Aller au contenu

Éternuement

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Expulsions de gouttelettes respiratoires lors d'un éternuement.

1er type d'éternuement
noicon
Enregistrement d'un éternuement
2e type d'éternuement
noicon
Enregistrement d'une série d'éternuements de bébé

L'éternuement est une expiration brusque et bruyante, semi-autonome ou involontaire (réflexe au niveau cortical) par le nez et la bouche, provoquée par un mouvement subit et convulsif des muscles expirateurs (notamment les muscles intercostaux) en raison d'une irritation des muqueuses nasales ou de leur mise en contact avec un corps étranger.

Définition

[modifier | modifier le code]
Une allergie à certains pollens (pollinose) est l'une des causes possibles de l'éternuement (rhume des foins par exemple).

Le site du dictionnaire Larousse définit l'éternuement comme une « expulsion brusque et brutale de l'air par le nez et la bouche, provoquée par une excitation de la muqueuse des voies respiratoires supérieures »[1]. Le site du CNTRL reprend ces termes en précisant qu'il s'agit d'un « mouvement subit et convulsif des muscles respiratoires »[2].

L'éternuement correspond donc à un mécanisme de défense de l'organisme et permet à chaque individu qui éternue d’expulser du nez des particules, des agents irritants ou des microbes qui pourraient causer une infection[3]. La sternutation en est le terme médical et désigne plus particulièrement une série d'éternuements à répétition[4]. On qualifie de sternutatoire ce qui provoque l'éternuement[5]. Certaines personnes ont tendance à éternuer en passant de l'ombre au soleil, ou quand elles regardent une source de lumière vive : on parle alors de réflexe photo-sternutatoire.

L'onomatopée française qui correspond à l'éternuement est « atchoum » (« achoo » en anglais, « hastschi » en allemand et « etciù » en italien.)

Caractéristiques

[modifier | modifier le code]

Présenté comme un réflexe incontrôlable et brusque, l'éternuement concerne tout le monde, en tout lieu et à tout moment. La vitesse de l'expulsion des postillons (ou gouttelettes respiratoires) et autres corps depuis le nez et la bouche de la personne qui éternue a longtemps été estimée à une vitesse très rapide (supérieure à 350 km/h)[6]. En fait, cette vitesse est beaucoup plus basse, de l'ordre de 15,3 m/s, soit un maximum de 55 km/h[7].

Généralement présentée comme une réaction normale de l'organisme, il existe plusieurs causes à l'éternuement, tel que le rhume (dit aussi rhume de cerveau, autrefois dénommé coryza) ou une rhinite allergique (dite aussi rhume des foins), plus rarement un état grippal[8] mais lorsqu'elle est plus ou moins répétée, cette réaction peut être liée à un encombrement nasal (poussières), à la présence d'un élément allergène (pollen, poils d'animaux), à un parfum ou une odeur trop forte, à une polypose nasale, ou à la lumière de forte intensité (dénommé réflexe photo-sternutatoire[9], dont la cause probable serait une anomalie congénitale touchant les signaux nerveux dans le noyau du cinquième nerf crânien appelé nerf trijumeau).

Mesures d'hygiène et comportements-barrière

[modifier | modifier le code]
Éternuer dans un mouchoir est une mesure d'hygiène et un comportement-barrière.
Éternuer dans un ou deux coudes est un moyen recommandé pour ne pas contaminer directement les autres et pour éviter d'asperger ses mains.
Shadogramme montrant l'écoulement d'air lors d'un éternuement lorsque différentes mesures-barrières sont prises.

Inoffensif chez un individu en bonne santé, l'éternuement contribue à la propagation par la bouche et le nez de divers microbes aérotransportés via des gouttelettes infectieuses d'aérosol, notamment dans l'environnement et l'air intérieur[10]. Un éternuement peut projeter environ 40 000 gouttelettes jusqu'à 1 m de distance (gouttelettes d'une taille variant généralement de 0,5 à 5 µm)[11]. Un allergique ou un malade enrhumé ou grippé peut éternuer des dizaines de fois par heure sans pouvoir se laver les mains à chaque toux ou éternuement.
Une pratique courante était de mettre la main devant la bouche quand on éternue ou tousse ; ce geste protège l'entourage immédiat des micro-gouttelettes chargées de virus[12] ou bactéries, dans l'instant, mais ces microbes expulsés sont alors abondamment présents sur la peau des mains. La recommandation d'utiliser les mains à cette fin est récemment tombée en désuétude[13] car inappropriée en termes d'hygiène : en effet les mains deviennent alors la principale source d'une contagion très efficace, via notamment les poignées de main, les poignées de portes, rampes d'escalier, la robinetterie...

