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Utilisateur:Ségolène Bellon/Brouillon

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Jean-Christophe Ballot[modifier | modifier le code]

Jean-Christophe Ballot est un photographe contemporain, né en 1960. Il poursuit depuis plus de trente ans un chemin singulier dans le monde artistique, revendiquant et pratiquant une photographie contemplative. Son œuvre est nourrie de diverses influences : d'Andreï Tarkovski à Jean Sébastien Bach pour la spiritualité, de Vassily Kandinsky à Gustave Mahler pour le romantisme ou de Wim Wenders à Piranèse pour la ville.

Il partage son temps entre la photographie et les films documentaires. Architecte DPLG, diplômé de l'École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, diplômé de la FEMIS et ancien pensionnaire de la Villa Médicis, ses œuvres figurent dans les collections de nombreux musées : Metropolitan Museum of Art de New York, Musée du Louvre, Fonds national d'art contemporain, Centre Pompidou, Maison Européenne de la photographie, Musée Carnavalet, Petit Palais, Musée Rodin, Festival de Chaumont-sur-Loire, Bibliothèque nationale de France, Musée de la photographie de Thessalonique, Musée d'Art contemporain de Thessalonique...

L'ensemble de son travail est orienté sur l'espace : celui des villes, avec le paysage urbain et l'architecture ; celui des ports, des espaces limites, des lieux de mémoire, des lieux spirituels ; celui des paysages naturels et des jardins ; celui des sites lapidaires et archéologiques. [1]

Thématiques de son œuvre[modifier | modifier le code]

Le paysage urbain[modifier | modifier le code]

« Diplômé d'architecture, cinéaste et photographe, Ballot travaille à la chambre, ce qui l'oblige à s'installer davantage dans le décor. Il opte pour une frontalité qui privilégie la forme brute de l'architecture, et souligne ainsi le chaos des villes où les signes urbains se confrontent. Acteurs de la composition, les bâtiments sont les révélateurs de la théâtralité des lieux et de leur mémoire. » Pascal Hoël[2]

En 1987, jeune architecte DPLG et étudiant à l'École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs dans le département photo, Jean-Christophe Ballot reçoit une bourse de l'Office Franco Allemand pour jeunesse afin de passer deux mois à Berlin. Il part avec une chambre Sinar de studio faire ses premiers paysages urbains. Ces photographies sont ensuite présentées au jury de la Villa Médicis et lui permettent de partir travailler sur Rome en 1991. Pendant dix-sept ans, les portraits de villes vont se poursuivre au fil des rencontres, des opportunités et des invitations : Bratislava, Burgos, Casablanca, Chicago, Gennevilliers, Lisbonne, New York, Ostrowiec, Paris, Shanghai, Singapour, Surabaya, Zagreb. C'est un long essai photographique dans une attitude documentaire loin de tout pittoresque, une recherche sur l'histoire et les changements des villes.

En 2008, il présente une sélection de tous ses travaux à la Maison Européenne de la Photographie dans le cadre d'une exposition personnelle intitulée Urban Landscapes. [3] Depuis il continue, toujours à la chambre 4' x 5' et en argentique, de photographier Berlin, Chicago, Los Angeles.

En 2011, il travaille sur le paysage urbain de Beyrouth et Damas dont il est certainement le dernier artiste français à avoir pu y travailler avant les tragiques événements.

En 2013, il réalise une longue campagne sur la ville de Thessalonique à l'invitation de l'Institut français, du musée de la photographie et de la mairie de Thessalonique. Ce travail est présenté à l'Institut Français de Thessalonique, puis dans le cadre du Mois de la Photo à Paris 2014. [4]

En 2015, sur une invitation de la Délégation de l'Union Européenne, il travaille sur le patrimoine de la ville de Constantine en Algérie.

