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Utilisateur:Ceharder/Brouillon

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L’église Notre-Dame de Friedberg est une église-halle gothique qui a été construite entre 1260 et 1410.

Histoire[modifier | modifier le code]

Une église romane existait déjà avant la construction de l´église-halle gothique d´aujourd´hui.

l'église de Friedberg, vue du sud.

Il s’agissait d’une basilique romane à trois vaisseaux et trois absides à l’est construit vers la fin du XIIème siècle. Seul le jubé a été conservé de cette église romane.

Grâce à la nouvelle prospérité de Friedberg et son indépendance du château impérial après le milieu du XIIIe siècle une nouvelle église plus grande et moderne est envisagée. Les fondations du nouveau chevet et du transept avec les tours escaliers sont achevées presque précipitamment au plus tard en 1257.  Pas plus tard qu’en 1260 on commence l’achèvement des murs du transept. Après une interruption dont la raison n’est pas connue le chevet et les murs de l’est du transept sont achevés sous un maître d’œuvre fortement influencé par le chantier de Strasbourg. Avant 1300 on achevait également les façades du transept intégrant le Brautportal déjà construit sur le côté sud, ainsi que les tourelles d’escalier, mais cette fois sous la direction d’un nouvel maître d’œuvre qui suit les influences de Marburg, que sont déjà formellement dépassé. Il achève également les deux piliers ouest de la croisée ainsi déterminant le plan du vaisseau central de la nef. Par suite du voûtement et la peinture le chœur et le transept sont terminés en 1306.

Au cours de la construction de l’église gothique les parties de l’église romane, entretemps entourée par des parties du nouvel édifice, doivent être détruites. Les pierres sont réutilisées pour la nouvelle construction. Seul le jubé avec le ciborium est conservé et intégré à la nouvelle église. Le 29 mai de la même année, le dimanche après la Pentecôte, le maître-autel est consacré. Albrecht Ier, roi des Romains depuis 1298, est parmi les invité(e)s d’honneur.

La continuation du chantier des travées et de la nef s’est fait sans pause. Vers 1330 la nef est achevée jusqu’aux deux portails latéraux. Juste après 1340 déjà plus que dix autels sont mentionnés. Jusqu’à la moitié du XIVème siècle la halle était déjà si développée qu’on a construit un mur provisoire massive derrière la quatrième travée pour délimiter l’espace (similaire de l’église de Wetzlar).

Le chantier continue avec l’achèvement des piliers de la nef vers l’ouest. Vu leur largeur, les deux piliers de la dernière travée d’ouest étaient censés porter le poids d’une façade à deux tours. Mais déjà avant l’achèvement des murs extérieurs des deux dernières travées il y a dû avoir un changement de plans, décalant les tours vers l’extérieur de la halle. Cette nouvelle façade à deux tours est directement mise en chantier pour montrer le plan aux habitants. Néanmoins la finalisation de la nef est la partie la plus importante, dont on se focalise. Ainsi, l’intérieur de l’église est complètement fini et utilisable vers 1370/75, à part de deux voûtes des galeries à l’ouest.

La facade de l'église.

Dans la suite, la construction des tours se présente de plus en plus lente, avec des changements du matériel de construction en utilisant une pierre plus claire que le grès rouge utilisé avant. Le déclin de l’économie de la ville, un incendie partiel de la ville en 1383 ainsi que l’objection du château impérial de Friedberg font que l’achèvement des tours progressait seulement lentement. Le conflit avec le château qui prétextait de craindre le caractère de forteresse des tours a résulté dans une sentence arbitrale par le roi Robert Ier du Saint-Empire le 22 janvier 1410. La ville n’avait donc plus le droit de continuer la construction des tours mise à part la partie du clocher de la tour nord en bois, qui venait justement au niveau du faitage. Que cette flèche en bois et ardoise, pas exactement modeste, arrive quand même à une hauteur de 62 mètres montre l’ambition de la ville pour son église. La fabrication des cloches qui est attestée pour l’année 1420 laisse conclure que l’église soit terminée dans cette année car la deuxième tour basse reçoit seulement un toit simple sans décors supplémentaire.