Les microbes sont ensuite facilement dispersés sur divers objets (qui deviennent alors des fomites).
Tant que possible, il est donc maintenant recommandé de se moucher dans des mouchoirs en papier jetables (puis les jeter dans une poubelle appropriée), et de toujours éviter de se contaminer les mains en toussant ou éternuant dans le creux du coude, le bras plié devant soi dans les deux coudes, les deux bras croisés devant soi, les mains disposées sur les côtés (en arrière ou contre les épaules), sans non plus trop empêcher l'expulsion de l'air. Depuis le début de la pandémie de Covid-19, de nombreux gouvernements et instances nationales ont publié des fascicules sur ce sujet[14].

En contexte de risque contagieux, la période infectieuse étant difficile à situer précisément, embrasser, serrer les mains ou tout autre contact physique est à éviter, de même que fréquenter des lieux publics ou privés où se trouvent d'autres personnes ou approcher de trop près d'autres personnes sans masque (l'OMS recommande une distance minimale de 1 mètre et de se laver régulièrement les mains). Attention aussi aux contacts avec les objets potentiellement infectés. L'hygiaphone est devenu rare, Il est donc utile de tenir ses distances lorsque l'on doit s'adresser à quelqu'un. Ces comportements-barrière protègent l'individu et ceux qui vivent autour de lui.

Remèdes populaires pour contrer l'éternuement

[modifier | modifier le code]

Ils sont nombreux ; en voici quelques-uns dont l'efficacité reste à démontrer[15].

  • presser son palais avec sa langue sur la plus grande surface possible ;
  • chatouiller son palais avec le bout de la langue ;
  • fermer les yeux et poser ses doigts dessus ;
  • serrer la racine du nez ;
  • se pincer le nez en maintenant la bouche fermée. Toutefois, si l'éternuement se produit, il ne faut pas maintenir le nez pincé : via les trompes d'Eustache, la pression de l'air se propagerait vers l'oreille moyenne. Il y aurait alors risque de lésion de l'oreille moyenne ou de l'oreille interne, ainsi que d'apparition d'une douleur à ce niveau. Si la bouche s'ouvre à ce moment, les oreilles seraient alors relativement protégées, mais l'éternuement éjecte plus de gouttelettes de salive et de mucus ;
  • retenir sa respiration : pour éternuer, il faut pouvoir expirer de l'air, plutôt que de se pincer le nez ;
  • avaler sa salive de façon répétée jusqu'à ce que la sensation d'éternuement disparaisse. Cette astuce fonctionne presque systématiquement ;
  • poser perpendiculairement son doigt (index) sous son nez, comme pour le renifler, et appuyez plus ou moins fort vers la tête ;
  • ou plus simplement, se « déconcentrer » de l'envie d'éternuer, en faire abstraction, contrôler et contenir ce réflexe, ce qui évite ainsi (lorsque l'on se trouve en compagnie ou dans un lieu silencieux par exemple) d'avoir à faire un quelconque mouvement d'esquive ou bruit ; évidemment la réussite de ce procédé est proportionnelle au contrôle moteur qu'il est possible d'avoir sur l'envie d'éternuer dès que celle-ci est ressentie ;
  • incliner la tête arrête parfois un éternuement ;
  • réduire l'interaction avec les irritants/allergènes ;
  • expirer profondément l'air dans les poumons juste avant d'éternuer, réduit le volume d'air chassé ;
  • et tout simplement, bien se moucher.

L'efficacité (relative) de ces méthodes reposerait sur différents moyens d'agir ou rétro-agir sur le système neurovégétatif (orthosympathique / parasympathique) impliqué dans le réflexe d'éternuement. Certaines personnes trouvent en outre agréable ou utile d'éternuer, et ne souhaitent pas s'en empêcher[16].

