidaires étudiant-e-s[21],[22],[23].

L'Alternative est officiellement constituée en août 2019 comme une association loi de 1901 à durée limitée (à deux ans, durée d'un mandat au CNESER)[2],[23].

De 2019 à 2023, l'installation d'un nouveau syndicat[modifier | modifier le code]

Logo de L'Alternative
Le logo de L'Alternative de 2019 à 2023.

Lors des élections au CNESER de 2019, L'Alternative recueille 16 % des suffrages et remporte 2 sièges (sur 11)[3],[4]. Elle acquiert ainsi le statut d'organisation étudiante représentative dès sa création.

En 2020, elle participe au mouvement d'opposition au projet de Loi de programmation de la recherche porté par la ministre Frédérique Vidal[24].

Entre décembre 2020 et février 2021, elle est rejointe par six nouvelles organisations. Dans le même temps, les sections de Solidaires étudiant-e-s qui avaient participé à la fondation de L'Alternative la quittent[23].

En février 2021, L'Alternative adopte de nouveaux statuts[25] qui pérennisent l'association, dont la durée est désormais illimitée. Le fonctionnement interne est également modifié, et L'Alternative se décrit désormais comme « une union associative et syndicale regroupant des organisations étudiantes locales ou nationales dans le but de représenter et défendre collectivement les usager⋅es de l'enseignement supérieur et de la recherche au niveau national »[25][source secondaire souhaitée].

Lors des élections au CNESER de 2021, L'Alternative s'allie à Solidaires étudiant-e-s et à la Fédération syndicale étudiante (désormais présentée comme partenaire indépendant et non comme composante de L'Alternative)[26]. Leur liste obtient deux élus, devient la deuxième liste en termes de voix et revendique d'être désormais la principale force étudiante d'opposition[27],[26]. Six mois plus tard, L'Alternative se présente pour la première fois aux élections des œuvres universitaires et obtient la troisième position, obtenant entre 22[28] et 30[29] élus, arrivant en tête dans trois CROUS[30] et remportant deux des huit sièges au conseil d'administration du CNOUS au terme d'une nouvelle alliance avec Solidaires et la FSE[31],[32].

Au début de l'année 2023, L'Alternative participe au mouvement contre la réforme des retraites portée par le gouvernement Borne, et organise notamment une marche le 21 janvier avec la France insoumise.

La création de l'Union étudiante[modifier | modifier le code]

La création de l'Union étudiante intervient dans le contexte d'une crise interne au sein de l'UNEF. Au début du mois d'octobre 2022, un épisode de violences verbales, psychologiques et physiques commises par la présidente et le secrétaire général de l'organisation entraîne une fracture au sein de la tendance en direction. Après plusieurs mois de conflit interne, les membres de la tendance ayant dénoncé ces comportements renoncent à se faire entendre en interne de l'UNEF et se rapprochent de l'Alternative pour créer l'Union étudiante[33].

Le 4 avril 2023, à quelques mois des élections au CNESER, la création de l'Union étudiante est annoncée. 17 sections de l'UNEF (sur 40) quittent le syndicat historique. Les dirigeants de l'Union étudiante affirment vouloir assumer « l'héritage de l'UNEF ». Le congrès de fondation de l'organisation a lieu les 22 et 23 avril[34],[35],[36].

Fonctionnement[modifier | modifier le code]

L'Union étudiante adopte une structure fédérale. L'Alternative se fondait déjà sur un modèle fédéral. Ainsi, elle se présentait davantage comme « une union d'organisations locales » que comme un syndicat étudiant national, s'interdit l'ingérence dans les affaires de ses membres, et dispose d'un exécutif réduit à six personnes[37],[23]. Ce modèle fédéral évolue à la création de l'Union étudiante, qui est dotée d'un conseil d'administration (où chaque organisation membre dispose d'une voix) et d'un bureau national[38].

Comme organisation étudiante représentative, elle bénéficie d'une subvention publique de 131 175 € par an en 2021, destinée à la formation de ses élus et à son fonctionnement[39].

Positionnement politique[modifier | modifier le code]

Prises de position[modifier | modifier le code]

Les positions prises par l'Union étudiante la rattachent à la gauche[39],[40],[41],[42]. Elle défend en particulier l'absence de sélection dans l'enseignement supérieur, revendication historique du mouvement étudiant[43],[44],[42]. Elle s'implique dans les mobilisations contre la précarité étudiante, réclamant une réforme des bourses universitaires et un plus grand investissement de l'État dans les domaines du logement, de la santé étudiante et de l'alimentation, entre autres[45],[40],[46],[47].

Elle porte un regard critique sur les évolutions d'inspiration néolibérale[48],[49] du système universitaire français depuis les années 2000. Elle s'oppose ainsi aux fusions d'universités, aux « politiques d'austérité » dans l'enseignement supérieur, à la délivrance de diplômes nationaux par des établissements privés ou à la différenciation des droits d'inscription dans les universités[12],[50].

