Discussion:Historiographie de la Première Guerre mondiale

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

ESPACE DISCUSSION[modifier le code]

Relecture (FF)[modifier le code]

J'ai fait une petite relecture, bornée à la forme, n'ayant aucune connaissance par ailleurs du sujet de l'article. Juste deux remarques :

  • Je ne suis pas sûr de comprendre la phrase : « En Autriche, le soutien institutionnel a été limité après la guerre pour encourager les travaux d'historiens. » : c'est-à-dire qu'il y a eu peu de soutien institutionnel aux historiens autrichiens ?
    Je vais essayer une formulation plus heureuse. L'idée c'est bien qu'il n'y a guère d'encouragement de la part des gouvernements successifs.
  • Peut-être donner la référence des ouvrages de Vigezzi, Isnenghi, Gibelli, etc. dans le § sur l'historio. italienne ?
    Oui, je comptais le faire de toute façon mais je préfère avancer avant de régler ce genre de détail. Est-ce qu'on crée un groupe "Notes" pour les mettre ou est-ce que je les mêle aux références utilisées pour la rédaction ?

Bravo pour le travail effectué. FF 19.10.14 16:49 CEST.

Ce n'est qu'un début ! Merci à toi pour cette première relecture. Gentil Hibou mon arbre 19 octobre 2014 à 17:05 (CEST)[répondre]

Création de sous-sections[modifier le code]

Bonjour à tous, j'ai tendance à faire des sections assez longues, donc n'hésitez pas à créer des sous-sections dès que vous trouvez que mes pavés deviennent indigestes. Je repasserai derrière pour vérifier que les titres de ces sous-sections collent bien au contenu. A+ Gentil Hibou mon arbre 27 octobre 2014 à 07:15 (CET)[répondre]

Historiographies thématiques[modifier le code]

Je viens de m'apercevoir que Thib Phil a créé l'ébauche d'un article détaillé sur les historiographies thématiques de la guerre. C'est tout à fait justifié au regard de la documentation disponible. Absorbé par les historiographies nationales je ne me suis pas encore penché là-dessus. Le minimum serait de garnir l'article principal grâce au livre de Prost et Winter, mais je sens que je vais manquer de temps. A+ Gentil Hibou mon arbre 27 octobre 2014 à 08:15 (CET)[répondre]

Salut Gentil Hibou! L'article actuel, en se limitant ici aux histoires nationales, est déjà assez copieux et je pense comme toi que l'autre pourra le devenir tout autant. J'ai été long à me mettre au travail en raison de soucis de santé et je ne pense donc pas que j'aurais eu le temps de traiter les thématiques ici dans les délais. Cela dit, j'ai laissé le titre de section sur les champs. Je pense que tu avais dans l'idée de nous pondre un petit poulet sur le sujet qui aurait certainement sa place ici pour introduire/présenter l'autre. Bonne journée Thib Phil (discuter) 27 octobre 2014 à 08:47 (CET)[répondre]

Félicitations[modifier le code]

Je viens de parcourir l'article et je tiens à dire un grand bravo à Notification Gentil Hibou : pour le travail réalisé. C'est logique, bien écrit et solide. De plus, c'est une page utile, indispensable, en ces temps de centenaire. Elle servira, et sera nourrie, c'est certain. Je repasserais de temps à autre pour voir la suite, même si ce n'est pas ma période de prédilection. Au plaisir. Cedalyon (discuter) 25 décembre 2014 à 07:46 (CET)[répondre]

Notification Cedalyon : merci pour ton message. J'ai des semaines, que dis-je, des mois chargés qui s'annoncent, aussi le travail avancera doucement, mais le prix reçu lors du wikiconcours est un encouragement qui va me motiver pour étoffer progressivement l'article. Et bravo pour tes propres apports à Wikipédia, que je lis aussi avec plaisir. Gentil Hibou mon arbre 27 décembre 2014 à 08:17 (CET)[répondre]

ESPACE BROUILLON[modifier le code]

Historiographie belge[modifier le code]

L'historiographie belge débute dès l'époque du conflit, les premières publications remontant à l'année 1915, les ouvrages étant imprimés et publiés en France par des maisons d'édition françaises ou des éditeurs belges « délocalisés » de par l'occupation de la Belgique par les Allemands.

Dans l'entre-deux-guerres, elle sera marquée par deux « sensibilités » très connotées: l'historiographie flamande sera très marquée par les « mythes » du nationalisme flamand émergeant, celle en langue française, plus « belgicaine », par l'éloge du roi Albert - les batailles de Liège et de l'Yser devenant deux symboles fort de la résistance nationale.

Historiographie du temps de guerre[modifier le code]

Entre-deux-guerres[modifier le code]

Éloges du « Roi-Chevalier » Albert Ier[modifier le code]
Les « mythes » du nationalisme flamand[modifier le code]

Historiographie contemporaine[modifier le code]

En Belgique néerlandophone, l'historiographie de la 1re Guerre mondiale est la spécialité de la maison d'édition De Klaproos établie à Bruges qui a publié de nombreux ouvrages d'études d'histoire locale, sur les grandes figures du conflit et les opérations sur le Front de l'Yser, cet éditeur disposant de son propre fond d'archives. Un ouvrage important a été publié sous la plume du Prof. Dr. Sophie De Schaepdrijver sous le titre De Groote Oorlog (La grande Guerre). Une autre contribution importante récente en flamand sur le thème est l'ouvrage 14-18.Oorlog in België publié par le Davidsfonds sous la plume ea. de Luc De Vos, historien et professeur à l' École royale militaire. On citera enfin les nombreuses publications de la maison d'éditions Lannoo basée à Tielt[1][2].


  1. (nl) catalogue de la maison Lannoo sur le thème
  2. Pour l'historiographie en langue néerlandaise en Belgique voir : « De Eerste Wereldoorlog wordt stilaan een "overboekte" oorlog », Article de présentation de l'historiographie en langue flamande dans le fascicule de présentation du Hors Série « Historia 1914 » publié par Knack (magasine) - Krant van West Vlaanderen, p. 14, juin 2014.