Danger de se retenir d'éternuer

[modifier | modifier le code]

Plusieurs cas cliniques ont été rapportés dans la littérature médicale qui montrent qu’il peut être dangereux de réprimer un éternuement[17]. Plusieurs études ont par ailleurs montré que la pression est d’autant plus élevée que l’on cherche à résister à l’expulsion de l’air lors d’un effort d'éternuement. Empêcher un éternuement en obstruant les narines et en fermant la bouche peut multiplier la pression de 5 à 24 fois par rapport à un éternuement ordinaire[17].

Les complications sont variées, pouvant siéger au niveau intracrânien, intrathoracique, oculaire, ainsi qu’au niveau du larynx ou des oreilles. Elles peuvent également être vasculaires. Ont été décrits la survenue d'une thrombose veineuse cérébrale (variété d'AVC), fracture du cartilage thyroïde (rupture de la "pomme d'Adam"), emphysème orbitaire (pénétration d’air dans les tissus de l’orbite), présence d’air intracrânien (pneumocéphalie), présence d’air dans l’oreille interne (pneumolabyrinthe), chylothorax (par rupture du canal thoracique qui véhicule la lymphe), déchirure du diaphragme et les muscles intercostaux, dissection aortique (fissure de la paroi interne de l'aorte)[17].

Pratique médicale antique

[modifier | modifier le code]

Chez Hippocrate, l'éternuement (πταρμόν), associé à l’idée d’évacuation spontanée des humeurs, une « purge du cerveau », était synonyme de rétablissement de la santé. Le monde grec antique a développé une sémiologie du corps humain dans laquelle les éternuements prennent une place particulière. Contrairement à la toux, Aristote attribue une origine divine aux éternuements[18]. On essayait, rapporte Aristote, de ranimer les mourants en leur donnant un médicament qui les fasse éternuer ; et s' ils ne pouvaient, c'est qu'ils étaient perdus (Problèmes XXXIII, 9)[19]. Dans Les problèmes d'Aristote, la section. XXXIII. Du nez[19] :

« Le pet est le vent qui sort du bas des intestins et le rot vient du ventre d'en haut tandis que l'éternuement vient de la tête. C'est parce que cette dernière région est la plus sacrée que nous vénérons comme sacré le vent qui en sort. »

Un sternutatoire est une substance ou un remède destinés à être introduits dans le nez, dont la vertu spéciale consiste à pouvoir produire l’éternuement. C'est un élément de la médecine humorale, qui concevait que le cerveau renferme le mucus, appelée pituite ou flegme, et qui s'évacuant en coulant, formait différents catarrhes, que l'on comprend généralement aujourd'hui comme une inflammation, soit des rhumes, des conjonctivites ; des bronchite et des entérites, etc., mais qui avait dans l'Antiquité jusqu'à la Renaissance une signification physiologique plus large. La dyscrasie des humeur. particulièrement la pituite, pouvait influer sur le caractère et le tempérament : on employait des sternutatoires pour purger le cerveau et rétablir la crase ; la crase (κρασία) galénique (de Claude Galien au IIe siècle qui pérennise le travail d'Hippocrate) servait à définir le tempérament justement équilibré[20]. Hippocrate considérait comme évident que l'on puisse évacuer à volonté l'une des quatre humeurs constitutives de la nature de l'homme ; la pharmacopée hippocratique est dès lors très riche en remèdes purgatifs, diurétiques, vomitifs, expectorants, sternutatoires, etc.

Les sternutatoires ont par la suite trouvé un usage récréatif (particulièrement le tabac à priser), jusqu'à la Révolution française qui en a proscrit l'usage en société[21].

Dans les arts

[modifier | modifier le code]

Littérature enfantine

[modifier | modifier le code]
  • Tchoum ! est un livre jeu pour enfants créé et illustré par Virginie Morgand et dans lequel chaque animal (ours, renard, etc...) se retrouve en situation en difficile à la suite d'un éternuement intempestif (ISBN 9782352892236)[22].