Pendant la crise du Covid-19, L'Alternative défend la validation automatique du semestre de printemps 2020 et s'oppose à la télé-surveillance des examens dont elle dénonce le caractère intrusif et inégalitaire[51],[52],[53],[54]. Elle appelle également l'État à investir dans l'enseignement supérieur pour permettre le déroulement des cours en présentiel[51],[55],[46]. Après l'instauration d'un tarif de 1 € (au lieu de 3,30 €[56]) pour les repas des étudiants boursiers au restaurant universitaire, elle revendique l'extension de ce tarif à tous les étudiants aux côtés de plusieurs autres associations[57]. Cette demande est accordée après quelques mois, puis retirée à la rentrée 2021. L'Alternative se mobilise à nouveau contre ce retrait[51],[46],[28].

Liens avec le monde politique[modifier | modifier le code]

L'Union étudiante regroupe des organisations aux positionnements divers sur l'échiquier politique.

Cependant, elle est considérée comme proche de la France insoumise[58]. C'est le cas d'une partie de ses fondateurs (notamment ceux issus de l'UNEF)[15],[16]ainsi que de plusieurs de ses responsables nationaux qui militent ou candidatent sous les couleurs insoumises aux élections européennes[59][source secondaire nécessaire], régionales[60], présidentielles[61],[62] puis législatives (où deux secrétaires de L'Alternative, Marie Mesmeur et Axel Renard, sont désignés « chefs de file » pour leur circonscription[63],[64],[65]).[Interprétation personnelle ?]

L'organisation organise plusieurs manifestations avec la France insoumise, notamment dans le cadre de la mobilisation contre la réforme des retraites en 2023[34].

Détail des résultats électoraux nationaux[modifier | modifier le code]

Au CNESER[modifier | modifier le code]

Année Voix % Sièges Rang Commentaire
2019[3] 222 16,5
2  /  11
3e
2021[27] 233 17,2
2  /  11
2e La liste présentée est une union avec Solidaires étudiant-e-s et la FSE. Des deux sièges obtenus, un seul revient effectivement à L'Alternative[50].
2023 372 26,7
3  /  11
2e

Au sein des œuvres universitaires[modifier | modifier le code]

Élection CROUS[modifier | modifier le code]

Année Sièges Rang Voix % Commentaire
2022
22  /  177
3e Les chiffres varient entre 22[28] et 30[29] élus.
2024
57  /  182
1er 50 847 26 La liste devient majoritaire et atteint la première place en nombre de sièges obtenus avec la liste d'union en Basse Normandie avec Solidaires étudiant-e-s. La FAGE reste première en nombre de voix obtenues.

Élection CNOUS[modifier | modifier le code]

Année Voix CNOUS % Sièges Rang Commentaire
2022 36[31] 20,45
2  /  8
3e La liste présentée est une union avec Solidaires étudiant-e-s et la FSE. Des deux sièges obtenus, un seul revient effectivement à L'Alternative.
2024 66[66] 38,15
3  /  8
1er Liste majoritaire au nombre de votants qui se sont exprimés.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nos membres », sur union-etudiante.fr, (consulté le ).
  2. a et b « Annonce de publication au Journal officiel », sur Journal-officiel.gouv.fr, (consulté le )
  3. a b et c « Avis relatif à la proclamation des résultats des élections des représentants des étudiants des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel au CNESER », sur Legifrance, (consulté le )
  4. a b et c Groupe d'études et de recherche sur les mouvements étudiants, « Observatoire des mouvements étudiants », Les Cahiers du GERME, no 32,‎ (lire en ligne)
  5. « Éléments d'histoire sur la fin de l'UNEF (1997/2001) », sur C'était l'UNEF (consulté le )
  6. « Syndicalisme étudiant ? », sur Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier, (consulté le )
  7. « L'Armée de Dumbledore, nouveau « vote contestataire » à Rennes 2 », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. Virginie Enee, « Élections étudiantes. Abordage réussi pour les pirates de Rennes 2 », Ouest France,‎ (lire en ligne)
  9. « Le syndicat », sur Union des Étudiant·e·s de Toulouse (consulté le )
  10. « Qui sommes-nous ? », sur ÉCHARDE, syndicat étudiant à l'ENS de Lyon (consulté le )
  11. « Cneser : la Fage majoritaire aux élections des représentants étudiants 2017 pour la première fois », sur News Tank Éducation & Recherche (consulté le )
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  13. a et b « L’UNEF entre revendications et remise en question », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. « Que reste-t-il de l’Unef, syndicat étudiant sous le feu des polémiques ? », sur Franceinfo, (consulté le )
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  17. a et b Voir la parution au Journal officiel des annonces de création de l'UEG, de l'UEUP ou de l'UEY.
  18. « Lettre aux camarades de l’UNEF », sur À Gauche.org, (consulté le )
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