Villers-sous-Foucarmont

Villers-sous-Foucarmont | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Seine-Maritime |
Arrondissement | Dieppe |
Canton | Eu |
Intercommunalité | Communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle |
Maire Mandat |
Christine Crept 2014-2020 |
Code postal | 76340 |
Code commune | 76744 |
Démographie | |
Population municipale |
195 hab. (2016 ![]() |
Densité | 28 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 50′ 20″ nord, 1° 33′ 51″ est |
Altitude | Min. 112 m Max. 223 m |
Superficie | 7,01 km2 |
Localisation | |
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Villers-sous-Foucarmont est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en Normandie (anc. Haute-Normandie).
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans le pays du Talou, qui correspond aux vallées situées entre le plateau picard et le plateau cauchois.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Vilers vers 1119; Viller en 1139[1]; Ecclesia de Villers ultra nemus en 1181 et 1182; Ecclesia de Vivelers 1181 et 1189; de Vilers en 1203[2]; Vilers en 1231[3]; Ecclesia de Vilers vers 1240; Villiers en 1337, 1431, 1433 et en 1460[4]; Ecclesia de Villaribus supra Foucarmont en 1434; Parrochia ecclesie Sancti Vincencii de Villaribus et vulgo de Villers en 1668; Saint Vincent de Villers sous Foucarmont en 1716[5]; Villiers en 1648; Villers sous Foucarmont entre 1704 et 1738, Villers en 1715 (Frémont); Villers et Petit-Villers en 1757 (Cassini); Grand Villers au XIXe siècle; Villers-sous-Foucarmont en 1953[6].
Histoire[modifier | modifier le code]
Le bourg a été desservi par la ligne de chemin de fer secondaire Amiens - Aumale - Envermeu de 1906 à 1947.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[9].
En 2016, la commune comptait 195 habitants[Note 1], en diminution de 0,51 % par rapport à 2011 (Seine-Maritime : +0,48 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
En matière d'enseignement primaire, les communes de Fallencourt, Foucarmont et Villers-sous-Foucarmont sous réunies au sein d'un regroupement pédagogique. À la rentrée scolaire 2018, la commune de Dancourt est réunie aux trois communes, par décision de l'inspection académique de la Seine-Maritime[12].
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Chapelle non consacrée.
- Monument partiellement disparu : l'ancien château de Villers-sous-Foucarmont, vaste édifice construit en brique et pierre au XIXe siècle, fortement endommagé pendant la Seconde Guerre mondiale et reconstruit dans des proportions plus modestes.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Henri Louis Martin de Villers, baron de Villers, député de la Seine-Inférieure (1780-1855) ;
- Paul-Henri Cahingt (1825-1904), archéologue, collaborateur de Jean Benoît Désiré Cochet ; né à Villers-sous-Foucarmont[13].
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- Archives de Seine-Maritime 6 H. 6,4.
- Bib. Neufchâtel — Charte de R. de Fresques.
- Bib. Rouen ms. 1224 f. 78, 89, 61.
- Archives de Seine-Maritime G. 3268, 3269.
- Archives de Seine-Maritime G. 1535, 1552, 740.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1067.
- Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Courrier picard, édition Picardie maritime, p. 15, .
- http://www.amysduvieuxdieppe.com/historiques-des-amys-du-vieux-dieppe/les-presidents-des-amys-du-vieux-dieppe-de-1912-a-nos-jours/henri-cahingt