Julien Blanc

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Julien Blanc
Source : "Dossier de presse 1946, fonds Jean Paulhan/IMEC"
Biographie
Naissance
Décès
(à 43 ans)
Paris
Nationalité
Activité

Julien Blanc est un écrivain français, né à Paris (VIe arrondissement) le et mort le à Paris (XIe arrondissement), principalement connu pour sa trilogie autobiographique : Seule, la vie....

Aperçu biographique[modifier | modifier le code]

Il naît orphelin de son père Jules Magloire à l'Hôpital de la Charité et perd sa mère Paula Mills (d'origine irlandaise) à l'âge de huit ans. Il est alors confié à diverses institutions (pensions, orphelinats, patronage, maisons de redressement) par ses tuteurs. Au gré de ses placements en famille, il occupe différents petits métiers après sa scolarité et mène une vie d'errance. Plusieurs vols et infractions lui valent d'être emprisonné.

Le , il est engagé volontaire dans le 22e régiment d'infanterie coloniale pour cinq ans. Mais il est déclaré déserteur en septembre 1927 puis en . Il est condamné plusieurs fois pour vols, abus de confiance et désertion. Il est successivement incarcéré à Aix, à la prison de la Santé, à la Conciergerie, à Fresnes, à la prison du Cherche-Midi, et à la prison militaire de Marseille. Élargi de cette dernière le , il passe au Bataillon d'infanterie légère d'Afrique puis au Bataillon autonome d'Infanterie coloniale, au Maroc puis en Tunisie. Il embarque pour Casablanca le . Définitivement libéré le , il rejoint Paris pour travailler aux Halles.

En 1935, interdit de séjour dans plusieurs villes de France, il part pour Barcelone. Il passe avec succès son baccalauréat en France en 1936 (à l'âge de 28 ans) après un premier échec l'année précédente. En 1936, il prend part à la guerre civile espagnole aux côtés des troupes anarchistes. Il retourne en France en 1937 à Paris puis à Marseille où il tente de se suicider. Il fait la connaissance de Louis Guilloux puis, plus tard, de Simone Weil. Il obtient, par l'entremise du premier, l'admission à l'École pratique des hautes études où il obtient sa licence ès lettres et où il fut l'élève du grand linguiste Gustave Guillaume.

Fiche signalétique et états de service (1927-1940)[modifier | modifier le code]

Fiche signalétique et états de service de J. Blanc (Archives de la Ville de Paris - Cote - D4R1 2835 matricule 194).
Transcription des « Détail des services et mutations diverses »
Engagé volontaire pour cinq ans le à Paris mairie du 9e au titre du 22e Regt d'Infanterie Coloniale. Incorporé à compter du dit jour. Arrivé au corps le . Manque à l'appel le . Déclaré déserteur le . Rayé des contrôles de la désertion le (s'est présenté volontairement.) Manque à l'appel le . Déclaré déserteur le . Rayé des contrôles de la désertion le ayant été arrêté par la gendarmerie. Condamné par le tribunal de Nice du à un an de prison pour "vols". Incarcéré à la maison d'arrêt d'Aix le . Condamné par la cour d'appel d'Aix le à 18 mois de prison pour "vol". Transféré à la maison d'arrêt de la santé le . Transféré à la conciergerie le . Transféré le à la prison de Fresnes jusqu'au . Incarcéré le dit jour à la prison du cherche-midi à Paris. Mis en route sur Aix le , sous escorte de la gendarmerie. Écroué à la prison militaire de Marseille le . Condamné par la cour d'appel de Paris du à 1 an et 100 francs d'amende pour "abus de confiance". Condamné par la cour d'appel de Paris du à 8 mois de prison, 100 francs d'amende et 5 ans d'interdiction de séjour pour "vol" (confusion avec peines du même jour). Condamné par le tribunal militaire de Marseille du à 1 an de prison pour "désertion à l'intérieur en temps de fait après désertion antérieure" (art.194 du c.j.m. et art.94 confusion avec les peines prononcées les et (2 peines)) jugement exécuté le pour compter du . Élargi à la prison militaire de Marseille le et placé en subsistance le dit jour au R.I.M. De Marseille.Passé du 3e Bataillon d'infanterie légère d'Afrique le . Passe au 1er Bataillon d'infanterie légère d'Afrique à compter du par suite de la dissolution du 3e Bataillon D[écisi]on M[inistéri]elle No 9588.11 du . Passé au Bataillon autonome d'infanterie coloniale du Maroc le . Embarqué à Casablanca le et affecté le dit jour au 23e régiment d'infanterie coloniale. Nommé 1re classe le . Par décision M[inistéri]elle 9173 4/8 du 9.11.33 il a été décidé que la date de libération dont le contrat devait prendre fin le , il convient de considérer comme interruption les périodes suivantes
A. période de désertion 8 mois 26 jours
B. Période effective de détention (2 ans moins 2 ans 5 mois et 13 jours de remise de peines = 1 an 6 mois 17 jours au total : 2 ans 3 mois 13 jours. Ce qui reporte au la date de sa radiation des contrôles de l'activité.
Libéré le et passé dans la réserve ledit jour.
C[ertificat de] B[onne].C[onduite]. accordé[1]

