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« Jacaranda copaia » : différence entre les versions

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Jacaranda copaia‎
Description de cette image, également commentée ci-après
échantillon type de Jacaranda copaia‎ collecté par Aublet en Guyane
Classification de Cronquist (1981)
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Asteridae
Ordre Scrophulariales
Famille Bignoniaceae
Genre Jacaranda

Espèce

Jacaranda copaia
(Aubl.) D.Don, 1823

Classification APG III (2009)

"Représentation graphique de la classification phylogénétique"
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Astéridées
Clade Lamiidées
Ordre Lamiales
Famille Bignoniaceae

Synonymes

Selon Tropicos (20 mai 2022)[1]

  • Bignonia copaia Aubl. - Basionyme
  • Bignonia procera Willd.
  • Jacaranda amazonensis Vattimo
  • Jacaranda copaia subsp. spectabilis (Mart. ex DC.) A.H. Gentry
  • Jacaranda copaia var. paraensis Huber
  • Jacaranda copaia var. spectabilis (Mart. ex DC.) Bureau ex Bureau & K. Schum.
  • Jacaranda paraensis (Huber) Vattimo
  • Jacaranda procera R. Br.
  • Jacaranda spectabilis Mart. ex DC.
  • Jacaranda superba Pittier

Selon GBIF (20 mai 2022)[2]

Jacaranda copaia est une espèce d'arbres de la famille des Bignoniaceae.


Il est connu en Guyane sous les noms de Faux simarouba, Coupaya, Coupaia, Bois pianSaül, nom partagé avec Gustavia augusta), Bois blanc (Créole), Pala'i, Mapili poà (Wayãpi), Pada (Palikur), Fii ati, Faya ati (Aluku), Caroba, Pará-pará, Marupa falso (Portugais)[3],[4], Yachimambo (Nenge tongo), Kupaya (Kali'na)[5].

On le nomme aussi Flor azul, Palo azul, Pata de garza, Puti, Uai-cuima-yek, Wei-oima-yek (Arekuna) au Venezuela[6], Caroba au Brésil[7], Phootee au Guyana, Goebaja au Suriname[5].

Description

Jacaranda copaia est un arbre haut de 20 à 30 m à tronc droit, cylindrique, dépourvu de contreforts, à écorce brune, fissurée à liber orange. Les tiges et petits rameaux sont glabrescents, finement lenticellés, avec des poils simples et des écailles.

Les feuilles sont opposées, composées bipennées, très grandes, surtout chez les arbres juvéniles. Le pétioles ultime est long de (0)2-5 mm. Le rachis non ailé porte 3-5 paires de pennes, portant chacune 3-24 folioles généralement opposées, mesurant 3-7 x (13)15-35 mm, de forme elliptique ou oblongue ou obovale obtuse ou aiguë-acuminée, à base en coin plus ou moins inéquilatérale, à apex aigu à obtus ou acuminé, luisantes, concolores, chartacées, ponctuées-lépidotes, glabres ou un peu pubescentes en dessous sur la côte, avec environ 5-7 paires de nervures latérales.

Les inflorescences terminales, sont de grands panicules ou thyrse en forme de candélabre, très pubescentes, lépidotes, à fleurs multiples bleu violacé, parmi les feuilles, jusqu'à plus de 30 cm de long.

Le calice est cupulaire, tronqué ou obscurément lobé, mesurant 4-7 x 3-5 mm, densément pubérulent à pubescent, à poils simples et écailles de lépidote, irrégulièrement denté à l'apex, non côtelé à finement côtelé, sans glandes près de la marge. La corolle, de couleur mauve bleuâtre, bleue à violette, mesure 24-34(45) x 7-15(25) mm, est densément pubérulente à poils dendroïdes, sans glandes, à pubescence étoilée en dehors. Les staminodes portent des touffes denses de longs poils. Le disque est petit. L'ovaire est glabre.