«  Jean-Christophe Ballot nous parle d'un état de civilisation, d'un mode de vie, d'une façon d'être, mieux que cent traités d'urbanisme, de sociologie et d'anthropologie réunis. Car ces habitations, comme tout ce qui constitue le paysage, sont des produits de l'homme, de son activité. Comme tels, ils constituent des signes, un ensemble de signes, la forme en creux de l'homme. » Guy Mandéry[5]

Lieux de mémoire et de métamorphoses[modifier | modifier le code]

« L'objectif de Jean-Christophe Ballot ne se contente pas de saisir une simple situation, ni de dresser un simple constat. Il s'implique. Il cherche à percer le mystère de ces êtres qu'on trimballe, qu'on dépose, qu'on oublie ; il vise à restituer la vie sous-entendue des lieux qu'il parcourt ; il veut nous faire partager chacune de ses surprises. Si la photographie est acte de mémoire, elle peut l'être de mémoire vive et c'est ainsi qu'il l'appréhende. » Philippe Piguet[6]

En 1991, alors pensionnaire à la Villa Médicis, il parcourt la Rome antique, du Colisée à la Via Appia.

A partir de 1992, il photographie pendant plus de dix ans le chantier du musée du Louvre.[7]

En 1998, la Bibliothèque nationale de France commande à Candida Höfer, Luc Boegly et Jean-Christophe Ballot un regard sur le déménagement des treize millions de livres du site Richelieu à la nouvelle bibliothèque François Mitterand. Depuis Jean-Christophe Ballot a l’honneur de suivre pour la BnF, dès le temps zéro, toutes les évolutions du chantier du quadrilatère Richelieu. [8] Dans les magasins et les salles de lectures, où le moindre centimètre est utilisé, le photographe s'est attardé sur les moments éphémères où l’espace libre va d’un mur à l’autre et démontre l’ampleur des salles par l’absence. Dans les espaces libres, traversés sans façades, regards ou toitures, c’est au contraire l’accumulation qu’il fixe par l’image. Un premier regard en numérique, pour la BnF et l'OPPIC, s’attarde au gré des déambulations sur les lignes de fuites des bâtiments ou les jeux de lumières. Le boîtier numérique entre le reportage et le carnet de notes, d'impressions... mais aussi repérages pour un second travail, à la chambre 4' x 5' sur films argentiques dans la grande tradition photographique. Les scènes sont alors construites et parfois éclairées. Plans, masses, volumes, détails, participent d'une composition de peintre autant que d'architecte.

En 1999, l'Institut français de Thessalonique lui propose une résidence parmi les moines du Mont Athos :

« Jean-Christophe Ballot a voulu concilier, dans sa pratique photographique, la tradition catholique, où l'image est un vecteur de la connaissance, et celle de la tradition orthodoxe, où l'icône est la seule image qui offre l'accès au sacré. Par les différents niveaux de lecture possibles de son travail, il a également cherché à donner forme aux différentes étapes de la Révélation. Peut-être le photographe, lui aussi, s'est-il révélé à lui-même au cours de ce mois de retraite au mont Athos. » Anne Sanciaud-Azanza[9]

En 2003, le groupe Renault autorise sept photographes dont Jean-Christophe Ballot à porter un regard sur les usines de l’île Seguin avant leur démolition.[10] Entre 2012 et 2013, il photographie les six derniers mois d'activité de la plus vieille fonderie d'art en France, la Fonderie Susse, lieu occupé pendant tout le XXe siècle avant son déménagement. Il publie en 2014, un ouvrage Fonderie Susse, l'inventaire et le lieu.[11]

« "L'architecture est le jeu savant, correcte et magnifique des volumes assemblés sous la lumière." Ce pourrait être une définition pertinente de son travail sur l'île Seguin et plus généralement de son approche de tout espace à construire visuellement, et de son questionnement sur la nature d'un "lieu". Il y a presque toujours chez lui une aspiration, une inspiration même, vers la clarté ; la recherche d'une bouche de lumière venant éclairer (sens et sensibilité) l'ensemble d'une composition. (...) Ce que Jean-Christophe Ballot a constitué n'appartient qu'à lui. D'autres figures étaient possibles et d'autres, qui sont passés aux mêmes endroits, ont vu différemment ou peut être n'ont pas vu. Cette différence, c'est la grâce et le talent. » François Barré[10]