École pratique des hautes études – Paris (1938-1944)[modifier | modifier le code]

Œuvres et publications[modifier | modifier le code]

Romans et nouvelles[modifier | modifier le code]

  • Toxique, Pierre Tisné, 1939, [« Pour Maman, ce premier livre… » ]
  • Mort-né, Albin Michel, 1941, [« Pour Francis Carco »]
  • L’Admission, Albin Michel, 1941, [« À Jean Malaquais et Galy, fraternellement »]
  • Seule, la vie..., Gallimard, 1943, ["Il m’arrive parfois de songer à l’homme que le héros dont on va lire les Souvenirs aurait pu devenir si… C’est à ce fœtus que je dédie « Seule, la vie… » – In memoriam. J. B."]
  • Seule, la vie… I – Confusion des peines, Éditions du Pré-aux-Clercs, 1946, [« À ma mère – In memoriam »]
  • Seule, la vie… II – Joyeux, fais ton fourbi, Éditions du Pré-aux-Clercs, 1947, [« À Jean Paulhan »]. Prix Sainte-Beuve
  • Seule, la vie… III – Le Temps des hommes, Éditions du Pré-aux-Clercs, 1948
  • La Berceuse irlandaise, pièce radiophonique (lue par Berthe Bovy et Jean Topart, musique d'Elsa Barraine), Troyes, Mithra, 1951, [présentation d’Armand Lanoux]

Nouvelles et bonnes feuilles (en revues)[modifier | modifier le code]

  • "Un Acquittement", Aujourd'hui, 8 décembre 1940, p. 2
  • "Le Masque mortuaire", Aujourd'hui, 16 janvier 1941, p. 2
  • « Tempête chez les fous », Lectures 40, n° 3, 15 juillet 1941, p.18-20
  • « Seule la vie », Comoedia, 11 avril 1942, p. 3
  • « Premiers contacts – Dans un près – La mort de Trobé», Seine, n° 1,  janvier 1946, p. 20-30

Rééditions[modifier | modifier le code]

  • Joyeux, fais ton fourbi, Éditions Jean-Claude Lattès, 1977
  • Confusion des peines, Éditions Jean-Claude Lattès, 1979
  • Confusion des peines, Éditions Autrement, 1997
  • Confusion des peines, Éditions Finitude, 2011
  • Joyeux, fais ton fourbi, Éditions Finitude, 2012
  • Confusion des peines, Libretto, 2013
  • Le Temps des hommes, Éditions Finitude, 2013

Articles[modifier | modifier le code]