Bande dessinée

[modifier | modifier le code]
Couverture de l'album "Little Sammy Sneeze (1905)"
  • Benoît Brisefer, héros de la série éponyme, créée en 1960 par le dessinateur belge Peyo, est un petit garçon d'une force surhumaine qu'il perd chaque fois qu'il est enrhumé, le début de cette affection étant généralement marqué par un éternuement[23].
Exemple d'éternuement réflexe, induit par une prise de tabac dans le film L'Éternuement de Fred Ott

Dans la culture populaire

[modifier | modifier le code]

Traditions populaires

[modifier | modifier le code]

Tradition antique

[modifier | modifier le code]

Chez les grecs anciens, qui voyaient facilement des présages dans le moindre événement, l'éternuement inexpliqué peut être perçu comme un signe des dieux[27].

Durant l'époque romaine, l'expression d'usage était: « Que Jupiter te conserve », transformée par les chrétiens en « Que Dieu vous bénisse » car éternuer était de bon ou mauvais augure, selon les circonstances[28].

Ainsi, dans le chant XVII de l'Odyssée, Homère écrit : « Elle parla ainsi, et Télémaque éternua très fortement, et toute la maison en retentit. Et Pénélope se mit à rire, et, aussitôt, elle dit à Eumée ces paroles ailées : — Va ! Appelle cet Étranger devant moi. Ne vois-tu pas que mon fils a éternué comme j’achevais de parler ? Que la mort de tous les Prétendants s’accomplisse ainsi, et que nul d’entre eux n’évite la mort ! ».

Tradition musulmane

[modifier | modifier le code]

Chez les musulmans, la personne qui éternue doit dire : « El Hamdouli'Allah ( "Louange à Dieu") », Si une personne l'a entendu dire cette phrase, il doit alors lui répondre : « Rahimaka Allah », qui signifie « Dieu te protège »[29],[30]. Enfin, celui qui a eternué doit répondre « Yahdîkum Allah wa Yuslihu Bâlakum », qui signifie « que Dieu vous guide vers le bon chemin et dissipe vos soucis »[31].

Tradition occidentale

[modifier | modifier le code]

Selon le Dictionnaire historique de la langue française, l’expression « À vos souhaits », formule familière de politesse adressée à quelqu’un qui éternue. Cette tradition serait apparue en français vers 1835[32], mais elle serait cependant plus ancienne.

Pour les mêmes raisons, un anglophone va déclarer « God bless you » (Dieu vous bénisse) et un hispanophone va lancer « Jésus »[33].

Idées reçues

[modifier | modifier le code]

Il serait impossible d'éternuer les yeux ouverts. En réalité, la science n'est pas aussi catégorique sur le sujet et il semble que ce réflexe puisse être contré par certaines personnes[34]. Et contrairement à une autre idée reçue, il ne s'agirait pas d'empêcher que les yeux soient éjectés de leur orbite sous l'effet de la pression, ce qui n'est pas possible[35], mais de protéger l'organisme de corps étrangers susceptibles d'entrer par les yeux.

De même, d'autres phénomènes, telles les flatulences, restent possibles lors d'un éternuement, contrairement à certaines idées reçues[réf. nécessaire].

Farces et attrapes

[modifier | modifier le code]

Comme le poil à gratter, la poudre à éternuer est un produit irritant les muqueuses nasales conçu pour diffuser rapidement dans l'air ambiant et provoquer l'éternuement des personnes qui le respirent, habituellement pour leur faire une farce.

Dans le monde animal

[modifier | modifier le code]
Zèbre éternuant

Les éternuements ne sont pas limités aux humains ou même aux mammifères. De nombreux animaux, y compris des chats[36], chiens[37] Poulets[38] et iguanes[39]. Les chiens sauvages africains utilisent les éternuements comme forme de communication, en particulier lorsqu’ils envisagent un consensus dans une meute sur la chasse ou non[40].

La coquille Saint-Jacques

[modifier | modifier le code]

On peut notamment observer chez la coquille Saint-Jacques, tout comme beaucoup d’invertébrés, l'action d'un bruit involontaire lorsqu'elle expulse les petites particules et divers excréments qui la gênent à l’intérieur de sa coquille et ne cherche pas à transmettre un message à ses congénères. Cette observation permet de définir cette action comme un éternuement. Les variations acoustiques de ce comportement permettent de définir la nature des éléments filtrés ; et ses enregistrements permettent de surveiller les changements environnementaux par des moyens non intrusifs[41],[42].

