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Biographie[modifier | modifier le code]

Odette Dulac
Description de cette image, également commentée ci-après
Odette Dulac par Cappiello - 1903-
Nom de naissance Jeanne Marie-Claire Latrilhe
Naissance
Aire sur l'Adour (Landes) Drapeau de la France France
Décès (à 74 ans)
Barbizon (Seine et Marne) Drapeau de la France France
Lieux de résidence Paris.
Activité principale Artiste lyrique, chanteuse et femme de lettres
Style opérette, diseuse.
Activités annexes Sculpteur, peintre.
Années d'activité 1893-1929
Collaborations Le Matin, Le Petit bleu, Les potins de Paris
Distinctions honorifiques chevalier des Arts et Lettres , Palmes académiques, Officier d'académie. Officier de l'Instruction publique

Répertoire

  • Les p'tites bonnes d'hôtel
  • J'suis bête
  • Le temps des cerises

Odette Dulac, de son vrai nom Jeanne Latrilhe, est une artiste lyrique, une chanteuse et une femme de lettres française née à Aire-sur-l'Adour[1] le 14 juillet 1865, et décédée à Barbizon le 3 novembre 1939.

Odette Dulac est une chanteuse très en vogue à la Belle Epoque. Artiste éclectique, tour à tour chanteuse d’opérette, chansonnière, peintre et sculpteure, conférencière et femme de lettres, rien ne prédestine cette fille d’un marchand de nouveautés aisé d’Aire-sur-l’Adour à devenir artiste. Grâce à ses qualités naturelles et à un travail constant , cette Béarnaise a réussi à s’imposer sur les différences scènes parisiennes et européennes.

Elle débute sur les planches aux alentours de l’année 1892 à Anvers. Elle se produit à Saint-Pétersbourg puis à Paris à partir de 1894. Elle acquiert une véritable notoriété en 1897 grâce à son rôle dans l’opérette d’André Messager, les P’tites Michu.

Dotée d’une belle voix de soprano ainsi que d’une excellente diction, spirituelle et comédienne expérimentée, ses contemporains la considèrent comme une des meilleures diseuses de son époque.

Les chansons humoristiques et à sous-entendus grivois, dont elle fait sa spécialité, lui confèrent une certaine renommée dans les théâtres parisiens et les cabarets de la Butte Montmartre.

Son répertoire comprend des chansons « 1830 », qu’elle interprète en robe à crinoline, des chansons de Gustave Nadaud, et de ses propres créations. Elle est l’une des interprètes de la chanson Le Temps des Cerises en 1901.

En 1904, alors en pleine gloire, elle quitte les tréteaux de la Butte Montmartre pour se consacrer à l’écriture, la sculpture et à la peinture.

Féministe engagée, elle milite activement pour le droit de vote des femmes, la création de crèches et de maternités, le développement de la puériculture et des pratiques d'hygiène .


Sa Jeunesse[modifier | modifier le code]

Odette Dulac est originaire du Béarn. Elle est issue d'une lignée de marchands-drapiers du village de Moncaup dans les Pyrénées-Atlantiques. Son père Alexandre Latrilhe, est négociant et marchand de nouveautés à Aire-sur-l'Adour . Sa mère Marie-Clothilde Labrauste est la fille d‘un pharmacien d’Aire-sur-l’Adour, Denis Labrauste. Benjamine d'une fratrie de trois enfants, elle a deux frères. Elle est la petite-nièce du chimiste Michel-Jean-Jérôme Dizé (1764-1852), qui est le co-inventeur de la soude artificielle.

Elle passe sa petite enfance dans la propriété familiale de Moncaup . En 1873, elle est envoyée ainsi que son frère cadet, à Lorient, où ils sont tous deux confiés à des parents, couple d'enseignants à la retraite. Ces derniers appliquent un principe d’éducation particulier, puisque c'est la petite Odette qui reçoit les punitions à la place de son frère lorsqu’il n’apprend pas ses leçons. Elle en garde un sentiment d’iniquité qui la marque fortement. Elle acquiert cependant de solides connaissances en grec et en latin.