  • « Avons-nous vraiment perdu le Paradis ? », in: Les Nouvelles littéraires, .
  • "Repères de Paris", (série de 75 billets), Aujourd'hui, 18 septembre 1940 et 4 mars 1941
  • « Servitude de la paysannerie française  – 1. La terre désertée »,  Aujourd’hui, 18 janvier 1941, p. 1 et 3
  • « Servitude de la paysannerie française –II. Les petits patrimoines, le fisc et les héritiers », Aujourd’hui, 19 janvier 1941, p. 1 et 3
  • « Servitude de la paysannerie française – III. La taxation », Aujourd’hui, 20 janvier 1941, p. 1 et 3
  • « Servitude de la paysannerie française – IV. On demande des machines et des bêtes », Aujourd’hui, 22 janvier 1941, p. 1 et 3
  • « Servitude de la paysannerie française V. Demi-mesures », Aujourd’hui, 23 janvier 1941, p. 1 et 3
  • « MARGRAVOU : Guillou, roman. », Comoedia, 11 octobre 1941, p. 2 [Note de lecture].
  • « Marcel RAVAL : Histoire de Paris. », Comoedia, 1er novembre 1941, p. 2 [Note de lecture].
  • « Madeleine JEAN-MARIAT : Les belles amours de l’Histoire. », Comoedia, 15 novembre 1941, p. 2 [Note de lecture].
  • « LECOMTE DU NOUY : L’Avenir de l’Esprit. », Comoedia, 29 novembre 1941, p. 2 [Note de lecture].
  • « Jean PROAL : Les Arnaud, roman. », Comoedia 6 décembre 1941, p. 2 [Note de lecture].
  • « Jean SALLERON : La gare face à la cathédrale. », Comoedia, 13 décembre 1941, p. 2 [Note de lecture].
  • « Le manuscrit Hopkins, par R. C. Sherriff (Plon) », in: NRF, no 329, , p. 124 [Note de lecture].
  • « Jean DAMASE : La comédie héroïque. », Comoedia, 7 février 1942, p. 2 [Note de lecture].
  • « Antoinette PESKE : La Boite en os. », Comoedia,17 janvier 1942. p. 2 [Note de lecture].
  • « NAPOLEON : Lettres à Joséphine », Comoedia, 18 avril 1942, p. 2 [Note de lecture].
  • « Christian DEDEYAN : La musique perdue », Comoedia, 9 mai 1942, p. 2 [Note de lecture].
  • « Bernard ROY : Fanny ou l’esprit du large. », Comoedia, 13 juin 1942, p. 2 [Note de lecture].
  • « Annie PORTGAMP : Les nymphes de Loire. », Comoedia, 20 juin 1942, p. 2 [Note de lecture].
  • « Notre second métier », Carrefour, n°25, 10 février 1945, p. 5
  • « La coupole nécropole », in: Carrefour, no 36, , p. 5.
  • " Le cas Simenon", in: Paris - Les Arts et Lettres, no 2, , p. 1 et 6.
  • « Caliban et la clé de la poésie », in: Paris - Les Arts et lettres, no 5, , p. 1 et 8.
  • "Les Feux croisés de la solidarité », Gavroche, n°79, 28 février 1946, p. 1
  • « Simenon inconnu », in: Paris - Les Arts et Lettres, , p. 1 et 8.
  • « Le dernier poète détaché », Gavroche, n°81, 14 mars 1946, p. 4
  • « Vive la révolte », in: Gavroche, , p. 1.
  • « Enfin nous retrouvons l’amour », in: Gavroche, , p. 1.
  • « La condition sociale de l’écrivain – Julien Blanc », Carrefour, 13 février 1947, p. 7
  • « Doléances d'un écrivain”, Combat, .
  • « Spiritualité du Tour de France », Carrefour, 2 juillet 1947, p. 1
  • « Rousseau notre père… », Combat, 4 juillet 1947, p. 2
  • « Les diamants  n’ont pas de patrie », in: Caliban, no 17, , p. 74.
  • « Y a-t-il une crise du roman français ? », in: Les Nouvelles littéraire, no 1053, , p. 6 [rubrique « Variété »].
  • « Les pieds dans le plat - la guerre vue par … », Le Crapouillot, 1er janvier 1951, p. 42

Traductions et adaptations[modifier | modifier le code]

  • Jack Belden, Still Time To Die, Coll."Fenêtres sur le Monde", adapté de l'anglais, The Blackiston company, 1943
  • Jacqueline et Julien Blanc, « Une affaire insignifiante », (Sylvia Townsend Warner), Carrefour, n°33, 7 avril 1945, p. 4
  • Lajos Zilahy, Fiançailles, traduit du hongrois, 1948

Interviews[modifier | modifier le code]

  • « Interview Magda d’Andurain », [1946 ?]
  • « Entretien avec Jacques Baron - Le noir de l'azur, Éditions du Bateau Ivre» [1946]