Les fruits sont des capsules ligneuses, glabres à lépidote-pubescents, presque lisses ou finement rugueuses, à base étroite, s'amenuisant sur 0,4-0,5 cm, à apex obtus à arrondi, de forme oblongue à obovale, applatie, mesurant 14,5-16,5 x 8-9 x 2-2,2 cm (parfois jusqu'à 10 × 5,5 cm), avec des valves ligneuses. Les graines sont de forme suborbiculaire, à aile interrompue au point d'attache, mesurant jusqu'à 25-30 x 40-45 x 0,5 mm[4],[8],[9].

Taxons infra-spécifiques

  • Jacaranda copaia subsp. copaia porte des folioles sub-coriace, nettement pétiolulée, de forme elliptique ou oblongue-elliptique, obtuse. Ses fruits sont des capsules à valves ligneuses, larges de plus de 7 cm.
  • Jacaranda copaia subsp. spectabilis (Mart. ex A. DC.) A.H. Gentry porte des folioles membraneuses, sessiles ou subsessiles, de forme rhomboïdes-elliptiques, aiguës à acuminées. Ses fruits sont des capsules à valves finement ligneuses, larges de moins de 6 cm[6].

Répartition

Jacaranda copaia est présent au Bélize, Panama, Colombie, Venezuela, Guyana, Suriname, Guyane, Équateur, Pérou, Amazonie brésilienne, et en Bolivie.

Écologie

Jacaranda copaia est un arbre moyen, à grand de la canopée, commun en forêt secondaire ou marécageuse, dans les clairières, particulièrement sur les basses crêtes des jeunes plaines côtières des Guyanes[8], parmi les plantes pionnières tardives, plus rare dans les forêts anciennes, sempervirentes, des plaines et des montagnes[3].

  • Jacaranda copaia subsp. copaia pousse au Venezuela autour de 100–200 m d'altitude,
  • Jacaranda copaia subsp. spectabilis (Mart. ex A. DC.) A.H. Gentry pousse au Venezuela autour de 100–900(–1 300) m d'altitude[6].

En Guyane, Jacaranda copaia fleurit en janvier, août, septembre, octobre, novembre, et fructifie en juin, décembre. Il est disséminé mais très commun dans les forêts de terre ferme (non inondées), généralement dans les végétations perturbées, et est très visible du ciel lorsqu'elle est en fleurs[4].

Utilisation

Le bois de Jacaranda copaia est de couleur blanc jaunâtre, à gros grain, facile à travailler mais peu durable (densité : 0,05) est employé en menuiserie, pour fabriquer des jouets et du papier[7].

Jacaranda copaia exhibe une magnifique floraison bleue[3].

Les feuilles sont utilisées en emplâtre contre la leishmaniose, par les Créoles de Saül[3].

La fumée de rameaux feuillés de Jacaranda copaia « brûlés » en saison sèche servent à éloigner les « yinyins » en Guyane chez les Wayãpi. D'après eux, Les jaguars empoisonneraient leurs griffes avec sa sève[3].

La résine de Jacaranda copaia (baume de caroba) est considérée comme dépurative et succédané de la salsepareille comme antisyphilitique[7].

Les Tiriyó du Nord du Pará utilisent Jacaranda copaia comme fébrifuge et fortifiant[10].

Les Amérindiens du haut Uaupès (Kubeo, Tukano, Uanano...) utilisent la tisane d'écorce pour soigner la grippe et la pneumonie[11].

La tisane de l'écorce serait purgative et l'extrait de feuilles est appliqué sur les ulcères de leishmaniose (pian) chez les Kali'na, selon AUBLET (1775)[12], chez les créole (onguent pian)[13], et chez les Aluku[14].

Le liber de Jacaranda copaia renferme 0,43 % d'une saponine stéroïdique[15]. Il contient de la jacaranone (benzoquinone) inhibe le développement des leishmanies, à une dose cependant toxique pour les macrophages[16].