La statuaire[modifier | modifier le code]

Il entretient une profonde intimité avec la statuaire. En 1991, alors pensionnaire à la Villa Médicis, il photographie les sites antiques et les musées romains. De retour en France, il débute une collaboration avec le musée du Louvre dont il suit le chantier de 1992 à 2002. [12] Il expose au Louvre dans la salle des maquettes en 2003 et publie quatre ouvrages : Le Grand Louvre, Le Louvre en Métamorphose, Le Louvre Transfiguré et La Vie secrète du Louvre. Les statues parcourent ses images, ses livres...

« Jean-Christophe Ballot aime le Louvre. Il le prouve par la manière nourrie par ses expériences romaines, dont il détaille les statues, les reliefs, en exprime la texture par la vérité physique (…) la façon dont il prend possession de l'espace. Comment ne pas citer aussi l'inévitable Piranèse lorsqu'on admire la manière dont le photographe module les noirs d'un grillage et d'un échafaudage voilé ou dont il grave une perspective des murs et de colonnes réticulées qu'articulent l'ombre et la lumière ? Ballot sait ordonner le hasard et déranger ce qui sans lui serait trop ordonné. » Michel Laclotte[7]

En 2003, la Fondation Royaumont lui commande une exposition et le livre Polyphonies sur les lieux où est né le chant polyphonique à partir du XIIème siècle, un regard sur l'art roman et gothique, l'architecture et la statuaire dans le nord de la France.

En 2004, le musée de La Garenne Lemot lui confie la réalisation d'une exposition et d'un livre Diane un mythe contemporain. Il entreprend une campagne photographique à la Galerie des Offices de Florence, au palais royal de Caserte, à la Villa d'Este de Tivoli, au château de Versailles, au musée du Louvre et à la Villa Médicis.

En 2006, la revue AD lui demande une vision d'un Louvre inspiré du livre Da Vinci Code qui sort en film cette année là.

En 2009, pour une exposition au Loyola University Museum of Art de Chicago, les musées Rodin, Zadkine, Bourdelle, le Petit Palais et l'Art Institut of Chicago lui ouvrent leurs portes.

En 2013, Jean-Christophe Ballot effectue une nouvelle série au Louvre sur une proposition de Madame Geneviève Bresc-Bautier, directrice du département des sculptures du musée du Louvre. Elle lui propose de porter un regard sur le travail de moulage réalisé sur le Persée et Andromède de Pierre Puget.

En 2014, le Centre des monuments nationaux lui demande un regard sur les gisants et les orants de la Basilique Saint-Denis. Ce travail donne lieu à l'édition d'un portfolio et à la production d'une exposition présentée à l'église des Billette à Paris, au château de Gordes et à l'académie royale de Lièges en 2015. La même année, la revue Mirabilia lui commande un portfolio sur le thème du miroir. Il réalise alors une série ethnographique à partir de couples de statuettes d'Asie, du Proche-Orient, d'Europe, du Brésil...

Le paysage naturel[modifier | modifier le code]

« À la recherche de l'universel et de l'intemporel dans les paysages qu'il observe et dont il nous transmet le reflet, Jean-Christophe Ballot se réfère à la peinture. Ses images ont la profondeur et la densité d'un tableau sans âge. Ses photographies, contemplatives, sont en quête d'un temps suspendu. » [13]

En 1993, commande du Conservatoire du littoral sur le site de l'abbaye de Beauport. L'abbaye sera le sujet de plusieurs publications.

En 1995, il photographie à la chambre 4x5'' en noir et blanc le chemin de Compostelle, parcourant 1700 km à bicyclette de l'abbaye de Vézelay jusqu'à Saint-Jacques de Compostelle. Ces photographies associées à son journal de voyage, feront l'objet d'un documentaire.

De 1997 à 2016, mise en place et suivi de six reconductions d'un observatoire photographique sur le Parc Naturel Régional d'Armorique.