Correspondances[modifier | modifier le code]

  • Julien Blanc à Armand Lanoux, (1 lettre) parue dans Simoun, no 2, 1952, p. 13-15.
  • Julien Blanc à Mario Roques, (18 lettres) 1940-1951, Bibliothèque de L'institut, Paris
  • Julien Blanc à Roger Martin du Gard, (1 lettre), 1943, Bnf Richelieu, Paris
  • Julien Blanc à Louis Guilloux, (13 lettres), 1937-1945, Bibliothèque municipale, Saint-Brieuc
  • Julien Blanc à Jean Paulhan IMEC
  • Julien Blanc à Jean Guéhenno, BNF Richelieu, Paris
  • Julien Blanc à Dominique Rolin, (3 lettres), 1942, Archives et Musée de la littérature, Bruxelles
  • Julien Blanc à Albert Béguin, (1 lettre), BNF Richelieu, Paris
  • Julien Blanc à Franz Hellens, (1 lettre), 1948, Bibliothèque littéraire J.Doucet, Paris
  • Julien Blanc à Albert Camus, (1 lettre), 1944, Fonds A Camus, Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence
  • Julien Blanc à Michel Leiris, (1 lettre), 1944, Bibliothèque littéraire J. Doucet, Paris
  • Julien Blanc à Adrienne Monnier, (1 lettre), 1947, Bibliothèque littéraire J. Doucet, Paris
  • Julien Blanc à François Mauriac, (1 lettre), 1945, Bibliothèque littéraire J. Doucet, Paris
  • Julien Blanc à Henri Thomas, (3 lettres), 1945-1946, Bibliothèque littéraire J. Doucet
  • Julien Blanc à Jacques Lemarchand, (1 lettre), 1944, IMEC
  • François Mauriac à Julien Blanc, (1 lettre), 1945, Bibliothèque littéraire J. Doucet, Paris
  • Albert Camus à Julien Blanc, (1 lettre), 1944, Fonds A Camus, Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence

Notes[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sur l’écrivain[modifier | modifier le code]

  • Jean-Clarence Lambert, « Avec Julien Blanc », La Gazette des Lettres, vol. 2, no 27,‎ , p. 4.
  • André Bourin, « Julien Blanc », Les Nouvelles littéraires, no 1019,‎ , p. 6.
  • Armand Lanoux, « Julien Blanc », Défense de l’Homme, no 1,‎ .
  • René Lacote, « Du nouveau dans la littérature française ? La Révolte de Julien Blanc », Les Lettres françaises,‎ , p. 2.
  • Paul Guth, « À quoi rêvent les contemporains – Julien Blanc », Le Crapouillot,‎ , p. 56.
  • François-Régis Bastide, « Adieu à Julien Blanc », Les Nouvelles littéraires, no 1246,‎ .
  • Armand Lanoux, « Pour un portrait de Julien Blanc », Défense de l’Homme,‎ , p. 25-29.
  • Morvan Lebesque, « Julien Blanc l’ancien Bat’ d’Af’ », Carrefour,‎ .
  • Maurice Nadeau, « Adieu à Julien Blanc », Combat,‎ .
  • Bernard Dimey, « Julien Blanc », Esprit,‎ , p. 827-828.
  • André Laude, « Qui se souvient de Julien Blanc », Les Nouvelles Littéraires, no 2574,‎ 3-10 mars 1977.
  • André Laude, « Qui est Julien Blanc », Les Nouvelles littéraires (?),‎ 1978 ?.
  • André Laude ?, « Julien Blanc – Dostoïevski au Bat’ d’Af’ », La Galerie des Arts, no 176,‎ .
  • Alphonse Boudard, « Figures d'exclus. Le tricard », Le Magazine littéraire, no 334,‎ , p. 44.