Protologue

En 1741, Pierre Barrère rapporte ceci :

« IACARANDA arbor, polyphylla, maxime procera. Iacaranda braſilienſibus Marcg. Arbre de S. Jean. May. On n'a pas vû la fleur ni le fruit de cet arbre, qu'on a cru devoir rapporter ici ſous le nom qu'il eſt déſigné dans Marcgrave. »

— Pierre Barrère, 1741[17].


En 1775, le botaniste Aublet propose le protologue suivant pour Bignonia copaia Aubl., 1775 (synonyme d’Jacaranda copaia (Aubl.) D.Don, 1823) :

Bignonia copaia d'après Aublet, 1775
Planche 265 : On a diminué beaucoup la feuille entière qu'on a représentée. La foliole ſéparée, la branche avec ſes fleurs ſont de grandeur naturelle. - 1. Feuille entière. - 2. Foliole de grandeur naturelle. - 3. Portion de côte de la feuille de groſſeur naturelle. - 4. Portion de panicule des fleurs[12]. - Pour la capſule, voyez la Planche 262. Fig. 1.
Bignonia copaïa d'après Aublet, 1775
Planche 262 : Pour la capſule, voyez la Planche 262. Fig. 1. [12].

« BIGNONIA (Copaïa) foliis bipinnatis ; foliolis fructu ſubrotundo, compreſſo. (TABULA 265.)
Bignonia arbor amplo buxi folio, fructu ovato, latiori, depreſſo (faya). Barrer. Franc. Equinox. pag. 11.[17]

Arbor trunco octoginta-pedali, ad ſummitatem ramoſo ; ramis erectis, ſparſis. Folia ampliſſima, oppoſita, bipinnata, foliolis ovatis, acutis, glabris, integerrimis, ſeſſilibus, alternis & oppoſitis. Flores paniculati, terminales. Corolla cærulea. Stamina quatuor fertilia, unum ſterile longum ad apicem latum & villoſum. Fructus ; capſula coriacea, ovata, compreſſa, rufeſcens, bivalvis, bilocularis, valvulis ab apice ad baſim ab utroque latere dehiſcentibus, deciduis, ſepto medio cooperto ab utraque parte feminibus planis, compreſſis, marginatis.

Florebat in ſylvis.


LA BIGNONE Copaia. (Tabula 265-262.)

Le tronc de cet arbre s'élève a ſoixante & même juſqu'a. quatre-vingt pieds, ſur deux pieds & demi ou trois pieds de diamètre. Son écorce eſt épaiſſe, de couleur cendrée. Son bois eſt blanc & peu compacte. Il pouſſe à ſon ſommet un grand nombre de groſſes branches droites, rameuſes, garnies de feuilles oppoſées & diſpoſées en croix.

Ces feuilles ſont compoſées d'une longue côte commune, des deux côtés de laquelle partent des côtes particulières, plus courtes, compoſées chacune de dix à douze rangs de folioles ſeſſiles, alternes ou oppoſées. Ces folioles ſont d'un vert luiſant, ovales, arrondies, terminées a leur ſommet par une pointe mouſſe. Les plus grandes folioles ont deux pouces & demi de longueur, ſur un pouce de largeur. La cote, ſur laquelle elles ſont rangées, eſt convexe en deſſous, & creuſée en gouttiere en deſſus dans route ſa longueur. La côte principale, qui porte toutes ces côtes chargées de folioles, eſt convexe en deſſous, creuſée en gouttiere en deſſus, & eſt fort groſſe à ſa baſe, en forme de talon. Elle à trois pieds de longueur, & la feuille entière à deux pieds de largeur. Ces feuilles, en tombant, laiſſent ſur les branches l'impreſſion de leurs attaches qui, ſubſiſte pendant trois ou quatre années.