En aout 1876, son père, alors âgé de 48 ans meurt subitement d’une embolie. Les problèmes d’héritage qui s’ensuivent, entrainent la ruine du commerce familial et la perte de la propriété de Moncaup . Odette retourne vivre auprès de sa mère, et en 1879 s’installe à Bordeaux avec elle et son frère cadet. Elle travaille quelques temps comme ouvrière à la faïencerie Vieillard à Bordeaux. En juin 1880 elle entre comme pensionnaire au couvent des Ursulines, (l'ancien Hôtel de la Monnaie à Bordeaux) pour y poursuivre ses études. Elle en sort munie du brevet supérieur en 1883.

On sait peu de choses d’elle entre 1883 et 1891. Elle mentionne dans ses mémoires qu’elle gagne sa vie en donnant des cours de dessin et de musique dans les familles de la bonne société bordelaise. Quelques années plus tard, elle rejoint son frère ainé, alors lieutenant dans un régiment d’infanterie, en garnison à Poitiers. Elle vit à Poitiers jusqu’en 1891 .Cependant dans son autobiographie " En regardant par-dessus mon épaule, la vie d'une artiste" parue en 1929, elle garde le silence sur cette période de sa vie. Elle évoque à mots couverts une déception amoureuse et une rupture avec sa famille. C’est donc par nécessité qu’elle embrasse une carrière artistique.

Carrière[modifier | modifier le code]

L’artiste lyrique[modifier | modifier le code]

Timide, complexée par son physique, elle devient artiste lyrique au hasard d’une rencontre à Bruxelles. Elle connait des débuts difficiles. Elle monte la première fois sur les planches aux alentours de 1892, au théâtre du Cirque à Anvers. En 1893, elle interprète Morgiane dans « Ali-Baba ou les quarante voleurs ». La reprise de l’opéra-comique de Charles Lecocq se révèle calamiteuse et après quelques représentations, le directeur de la troupe passe la frontière sans payer les salaires. Livrée à elle-même, la compagnie doit être rapatriée par le Consul de France. Odette Dulac, hébergée par le régisseur de la troupe licenciée et sa femme, passe l’hiver 1893 sans engagement et sans argent.

Au printemps 1893, Raoul Gunsbourg, alors directeur de théâtre français réputé, prend la direction du théâtre Alexandroff, théâtre d’été Saint-Pétersbourg, nommé également « l’Aquarium ». Gunsbourg élabore une programmation d'opéra et d'opérettes « tout à la française » destinée à un public russe aisé et francophile. Il recrute ses artistes en France ; il engage Odette Dulac comme première chanteuse d’opérette.

Elle joue le rôle de Diane dans Orphée aux Enfers, l’opéra-bouffe d’Offenbach, mais le costume de scène qui n’est pas à sa taille laisse apparaitre une partie de son « anatomie ». Elle en pleure de honte et de rage, mais qu’importe : le public russe apprécie, sa carrière est lancée. Chaperonnée par l’ambassadrice de France en Russie, qui, par un heureux hasard, connait sa mère, Odette Dulac enchaine les rôles de premier plan et devient une vedette adulée en Russie.

Alternant les représentations en Russie et en France, elle joue à Paris à partir de 1894, tour à tour au théâtre de la Gaité, aux Bouffes Parisiens puis aux Folies Dramatiques. Pendant les étés 1895 et 1896, elle se produit au Casino de la Villa des Fleurs d’Aix les Bains. Durant l’hiver 1896, elle joue au Grand Théâtre de Genève où elle crée le rôle de Myrilla dans la comédie lyrique, Photis de Louis Galet.

Entre 1894 et 1897, elle apparait successivement dans reprises d'opérettes, telles que Les Cloches de Corneville de Robert Planquette, Les Mousquetaires au couvent de Louis Varney, et Le Petit Duc de Charles Lecocq.

Elle accède véritablement à la consécration en tant qu’artiste lyrique de la scène parisienne lorsqu’en novembre 1897, André Messager lui confie la création du rôle de Blanche-Marie, au côté d’Alice Bonheur (Marie-blanche), dans sa nouvelle opérette Les P’tites Michu. C’est le succès de l’hiver 1898, avec plus de 150 représentations données au théâtre des Bouffes Parisiens.

Au printemps 1898, elle joue Thérèse dans une reprise l’opéra-comique d’André Messager, La Fauvette du Temple.