Il y a un deuxième apogée de l’église dans la deuxième moitié du XVe siècle. Des vitraux pour le chœur ont été achetés et on a fait commande du tabernacle de Hans de Düren. Dans les siècles suivants il n’y a plus de grand changement constructif. La réforme protestante à Friedberg s’est déroulée tôt et sans heurts ni d’iconoclasme. L’église de Friedberg devient luthérienne. Pour s’adapter au plus grand nombre de laïcs dans l’église on garde le jubé qui sert en tant que galerie pour le chœur et on ajoute autres tribunes.

L'orgue

Pendant la guerre de Trente Ans l’église est seulement peu endommagée, pendant le baroque on ajoute même un orgue. Cependant l’état de l’église, notamment du chœur et du transept, devient de plus en plus inquiétant par suite du déclin économique de la ville. A partir de 1820 beaucoup de problèmes statiques dans le chœur et dans le transept étaient consignés, le risque d’effondrement est constaté. Dans les décennies suivantes plusieurs essais sont faits pour sauver ces parties. On vend la plupart du trésor de l’église, qui n’est plus utilisé de toute manière, pour financer la sauvegarde de l’édifice. Malgré cette situation on enlève non seulement les mobiliers de l’église actuels entre 1842 et 1845 mais on décide un rééquipement complet de l’intérieur avec des bancs, une chaire et un buffet d’orgue néo-gothique.

Pour finalement faire face au risque d’effondrement devenue alarmant on fait commande d’une étude circonstanciée, qui est aujourd’hui un exemple pour une documentation et planification de façon exemplaire. On prend donc la décision de déconstruire et puis reconstruire complètement le chœur, le transept et la sacristie, ce qui est fait entre 1896 et 1901 sous la direction des architectes Rudolf Opfermann et Hubert Kratz.  Le 26 juin 1901 l’église est reconsacrée. En 1908 on construit un nouvel orgue dans le buffet d’orgue existant après avoir ajouté une grande partie des vitraux existant aujourd’hui. Anton Burkart a rétabli la polychromie originale de l’intérieur de l’église entre 1958 et 1963 se fondant sur des études de Otto Müller. Dans la même période on a substitué les sièges néo-gothiques par les chaises actuelles. La tribune de l’ouest en béton armé avec le buffet d’orgue ainsi que la sacristie annexe sont conçues par l’architecte Theo Kellner de Francfort jusqu’en 1964.

De 1996 à 2001 une autre grande campagne de restauration était entreprise. En 2006 la paroisse a célébré le septième centenaire de la consécration de l’autel.

Architecture[modifier | modifier le code]

L’église de Friedberg est une église-halle avec une façade à deux tours et un chevet polygonal.

Plan[modifier | modifier le code]

Le plan de l'église.

Les deux tours carrés situés devant la nef créent une situation similaire à des passages d’entrées qui permettent de circuler du nord au sud en dessus des tours, tout en encadrant le portail central. En entrant par ce portail on arrive dans la halle à trois vaisseaux qui s’étendent sur six travées. Le transept dont les bras dépassent seulement légèrement la largeur de la nef s’y ajoute.  Deux tours d’escalier presque esseulés aux coins ouest des bras du transept font plus ressortir le transept. A l’est de la croisée du transept une abside polygonale est ajoutée.

Extérieur[modifier | modifier le code]

L’impression de l’église est surtout marquée par la façade à deux tours inachevées et par les formes régulières du toit marqué par des croupes hautes, positionné d’une manière orthogonale envers le toit long du vaisseau central. La tour nord arrive jusqu’à la hauteur du faîte du toit de la nef. La flèche faite de bois et d’ardoise ajoutée au-dessus permet à la tour d’atteindre une hauteur totale de 62 mètres. D’un autre côté la pointe du toit en pavillon de la tour sud atteint seulement la hauteur de la nef.  La tour nord et le moignon de la tour sud sont structurés dans la verticale par des contreforts massifs et sont percés par des petites fenêtres.

La nef vue du nord.