Historiographie allemande[modifier le code]

de de:Erster Weltkrieg

Recherche historique[modifier le code]

Diskussion um Kriegsursachen[modifier le code]

Ausgelöst hauptsächlich durch die im Versailler Vertrag behauptete alleinige Kriegsschuld des Deutschen Kaiserreichs, entstand in der Weimarer Republik in den Jahren nach dem Ersten Weltkrieg ein umfangreiches apologetisches Schrifttum zur Abwehr der „Kriegsschuldlüge“ (→ Kriegsschuldfrage). Historiker der Siegerstaaten hielten überwiegend an der alleinigen Kriegsschuld Deutschlands und seiner Verbündeten fest. Die Zeit des Nationalsozialismus brachte in Deutschland eine Unterbrechung ernsthafter Forschung und führte zu einer Abschottung von der westlichen Geschichtswissenschaft. Nach dem Zweiten Weltkrieg setzte sich zunächst die Ansicht des britischen Premiers David Lloyd George durch, die Völker Europas seien „in den Weltkrieg hineingeschlittert“. In den 1960er-Jahren stellte der Hamburger Historiker Fritz Fischer dieses Geschichtsbild in Frage. Er löste einen ersten, jahrelangen Historikerstreit aus (Fischer-Kontroverse), beginnend mit seinem Buch Griff nach der Weltmacht. Die Kriegszielpolitik des kaiserlichen Deutschland 1914/18. Fischer stützte sich auf umfangreiches Quellenmaterial (vor allem des Archivs des Auswärtigen Amtes). Er vertrat die These, das Deutsche Reich habe seit dem sogenannten „Kriegsrat“ vom 8. Dezember 1912 zielbewusst auf die Herbeiführung eines europäischen Krieges hingearbeitet, allerdings unter der Prämisse, dass Großbritanniens Neutralität gewährleistet bliebe. Insbesondere der Historiker Gerhard Ritter trat der Position Fischers scharf entgegen.

Über die „tieferen Ursachen des Machtkampfes zwischen den Großmächten“ ist in der Geschichtswissenschaft bis heute keine Einigkeit erzielt worden.[1] Volker Berghahn etwa sieht die Ursachen des Krieges im europäischen Bündnissystem, in Blockbildung, Wettrüsten und Imperialismus, außerdem in innenpolitischen Konflikten. Die Verantwortung für die Entscheidung zum Krieg betreffe einen kleinen Personenkreis in Berlin und Wien, wo „die Entscheidungsträger eine hohe Risikobereitschaft“ an den Tag gelegt, zudem durch „Missmanagement und Fehlkalkulationen […] die Julikrise von 1914 bis zur ‚Flucht nach vorn’“ verschärft hätten.[2] Wolfgang J. Mommsen scheint seine ältere Sozialimperialismus-These, „der zufolge die deutschen Eliten einen Krieg anzettelten, um überfällige politische und gesellschaftliche Reformen abzuwehren“, etwas relativiert zu haben, wenn es in einer jüngeren Publikation heißt, dass die deutsche Führung in „gewissem Sinne“ im Juli 1914 „ihre Zuflucht im Kriege“ gesucht habe, während die Bevölkerung der Propaganda gefolgt sei, „die den Krieg als einen lange vorbereiteten Überfall der Alliierten darstellte“.[3]

Michael Salewski hingegen weist innenpolitische Ursachen des Weltkriegs zurück. Um gesellschaftliche Veränderungen zu verhindern, sei ein Krieg kontraproduktiv gewesen. Auch die Großindustrie habe kein Interesse an einem großen Krieg gehabt: „Sie wollten im Zeichen der Globalisierung vor 1914 ihre Geschäfte machen […]. Wer konnte so dumm sein, den Krieg zu wünschen, wenn doch allen klar sein musste, dass man damit mehr verlieren als gewinnen würde?“ Die Außenpolitik des Deutschen Reiches und Österreich-Ungarns hingegen sei „unfähig zu dem Eingeständnis gewesen, dass man eine Weltmachtrolle im 20. Jahrhundert nicht spielen könne oder wolle.“ Daher habe man sich in der Julikrise „wie bei einem Pokerspiel oder wie beim russischen Roulette verhalten“.[4] Niall Ferguson spricht sich dagegen für das seiner Meinung nach in der neueren Forschung oft missverstandene Deutsche Kaiserreich aus, das er gegen die Vorwürfe des exzessiven Militarismus, außenpolitischen Verfolgungswahns und europäischen Hegemoniestrebens verteidigt. Deutschland habe gar nicht nach der Weltmacht gegriffen, sondern lediglich gefürchtet, den Rüstungswettlauf zu verlieren. Großbritannien hätte seiner Auffassung nach nicht in den Krieg eintreten müssen, schon gar nicht wegen des Einmarsches deutscher Truppen in Belgien. Er sieht die britische Politik gar als hauptschuldig an.[5] Es sei die britische Regierung gewesen, die „den Kontinentalkrieg in einen Weltkrieg“ verwandelt habe. [6] In der Geschichtswissenschaft wird Fergusons Position entschieden zurückgewiesen, da seine Thesen der Überprüfung nicht standhielten[7] bzw. weil ungeachtet der Anerkennung von Fergusons ökonomischem Sachverstand angenommen wird, dass ‚die wissenschaftliche Phantasie‘ mit ihm durchgegangen sei.“[6]

Neuere Überblicksdarstellungen gehen davon aus, dass es sich bei der deutschen Politik in der Julikrise um eine hochriskante Kriegsstrategie handelte, die « die Möglichkeit eines großen Krieges bewußt in Kauf nahm, ohne diesen allerdings unbedingt herbeiführen zu wollen. »[8] Die für notwendig befundene Verbesserung der eigenen Position sollte dabei „mit Hilfe einer ‚Politik der begrenzten Offensive‘, unter Inkaufnahme eines ‚kalkulierten Risikos‘“ durchgesetzt werden. Die Begriffe ‚begrenzte Offensive‘ und ‚kalkuliertes Risiko‘ genügen laut Jürgen Angelow jedoch nicht, „das Unverantwortliche und Abgründige“ der deutschen Position vollständig zum Ausdruckzu bringen. Dagegen beschreibe der von jüngeren Historikern verwendete Begriff Brinkmanship eine „waghalsige Politik des ‚unkalkulierten Risikos‘, des Wandelns am Rande des Abgrunds.“[9] Christopher Clark wiederum steht für eine Richtung in der Forschung zur Entstehung des Ersten Weltkriegs, die den Kriegsausbruch als « Frucht einer gemeinsamen politischen Kultur » in Europa und damit einhergehend einer gemeinsamen « Paranoia » sieht, wobei Clark die Ergebnisse von Fritz Fischer damit nicht generell in Frage stellen will. Einigkeit herrscht heute darüber, dass der Kriegsausbruch 1914 « eines der komplexesten Ereignisse der neueren Geschichte » war und dass folglich die Diskussion um die Ursachen des Ersten Weltkrieges weitergehen wird.[10]