De 1999 à 2000, commande d'un travail et d'un livre (L'eau grande) sur les paysages lors des crues de la Loire, par l'artothèque et le nouveau théâtre d'Angers.

En 2002, le CAUE de la Charente-Maritime commande un travail sur le bassin ostréicole de Marennes-Oléron.

« En 2004, il entreprend un grand périple d'observateur autour de l'Australie, s'intéressant aussi aux grandes terres rouges du centre qu'aux déserts et forêts primaires de ce vaste pays ; il s'est attaché à restituer la puissance minérale et végétale de cette nature primitive. On retrouve bien, à travers ses images, sa manière picturale qui évoque, de façon également réussie, l'estampe japonaise ou l'abstraction minimaliste. La photographie devient le prétexte d'une méditation zen, d'un silence intérieur dans lequel le corps se dissout. » Martine Ravache[14]

En 2009, le Grand Site Sainte-Victoire lui organise une résidence pour photographier la montagne Sainte-Victoire. Il photographie pendant un an la montagne de Cézanne. Il publie Les trente-six vues de la Sainte-Victoire aux éditions Gallimard, et une exposition circule dans la région d'Aix-en-Provence avant d'être présentée dans le cadre du Mois de la Photo à Paris 2010.

De 2012 à 2013, dans le cadre du Grand Paris, il réalise un état des lieux du futur port de Paris à la confluence de la Seine et de l'Oise.

En 2013, Jean-Christophe Ballot met en place un nouvel observatoire photographique des Gorges de l'Ardèche.

En 2015, les éditions Gallimard lui commande un regard sur les serres d'Auteuil qui est publié dans la collection Alternatives.

« Tant de mains pour transformer ce monde, et si peu de regards pour le contempler. » Julien Gracq, Lettrines

Expositions personnelles sélectives[modifier | modifier le code]

2001 : Bibliothèque nationale de France : Mont Athos.

2003 : Musée du Louvre : La métamorphose du Louvre.

2007 : Espace Landowski, Boulogne-Billancourt : Ile Seguin, paysage avec figures absentes.

2008 : Maison Européenne de la Photographie : Urban Landscapes de Berlin à Shangaï.

2009 : Loyola University Museum of Art, Chicago : Paris-Chicago.

2011 : Musée national de Damas, Syrie : Le Louvre transfiguré.

2012 : Musée d'art contemporain de Thessalonique, Grèce : Le musée dans le musée.

2015 : Domaine de Chaumont-sur-Loire : Paysages Australiens.

Académie Royale des Beaux-Arts et Musée Le Grand Curtius, Liège : Œuvre sur l'œuvre.

Bibliographie sélective[modifier | modifier le code]

- Le Louvre en métamorphose, textes de Michel Laclotte et Philippe Piguet, collection Diaclase, éditions Créaphis, Paris, 1994.

- Bratislava, textes de Bernard Noël et Pascal Bonafoux, collection Capitales oubliées, éditions Edipso, 1996.

- Mont Athos, avec une nouvelle de Jean-Louis Poitevin, cahiers d'une exposition N°36, éditions Bibliothèque nationale de France, 2001.

- L'eau grande, texte de Michel Racine, éditions Créaphis, Paris, 2001;

- Visa IV Casablanca, texte de Brahim Alaoui, éditions Filigranes, Trézélan, 2002.

- Divinatoire, texte d'Olivier Kaeppelin, éditions Filigranes, Trézélan, 2002;

- Le Louvre transfiguré, préfaces d'Henri Loyrette et François Roussely, texte de Geneviève Bresc-Bautier, éditions Créaphis, Paris, 2002.

- Les pierres d'attente, un conte d'Anne Guglielmetti, éditions Buchet-Chastel, Paris, 2003.

- Polyphonies, texte de Guy Lobrichon, éditions Créaphis, Paris, 2003.

- Diane, un mythe contemporain, texte de Marie Richard, éditions Créaphis, Paris, 2004.

- Beauport(s) une abbaye littorale, albums quatre et cinq, éditions Créaphis, Paris, 2005.