Sur l’œuvre[modifier | modifier le code]

  • 1939
    • Jean Guérin, « Romans et Récits », La NRF, no 312,‎ , p. 526.
    • J.B. Séverac, « Julien Blanc - Toxique », Le Populaire,‎ .
    • Henri Martineau, « Julien Blanc : Toxique », Le Divan,‎ septembre (?) 1939, p. 268.
  • 1941
    • Robert Desnos, « Chronique littéraire – Julien Blanc -Mort-né », Aujourd’hui,‎ .
    • « Mort-Né, par Julien Blanc (Éditions Albin-Michel) », La Terre française,‎ , p. 9.
    • « Jacques et Jean, [« Mort-né »] », Paris-Midi,‎ , p. 2.
    • Fernand Lemoine, « Mort-Né, par Julien Blanc (Albin Michel) », La NRF, no 328,‎ , p. 883-884.
    • Maurice Betz, « Faute de Goncourt L'Admission », Paris-Midi,‎ , p. 6.
  • 1942
    • Maurice Blanchot, « Les Trois romans, Chroniques littéraires », Journal des Débats,‎ .
    • « Julien Blanc – L’Admission - roman », Le Sémaphore de Marseille,‎ , p. 3.
    • Jean Fougère, « Julien Blanc : L’Admission », Comoedia,‎ , p. 2.
    • « L’Admission par Julien Blanc », La Dépêche du Berry,‎ , p. 3.
    • Fernand Lemoine, « L’Admission par Julien Blanc (Albin Michel) », La NRF, no 337,‎ , p. 359-361.
  • 1943
    • Marcel Espiau, « Seule la vie …- Julien Blanc – Gallimard », Les Temps nouveaux ?,‎ .
    • Maurice Blanchot, « Récits autobiographiques, Chroniques littéraires », Journal des Débats,‎ .
    • G.Bz, « Naturalisme pas mort », Je suis partout,‎ , p. 6.
    • Jean Lambert, « Livres d’apprentissage [« Seule la vie... »] », Comoedia,‎ , p. 2.
    • Henri Rode, « Seule la vie », Cahiers du sud,‎ , p. 818-821.
    • H. F., « Julien Blanc : Seule la vie... (N. R. F. Gallimard) », Idées,‎ , p. 64.
    • Robert Brasillach, « L’envers d’un monde. Julien Blanc : Seule la vie (Gallimard) », Le Petit parisien,‎ , p. 2.
    • Jean-Pierre Maxence, « Univers noir - Seule la vie », Aujourd’hui,‎ , p. 2.
    • Aimé Blanc-Dufour, « Seule la vie ... », Cahiers du sud, no 260,‎ , p. 819-820.
  • 1946
    • Guy Lavaud, « Joyeux, fais ton fourbi par Julien Blanc », Gavroche, no 114,‎ , p. 4.
    • Maurice Nadeau, « Joyeux fais ton fourbi », Combat, no 801,‎ , p. 2.
    • « « Fiançailles » », Paru, l'actualité littéraire intellectuelle et artistique,‎ .
  • 1947
    • Albert Béguin, « Pierre, Julien, Morvan, et quelques autres », Une Semaine dans le Monde,‎ .
    • Maurice Nadeau, « Julien Blanc au Bat’ d’Af », Gavroche,‎ , p. 5.
    • Jean Blanzat, « Joyeux fais ton fourbi, Les Livres », Le Monde français, no 54,‎ , p. 120.
    • C. M., « Joyeux, fais ton fourbi, A travers les rayons », Les Lettres françaises,‎ , p. 4.
    • Durand, « Joyeux, fais ton fourbi !, par Julien Blanc », Le Libertaire,‎ , p. 3.
    • Thierry Maulnier, « Joyeux, fais ton fourbi, « Les Lettres et Arts » », Concorde,‎ , p. 4.
    • Durand, « Confusion des peines par Julien Blanc », Le Libertaire,‎ , p. 3.
    • Claudine Chonez, « Julien Blanc – Seule la vie Joyeux fais ton fourbi », Critique, no 10,‎ .
    • Pierre Humbourg, « Julien Blanc, fais ton fourbi ! », Carrefour,‎ , p. 9.
    • Jean-Clarence Lambert, « Joyeux fais ton fourbi », Paru, l’actualité littéraire, nos 26-31,‎ , p. 19.
    • M.D., « Distribution des prix », Le Grelot,‎ , p. 4.
    • François Sentien, « Joyeux, fais ton fourbi de Julien Blanc », Les Temps modernes, nos 20-25,‎ , p. 78.