Kriegsbegeisterung[modifier le code]

[[Datei:IR Lübeck 033 - EB.jpg|mini|Abmarsch des Regiments Lübeck am 31. Juli 1914]] mini|Reservisten auf Lastwagen, Berlin, 1914

Lange Zeit war in der Forschung unbestritten, dass die Propaganda auf fruchtbaren Boden fiel und im Deutschen Reich, in Österreich-Ungarn und auch in Frankreich eine große Kriegsbegeisterung herrschte (Augusterlebnis, Ideen von 1914). Als besonders bekannte Zeichen des nationalen Taumels gelten der als Manifest der 93 bekannt gewordene Aufruf an die Kulturwelt, in dem bekannte Intellektuelle im September 1914 eine deutsche Kriegsschuld ebenso zurückwiesen wie die Erklärung des Krieges durch den deutschen Militarismus, und die Erklärung der Hochschullehrer des Deutschen Reiches, mit der über 3000 deutsche Dozenten einen Monat später ihren Glauben bekannten, « daß für die ganze Kultur Europas das Heil an dem Siege hängt, den der deutsche ‚Militarismus‘ erkämpfen wird ».

Umstritten ist, ob sich diese Kriegsbegeisterung in der gesamten Bevölkerung wiederfand oder vor allem in der großstädtischen Mittel- und Oberschicht verbreitet war. Im Deutschen Reich wurde ein Notabitur eingeführt, damit kriegsbegeisterte Oberprimaner vorzeitig ins Heer eintreten konnten. Neuere regionalgeschichtliche Forschungen in Deutschland widerlegen jedoch die Annahme einer allgemeinen Kriegsbegeisterung im August 1914 und haben ein weit differenzierteres Verhalten der Bevölkerung bei Kriegsausbruch festgestellt.[11] In Frankreich zeigte sich ein Großteil der Bevölkerung bereitwillig zur Verteidigung der Nation, jedoch erst nach der deutschen Kriegserklärung. Bis dahin beschäftigte sich die Öffentlichkeit vorrangig mit innenpolitischen Fragen, von einer Erwartung oder gar Begeisterung eines bevorstehenden Krieges kann keine Rede sein. Lediglich nationalistische Politiker und Intellektuelle waren bereits vor dem Angriff offen für einen Krieg eingetreten, etwa zur Revanche und zur Rückgewinnung des Elsass und Lothringens.

Erklärungen für die These der Kriegsbegeisterung kamen etwa von George L. Mosse: Er beschrieb den Wunsch nach Wiederherstellung einer intakten Männlichkeit nach einer Phase der sogenannten Dekadenz, zu der neben einer vermeintlichen Vormachtstellung des Judentums die Frauenbewegung, erste Ansätze einer Schwulenbewegung und Künstler wie die „Dekadenzdichter“ gezählt wurden.[12]

Der Militärhistoriker Manfried Rauchensteiner betrachtet die Kriegsbegeisterung als durchaus realen Faktor, der quer durch die Bevölkerungsschichten und politischen Lager wirkte. Nach Rauchensteiner wurde die Aussicht auf einen Krieg im Sommer 1914 zur Projektionsfläche unterschiedlichster politischer, philosophischer und existenzieller Sehnsüchte: Modèle:Zitat

Zumindest in kleinerem Umfang kam es auch zu Aktionen von Kriegsgegnern. Am 28. Juli 1914 fanden beispielsweise Antikriegsdemonstrationen im Berliner Lustgarten sowie in Hamburg, Altona und Wandsbek statt. Die SPD-Führung schreckte jedoch davor zurück, die Massenproteste als politisches Druckmittel einzusetzen und den Hurra-Patrioten offensiv entgegenzutreten. Antikriegsaktionen beschränkten sich zumeist auf von der Polizei genehmigte Versammlungen in geschlossenen Räumen, und die Straße blieb den kriegsbegeisterten Teilen des Bürgertums überlassen. Der radikale Schwenk der SPD-Leitung und der meisten SPD-Parteizeitungen wenige Tage später irritierte weite Teile der Arbeiterschaft, in der sich auch nach dem 1. August 1914 eher Resignation und wenig Kriegsbegeisterung einstellte.[13]

Am 1. Mai 1916 sprach Karl Liebknecht vor einer Demonstration von mehreren tausend Kriegsgegnern auf dem Potsdamer Platz, was zu seiner Verhaftung und späteren Verurteilung wegen Hochverrates führte.

Gesellschaftliche Umwälzungen[modifier le code]

Mit dem Ersten Weltkrieg ging eine Epoche zu Ende – das lange 19. Jahrhundert, wie es oft genannt wird, das mit der Französischen Revolution (1789) begonnen hatte und gemeinhin als das „bürgerliche Zeitalter“ apostrophiert wird. Das war bereits den Zeitgenossen bewusst. Der britische Außenminister Sir Edward Grey meinte, dass in Europa die Lichter ausgingen; Reichskanzler Theobald von Bethmann Hollweg sprach in düsterer Vorahnung von einem „Sprung ins Dunkle“.

Der Erste Weltkrieg war – wie es der US-amerikanische Diplomat und Historiker George F. Kennan ausdrückte – die „Urkatastrophe des 20. Jahrhunderts“. Er war vor allem ein Ereignis, das sich fatal auf die weitere Geschichte Europas auswirkte: Oktoberrevolution, Stalinismus, Faschismus, Nationalsozialismus und schließlich der Zweite Weltkrieg sind ohne die Erschütterungen des Ersten Weltkrieges nicht denkbar. Einige Historiker fassen die Jahre von 1914 bis 1945 als zweiten Dreißigjährigen Krieg zusammen und beschreiben die Zeit der Weltkriege als Katastrophenzeit der deutschen Geschichte.