Les fleurs naiſſent à l'extrémité des branches & des rameaux, ſur de grandes, longues & amples panicules dont la cime de cet arbre paroît toute couverte ; & comme elle s'élève droit, & que les fleurs ſont bleues, on les apperçoit de très loin. Les panicules ſont ligneuſes, branchues & rameuſes. Les branches ſont oppoſées, diſpoſées en croix, les rameaux le ſont auſſi : il y a quelques branches qui ſont alternes, de même que des rameaux. Les fleurs naiſſent par petits bouquets ſur les branches & les rameaux. Ces bouquets ſont alternes ou oppoſés. Chaque bouquet eſt porte ſur un très petit pédoncule, ſur lequel ſont articules deux autres petits pédoncules garnis à leur baſe de deux petites écailles. Chacun de ces pédoncules porte cinq à ſix fleurs qui ont leur pédoncule particulier, & ſont accompagnés à leur baſe de deux petites écailles qui tombent.

Le calice eſt d'une ſeule pièce, en forme de coupe, de trois lignes de long, d'un vert bleuâtre ; il eſt charnu. Son bord ſe terminé par cinq petites dentelures aiguës.

La corolle eſt bleue, monopétale, irrégulière. C'eſt un tube long de neuf lignes, comprimé, qui, en ſortant du calice, ſe courbe, s'évaſe & ſe partage à ſon ſommet en cinq lobes inégaux, dont les deux ſupérieurs ſont un peu plus grands que les trois inférieurs. Ce tube en deſſus eſt ſtrié, & en dedans il eſt hériſſé de poils blancs, il eſt attaché autour d'un diſque qui occupe le fond du calice.

Les étamines ſont au nombre de cinq, placées a la paroi intérieure & preſqu'inférieure du tube. De ces cinq étamines il, en à deux longues, deux plus courtes, & une cinquième beaucoup plus longue qui avorte. Le filet de cette dernière eſt applati & nud par le bas, plus large à ſa partie ſupérieure, laquelle eſt bordée d'une houpe de poils qui bouchent l'ouverture du tube de la corolle. Les filets des quatre autres étamines ſont grêles & portent chacun une petite anthère à deux bourſes ſéparées par un ſillon, Ces bourſes s'ouvrent en deux valves.

Le piſtil eſt un ovaire comprimé, marqué de chaque côté d'un ſillon longitudinal. Il eſt porte ſur le diſque, ſurmonté d'un style, terminé par un stigmate à deux lames.

L'ovaire devient une capsule à deux loges ſéparées par une cloiſon mitoyenne, à laquelle ſont attachées, ſur chaque face, des semences applaties, bordées d'un large feuillet mince, blanc & membraneux, & couchées les unes ſur les autres. Cette capſule s'ouvre entièrement en deux valves qui tombent ſéparement. Elle eſt arrondie, platte, ſèche & coriace.

Cet arbre eſt appelle par les habitans ONGUENT PIAN, & COPAIA par les Galibis. Quelques habitans ſe perſuadent que c'eſt une eſpèce de Simarouba ; c'eſt pour cette raiſon qu'ils en ſont uſage pour guérir les dévoiements & les dyſſenteries. Ils ſont une tiſane avec l'écorce; elle eſt purgative, & le plus ſouvent elle excite le vomiſſement.

Les Nègres préparent avec le ſuc de ſes feuilles un extrait pour frotter & couvrir les parties affectées de la maladie appellée Pian.

Cet arbre eſt très commun dans les forêts de l'Iſle de Caïenne, & dans celle de la Guiane.

II eſt en fleur dans le mois d'Août, & en fruit dans le mois de Novembre. à meſure qu'il pouſſe de nouvelles feuilles, les anciennes tombent, & laiſſent une forte impreſſion de leurs attaches.

On a diminué beaucoup la feuille entière qu'on a représentée. La foliole ſéparée, la branche avec ſes fleurs ſont de grandeur naturelle. »

— Fusée-Aublet, 1775[12].