- Pharmacosmos, texte de Françoise Denoyelle, éditions Créaphis, Paris, 2005.

- La vie secrète du Louvre, textes de Véronique Maurus, éditions La Renaissance du Livre, Bruxelles, 2006.

- Ile Seguin, paysage avec figures absentes, texte de François Barré, Boulogne-Billancourt, 2007.

- Urban landscapes, textes de François Barré, Thierry Paquot, entretien avec Jean-Luc Monterosso, co-édition Créaphis/Maison Européenne de la Photographie, Paris, 2008.

- Les trente six vues de la Sainte Victoire, texte de Peter Handke, préface de François Barré, éditions Gallimard, Paris, 2010.

- La fonderie Susse, l'inventaire & le lieu, préface de François Barré, texte d'Hélène Pinet, éditions Alternatives (Gallimard), Paris, 2015.

- Cher Nicéphore... douze photographes écrivent à Nicéphore Niépce. Ouvrage collectif sous la direction de Sylvie Andreu, textes de François Cheval et Christian Caujolle, éditions Bernard Chauveau, Suresnes 2015.

- Pour le jardin des serres d'Auteuil, préface de Jean-Yves Tadié; texte de Sophie Nauleau, éditions Alternatives (Gallimard), Paris, 2015.

Filmographie sélective[modifier | modifier le code]

- Magnum, une agence et des hommes -, - Dieter Appelt -, - L'œil de la lettre - documentaires vidéo pour le Centre National de la Photographie: 1990/1991.

- Anselmi, un Hôtel de Ville - film d'architecture, 35mm couleur dolby stéréo, 6 minutes, 1991.

- La nuit Louradour - documentaire sur le décorateur D.Louradour, 35 min couleur,

21 minutes, 1991.

- Les cathédrales gothiques d'Europe - série de 30 sujets (Béta S.P.) pour un CD-I, coproduction Caisse Nationale des Monuments Historiques et Sites, Kairos Vision, 1992.

- Jean Henry, un collectionneur - documentaire sur la photographie, super 16 gonflé en 35mm couleur et noir et blanc, 13 minutes, avec la participation du Centre National de la Photographie, de la Procirep et de la Mission Audiovisuelle du Ministère de la Culture, diffusion Antenne 2, 1992.

- A comme Agathe - documentaire sur la galerie Agathe Gaillard, super 16 gonflé en 35mm couleur et noir et blanc, 14 minutes, avec la participation de Kodak, 1992.

- De Mémoire de Pierres - documentaire sur la pierre et l'architecture, 35mm noir et blanc, 15 minutes, coproduction Fondation Royaumont, Caisse Nationale des Monuments Historiques et des Sites, 1993.

- Fragments - documentaire sur un conservateur du Métropolitain Museum of Art de N.Y., 16mm couleur, 26 minutes, production le Musée du Louvre, Artéfilin, 1994.

- Les nouvelles salles de sculptures au Louvre -sujet pour le magazine Aux Arts Et Caetera, Béta SP, 6 minutes, production Paris Première, le Musée du Louvre, diffusion Paris Première, 1994.

- Les demeures d’Apollon - documentaire sur la Galerie d'Apollon, 16mm couleur, 6 minutes, production le Musée du Louvre, Artéfilm, 1995.

 - Galerie de pierres - sujet pour le magazine Aux Arts Et Caetera sur l'architecture extérieure du Louvre, Béta SP, 6 minutes, production Paris-Première et le Musée du Louvre, diffusion Paris Première, 1996.

- Pisanello vu par jean Giono - documentaire sur ce peintre italien du XVIe siècle, 26 minutes, super 16 couleur, coproduction Les Films d'ici, Paris Première et le Musée du Louvre, diffusion Paris Première, 1996.

- Pajou sculpteur du roi - documentaire sur ce sculpteur français du XVIIIe siècle, Béta SP, 26 minutes, coproduction Les Films d'lci, Paris-Première, le Métropolitan Muséum of N.Y. et le Musée du Louvre, diffusion Paris Première, octobre 1997.