Mit dem Ersten Weltkrieg endete eine Epoche unbedingten und optimistischen Fortschrittsglaubens, eine große Desillusionierung durch die mörderische Realität der Materialschlachten und Grabenkämpfe setzte ein. Die Ordnung des 19. Jahrhunderts geriet aus den Fugen: parlamentarisch-demokratische Republiken lösten die liberal-konstitutionelle Regierungsform mit stark autokratischen Zügen besonders im Deutschen Reich und in Österreich-Ungarn ab. Letzteres zerfiel in mehrere neue Staaten. Die republikanische Staatsform löste in vielen Teilen Europas endgültig die monarchische ab. Diesen Republiken blieben jedoch die wirtschaftlichen und sozialen Spannungen sowie die politischen Konzepte der Vorkriegszeit, um ihnen zu begegnen, erhalten. Alsbald brach sich die Krise der bürgerlichen Gesellschaft Bahn und sie wurden durch den Aufstieg großer faschistischer und kommunistischer Massenbewegungen bedroht, die in diktatorische und totalitäre Regime mündeten. Die bürgerlich dominierte Stände- und Klassengesellschaft wandelte sich in Teilen zur Massengesellschaft.

Der Zusammenbruch der Monarchien in Deutschland, Österreich-Ungarn, Russland und in der Türkei und der daraus folgende soziale und politische Umbruch mündete vor dem Hintergrund weiterhin schlechter Wirtschaftskonjunkturen zum Teil in äußerst instabile Regierungssysteme in den Nachfolgestaaten vor allem Ostmitteleuropas.

Die USA wurden durch ihre Unterstützung der Alliierten zur dominierenden Weltmacht. Staaten wie Großbritannien und Frankreich gerieten in wirtschaftliche Abhängigkeit von den USA, vor allem durch die interalliierten Kriegsschulden. Der Erste Weltkrieg leitete das Ende der europäischen Vormachtstellung ein – auch durch die allmähliche Emanzipation der Völker Afrikas und Asiens vom Kolonialismus.

Ostfronthistoriografie[modifier le code]

Die Historiografie zur Ostfront des Ersten Weltkriegs nimmt innerhalb der Literatur zu den Jahren 1914 bis 1918 wenig Raum ein. Gründe für das geringe Forschungsinteresse war u. a. der Kalte Krieg, der den Zugang zu den östlichen Archiven für westliche Forscher erschwerte. Unter Lenin wurden Soldatenfriedhöfe des Zarenreiches zerstört und so der Versuch unternommen, die damit zusammenhängenden Ereignisse aus dem Geschichtsbewusstsein der Menschen auszulöschen. In der Sowjetunion konnten sowohl positive und patriotische wie auch negative Darstellungen der Kaiserlich Russischen Armee im Ersten Weltkrieg zu Problemen für den Autor führen, sodass das Thema eher gemieden wurde.

Norman Stone verfasste 1975 die erste umfassende Darstellung der Geschehnisse an der Ostfront.[14] Stone bezweifelt die wirtschaftliche Rückständigkeit des Russischen Reiches. Die Schwäche Russlands lag für Stone in der veralteten Administration, der die Versorgungsschwierigkeiten und die ineffiziente Armeeführung anzulasten sei. Der Krieg im Osten unterschied sich markant von den Ereignissen an der Westfront, u. a. blieb es im Osten beim Bewegungskrieg, als im Westen die Fronten bereits erstarrt waren. Die Gründe hierfür lagen bei den spärlichen Kommunikationsmöglichkeiten und der schlechten Verkehrserschließung, aufgebrochene Lücken in den Verteidigungslinien konnten nicht so schnell geschlossen werden wie im Westen. Die räumliche Ausdehnung der Ostfront mit mehreren tausend Frontkilometern kontrastierte mit lediglich 800 Kilometern Länge der Westfront. Erst in den neueren westlichen Darstellungen und Forschungen zum Ersten Weltkrieg rückt die Ostfront wieder in den Blickpunkt. Das Militärgeschichtliche Forschungsamt (MGFA) in Potsdam führte im August 2004 eine Konferenz über „Die vergessene Front“ durch.[15]

Bild des Soldaten[modifier le code]

Seit Mitte der 1980er Jahre hat sich die Forschung vermehrt der Alltagsgeschichte, der Erlebnisebene des „kleinen Mannes“ zugewandt, « um die bisherige Dominanz der Elitenforschung aufzubrechen und eine Geschichte der Gesellschaft im Kriege auch von unten zu unterfüttern. »[16] Die Historiographie der Mentalitäten wird zudem seit einiger Zeit modifiziert durch die auch im internationalen Maßstab dominierende „Kriegskultur“-Forschung. In diesem Thema fließen Mentalitäten, Erfahrungswelten, Propaganda und Ideologie wieder stärker zusammen als in der reinen „Erlebnis“-Forschung. Besondere Beachtung findet dabei der « Mythos des Kriegserlebnisses ».[17]

Der Erste Weltkrieg mit seinen Materialschlachten führte einen Wandel in der Selbstwahrnehmung wie auch in der Außenwahrnehmung der Soldaten herbei. So war vor dem Ersten Weltkrieg die allgemeine Vorstellung vom Krieg noch von offenen Feldschlachten geprägt, in denen der Soldat verwegen, ritterlich und heldenmütig dem Feind die Stirn bieten sollte. Nahezu alle Deutschen waren in ihrer Vorstellung vom Krieg auf dem Stand von 1871 und früher stehengeblieben. Demgemäß war der Krieg als ein « offener, ehrlicher Kampf mit ritterlichen Waffen » gedacht, der den Teilnehmern Abenteuer, Romantik und persönliches Heldentum bringen würde. Dieses Bild konnte den Erfordernissen und Erfahrungen des Stellungskrieges nicht standhalten. Das Erlebnis an der Front zerstörte solche Vorstellungen: « Mut, Tapferkeit und Geschick – alles überflüssig… » Der Krieg brachte den Soldaten nicht das erhoffte Abenteuer und Heldentum, sondern die verstörende Erfahrung einer völligen Degradierung des Einzelnen zum wehrlosen Objekt der Kriegsmaschinerie, womit das Bild eines entpersonalisierten und industrialisierten Krieges entstand.[18]

Entscheidend prägte das beinahe unausgesetzte Feuer der Artillerie diesen Eindruck, das mehr als die Hälfte der Opfer des Krieges forderte. Den Soldaten blieb als einzige Reaktion auf diese Waffe nur das hilflose Abwarten auf den Einschlag, auf das Hereinbrechen einer nicht beeinflussbaren Gewalt: « Die Kriegsmaschinerie schien allmächtig zu werden und denen, die an ihren undurchsichtigen Bewegungen teilnahmen, ihre Entscheidungen aufzuzwingen. »[19] Dementsprechend entstand die Ikonographie eines neuen Typus des Soldaten, die « emotionalen, spontanen und loyalen Jugendlichen » des Langemarck-Mythos wichen dem Verdun-Kämpfer, im Idealbild eine « geschulte, kalte, aggressive, isolierte und technisch gerüstete Führerfigur. » Der Stahlhelm wurde dabei zum Sinnbild des Soldaten, er repräsentierte die moderne, technische und funktionale Erscheinung des Krieges.[20]