L'éternuement inversé

[modifier | modifier le code]

L'éternuement inversé (ou « l'éternuement à l'envers », « rétroéternuement »), observés chez certains animaux domestiques et plus particulièrement chez le chien se présente sous la forme de crises impressionnantes, pendant lesquelles le chien inspire par le nez, la gueule fermée et cou tendu, avec un ronflement intense évoquant le grognement du cochon. L'origine de ce comportement est inconnu[43] même si certains spécialistes évoquent la présence d’un corps étranger souvent d’origine végétale, une tumeur, polypes voire la présence de parasites au fond du pharynx[44].

Le Rhinopithèque de Stryker

[modifier | modifier le code]

Le Rhinopithèque de Stryker est surnommé le « singe qui éternue » : cela vient du fait qu'en temps de pluie, l'animal est beaucoup plus sensible à l'humidité en raison de l'absence de nez[45].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Site larousse.fr, définition de l'éternuement, consulté le 22 mai 2020
  2. Site cntrl.fr, page sur la définition de l'éternuement, consulté le 22 mai 2020.
  3. Site passeportsanté.fr, article sur le mot éternuement, consulté le 22 mai 2020.
  4. sternutation sur CNRTL (consulté le 23 mai 2020)
  5. « Sternutatoire », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales (consulté le 23 mai 2020).
  6. Site futura-sciences.com, article "Quelle est la vitesse d'un éternuement ?", consulté le 22 mai 2020.
  7. (en) Hidekazu Nishimura, Soichiro Sakata, Akikazu Kaga et Kevin Harrod, « A New Methodology for Studying Dynamics of Aerosol Particles in Sneeze and Cough Using a Digital High-Vision, High-Speed Video System and Vector Analyses », PLoS ONE, Public Library of Science (PLoS), vol. 8, no 11,‎ , e80244 (ISSN 1932-6203, DOI 10.1371/journal.pone.0080244, lire en ligne).
  8. Site asthma.ca "Tableau de comparaison des infections des voies respiratoires supérieures", consulté le 22 mai 2020
  9. Site santemagazine.fr article "5 raisons qui expliquent les éternuements répétés", consulté le 22 mai 2020.
  10. Ai, Z. T., & Melikov, A. K. (2018) Airborne spread of expiratory droplet nuclei between the occupants of indoor environments: A review. Indoor air, 28(4), 500-524.
  11. Cole EC, Cook CE (August 1998). "Characterization of infectious aerosols in health care facilities: an aid to effective engineering controls and preventive strategies". Am J Infect Control. 26 (4): 453–64. doi:10.1016/S0196-6553(98)70046-X. PMID 9721404.
  12. Sattar, S. A., Bhardwaj, N., & Ijaz, M. K. (2016) Airborne viruses. Manual of environmental microbiology, 3-2. (résumé)
  13. Central Maine Medical Center. "Why Don't We Do It In Our Sleeves". CoughSafe. CMMC, St. Mary's Hospital, Maine Medical Association. Retrieved 17 October 2016.
  14. Site solidarites-sante.gouv.fr, page "Geste 2 : éternuer ou tousser dans le pli de son coude, plutôt que dans ses mains", consulté le 22 mai 2020.
  15. Site topito.com, article "Top 10 des astuces pour s’empêcher d’éternuer ", consulté le 22 mai 2020.
  16. Adkinson NF Jr. (2003) "Phytomedicine". Middleton's Allergy: Principles and Practice (6th ed.). (ISBN 978-0-323-01425-0)
  17. a b et c Marc Gozlan, « Du danger de se retenir d’éternuer » Accès libre, sur Réalités Biomédicales, publié le 28 septembre 2023 (consulté le ).
  18. Véronique Dasen et Jérôme Wilgaux, « De la palmomantique à l’éternuement, lectures divinatoires des mouvements du corps », Kernos. Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique, no 26,‎ , p. 111–122 (ISSN 0776-3824, DOI 10.4000/kernos.2204, lire en ligne, consulté le ).