Derrière les tours inégales la nef se présente d’une manière harmonieuse avec un rythme régulier. Chaque secteur du mur est percé par une fenêtre à remplage et divisé par des contreforts qui sont étagés par des antibéliers et couronnés par des pinacles. Des gargouilles figuratives y dépassent de la façade. Une corniche qui s’étend le long de la nef au-dessus des portails latéraux, forme les seuils des fenêtres avec des ébrasement profilés. Trois lancettes s’inscrivent dans un arc brisé avant d’être surmontées par différentes variantes de couronnements géométriques. Le mur de la nef est couronné par un garde-corps en remplage. Le garde‑corps dans lequel s’inscrivent des quadrilobes qui est seulement dépassé par les pinacles des contreforts, fait tout le tour de l’église. La croisée du transept est accentuée par une flèche en ardoise. Les deux tours d’escaliers du transept ne sont pas crépies et dissimulent la séparation entre la nef et le chevet. Ils sont structurés par des colonnettes fines sur les arêtes, des arcs aveugles avec des crochets et des pignons.

L’organisation du mur de la nef plus jeune se retrouve d’une manière similaire au transept et au chevet construit avant. Ce sont surtout les fenêtres à remplage avec cinq lancettes dans le bras de transept sud qui nécessite d’être mentionné. Des portails percent les façades du transept au‑dessus des grandes fenêtres à remplage à quatre lancettes. Surtout le Brautportal sur le côté sud est travaillé artistiquement.

Intérieur[modifier | modifier le code]

L'intérieur de l'église.

L’intérieur de l’église Notre-Dame donne une impression vaste et spacieuse grâce à sa disposition en halle. Des grandes arcades séparent le vaisseau central des collatéraux. Comme des piliers à noyau cantonné quatre colonnettes majeures encerclent le noyau rond. Des colonnettes mineures s’ajoutent entre les colonnettes majeures. Les colonnettes majeures se développent en arcs doubleaux et arcs formerets, pendant que les colonnettes mineures reçoivent les retombés des nervures des voûtes d’ogives. L’organisation du mur des collatéraux correspond à celle de l’extérieur: La corniche qui s’étend sur la longueur du mur forme les seuils pour les grandes fenêtres à remplage. Les contreforts sont remplacés par des groupes de colonnettes qui reçoivent les retombés des arcs doubleaux et des nervures de la voûte d’ogives des collatéraux. Les structures décrites sont en coloris rouge avec un remplage de joints peint en blanc. Ils contrastent avec les murs et intrados des voûtes. Certains éléments comme les chapiteaux sont accentués par un coloris en rouge‑bleu et en or.

Le jubé sépare le chœur de la nef et des bras du transept. Le tabernacle au nord du chœur reste quand même visible grâce à sa hauteur de 14 mètres.

Essentielle pour l’impression de la halle et sa qualité constructive sont la position des piliers dans la nef, fondée dans la disposition du plan. Les collatéraux sont plutôt large, faisant 7/10 de la portée du vaisseau central. Ils permettent ainsi des échappées diagonales assez claires et donnent l’impression équilibrée à la halle. Les proportions sont construites d’une manière géométrique. La largeur des voutes du vaisseau central revient dans les diagonales des travées des collatéraux. De plus le rapport entre les voutes du vaisseau central plus large et les voutes des collatéraux plus serré permet que la statique soit plus avantageuse.

Ameublement[modifier | modifier le code]

Un part du trésor de l'église est exposé dans le Wetterau-Museum.


Jubé[modifier | modifier le code]

La partie centrale du jubé faisait partie de l’édifice antérieur de l’époque romane et était achevée vers 1240. Vers 1430 il est retravaillé et obtient sa forme actuelle avec des éléments du gothique tardif. Deux portes en arc brisé avec du remplage ont été ajoutés. Le garde-corps se présente maintenant percé par des nombreuses mouchettes.

Au-dessus du milieu du jubé un crucifix plus grand que la nature est accroché. Il est daté vers l’année 1500. En-dessus du ciborium roman du jubé se situé l’autel « Sainte-Croix » qui était le maitre-autel jusqu’en 1844. La galerie du jubé est accessible grâce à un escalier en pierre. Sur le côté gauche du jubé se trouve une Madone, une sculpture gothique précieuse, achevée vers 1280. Il s’agit d’une vierge couronnée portant Jésus.