La chansonnière de la Butte Montmartre[modifier | modifier le code]

Parallèlement à sa carrière d’artiste lyrique, elle entame une carrière de diseuse et de chansonnière dans les cabarets de la butte Montmartre. En 1897, elle chante à la Boite à Musique, Les chansons de la chanoinesse , répertoire à sous-entendus grivois qu’elle interprète en suggérant avec intelligence et finesse les allusions osées. Elle se produit ensuite au théâtre des Capucines où elle interprète chansons, monologues et joue dans « Le seul bandit du village », spectacle qui remporte un franc succès. Au tournant du siècle, inspirée par les chanteuses Judic et Thereza, elle est lasse de dépendre du bon vouloir de poètes de Montmartre, parfois peu scrupuleux. Elle commence à écrire les textes de ses chansons.

Elle se produit ensuite au second Chat Noir puis au Tréteau de Tabarin. En 1899, elle devient la vedette du cabaret la Boite à Fursy , crée par Henri Dreyfus dit Fursy, transfuge des tréteaux de Tabarin. Au sein d’une troupe de chansonniers composée de Fursy, Dominique Bonnaud, Paul Delmet, Hyspa, Georges Chepfer et Mévisto Ainé, elle enchaine chansons, revues, pièces satyriques et humoristiques.

Pendant les fermetures annuelles de la Boite à Fursy, elle effectue des tournées à Bruxelles, Genève, Marseille, Nice, Monte Carlo et Rome. En 1902, elle monte sur la scène de l’Empire Theatre à Londres. Précédée par sa réputation, elle doit soumettre son répertoire à la censure. Le public londonien, émoustillé, se presse alors en masse à ses représentations. Elle remporte un très gros succès avec la chanson The Honeysuckle and the Bee (le Chèvrefeuille et l'Abeille) qu’elle rajoute à son répertoire et qu’elle chante en anglais.

A la fin de la saison 1904, après un désaccord avec son directeur Fursy, elle quitte la Boite. Elle met ainsi un terme à sa carrière de chansonnière de la Butte Montmartre. Par la suite, elle apparait de manière régulière dans des concerts privés, des conférences et des fêtes de bienfaisance jusqu’à la fin des années 10, puis de manière occasionnelle dans les années 20.

La sculpture et la femme de lettres[modifier | modifier le code]

Sculpteure autodidacte, adepte de la statuaire en cire, elle modèle à partir de 1906, buste, statuettes, figurines et masques. Elle expose au Salon d’Automne de 1906, puis recommandée par Rodin , au Grand Palais lors Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts de 1908 . Elle modèle plusieurs caricatures de célébrités de l’époque comme Galipaux, Guy, Germaine Galois, ou Louise Balty, qu’elle présente aux Salons des humoristes. Elle montre quelques-unes de ses réalisations à l’Exposition Plume et Poil de 1909.

Alternant le stylo et l’ébauchoir, elle publie en 1908, son premier roman Le Droit au plaisir, dans lequel elle explore le thème du désir féminin au travers des échanges épistolaires entre une artiste et une marquise, épouse insatisfaite. Elle s’inspire des thèses du naturaliste Jean Henri Favre. Elle effectue un parallèle entre, séduction amoureuse et méthode de prédation des insectes. Le séducteur impénitent de ce roman est d'ailleurs surnommé « l’abeille ».

Dans « Le Silence des Femmes » publié en 1910, elle dénonce l’hypocrisie sociale et religieuse de son époque face à ce qu’elle appelle la « polygamie occidentale » et elle encourage les femmes à parler par elle-même. Dans « La houille rouge, les enfants de la violence» (1916), elle traite du sort des femmes durant la Grande Guerre et des enfants issus des viols perpétrés par les Allemands. Dans « l’Enfer d’une étreinte » (1922) elle aborde le thème de la syphilis. En 1926, elle co-écrit avec Charles Etienne un roman de mœurs, « Les désexués », qui raconte l’histoire et la chute d’un jeune homosexuel dans le Paris des années 20.