Der statischen Anordnung des Grabenkrieges wohnte paradoxerweise auch eine Tendenz zur Begrenzung der Gewalt inne, solange die Soldaten beider Seiten die Sicherung des Status quo betrieben, was außerhalb großer Offensiven in weiten Bereichen der Front der Fall war. Um diese Situation aufzubrechen, setzten die Heeresführungen Spezialisten der Gewaltanwendung ein, auf britischer Seite vor allem Scharfschützen („Snipers“), auf deutscher und österreichischer Seite Stoßtruppenkämpfer mit hoher individueller Kampfmotivation, die bei der normalen Truppe wegen der von ihnen betriebenen Eskalation der Gewalt äußerst unbeliebt waren. Diese speziellen Einheiten empfanden sich als Täter in einem emphatischen Sinne. « Es ist demnach auch kein Zufall, daß sich hier, neben den deutschen Stoßtrupps auch bei den italienischen Eliteeinheiten, den ‚Arditi‘, eine direkte Kontinuitätslinie zur faschistischen Ästhetisierung der Gewalt in der Zwischenkriegszeit ziehen läßt »[21] und auch aus tiefenpsychologisch-kulturwissenschaftlicher Sicht begründet wurde.[22]

Künstlerische Rezeption[modifier le code]

Aus heutiger Sicht stehen kritische literarische und künstlerische Rezeptionen des Ersten Weltkrieges wie Erich Maria Remarques Im Westen nichts Neues oder Stanley Kubricks Wege zum Ruhm unangefochten im Vordergrund der öffentlichen Wahrnehmung. Anders verhielt es sich während des Ersten Weltkrieges und in den Folgejahren. Vor allem in Deutschland wurde ein problematischer ideologischer Überbau für das unmenschliche Geschehen konstruiert.

Der deutsche Schriftsteller Richard Dehmel, ein Wegbereiter des Expressionismus, interpretierte 1916 den Krieg wie folgt: Modèle:Zitat

Die Auslegung des Ersten Weltkrieges als einen Vernichtungskampf gegen das überlegene deutsche „Sonderwesen“ war eine ideologische Novität und folgenschwer. Der nach dieser Interpretation von den Staaten der Entente aus Hass, Neid und Verzweiflung entfesselte Krieg richte sich nicht gegen Militär, Ökonomie etc., sondern gegen das alle materiellen Leistungen überhaupt erst ermöglichende Deutschtum. Der Krieg wurde in dieser Interpretation damit aus allen militärischen, ökonomischen und politischen Zusammenhängen herausgelöst und erhielt eine geradezu heilsgeschichtliche Qualität.

Im August 1914 meinte man eine Wiedergeburt des deutschen Wesens erkennen zu können, der Krieg wische die bedrohliche Dekadenz weg: Modèle:Zitat

Der kriegsfreiwillige Schriftsteller Walter Flex schrieb im Frühjahr 1917 als Nachwort zu „Der Wanderer zwischen beiden Welten“, das eines der sechs meistverkauften deutschen Bücher des 20. Jahrhunderts wurde: Modèle:Zitat

Die Realität und das Scheitern der so sicher erwarteten Übernahme der geistigen Weltherrschaft durch die „sendungsvolle“ (Thomas Mann) deutsche „Wesensart“ musste die Anhänger einer weltgeschichtlichen „Missionsaufgabe“ des deutschen „Wesens“ zutiefst verstören. Die Schuld dafür wurde immer mehr bei einem inneren Feind gesucht, der die großartige geistig-moralische „Erhebung“ des deutschen Volkes vom August 1914 untergraben und zerstört hatte. Mit dem Kriegsende 1918 kam dann zu der Auffassung eines geistigen Verrats noch die Behauptung des Dolchstoßes, also die Schuldzuweisung für den militärischen Ausgang des Krieges an die vermeintlich von Juden und Bolschewisten beherrschte Sozialdemokratie. Damit war eine wichtige Basis gelegt für den späteren Erfolg völkisch nationaler Ideologie: Modèle:Zitat

Romane und Essays[modifier le code]
Nagelbilder[modifier le code]

mini|St. Michael am Rathaus in Ohrdruf Eine besondere Kunstform des Ersten Weltkriegs waren so genannte Nagelbilder; eine Propagandabewegung, die in der ersten Jahreshälfte 1915 von Wien ausging. Nach dem Krieg wurden sie teilweise zu Kriegswahrzeichen der Städte, in denen sie aufgestellt worden waren. Besonders bekannt wurden:

Gesamtdarstellungen[modifier le code]

Einen Überblick über die neuere Forschungsliteratur hat Christoph Nübel erarbeitet.[23] In sehepunkte 14 (2014) finden sich mehrere Fachbesprechungen zu aktuellen Werken.


Vorgeschichte, Ursachen und Julikrise[modifier le code]