Les stalles

Stalles[modifier | modifier le code]

Le chœur est équipé par des stalles en bois de chêne du milieu du XVI siècle. Ils se composent de 20 sièges rabattables et ils sont décorés par des peintures sur panneau de bois du XV siècle. La plupart des peintures a été restaurée.

Tabernacle[modifier | modifier le code]

Le tabernacle de Friedberg témoigne une grande habilité de tailleur de pierre au XVe siècle en style gothique flamboyant. Il a seulement été utilisé pendant environ un demi-siècle, avant que la réforme protestante le rende inutile.

Le tabernacle.

Le tabernacle a été fait de 1482 à 1484 par Hans de Düren, un tailleur de pierre installé sur Francfort. Un livre de comptabilité nous transmet que Hans de Düren a reçu 275 Gulden et une vaste quantité de vin pour son travail.La partie du poteau central qui porte la plupart de la charge est de grès rouge local. La partie décorative plus travaillée est en tuf d’une couleur gris-jaune avec des pores très fins, qui permettent le traitement très détaillé. Bien que la première impression soit prise par le décor riche, le tabernacle est structuré par une composition assez claire. Elle se développe du socle jusqu’en haut de la tourelle sur des plans sexpartite. Tous les plans sont basés sur trois formes géométriques combinés différemment : un hexagone, un triangle et une étoile à six pointes. L’élévation se compose de trois parties principales. Premièrement un socle sur lequel la structure se fonde. Ce socle est suivi par le reliquiaire de l’hostie au-dessus duquel se développe la pyramide couronnante. Une statue de la vierge avec un livre et l’archange Gabriel sont attachés sur la partie basse au‑dessus des baldaquins décorés. Il y a d’autres socles pour des figures au niveau du reliquiaire de l’hostie, mais ils n’ont jamais été achevés. Malheureusement le tiers le plus haut n’est plus original mais a été reconstruit vers 1900. On ne peut pas affirmer que cette reconstruction soit identique à l’original.

La grille en fer forgé qui sépare le spectateur du tabernacle est encore originale du Moyen Age. Depuis son achèvement la grille autour du tabernacle ainsi que les grilles du reliquiaire de l’hostie n’ont jamais été repeints. On voit encore aujourd’hui des restes de couleur rouge, bleu et vert ainsi que des parties dorées.

La grille et le tabernacle lui-même servent à stimuler ainsi que limiter le regard du spectateur en face du Corpus Christi incarné par l’hostie dans le tabernacle.

Vitraux[modifier | modifier le code]

Détail d'une fenêtre avec l'armoiries de Alexandra Feodorovna Romanova et Nicolas II.

Les vitraux de Notre-Dame de Friedberg parviennent essentiellement de trois époques : l’art gothique, l’historisme et de la deuxième moitié du XXème siècle.

  • Les trois vitraux centraux du chœur sont encore médiévaux. Ils ont été montés dans le chœur dans les années 1470 par Henritz Heyl et Conrad Rule. Maria, la patronne de l’église, est au centre entouré par plusieurs représentations de saints. A partir de 1886 l’atelier Alexander Linnemanns de Francfort a restauré ces vitraux importants du Moyen Age. Ils ont aussi ajouté des éléments comme les trois armoiries dans le vitrail central en 1890.
  • Entre 1899 et 1918 l’atelier Linnemanns achève un nombre de nouveaux vitraux et de rajouts. Aujourd’hui leurs vitraux néo-gothiques dominent l’espace. Leurs thèmes font référence au Nouveau Testament et montrent des armoiries des donateurs comme du régent du temps Ernest-Louis de Hesse et sa sœur Alexandra Feodorovna Romanova, la dernière impératrice de Russie.
  • Les autres vitraux ainsi que la fenêtre ouest ont été exécutés par Charles Crodel en 1962–1964. C’est aussi lui qui a fait les vitraux de la sacristie et l’ornementation de la chaire devant le jubé. Tous ces travaux sont de lui-même et signés. Les autres vitraux ont été faits par Elfriede Böhmer en 1977, par Blasius Spreng en 1985, par Hans-Gottfried von Stockhausen en 1986 et par Helmut Lander 1994.