A partir de 1917, elle écrit de manière régulière, chroniques, billets d’humeur, contes et nouvelles, qui sont publiés dans différents journaux. Adhérente à la Société des gens de lettres depuis 1914, elle en devient sociétaire en 1922, parrainée par Aristide Bruant . Le sculpteur Paul-François Berthoud (1870-1939) réalise et expose son buste en 1932 au Salon de la Société nationale des Beaux-arts.

Le piano Rupert Carabin[modifier | modifier le code]

Ce piano droit sculpté, en noyer et fer forgé, est présenté à l’Exposition Universelle de 1900 par la maison Herz, facteur de piano, et vaut à Rupert Carabin une médaille d’or. En 1901 il est présenté au Salon de la Société nationale des Beaux-Arts de Paris. Réalisé à l’origine par le sociétaire de la Comédien Française, Alexandre Honoré Ernest Coquelin dit Coquelin cadet, qui ne peut pas le payer, c’est finalement Odette Dulac qui en fait l’acquisition en 1901.

En 1938, sur les conseils de Rupert Carabin , elle en fait don au Musée des arts décoratifs de Paris, qui le dépose à l’Ecole Boulle en septembre 1938. Il disparait pendant l’Occupation et réapparait en 1981 à New York chez Sotheby’s. La maison de vente aux enchères constatant son origine, contacte aussitôt le Musée des Arts Décoratifs. Après de longues négociations, le piano est finalement restitué en 2012. Il est exposé depuis juin 2013 dans la section Art nouveau du Musée parisien.

Répertoire[modifier | modifier le code]

Chansons[modifier | modifier le code]

  • Les P'tites bonnes d'hôtel. (Xanroff).
  • Un brin de toilettes. (Lucien Boyer,Edouard Mathé).
  • La légende des grains de beauté. (Lucien Boyer, Archainbaud).
  • Le vieux farceur.
  • Le Temps des cerises.(Jean-Baptiste Clément, Antoine Renard).
  • Les hussards de la garde.
  • La Garonne (Gustave Nadaud).
  • Pandore(Gustave Nadaud).
  • Le gendarme (Gustave Nadaud)
  • Le Soliloque de France.
  • Le journal d'une femme de chambre.
  • Je sais bien quelque chose.
  • La question du Shah.
  • La Dernière Lorette (Gustave Nadaud). .
  • J'suis bête. (Georges Berr).
  • La Première Faute. (Paul Gavault).
  • L'esquif fleuri. (Lucien Boyer, Emile Lassailly).
  • Une blague (Lucien Boyer, Estaban Marti).

Cylindres Pathé Frères[modifier | modifier le code]

  • (no 919) Chimère.
  • (no 921) Le vieux farceur.
  • (no 922) Le temps des cerises.
  • (no 923) Y a toujours la moitié du monde.
  • (no 924) Auto et Berline.
  • (no 925) Ma Grand'mère.
  • (no 926) Jenny l'ouvrière.
  • (no 927) Les différences.
  • (no 928) J'suis bête.
  • (no 931) Pandore.
  • (no 933) Les p'tites bonnes d'hôtel.
  • (no 934) Les divorcées.
  • (no 936) Le Loup Garou.

Répertoire lyrique[modifier | modifier le code]

  • Orphée aux enfers. Théâtre de la Gaité. Rôle: Eurydice - 1893
  • Les Cloches de Corneville. Théâtre de la Gaité. Rôle: Serpolette - 1894
  • Les Mousquetaires au couvent. Théâtre des Bouffes-Parisiens. Rôle : Louise - 1896
  • Photis. Grand théâtre de Genève. Rôle: Myrilla. 1897
  • Le Petit Duc. Théâtre des Bouffes-Parisiens. Rôle : La Duchesse de Parthenay - 1897
  • Les P'tites Michu. Théâtre des Bouffes-Parisiens. Rôle: Blanche Marie -1897
  • La fauvette du Temple. Théâtre des Folies-Dramatiques.Rôle: Thérèse - 1898

Chansons interprétées dans les cabarets de la Butte Montmartre[modifier | modifier le code]