  19. a et b Aristote, Les problèmes d'Aristote, Hachette, (lire en ligne).
  20. Véronique Boudon-Millot, « La notion de mélange dans la pensée médicale de Galien : mixis ou crasis ? », Revue des Études Grecques, vol. 124, no 2,‎ , p. 261–279 (DOI 10.3406/reg.2011.8063, lire en ligne, consulté le )
  21. Catherine Ferland, « Mémoires tabagiques. L’usage du tabac, du XVe siècle à nos jours », Drogues, santé et société, vol. 6, no 1,‎ , p. 17–48 (ISSN 1703-8847 et 1703-8839, DOI 10.7202/016942ar, lire en ligne, consulté le )
  22. Site ricochet-jeunes.org, présentation du livre "Tchoum !", consulté le 23 mai 2020.
  23. Dictionnaire mondial de la bande dessinée, p. 72
  24. Site scenarmag.fr, page "Comédie "L'éternuement de Fred Ott", consulté le 22 mai 2020.
  25. Site moviecovers.com, page sur le film "Les Pirates du Métro, consulté le 22 mai 2020.
  26. Site programme-tv.net, biographie de Philippe Khorsand, consulté le 22 mai 2020.
  27. Google Livre coll. « Que sais-je ? » Devins et oracles grecs de Robert Flacelière, consulté le 22 mai 2020.
  28. Site lefiagro.fr, article "Mais pourquoi dites-vous «À vos souhaits»?", consulté le 23 mai 2020.
  29. Site apprendre-larabe-facilement.com ; consulté le 9 mai 2020.
  30. Google Livre "les préceptes fondamentaux de l'Islam (tome 2) de De Djameleddine Feliachi, consulté le 23 mai 2020.
  31. « Hadiths et invocations relatifs au bâillement et à l'éternuement », sur islamweb.net (consulté le ).
  32. Site l-express.ca, article de Martin Francœur "À vos souhaits!", consulté le 22 mai 2020.
  33. Site chosesasavoir.com, page "Pourquoi dit-on “à vos souhaits” ?", consulté le 22 mai 2020.
  34. « Peut-on garder les yeux ouverts tout en éternuant ? », sur passeportsante.net, (consulté le ).
  35. « Sept questions (pas si) bêtes que vous vous posez sur le corps humain », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  36. (en-US) « Good Question: Why Does Sneezing Feel So Good? - CBS Minnesota », sur cbsnews.com, (consulté le ).
  37. (en) « Cats », sur WebMD (consulté le ).
  38. « Why Is My Chicken Sneezing? », sur web.archive.org, (consulté le ).
  39. « Sneezing and Yawning », sur anapsid.org (consulté le ).
  40. Reena H. Walker, Andrew J. King, J. Weldon McNutt et Neil R. Jordan, « Sneeze to leave: African wild dogs (Lycaon pictus) use variable quorum thresholds facilitated by sneezes in collective decisions », Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences, vol. 284, no 1862,‎ , p. 20170347 (ISSN 0962-8452, PMID 28878054, PMCID 5597819, DOI 10.1098/rspb.2017.0347, lire en ligne, consulté le )
  41. Émission radiophonique de France culture, Pas si bêtes, la chronique du monde sonore animal, épisode : La coquille Saint-Jacques, le coquillage qui éternue, consulté le 22 mai 2020 (écouter en ligne)
  42. (en) Lucia Di Iorio, Cédric Gervaise, Virginie Jaud, Anthony A. Robson et Laurent Chauvaud, « Hydrophone detects cracking sounds: Non-intrusive monitoring of bivalve movement », Journal of Experimental Marine Biology and Ecology, Elsevier BV, vol. 432-433,‎ , p. 9-16 (DOI 10.1016/j.jembe.2012.07.010, lire en ligne).
  43. Site cliniqueveterinairecalvisson.com, page "Le reverse sneezing (ou éternuement à l'envers)", consulté le 22 mai 2020
  44. Site santevet.com, article "Éternuement inversé : le Reverse sneezing chez le chien", consulté le 22 mai 2020.
  45. « Actualité > Le singe sans nez, alias rhinopithèque de Stryker, enfin photographié ! », sur futura-sciences.com, .

Sur les autres projets Wikimedia :

Vidéographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]