Édition d'une cassette vidéo par la Réunion des Musées Nationaux.

- Francesco Salviati, le décor et la manière - documentaire sur le maniérisme Italien et sur ce peintre du Cinquecento, Béta numérique, 52 minutes, coproduction Les Films d'Ici, la Cinq, Paris Première et le Musée du Louvre; diffusion la Cinq, Paris Première, mars 1998.

Édition d'une cassette vidéo par la Réunion des Musées Nationaux.

- Bologne - dans la collection L'écume des villes, documentaire sur la ville de Bologne à travers une série de rencontres, 52 minutes vidéo, coproduction Les Films d'ici, Paris Première; diffusion Paris Première, août 1999.

Édition d'une cassette vidéo par Montparnasse production.

- Vivant Denon, l'œil de Napoléon - documentaire historique sur la politique culturelle de la Révolution à la fin de l'Empire, 52 minutes vidéo, coproduction, le Musée du Louvre, Paris Première, Artéfilm, avec le soutien de la fondation Napoléon; diffusion Paris Première, octobre 1999.

Édition d'une cassette vidéo par la Réunion des Musées Nationaux.

- En suivant l'étoile, carnet de route - essai documentaire sur le pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle, 26 minutes vidéo, Injam production, 2000.

- Giacomo Carissimi, l'exercice du motet - documentaire sur les fresques de l'église du Saint Crucifix à Rome et sur la musique de Carissimi (captation d'un concert), 52 minutes vidéo, coproduction Mezzo, RAI, Injam production; diffusions la RAI et Mezzo printemps 2000.

- Une ville, d'une rive à l'autre - documentaire sur le pont de Calatrava et sur les aménagements urbains dans Orléans, 26 minutes vidéo, coproduction Archipel 33, ARTE France, 2001.

- Venise, dans la collection L'écume des villes, documentaire sur la ville de Venise à travers une série de rencontres, 52 minutes vidéo, coproduction Les Films d'lci, Paris Première, RTBF; diffusions Paris Première, RTBF Juillet 2002.

Édition d'une cassette vidéo par Montparnasse  production.

- Polyphonies Corses, documentaire sur les traditions orales du chant polyphonique en Corse, 90 minutes béta numérique, coproduction France 3, Odyssé, Injam production, 2003.

- Les moulins de Normandie - documentaire sur les traditions du métier de meunier, 52 minutes vidéo, co-production Artefilms et Cytisen, 2004. - Contes et légendes Corses - documentaire, 52 minutes vidéo, coproduction France 3, Odyssé, Injam production, 2006.

Articles[modifier | modifier le code]

- Alain Jaubert, « Jean-Christophe Ballot, Berlin, l'entrepôt », in Mois de la photo à Paris, Paris, 1988, p.140-141.

- Emmanuel Hermange, « Le formes vernaculaires du sacré : un parcours dans le Chinonais », in Images au centre, n°2, Blois, septembre 2002, p.16-23.

- Guillemette Morel Journel, « Jean-Christophe Ballot, le Louvre », in Transphotographiques 4, Lille, 2004, p.36.

- Magda Radu, « Arhitectul si fotograful », in Arhitext, Roumanie, novembre 2007, p.68-77.

- Philippe Piguet, « Jean-Christophe Ballot, visions australiennes », in L'oeil, n°580, Paris, mai 2006, p.38.

- Guillemette Morel Journel, « L'ile Seguin, mémoires d'intérieur », in amc, n°171, Paris, juin-juillet 2007, p.58-59.

- Hervé Le Goff, « Jean-Christophe Ballot, une chambre en villes », in Le photographe, n°1658, Paris, janvier 2008, p.14-15.

- Estelle Surbranche, « Dans la ville », in Flouor, Paris, janvier 2008, p.44-45.

- Le figaro littéraire, « Villes avec vues », in Le Figaro, Paris, 7 février 2008.

- Martine Ravache, « Jean-Christophe Ballot, cityrama », in exporama, Paris, février 2008.

- Sixtine Dubly, « La ville, ce décor », in Ideat, Paris, février 2008, p.22.