  • Civilité honnête et puérile
  • Astarté
  • Les M'as tu lu ?
  • Aye! Aye! Jeannette !
  • Les Chansons de la Chanoinesse
  • Robinson n'a pas tué Zoé
  • Montmartre est mort
  • Grains de bon sang
  • La Revue de la Boite
  • Ohé! La Chanson
  • Les Etoiles de Montmartre
  • Vive la grève
  • Dodor sait se faire aimer
  • On ferme
  • Gyp Gyp Hourra
  • Les avariés
  • Conflit franco-turc
  • Les Demi-Cierges
  • La Fille à Maman
  • Le Sentiment de la couleur
  • Les Chauffeurs
  • J'ai de la Pudeur
  • L'Ami des Bêtes
  • Billet de logement
  • Simple histoire
  • La Lavandière
  • Leur Démarche
  • Soirées d'une femme honnête
  • C'est ça la vie
  • J'fais des bêtises
  • Les Sports
  • L'arrivée du Roi d'Italie
  • La Litanie des pieds
  • Le Cornet de bonbons
  • Les Souverains à l'Exposition

Ecriture[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

  • Amour et sacrifice.
  • Le Droit au Plaisir, Paris. Louis Theuveny (1908).
  • Le silence des femmes, Paris. Maurice Bauche (1910).
  • La houille rouge, ed. Eugène Figuière, Paris,1916 (disponible sur Gallica)
  • Faut-il?, Paris. Calmann-Lévy (1919).
  • L'enfer d'une étreinte, Paris. Société mutuelle d'édition (1922).
  • Tel qui est, Paris. J.Snell & Cie (1926).
  • Les desexués, co écrit avec Charles- Etienne, Paris. Editions Curio (1924).
  • Leçons d'amour à l'usage des jeunes filles de France, Paris. Eugène Figuière (1929).
  • En regardant par dessus mon épaule ou la vie d'une artiste. Autobiographie édité à compte d'auteur (1929).

Pièces de théâtre[modifier | modifier le code]

  • Pluie de printemps - un acte.
  • Le Fétiche - un acte.
  • Le sandwich au biscuit - un acte.
  • Le Silence des femmes - 3 actes.
  • Le termite - 3 actes.

Chansons[modifier | modifier le code]

  • Le Photographe Amateur.
  • Le français tel qu'on le parle.
  • Leçon de tactique d'une Femme du Monde à un jeune Officier des Cuirassiers.
  • Les derniers Conseils.
  • Le Bon Chansonnier.
  • Féminisme.
  • Les Chrysanthèmes.
  • Conseils à une Femme honnête.
  • La Vieille Marcheuse.
  • les Décorations.
  • Chanson câline.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  • Léon de Bercy, Montmartre et ses chansons : Poètes et Chansonniers, orné de 5 portraits-charges de Charles Léandre, éd. H. Daragon, Paris, 1902 (disponible sur Gallica)
  • Archives départementales des Pyrénées Atlantiques, Pau.
  • Archives départementales des Landes, Mont-de-Marsan.
  • Archives Municipales d’Aire-sur- l’Adour.
  • Archives départementales de Poitou-Charentes, Poitiers.
  • Service de l'état civil, Barbizon, Seine et Marne.
  • Notice d'autorité de la BNF
  • En regardant par-dessus mon épaule ou la vie d’une artiste, Odette Dulac, Paris 1929.
  • Bibliothèque Marguerite Durand, Paris.
  • Galerie des landais, Gabriel Cabannes, 1930-1934, archives départementales des Landes, Mont de Marsan.
  • Source gallica.bnf.fr /Bibliothèque nationale de France : Le Ménestrel, Le Figaro, Le Matin, Le Gil Blas, Le Petit Bleu, Le Gaulois, Le Photo Programme, Femina, les Potins de Paris, l’Art Lyrique.
  • The secrets of a showman, Sir Charles Blake Cochran, W. Heinemann, 1925 - 436 pages
  • Bibliothèque de l’INHA, Paris. Correspondance de Rodin, T.III 1908-1912, Paris : Musée Rodin c1985-1922
  • Bibliothèque de l’INHA, Bibliothèque du Musée des Arts décoratifs, Paris. Catalogue des salons de la société nationale des beaux-arts, catalogues des ouvrages de peintures, sculptures, dessin, gravure, architecture, art décoratif et arts appliqués exposés au Grand Palais.
  • Bibliothèque de l’INHA. Magazine Comoedia illustré n°6, 15 mars 1909.


  1. Archives Municipales de Aire-sur-l'Adour, Landes