Littérature[modifier | modifier le code]

  • Ernst Götz: Die Stadtkirche unserer Lieben Frau zu Friedberg, Deutscher Kunstverlag: Munich et Berlin, 2. édition 1974 (Grosse Baudenkmäler Heft 203)
  • Ernst Götz: Die Stadtkirche Unserer Lieben Frau in Friedberg in Hessen. Königstein i. Ts. Verlag Langewiesche 2006 (= Die Blauen Bücher), ISBN 978-3-7845-4490-8.
  • Georg Ulrich Großmann: Mittel- und Südhessen : Lahntal, Taunus, Rheingau, Wetterau, Frankfurt und Maintal, Kinzig, Vogelsberg, Rhön, Bergstraße und Odenwald. DuMont, Cologne 1995, ISBN 3-7701-2957-1 (=DuMont Kunst-Reiseführer), p. 132f.
  • Die gebrauchte Kirche – Symposium und Vortragsreihe anlässlich der Hochaltarweihe der Stadtkirche Unserer Lieben Frau in Friedberg (Hessen) 1306–2006 = Arbeitshefte des Landesamtes für Denkmalpflege Hessen, volume 15. Konrad Theiss Verlag, Stuttgart 2010, ISBN 978-3-8062-2371-2.
  • Achim Timmerman: Hans von Düren’s sacrament house (1482–1484) and the artistic mediation of eucharistic real presence, dans :  Die gebrauchte Kirche. Symposium und Vortragsreihe anlässlich des Jubiläums der Hochaltarweihe der Stadtkirche unserer Lieben Frau in Friedberg (Hessen) 1306–2006, = Arbeitshefte des Landesamtes für Denkmalpflege Hessen, Bd. 15. Konrad Theiss Verlag, Stuttgart 2010, ISBN 978-3-8062-2371-2, p. 75–82.
  • Klaus Güthlein: Die Friedberger Stadtkirche als Hallenkirche im nationalen und internationalen Kontext. dans : Die gebrauchte Kirche – Symposium und Vortragsreihe anlässlich der Hochaltarweihe der Stadtkirche Unserer Lieben Frau in Friedberg (Hessen) 1306–2006 = Arbeitshefte des Landesamtes für Denkmalpflege Hessen, Bd. 15. Konrad Theiss Verlag, Stuttgart 2010, ISBN 978-3-8062-2371-2, p. 33–44.
  • Michael Keller (éditeur): Erhalten. Erneuern. Ergänzen. 100 Jahre Renovierung der Stadtkirche Friedberg. Bindernagelsche Buchhandlung; Friedberg 2001, ISBN 3-87076-091-5.
  • Seeliger, Hartmut: Die Stadtkirche in Friedberg in Hessen. Ein Beitrag zur Geschichte der gotischen Baukunst in Hessen und am Mittelrhein. Dans: Archiv für hessische Geschichte und Altertumskunde N.F. 27 (1962/67), p. 1–118.
  • Hans Wolf: „Kirchenfenster erzählen die Bibel“: Geschichte und Deutung der Glasmalereien der Stadtkirche in Friedberg (Hessen), dans: Wetterauer Geschichtsblätter volume 54 (2005) p. 3–92.
  • Susanna Domnick (Pfr.), Paul Dzieia: Die Zehn-Gebote-Tafeln, Stadtkirche unserer lieben Frau in Friedberg Hessen, Wetterauer Druckerei, Friedberg.
  • Ernst Götz: Die Glocken von Friedberg aus 8 Jahrhunderten, Burgkirche, Stadtkirche, Marienkirche, Hl.-Geist Kirche in Friedberg (Hessen) – 19 Glocken vereinigen sich zum Stadtgeläut, CD, eine Projektarbeit der THM in Friedberg, Friedberger Geschichtsverein e. V.