- Armelle Canitrot, « Jean-Christophe Ballot, l'architecte-photographe », in La Croix, Paris, jeudi 21 février 2008, p.15.

- Jean-Christophe Ballot, « L'itinéraire photographique du Parc naturel régional d'Armorique », in L'observation photographique au service des politiques du paysage, Actes du colloque européen,  Paris, jeudi 13 et vendredi 14 novembre 2008, p. 54-61.

- Axelle Corty, « Jean-Christophe Ballot, un voyant dans la ville », in Focus Art, Paris, 2008, p.114-123.

- Jean-Jacques Cagnart, « Jean-Christophe Ballot, paysages urbains », in Chasseur d'images, n°304, Paris, juin 2008, p.60-71.

- Jean-Luc Monterosso, « Le corps et la ville dans l'œil des photographes », in d'a, n°174, Paris, juin/juillet 2008, 16-19.

- Hervé Le Goff, Picto voir avec le regard de l'autre (1950-2010), Tours, éditions Actes Sud, 2010, p.22, 98 et 180.

- Jean-Christophe Ballot, « Les quatre saisons de la Sainte-Victoire », in Mois de la photo à Paris, Paris, éditions Actes Sud, novembre 2010, p.296-301.

- Emmanuel Caille, « Damas, le décor d'une tragédie à venir.. », in d'a, n°203, Paris, octobre 2011, p.17-21.

- Gilles La Hire, « 10 questions à Jean-Christophe Ballot », in Chasseur d'images, n°348, Paris, novembre 2012, p. 78-80.

- Olivier Kaeppelin, « Jean-Christophe Ballot, Thessalonique », in Mois de la photo à Paris, Paris, éditions Actes Sud, octobre 2014, p.100-101.

- Martine Ravache, « Jean-Christophe Ballot, méditations zen », in Connaissance des Arts, hors série n°672, Paris, 2015.

- Frédéric Pons, « A la rencontre des dormeurs de Saint-Denis », in Valeurs actuelles, n°4084, Paris, 5 au 11 mars 2015, p.78.

- Jean-Christophe Ballot, « Cahier des photographes, le Christ des photographes contemporains », in Le Christ réenvisagé (Variations photographiques sous la direction de plusieurs auteurs), Paris, éditions infolio, 2016, p. 228-231.

  1. « Jean-Christophe Ballot au Domaine de Chaumont-sur-Loire », sur http://www.domaine-chaumont.fr/
  2. Pascal Hoël, Une collection, maison européenne de la photographie, Arles, éditions Actes Sud, , p. 375
  3. « Jean-Christophe Ballot Urban Landscapes, de Berlin à Shanghai », sur www.mep-fr.org
  4. « Mois de la photo 2014 : Thessalonique de Jean-Christophe Ballot - Point Rouge Gallery », sur http://www.artistikrezo.com/,
  5. Guy Mandéry, préface du catalogue Sahel-Cappadoce, Ravennes, éditions Essegi,
  6. Philippe Piguet, Le Louvre en métamorphose, Paris, éditions Créaphis, , p. 13
  7. a et b Michel Laclotte, Le Louvre en métamorphose, Paris, éditions Créaphis, , p. 8
  8. « La rénovation de Richelieu en images et en chiffres », sur http://www.bnf.fr/
  9. Anne Sanciaud-Azanza, Mont Athos, Paris,
  10. a et b François Barré, Île Seguin, paysage avec figures absentes, Boulogne-Billancourt, catalogue Espace Landowski,
  11. Jean-Christophe Ballot, Fonderie Susse, l'inventaire et le lieu, Paris, éditions Gallimard, collection Alternative,
  12. « La métamorphose du Louvre, photographies de Jean-Christophe Ballot », sur http://www.louvre.fr/
  13. Texte de présentation de l'exposition au domaine de Chaumont-sur-Loire en 2015
  14. Martine Ravache, « Jean-Christophe Ballot, méditations zen », Connaissance des Arts, no hors série n°672,‎