Arènes du Cailar

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Arènes du Cailar
Les arènes du Cailar en août, pendant la fête votive.
Les arènes du Cailar en août, pendant la fête votive.
Données générales
Nom officiel Arènes du Cailar
Coordonnées 43° 40′ 37″ nord, 4° 14′ 12″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Languedoc-Roussillon
Département Gard
Ville Le Cailar
Organisation
Statut Arènes publiques
Catégorie d'arènes 3e catégorie
Propriétaire Commune
Données historiques et techniques
Classées Logo monument historique Inscrit MH (1993)
Capacité d'accueil 1 100 places
Géolocalisation sur la carte : Gard
(Voir situation sur carte : Gard)
Arènes du Cailar
Géolocalisation sur la carte : Languedoc-Roussillon
(Voir situation sur carte : Languedoc-Roussillon)
Arènes du Cailar
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
(Voir situation sur carte : Occitanie (région administrative))
Arènes du Cailar
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Arènes du Cailar

Les arènes du Cailar sont les arènes de la commune du Cailar, dans le département français du Gard. Elles sont destinées aux novilladas et aux courses camarguaises. Elles ont été inscrites en 1993 aux Monuments historiques. Elles ont une capacité de plus de 1100 places[1].

Présentation[modifier | modifier le code]

Les arènes ont été construites en 1905. Elles sont inscrites sur la liste des monuments historiques à protéger depuis le [2].

Selon l'étude de Frédéric Saumade « (..) les professionnels de la « bouvine » (…) la morphologie de chaque piste aurait des propriétés influant sur le déroulement de la performance tauromachique : par exemple, ils disent que les arènes de Marsillargues sont "bonnes pour les taureaux" que celles de Beaucaire sont "difficiles pour les bêtes parce que les raseteurs sont avantagés par la disposition des équipements de sécurité dans la contrepiste", que celles du Cailar sont "faites pour les taureaux jeunes" etc. Ici, la variabilité des espaces de jeu fait partie intégrante des savoirs et pratiques, débouchant sur une sorte de "théorie relativiste" de la tauromachie locale[3]. »

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Maudet 2010, annexe, p. 85
  2. « Arènes », notice no PA00125482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  3. étude de Frédéric Saumade sur l'usage social des arènes de bouvine

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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