Nieuil-l'Espoir

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nieuil-l'Espoir
Nieuil-l'Espoir
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Gilbert Beaujaneau
2020-2026
Code postal 86340
Code commune 86178
Démographie
Population
municipale
2 729 hab. (2021 en augmentation de 6,39 % par rapport à 2015)
Densité 132 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 28′ 59″ nord, 0° 27′ 18″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 136 m
Superficie 20,64 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Nieuil-l'Espoir
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vivonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Nieuil-l'Espoir
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Nieuil-l'Espoir
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Nieuil-l'Espoir
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Nieuil-l'Espoir

Nieuil-l’Espoir est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Célèbre pour la Foire à la laine, vieille de 500 ans, Nieuil l'Espoir figure parmi les communes les plus festives de la Vienne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située à 15 km du sud-est de Poitiers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 757 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Biard à 15,52 km à vol d'oiseau[4], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Nieuil-l'Espoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nieuil-l'Espoir, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 718 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,4 %), forêts (22,4 %), zones urbanisées (8,8 %), prairies (7,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Nieuil-l'Espoir est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Miosson. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1999, 2009 et 2010[19],[17].

Nieuil-l'Espoir est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[20]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[21], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [22],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nieuil-l'Espoir.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 5]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 6],[27],[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du bourg proviendrait de l'adjectif gaulois novio qui signifie nouveau auquel a été rajouté le mot L'Espoir, du latin spatha signifiant longue épée. Ce nom a été rajouté à l'époque où ce mot était gravé sur les épées fabriquées à Nieuil[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Monument aux morts.

Le village est créé sur par défrichement par les moines grandmontains de la Vayolle, le long du Miosson.

Le village était surtout connu pour sa fabrique d’épées qui avaient une certaine renommée sur les différents champs de bataille. Le fer était extrait en différents lieux (le Mineret, Foulle). Les forges étaient installées le long du Miosson.

Au XVe siècle, il existait quatre foires qui ont assuré un développement agricole très important.

La commune, qui était à l’origine essentiellement agricole avec 600 habitants environ, s’est développée à partir des années 1970 grâce à la proximité de Poitiers et du Centre hospitalier régional. Sa population est aujourd’hui de 2718 habitants et essentiellement résidentielle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Médiathèque.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1928 1934 Alfred Guigne    
1934 1935 M. Pasqueron de Fommervault[30]   Médecin
1935 1945 Jean Hérault    
1945 1974 Raymond Soulas[30]    
février 1974 mars 1983 Bernard Perault   Administrateur de sociétés
mars 1983 En cours Gilbert Beaujaneau RPR puis
UMP-LR
Chef d'entreprise
Conseiller départemental du canton de Vivonne (2015 → )
8e vice-président du conseil départemental de la Vienne (2015 → )
Président de la CC de la Région de La Villedieu-du-Clain (2002 → 2013)
Président de la CC Vallées du Clain (2014 → )
Réélu en 2008[31], 2014 et 2020

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal judiciaire de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste dont celui de Nieuil l'Espoir. Toutefois une agence postale communale a été ouverte en compensation à la mairie, où l'ensemble des anciens services du bureau de poste restent disponibles[32].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 2 729 habitants[Note 7], en augmentation de 6,39 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
430429441486516570548602567
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
662677740736735749730762763
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
776805792791750714701706716
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6156629201 1931 5541 9042 1812 2202 401
2017 2021 - - - - - - -
2 7182 729-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 115 hab./km2 contre 62 hab./km2 pour le département, 69 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[37], il n'y a plus que 17 exploitations agricoles en 2010 contre 23 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont très légèrement augmenté et sont passées de 1 002 hectares en 2000 à 1 056 hectares en 2010 dont 312 hectares sont irrigables[37]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares.

59 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 19 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 12 % pour le fourrage et 5 % reste en herbes. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne[37].

Trois exploitations en 2010 (contre huit en 2000) abritent un élevage de bovins (293 têtes en 2010 contre 424 têtes en 2000). Six exploitations en 2010 (contre onze en 2000) abritent un élevage d'ovins (660 têtes en 2010 contre 879 têtes en 2000). Les élevages de caprins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[37].

La disparition de l'élevage de caprins est révélatrice de l’évolution qu’a connu, en région Poitou- Charente, cet élevage au cours des deux dernières décennies: division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par dix des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par 6 des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d’éleveurs en préretraite[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Foire à la laine[modifier | modifier le code]

Existant depuis plusieurs décennies, la Foire à la laine de Nieuil l'Espoir est une fête traditionnelle se déroulant le deuxième week-end de juin.

Au programme de cette journée bucolique : la tonte de moutons venus des quatre coins du Département, des dégustations gourmandes de produits locaux, un vide grenier d'envergure, mais aussi et surtout la présence du célèbre "manège carré" permettant de refaire le monde avec de vieilles connaissances et de se désaltérer de façon radicale.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  6. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Nieuil-l'Espoir et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Biard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Biard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Nieuil-l'Espoir », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Nieuil-l'Espoir », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  22. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur edf.fr (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  29. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  30. a et b [PDF] Mémoire, histoire et patrimoine à Nieuil l’Espoir, bulletin n° 27, avril 2016.
    « La maison a été la demeure du docteur Pasqueron de Fommervault (locataire), maire de la commune de 1934 à 1935, puis de Raymond Soulas susnommé, maire de Nieuil l’Espoir de 1945 à 1974. ».
  31. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  32. « Inauguration de l’agence postale communale », sur lanouvellerepublique.fr, (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  38. Agreste – Bulletin n°11 de Décembre 2005