    • Pierre Loewel, « Jeunesses orageuses, La vie des lettres », L’Aurore,‎ , p. 2.
    • Henri Jean Dutall, « Joyeux, fais ton fourbi », Revue de la pensée française,‎ , p. 64.
    • Émile Henriot, « Peinture d'un enfer », Le Monde,‎ .
    • « Seule la vie », Le Monde français,‎ , p. 120.
    • Jean-Paul Lacroix, « Joyeux fais ton fourbi », Le Canard enchaîné ?,‎ .
    • Claude Roy, « L'art du conte et la poésie, Panorama des livres », Europe,‎ , p. 103.
  • 1948
    • André Bourin, « Seule la vie.. Tome III : Le Temps des hommes par Julien Blanc ».
    • « ? », Paru, l'actualité littéraire intellectuelle et artistique,‎ , p. 19.
    • François Michel, « Julien Blanc : Le Temps des hommes. Éditions du Pré aux Clercs », Le Divan, no 266,‎ .
  • 1949
    • Aimé Blanc-Dufour, « Le Temps des hommes », Cahiers du Sud, no 293,‎ .
    • Henri Jean Dutall, « Julien Blanc - Le Temps des hommes (Éditions du Pré aux Clercs) », Revue de la pensée française,‎ , p. 68.
    • Claude Delaunay, « Le Temps des hommes », Revue de la Méditerranée, nos 29-34,‎ , p. 487-489.
  • 1951
    • Marcel Arland, « Chronique de fin de saison », Les Cahiers de la Pléiade, no 8,‎ , p. 21.
    • « Prochaine reprise de La Berceuse irlandaise de M. Julien Blanc », Le Monde,‎ .
    • Pierre Devaux, « La relève littéraire Julien Blanc », Hommes et monde, no n°57,‎ , p. 596-597.
  • 1952
    • René Etiemble, L’Hygiène des Lettres – Premières notions, Gallimard, , p. 145-152.
  • 1956
    • « Julien Blanc », dans Jean-Pierre Dorian, Paris en scène, La Table ronde, , p. 14-16.
  • 1957
    • « Une page de Julien Blanc », Le Monde libertaire, no 26,‎ .
  • 1959
    • Marie-Thérèse Serrière, Le TNP et Nous, J.Corti, , p. 20.
  • 1967
    • Marc Bernard, « Chefs-d’œuvre oubliés », Les Nouvelles littéraires,‎ .
  • 1974
    • Lucien Paul Victor Febvre, « Julien Blanc – Confusion des peines », Les Annales, vol. 29,‎ .
  • 1977
    • Angelo Rinaldi, « Joyeux, fais ton fourbi, par Julien Blanc », L’Express,‎ .
    • Alphonse Boudard, « Joyeux fais ton fourbi de Julien Banc », Pilote, no 34,‎ .
    • « Julien Blanc », dans Jacques Brenner, Histoire de Littérature française de 1940 à nos jours, Fayard, , p. 221-222.
  • 2011
    • Christophe Mercier, « Confusion des peines, de Julien Blanc (Éditions Finitude) », supplément à L'Humanité,‎ .
  • 2012
    • Guy Darol, « Julien Blanc - La trilogie », www.guydarol.com,‎ .
  • 2014
    • Bernard Morlino, « Confusion des peines – les premiers tomes de la grande trilogie de l'écorché vif Julien Blanc », www.blogmorlino.com,‎ .
  • 2018
    • Bruno Curatolo, « Julien Blanc (1908-1951) », Nuitblanche.com, no 151,‎ .

Travaux et Articles universitaires[modifier | modifier le code]

  • Bruno Curatolo, « Julien Blanc : une voix dans le désert », Roman 20-50, no 14,‎ , p. 117-123.
  • Bruno Curatolo, « Julien Blanc, Luc Dietrich, Jean Douassot : le roman de l’enfance malheureuse, une question de “bon genre” ? », Roman 20-50, no 18,‎ , p. 129-137.
  • Jean Colombani, Julien Blanc - Cris et Silences (mémoire de Master 2), Université Paris Ouest Nanterre La Défense, .
  • Pierre-Yves Kerloc'h, « Julien Blanc romancier - 1908-1951 ».

Liens externes[modifier | modifier le code]