Gizay

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Gizay
Gizay
Château de Chambonneau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Jean-Yves Grassien
2020-2026
Code postal 86340
Code commune 86105
Démographie
Gentilé Gizayens
Population
municipale
363 hab. (2021 en diminution de 9,48 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 26′ 28″ nord, 0° 25′ 30″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 138 m
Superficie 20,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vivonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gizay

Gizay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Gizayens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Petite commune à 20 km au sud est de Poitiers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le point culminant se situe sur la route des Cartes (commune de la Villedieu-du-Clain) au sud de la Chavignerie avec une altitude de 137 m.

Paléontologie[modifier | modifier le code]

Aucune étude n'a encore été faite sur ce sujet. On peut y trouver des coraux (Isastrea bernardiana), des oursins irréguliers (Clypeus plotii, Icoctycus), des lys de mer (isocrinidés), des brachiopodes (térébratules), des lamellibranches (Alectronia), des rostres de belemnites,(Holcobelus munieri), et de rares morceaux de spongiaires, datant du Jurassique moyen, (Bajocien supérieur)(découverte amateur).

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 770 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Ferrière-Airoux à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 762,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gizay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,6 %), forêts (27,5 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), prairies (2,8 %), zones urbanisées (1,6 %), mines, décharges et chantiers (1,6 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Gizay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Miosson. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[17],[15].

Gizay est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[18]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[19], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [20],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gizay.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[22]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[25].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 5]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 6],[26],[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Grâce au travail d'archéologie aérienne de Christian Richard, la villa gallo-romaine de Gisiacum a pu être découverte. N'ayant pas encore été prospectée, elle est la plus importante du Sud de Poitiers.

De la même période historique, il existe également un camp romain à l'est du château de Chambonneau, un atelier métallurgique sur le lieu-dit de Courcelles et un ferrier à l'ouest des Communaux. De plus, une voie romaine, passant par un axe NNO/SSE, est observable sur les vues aérienne entre le Petit Chambonneau et la Baudonnière.

Sous l'Ancien Régime, le territoire actuel de la commune contenait plusieurs fiefs et même des arrière-fiefs.

Le roi Jean II le Bon a passé son premier repas de captivité au château de Chambonneau et y a peut-être dormi quand il fut fait prisonnier des Anglais le 19 septembre 1356 (Bataille de Poitiers - Nouaillé-Maupertuis).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2001 mars 2008 Jean Hérault    
mars 2008   Jean-Yves Grassien[28]    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2021, la commune de Gizay comptait 363 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations. La densité de population de la commune est de 18 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
313296377292424477448428430
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
444447473455469472483495481
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
463511508424367338346354348
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
300272266285328370382384402
2017 2021 - - - - - - -
377363-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 18 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[31], il n'y a plus que 15 exploitations agricoles en 2010 contre 17 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 462 hectares en 2000 à 1 403 hectares en 2010. 39 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 17 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 30 % pour le fourrage et 3 % restent en herbes. En 2010, un hectare (comme en 2000) est consacré à la vigne[31].

Neuf exploitations en 2010 (contre dix en 2000) abritent un élevage de bovins (711 têtes en 2010 contre 581 têtes en 2000). Sept exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un élevage d'ovins en fort régression (339 têtes en 2010 contre 1 251 têtes en 2000)[31]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[32]. L'élevage de volailles représente 522 têtes en 2010 (792 en 2000) répartis sur huit fermes (16 en 2000). L'élevage de chèvres a disparu en 2010 (717 têtes sur cinq fermes en 2000)[31].

Développement durable[modifier | modifier le code]

La commune accueille l'une des cinq installations de stockage de déchets non dangereux d'une capacité de 80 000 tonnes. La capacité des cinq sites était de 474 000 tonnes en 2011[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  6. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Gizay et La Ferrière-Airoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Gizay », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  19. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gizay », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur edf.fr (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  28. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  32. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  33. Rapport de l’AREC – La gestion des déchets ménagers en Vienne – Recueil des données – Année 2011
  34. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//IA00045024