Notes et références

  1. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 20 mai 2022
  2. GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 20 mai 2022
  3. a b c d et e Pierre Grenand, Christian Moretti, Henri Jacquemin et Marie-Françoise Prévost, Pharmacopées traditionnelles en Guyane : Créoles. Wayãpi, Palikur, Paris, IRD Editions, , 663 p. (ISBN 978-2-7099-1545-8, lire en ligne), p. 242-243
  4. a b et c (en) Scott A. Mori, Georges Cremers et Carol Gracie, Guide to the Vascular Plants of Central French Guiana : Part 2. Dicotyledons, vol. 76, New York Botanical Garden Pr Dept, coll. « Memoirs of the New York Botanical Garden », , 776 p. (ISBN 978-0-89327-445-0), p. 285-287
  5. a et b ONF, Guide de reconnaissance des arbres de Guyane : 2e édition, ONF, , 374 p. (ISBN 978-2842072957), p. 74-75
  6. a b c et d (en) Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 3, Araliaceae–Cactaceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 792 p. (ISBN 9780915279463), p. 262
  7. a b et c (en) A. LEMÉE, Flore de la Guyane Française, t. IV. : Première Partie : Supplément aux Tomes 1. II et III - Deuxième Partie: Végétaux utiles de la Guyane française, Paris, Paul Le Chevallier, , 66 + 134, p. 105-106
  8. a et b (en) Mark G.M. Van Roosmalen, Fruits of the guianan flora, INSTITUTE OF SYSTEMATIC BOTANY UTRECHT UNIVERSITY - SILVICULTURAL DEPARTMENT OF WAGENINGEN AGRICULTURAL UNIVERSITY, , 483 p. (ISBN 978-9090009872), p. 50
  9. Albert Lemée, Flore de la Guyane française : Tome III - Dilléniacées à Composées, Brest, LIBRAIRIE LECHEVALlER, , 656 p., p. 452
  10. (pt) P. B. CAVALCANTE et P FRiKEL, A Farmacopéia Tiriyo : Estudo étno-botânico, Belém, Pará, Museu Paraense Emilio Goeldi, Publicaçoes avulsas 24,, , 145 + appendice (lire en ligne)
  11. (en) Richard Evans SCHULTES et Robert F. RAFFAUF, The Healing Forest : Medicinal and Toxic Plants of the Northwest Amazonia, Portland, Dioscorides Press, , 500 p. (ISBN 978-0931146145, lire en ligne), p. 484
  12. a b c et d Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume II, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, , 867 p. (lire en ligne), p. 650-653
  13. Gabriel Devez, Les Plantes utiles et les bois industriels de la Guyane, , 92 p. (lire en ligne), p. 45
  14. Marie Fleury, "BUSI-NENGE" - LES HOMMES-FORÊT : Essai d'etnobotanique chez les Alukus (Boni) en Guyane Française, université de Paris 6, coll. « thèse de doctorat », (lire en ligne)
  15. R. HEGNAUER, Chemotaxonomie der Pflanzen, vol. 3 : Acanthaceae - Cyrillaceae, Bâle et Stuttgart, Ed Birkhauser, (ISBN 978-3-0348-9385-5, DOI 10.1007/978-3-0348-9385-5_29)
  16. (en) M. SAUVAIN, J.P. DEDET, N. KUNESCH, J. POISSON, J.C. GANTIER, P. GAYRAL et G. KUNESCH, « In vitro and in vivo leishmanicidal activities of natural and synthétic quinoids », Phytotherapy Research, vol. 7, no 2,‎ , p. 167-171 (DOI 10.1002/ptr.2650070215, lire en ligne)
  17. a et b Pierre Barrère, ESSAI SUR L'HISTOIRE NATURELLE DE LA FRANCE EQUINOXIALE. OU DE̛NOMBREMENT Des Plantes, des Animaux, & des Minéraux, qui ſe trouvent dans l'Iſle de Cayenne, les Iſles de Remire, sur les Côtes de la Mer, & dans le Continent de la Guyane. AVEC Leurs noms differens, Latins, François, & Indiens, & quelques Obſervations ſur leur uſage dans la médecine et dans les arts., PARIS : PIGET, (lire en ligne)

Voir aussi

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