  • Luigi Albertini: The Origins of the War of 1914. 3 Bände. London 1952–1957 (Original: Le origini della guerra del 1914. Mailand 1942/43.)
  • Jürgen Angelow: Der Weg in die Urkatastrophe. Der Zerfall des alten Europa 1900–1914. Be.bra-Verlag, Berlin 2010, (ISBN 978-3-89809-402-3).
  • Christopher Clark: Die Schlafwandler: Wie Europa in den Ersten Weltkrieg zog, Deutsche Verlags-Anstalt, München 2013, (ISBN 978-3-421-04359-7).
  • Fritz Fischer: Krieg der Illusionen. Die Deutsche Politik von 1911–1914. 2. Auflage. Düsseldorf 1970, (ISBN 3-7700-0913-4). (Untermauerung und Verschärfung der Thesen von Griff nach der Weltmacht)
  • Imanuel Geiss (Hrsg.): Julikrise und Kriegsausbruch 1914. Eine Dokumentensammlung. Band I. Bearbeitet und eingeleitet von Imanuel Geiss. Mit einem Vorwort von Fritz Fischer. Verlag für Literatur und Zeitgeschichte, Hannover 1963, (de) « Publications de et sur Historiographie de la Première Guerre mondiale », dans le catalogue en ligne de la Bibliothèque nationale allemande (DNB).. (Standardwerk).
  • Imanuel Geiss (Hrsg.): Julikrise und Kriegsausbruch 1914. Eine Dokumentensammlung. Band II. Bearbeitet und eingeleitet von Imanuel Geiss. Verlag für Literatur und Zeitgeschichte, Hannover 1964, (de) « Publications de et sur Historiographie de la Première Guerre mondiale », dans le catalogue en ligne de la Bibliothèque nationale allemande (DNB).. (Standardwerk).
  • Imanuel Geiss (Hrsg.): Juli 1914. Die europäische Krise und der Ausbruch des Ersten Weltkrieges. 3. Auflage. München 1986, (ISBN 3-423-02921-8). (Veröffentlichung der wichtigsten Dokumente durch den bekannten Schüler von Fritz Fischer)
  • Imanuel Geiss: Der lange Weg in die Katastrophe. Die Vorgeschichte des Ersten Weltkrieges 1815–1914. 2. Auflage. Piper, München 1991, (ISBN 3-492-10943-8).
  • Richard F. Hamilton, Holger H. Herwig: The Origins of World War I. Cambridge 2004, (ISBN 0-521-81735-8).
  • Sean McMeekin: Russlands Weg in den Krieg. Der Erste Weltkrieg – Ursprung der Jahrhundertkatastrophe. Europa Verlag, Berlin 2014, (ISBN 978-3-944305-63-9).
  • Gerd Krumeich: Juli 1914. Eine Bilanz. Verlag Ferdinand Schöningh, Paderborn 2014. (ISBN 978-3-506-77592-4).
  • Keith Nelson, Zara Steiner: Britain and the Origins of the First World War, Macmillan, 2. Auflage. 2003
  • Stefan Schmidt: Frankreichs Außenpolitik in der Julikrise 1914. Ein Beitrag zur Geschichte des Ausbruchs des Ersten Weltkrieges. (= Pariser Historische Studien. Band 90) Verlag Oldenbourg, München 2009, (ISBN 978-3-486-59016-6). Online auf perspectivia.net.

Zeitzeugnisse[modifier le code]

  • Quellen-Onlineedition des Britischen Nationalarchivs: Operation War Diary. 2014. (Kriegstagebücher von kommandierenden Offizieren; Engl. Homepage; zunächst werden 2000 TB publiziert)
  • Deutschlandfunk (Hrsg.): Feldpostbriefe / Lettres de poilus 1914–1918. (Audio CD) Bearbeitung: Peter Lieck, Philipp Schepmann, Cedrik Piquard. Berlin 1999, (ISBN 3-89813-027-4). (Gemeinsame Hörfunk-Produktion von Radio France und Deutschlandfunk, gesendet 1998)
  • Karl Dietrich Erdmann (Hrsg.): Kurt Riezler. Tagebücher-Aufsätze-Dokumente. Eingeleitet und herausgegeben von Karl Dietrich Erdmann. Vandenhock & Ruprecht, Göttingen 1972, (ISBN 3-525-35817-2). (Wichtiges Quellenwerk, Riezler war Mitarbeiter und Vertrauter von Reichskanzler Bethmann Hollweg.)
  • Gerhard Hirschfeld, Gerd Krumeich, Irina Renz (Hrsg.): „Keiner fühlt sich hier mehr als Mensch…“ Erlebnis und Wirkung des Ersten Weltkrieges. Essen 1993, (ISBN 3-596-13096-4). (Beitrag zur neueren Forschungsperspektive der Mentalitätsgeschichte)
  • Susanne Miller (Bearb.), in Verbindung mit Erich Matthias: Das Kriegstagebuch des Reichstagsabgeordneten Eduard David 1914 bis 1918. (Quellen zur Geschichte des Parlamentarismus und der politischen Parteien. Im Auftr. der Kommission für Geschichte des Parlamentarismus und der politischen Parteien hrsg. von Werner Conze und Erich Matthias, Reihe 1: Von der konstitutionellen Monarchie zur parlamentarischen Republik, Band 4), Droste, Düsseldorf 1966.
  • Bernd Ulrich, Benjamin Ziemann (Hrsg.): Frontalltag im Ersten Weltkrieg. Quellen und Dokumente. Fischer Taschenbuch Verlag, Frankfurt am Main 1994, (ISBN 3-596-12544-8).
  • Bernd Ulrich, Benjamin Ziemann (Hrsg.): Frontalltag im Ersten Weltkrieg. Ein historisches Lesebuch. Klartext Verlag, Essen 2008, (ISBN 978-3-8375-0015-8).
  • Theodor Wolff: Tagebücher 1914–1919. Der Erste Weltkrieg und die Entstehung der Weimarer Republik in Tagebüchern, Leitartikeln und Briefen des Chefredakteurs am „Berliner Tageblatt“ und Mitbegründer der „Deutschen Demokratischen Partei“. Zwei Teile, hrsg. von Bernd Sösemann. Boldt, Boppard am Rhein 1984, (ISBN 3-7646-1835-3). (wichtiges Quellenwerk)

Einzelaspekte[modifier le code]

  • Justus D. Doenecke: Nothing Less than War. A New History of America’s Entry into World War I. The University Press of Kentucky, Lexington (Kentucky) 2011, (ISBN 978-0-8131-3002-6). Als e-Book: (ISBN 978-0-8131-3003-3).
  • Jörg Duppler, Gerhard P. Groß (Hrsg.): Kriegsende 1918. Ereignis, Wirkung, Nachwirkung (= Beiträge zur Militärgeschichte. Schriftenreihe des Militärgeschichtlichen Forschungsamtes. Band 53). R. Oldenbourg Verlag, München 1999, (ISBN 3-486-56443-9).
  • Peter Englund: Schönheit und Schrecken. Eine Geschichte des Ersten Weltkriegs, erzählt in neunzehn Schicksalen. Aus dem Schwedischen von Wolfgang Butt. Rowohlt, Berlin 2011, (ISBN 978-3-87134-670-5).
  • Martin Farndale: Western front, 1914–18. London 1986, (ISBN 1-870114-00-0).
  • Fritz Fellner; Heidrun Maschl, Brigitte Mazohl-Wallnig (Hrsg.): Der Zerfall der Donaumonarchie in weltgeschichtlicher Perspektive. und Der Vertrag von St. Germain. In: Vom Dreibund zum Völkerbund: Studien zur Geschichte der internationalen Beziehungen 1882–1919. Verlag R. Oldenbourg, München 1994, (ISBN 3-486-56091-3).
  • Fritz Fischer: Griff nach der Weltmacht. Düsseldorf 1961, 2000, (ISBN 3-7700-0902-9). (Insbesondere die beiden Eingangskapitel lösten die Fischer-Kontroverse aus).
  • Paul Fussell: The Great War and Modern Memory. Oxford University Press, New York 1975. Zahlreiche Reprints, zuletzt 2011: (ISBN 0-19-513331-5).
  • Sabine Giesbrecht: Musik und Propaganda. Der Erste Weltkrieg im Spiegel deutscher Bildpostkarten, Osnabrück: epOs-Music, (ISBN 978-3-940255-51-8) (Buch), (ISBN 978-3-940255-52-5) (CD-ROM)
  • Christa Hämmerle (Hrsg.): Kindheit im Ersten Weltkrieg, Boehlau Verlag, Wien 1993, (ISBN 3-205-05498-9).
  • Sebastian Haffner: Die sieben Todsünden des Deutschen Reiches im Ersten Weltkrieg. Lübbe, Bergisch Gladbach 2001, (ISBN 3-7857-2077-7).
  • Paul G. Halpern: A naval history of World War I. Annapolis, MD (Naval Institute Press) 1994, (ISBN 0-87021-266-4).
  • John Horne, Alan Kramer: Deutsche Kriegsgreuel 1914. Die umstrittene Wahrheit. Aus dem Englischen von Udo Rennert. Hamburger Edition, Hamburg 2004, (ISBN 3-930908-94-8). (Rezension)
  • Ernst Johann (Hrsg.): Innenansicht eines Krieges. Bilder, Briefe, Dokumente 1914–1918. Scheffler, Frankfurt am Main 1968.
  • George F. Kennan: Die schicksalhafte Allianz. Frankreich und Rußland am Vorabend des Ersten Weltkrieges. Kiepenheuer & Witsch, Köln 1990, (ISBN 3-462-02036-6).
  • Nicola Labanca, Oswald Überegger (Hrsg.): Krieg in den Alpen: Österreich-Ungarn und Italien im Ersten Weltkrieg (1914–1918). Böhlau, Wien 2013, (ISBN 978-3-205-79472-1).
  • Heinz von Lichem: Der Tiroler Hochgebirgskrieg 1915–1918 im Luftbild. Steiger, Innsbruck 1986, (ISBN 3-85423-052-4).
  • Andreas Leipold: Die deutsche Seekriegsführung im Pazifik in den Jahren 1914 und 1915. Wiesbaden (Harrassowitz) 2012, (ISBN 978-3-447-06602-0).
  • Hans Linnenkohl: Vom Einzelschuss zur Feuerwalze. Der Wettlauf zwischen Technik und Taktik im Ersten Weltkrieg. Bernard & Graefe Verlag, Koblenz 1990, (ISBN 3-7637-5866-6).
  • Vejas Gabriel Liulevicius: Kriegsland im Osten. Eroberung, Kolonisierung und Militärherrschaft im Ersten Weltkrieg 1914–1918. Hamburger Edition, Hamburg 2002, (ISBN 3-930908-81-6).
  • Dieter Martinetz: Der Gaskrieg 1914/18. Entwicklung, Herstellung und Einsatz chemischer Kampfstoffe. Das Zusammenwirken von militärischer Führung, Wissenschaft und Industrie. Bernard & Graefe Verlag, Bonn 1996, (ISBN 3-7637-5952-2).
  • John H. Morrow: The Great War in the air. Military aviation from 1909 to 1921. Shrewsbury (Airlife) 1993, (ISBN 1-85310-445-0).
  • Gerhard Ritter: Der Schlieffenplan. Kritik eines Mythos. Mit erstmaliger Veröffentlichung der Texte und 6 Kartenskizzen. Verlag R. Oldenbourg, München 1956.
  • Werner Bernhard Sendker: Auf Flanderns Feldern gefallen: Deutsche und ihr Verhältnis zum Ersten Weltkrieg. 2. Auflage. Der Andere Verlag, Tönningen 2005, (ISBN 3-89959-366-9).
  • Norman Stone: The Eastern Front 1914–1917. Penguin Books, London 1975, 1998, (ISBN 0-14-026725-5).
  • Barbara Tuchman: August 1914. Fischer-Taschenbuch-Verlag, 2. Auflage. Frankfurt am Main 2001, (ISBN 3-596-15395-6).


  1. Volker Ackermann: Literaturbericht: Erster Weltkrieg. Hier Rezension zu: Jay Winter, Geoffrey Parker, Mary R. Habeck (Hrsg.): Der Erste Weltkrieg und das 20. Jahrhundert, Hamburg 2002, in: H-Soz-u-Kult, 13. Mai 2004.
  2. Volker Ackermann: Literaturbericht: Erster Weltkrieg. Hier Rezension zu: Volker Berghahn: Der Erste Weltkrieg. München 2003. In: H-Soz-u-Kult, 13. Mai 2004.
  3. Volker Ackermann: Literaturbericht: Erster Weltkrieg. Hier Rezension zu: Wolfgang Mommsen: Die Urkatastrophe Deutschlands. Der Erste Weltkrieg 1914–1918. Stuttgart 2002. In: H-Soz-u-Kult, 13. Mai 2004.
  4. Volker Ackermann: Literaturbericht: Erster Weltkrieg. Hier Rezension zu: Michael Salewski: Der Erste Weltkrieg. Paderborn 2002. In: H-Soz-u-Kult, 13. Mai 2004.
  5. Niall Ferguson: The Pity of War. 1998.
  6. a et b Volker Ackermann: Literaturbericht: Erster Weltkrieg. Hier Rezension zu: Niall Ferguson: Der falsche Krieg. Der Erste Weltkrieg und das 20. Jahrhundert. München 2001. In: H-Soz-u-Kult, 13. Mai 2004.
  7. Klaus Hildebrand: Wie entstand der Erste Weltkrieg? Rezension zu: Niall Ferguson: Der falsche Krieg. Der Erste Weltkrieg und das zwanzigste Jahrhundert. Stuttgart 1999. In: Frankfurter Allgemeine Zeitung Nr. 175 vom 31. Juli 1999, S. 7.
  8. Gregor Schöllgen, Friedrich Kiessling: Das Zeitalter des Imperialismus. R. Oldenbourg Verlag, München 2009, (ISBN 978-3-486-58868-2), S. 194.
  9. Jürgen Angelow: Der Weg in die Urkatastrophe. Der Zerfall des alten Europa 1900–1914. be.bra, Berlin 2010, (ISBN 978-3-89809-402-3), S. 27.
  10. Gregor Schöllgen, Friedrich Kiessling: Das Zeitalter des Imperialismus. R. Oldenbourg Verlag, München 2009, (ISBN 978-3-486-58868-2), S. 195; Christopher Clark: Die Schlafwandler: Wie Europa in den Ersten Weltkrieg zog, Deutsche Verlags-Anstalt, München 2013, (ISBN 978-3-421-04359-7), S. 716 f.
  11. Exemplarisch Christian Geinitz: Kriegsfurcht und Kampfbereitschaft. Das Augusterlebnis in Freiburg. Eine Studie zum Kriegsbeginn 1914. Essen 1998; Volker Ullrich: Vom Augusterlebnis zur Oktoberrevolution. Beiträge zur Sozialgeschichte Hamburgs und Norddeutschlands im Ersten Weltkrieg. Bremen 1999.
  12. Vgl. hierzu auch Thomas Rohkrämer: August 1914 – Kriegsmentalität und ihre Voraussetzungen. In: Wolfgang Michalka (Hrsg.): Der Erste Weltkrieg. München 1994, S. 759–777.
  13. Volker Ullrich: Vom Augusterlebnis zur Oktoberrevolution. Beiträge zur Sozialgeschichte Hamburgs und Norddeutschlands im Ersten Weltkrieg. Bremen 1999, S. 12 ff.
  14. Vgl. Neuauflage: Norman Stone: The Eastern Front 1914–1917. 2., überarbeitete Auflage. Penguin Global, New York 2008.
  15. Tagungsbericht: Die vergessene Front – der Osten 1914/15: Ereignis, Wirkung, Nachwirkung.
  16. Bruno Thoß: Der Erste Weltkrieg als Ereignis und Erlebnis. Paradigmenwechsel in der westdeutschen Weltkriegsforschung seit der Fischer-Kontroverse In: Wolfgang Michalka (Hrsg.): Der Erste Weltkrieg. Wirkung – Wahrnehmung – Analyse. Genehmigte Lizenzausgabe für Seehamer Verlag, Weyarn 1997, (ISBN 3-932131-37-1), S. 840.
  17. Gerd Krumeich, Gerhard Hirschfeld: Die Geschichtsschreibung zum Ersten Weltkrieg. In: Gerhard Hirschfeld, Gerd Krumeich und Irina Renz in Verbindung mit Markus Pöhlmann (Hrsg.): Enzyklopädie Erster Weltkrieg. Ferdinand Schöningh, Paderborn 2009, (ISBN 978-3-506-76578-9), S. 158.
  18. Helmut Fries: Deutsche Schriftsteller im Ersten Weltkrieg. In: Wolfgang Michalka (Hrsg.): Der Erste Weltkrieg. Wirkung – Wahrnehmung – Analyse. Genehmigte Lizenzausgabe für Seehamer Verlag, Weyarn 1997, (ISBN 3-932131-37-1), S. 840.
  19. Bernd Hüppauf: Schlachtenmythen und die Konstruktion des „Neuen Menschen“. In: Gerhard Hirschfeld, Gerd Krumeich, Irina Renz (Hrsg.): „Keiner fühlt sich hier mehr als Mensch…“ Erlebnis und Wirkung des Ersten Weltkrieges. Essen 1993, (ISBN 3-596-13096-4), S. 78.
  20. Bernd Hüppauf: Schlachtenmythen und die Konstruktion des „Neuen Menschen“. In: Gerhard Hirschfeld, Gerd Krumeich, Irina Renz (Hrsg.): „Keiner fühlt sich hier mehr als Mensch…“ Erlebnis und Wirkung des Ersten Weltkrieges. Essen 1993, (ISBN 3-596-13096-4), S. 81 ff.
  21. Benjamin Ziemann: Soldaten. In: Gerhard Hirschfeld, Gerd Krumeich und Irina Renz in Verbindung mit Markus Pöhlmann (Hrsg.): Enzyklopädie Erster Weltkrieg. Ferdinand Schöningh, Paderborn 2009, (ISBN 978-3-506-76578-9), S. 158.
  22. Klaus Theweleit: Männerphantasien. 2. Männerkörper – zur Psychoanalyse des weißen Terrors . Rowohlt Verlag, Reinbek bei Hamburg 1980, (ISBN 3-499-18331-5), S. 176 ff.
  23. Christoph Nübel: Neue Forschungen zur Kultur- und Sozialgeschichte des Ersten Weltkriegs. Themen, Tendenzen, Perspektiven. In: H-Soz-u-Kult. juin 2011.

Historiographie russe[modifier le code]

d'après cette invitation

  • Le travail classic de Zaïontchkovski:
    (ru) Зайончковский А. М., Стратегический очерк войны 1914—1918 гг., М.,‎
  • L'édition le plus academic en 2 volumes pendant l'Union soviétique:
    (ru) История Первой мировой войны, М.,‎

En somme celle Grand Guerre était bien "oubliée" pendant l'URSS come une guerre "imperialistique de tsarizm". Alors le numeraux de publications academic neutral est relativement miniscule de ce temp. Maintenant nous avons une renaissance historiographique au sujet mais je ne suis pas près de conseiller quelque chose particulierment bonne. Et pardonnez-moi ma langue ecrivante, je sais que c'est terrible. --NeoLexx (discuter) 22 septembre 2014 à 16:39 (CEST)[répondre]

Grand merci NeoLexx ! Thib Phil (discuter) 22 septembre 2014 à 19:45 (CEST)[répondre]
Traduire le titre ? le 1er : esquisse/aperçu [= une courte étude, alors que c'est sûrement un gros pavé] stratégique de la guerre de 1914-1918, le 2e : histoire de la 1e GM. — Oliv☮ Éppen hozzám? 23 septembre 2014 à 08:24 (CEST)

Historiographie française[modifier le code]

Une référence récente :

  • (en) Martha Hanna et John Horne, « France and the Great War on Its Centenary », French Historical Studies, vol. 39, no 2,‎ (lire en ligne)

Gentil Hibou mon arbre 8 mai 2016 à 08:20 (CEST)[répondre]